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Les diocèses du Nouveau-Brunswick annoncent que les non-vaccinés ne pourront pas aller à la messe

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/AdobeStock

Le diocèse de Saint John, contrairement aux autres diocèses, continuera d’accueillir les fidèles non vaccinés au covid, déclarant que le gouvernement néo-brunswickois ne nommait pas spécifiquement les cérémonies religieuses (pourtant si, les mariages et funérailles, à moins qu’il ne s’agisse des banquets, repas ou autres sortes de réunions suivant la cérémonie proprement dite) dans son décret ordonnant la vaccination obligatoire pour certains rassemblement intérieurs, et que le diocèse ne peut priver les fidèles de la messe et des sacrements ! Selon CNA :

« Personne ne se verra refuser l’accès à la messe, ni à aucun autre sacrement », a déclaré à CNA Natasha Mazerolle, directrice des communications du diocèse de Saint John, le 22 septembre ... « [Le diocèse] reconnaît que les fidèles ne doivent pas être exclus des sacrements pour quelque raison que ce soit, et que l’Eucharistie est la source et le sommet de notre foi ... » Mme Mazerolle a déclaré que « les cérémonies (y compris la messe catholique) ne sont pas directement mentionnées dans le règlement gouvernemental. » Elle a ajouté que « le droit d’un individu à pratiquer sa religion est protégé par la Charte canadienne des droits et libertés. »

Mais alors, les autres diocèses pourraient aussi recevoir les fidèles non vaccinés... Ce qui me donne à penser qu’ils se sont faits plus César que César. — Mise à jour : 24 septembre 2021

Suite à l’annonce publiée le 16 septembre par le gouvernement du Nouveau-Brunswick — déclarant que les personnes non-vaccinées au covid ne pourront plus accéder à certains événements et lieux comme les festivals, restaurants, bars, cinémas, gymnases, « rassemblements organisés à l’intérieur comme les mariages, les funérailles », ou visites dans les établissements de soins de longue durée (autrement dit : si vous n’êtes pas piqué, vous ne pourrez pas voir vos grands-parents…), et ce, dès 22 septembre 2020 — les diocèses d’Edmundston et de Moncton ont publié le 17 septembre un communiqué statuant froidement que les non-vaccinés ne pourraient pas se rendre dans les églises, même pour assister à la messe…

Les deux diocèses, respectivement dirigés par Mgr Claude Champagne pour Edmundston et Mgr Valéry Vienneau pour Moncton, ont essentiellement publié le même communiqué — c’est pourquoi je ne me rapporterai qu’à celui d’Edmundston — où ils disent s’être réunis avec le ministre de la santé néo-brunswickois, dans le cadre d’une réunion avec les dirigeants de diverses religions, et que le ministre en question avait « demandé » (« exigé » serait un mot plus juste) que seuls les fidèles pouvant faire preuve de leur double vaccination pourront participer aux rassemblements — sans exception — ayant lieu dans les bâtiments religieux. Cela signifie, selon le communiqué :

Pour tout rassemblement à l’intérieur de nos églises, de nos presbytères ou de centres communautaires sous notre supervision, les personnes présentes devront être doublement vaccinées.

  • Par rassemblements, nous entendons : les célébrations religieuses (messes dominicales et sur semaine, réunions de prières, baptêmes, mariages et funérailles, confirmation, premier pardon, première communion), les réunions paroissiales et pastorales, les réunions de catéchèse, les assemblées de gestion, les conférences, les ateliers, les réunions fraternelles et sociales, les bingos, les parties de cartes, etc.
  • Par personnes présentes, nous entendons : les prêtres, les ministres laïcs, les membres des chorales, les bénévoles, les fidèles et autres participants. Ceci vaut aussi pour les membres des familles ou les amis proches à l’occasion des baptêmes, mariages ou funérailles. Les jeunes de moins de 12 ans sont naturellement exemptés par cette mesure, ne pouvant pas présentement être vaccinés.

On a des frissons quand on lit un texte pareil, ainsi, les fidèles catholiques non vaccinés ne pourront pas assister à la messe, même le dimanche ! Ils ne pourront pas assister aux baptêmes d’un des leurs ni aux funérailles ni à la première communion. Pourront-ils eux-mêmes communier ou se confesser, dans le cadre d’une rencontre privée avec un prêtre ? Ça ne risque pas d’arriver souvent… Et un doute horrible me titillait lors de la lecture de ce texte insensible : les candidats au baptême pourront-ils être baptisés s’ils ne sont pas vaccinés, s’ils sont majeurs, ou si ceux qui les présentent aux fonts baptismaux ne le sont pas ? Comme le texte ne mentionne pas les parents du bébé dans le cas du baptême, ou les fiancés dans le cas du mariage, je pense que les deux communiqués (semblables par ce qu’ils déclarent) n’interdisent pas le baptême ou le mariage aux non-vaccinés.

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Cardinal Wilton Gregory au sujet de Biden et l’avortement : « le président ne respecte pas l’enseignement catholique »


Cardinal Wilton Gregory, archevêque de Washington.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Archidiocese of Washington/Facebook

Face à la loi pro-vie texane, qui défend l’enfant à naître dès que les battements de son cœur sont détectables (aux environs de six semaines), Joe Biden prétend ne pas croire que la vie humaine commence à la conception (alors qu’autrefois il avait déjà déclaré l’inverse...), ainsi, le 3 septembre : « Je les respecte — ceux qui croient que la vie commence au moment de la conception — je respecte cela. Je ne suis pas d’accord, mais je le respecte », rapporte la FSSPX.News.

Surprise ! le Cardinal Wilton Gregory, archevêque de Washington, a déclaré à son tour, le 8 septembre : « L’Église catholique enseigne, et a enseigné, que la vie humaine commence à la conception ». « Donc, le président ne respecte pas l’enseignement catholique ». C’est le même cardinal qui désapprouvait la tentative des autres évêques américains d'adopter un document qui eût souligné en quoi les politiciens pro-avortement ne doivent pas recevoir la sainte communion. Il avait même déclaré qu'il ne refuserait pas la communion au pro-avortement Joe Biden si celui-ci devait se présenter à la sainte table...

Mais cela fera-t-il changer d’attitude le cardinal sur cette question ?

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Les décès de personnes âgées abandonnées en résidence, attribués à tort au covid

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : cineberg/AdobeStock

Au printemps 2020, on a rapporté un pic de décès plus élevé que la moyenne des autres années sur la même période — bien que le total annuel de décès au Canada n’eût pas significativement augmenté — attribuant la cause de ces décès au covid-19. La plupart des personnes dites décédées « à cause » du covid durant le printemps 2020 étaient d’âge avancé (en moyenne 86 ans, ou au-dessus de la moyenne canadienne de décès) et vivaient alors en résidences. La « vague » de décès servit alors d’appui aux mesures « sanitaires » du gouvernement, tant canadien que québécois, qui pouvait donc prétendre essayer de préserver sa population (âgée) des dangers du virus chinois. Cependant, comme les témoignages de plus en plus nombreux indiquent d’autres causes de décès chez les résidents de ces maisons de soins, le prétexte du gouvernement aussi bien que ses agissements sont-ils encore justifiés (si cela seulement eût pu le justifier) ?

Dans The Globe and Mail, l’on rapporte que le Coroner du Québec, dans le cadre de son enquête sur les décès survenus au printemps 2020 dans les résidences, a tenu audience mardi dernier, recevant un lourd et tragique témoignage d’une infirmière auxiliaire de la résidence Herron.

Le journal rapporte que le covid a servi de prétexte pour couvrir le terrible abandon dont ont fait l’objet les résidents en mars 2020 :

Le covid-19 a été cité à plusieurs reprises comme cause de décès au foyer de soins Herron pour masquer le fait que des dizaines de résidents âgés sont morts de soif, de malnutrition et de négligence, a-t-on appris mardi lors d’une enquête du Coroner du Québec.

Dans un témoignage émouvant, une infirmière auxiliaire a rappelé que l’établissement situé dans l’ouest de l’île de Montréal était déjà mal géré avant la crise, que la plupart de ses employés ont abandonné leur poste lors de l’éclosion de coronavirus, et que l’autorité sanitaire locale a ensuite pris le relais de manière autoritaire et inefficace.

Elle a décrit les discussions sur la question de savoir s’il fallait trier les résidents de telle sorte que ceux qui étaient en train de mourir ne soient pas nourris.

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Les 40 Jours pour la Vie prochainement à Sherbrooke — ou la raison d’un traitement médiatique particulier


40 Jours pour la Vie à Montréal, au coin de Berri et Sainte-Catherine, si vous désirez y aller.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Augustin Hamilton

Je ne sais si vous le savez, nous avons décidé d’organiser à Sherbrooke, pour la première fois, une vigile des 40 Jours pour la Vie du 22 septembre au 31 octobre, parallèlement à la vigile de Montréal que nous comptons bien continuer.

Avant de continuer mon propos, il faut que je vous précise en quoi consistent les 40 Jours : les 40 Jours pour la Vie sont une vigile devant durer, comme son nom l’indique, une quarantaine de jours, 12 heures par jour, à un emplacement fixe et de préférence à proximité d’un lieu où sont perpétrés des avortements. Par la prière, le jeûne, leur présence ainsi que quelques messages véhiculés par le moyen de pancartes les pro-vie y participant visent à sauver la vie d’enfants à naître de l’avortement et à éviter aux femmes de commettre un geste aussi horrible. Ce mouvement a été lancé par l’organisme américain 40 Days for Life en 2003 au Texas, et depuis des centaines de vigiles sont tenues en même temps dans le monde par des groupes pro-vie, deux fois par an.

Or, faisant tranquillement nos préparatifs, rencontres, réunions et autres choses susceptibles d’entrer dans l’organisation d’un tel événement, quelle ne fut pas notre surprise de voir que l’on nous consacrait au moins six articles dans les médias et un communiqué de presse de l’Archevêché de Sherbrooke !

Le ton varie d’un article à l’autre, allant du presque neutre au totalement méprisant. Sur la page de 107,7 Estrie, on peut entendre Martin Pelletier deviser sur les groupes pro-vie au Québec, dont particulièrement Campagne Québec-Vie (CQV), comme s’il s’agissait d’une sorte de mammouths disparus depuis peu, mais que, ô surprise, il en existerait encore (et ça remue, dis donc) ! Au cours de son émission du 2 septembre, M. Pelletier appela au téléphone Brian Jenkins, vice-président de CQV, où il l’interrogea avec circonspection et un visible dégoût pour le mouvement pro-vie (il aurait au moins pu lui dire qu’il était sur les ondes…). Son point principal, en lui posant des questions, était les possibles épithètes que des femmes se rendant à un avortoir se seraient fait lancer par des manifestants pro-vie lors de précédents événements. Quel serait le comportement des participants à la vigile ? Dans toutes ces questions et le ton de voix emprunté, on pouvait voir que M. Pelletier essayait de noircir l’image des 40 Jours pour la Vie, et des pro-vie en général (pourquoi n’a-t-il pas posé une question ou deux sur le comportement réellement plus hostile des pro-avortement ?). Après, M. Pelletier interrogea complaisamment Kathie Morin, abondant dans les présupposés de ladite dame comme quoi, entre autres, l’avortement n’était choisi qu’en ultime recours et que les autres choix avaient été envisagés par la femme… (Mais que cela change-t-il au fait de l’humanité de l’enfant à naître ?)

Nous eûmes un meilleur traitement avec La Tribune qui écrivit sur notre compte un article plutôt neutre, et où l’on rapporte :

La vigile prévue à Sherbrooke est la première qu’organise Campagne Québec-Vie en dehors de Montréal.

« Au départ, on avait envisagé Québec et Trois-Rivières, mais on a remarqué, depuis quelques années, qu’il y a un noyau important de personnes de Sherbrooke qui assistent à la Marche nationale pour la vie qui a lieu à Ottawa au mois de mai, explique Brian Jenkins. Il semble y avoir à Sherbrooke une sensibilité particulière à l’égard des valeurs pour la vie. »

Si tout se déroule comme prévu, la vigile de Sherbrooke se mettra en branle à 7 h, le 22 septembre et prendra fin à 19 h le 31 octobre. Pendant 40 jours, des militants pro-vie se relaieront à un endroit déterminé près de la Clinique de planning du CIUSSS de l’Estrie-CHUS.

Le porte-parole de Campagne Québec-Vie insiste sur le caractère pacifique de cette vigile. Chacun des participants doit d’ailleurs signer un document l’engageant à respecter les directives et la réglementation entourant une telle activité.

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Un geste concret pour la cause de la Vie

Cette semaine, je voudrais vous parler de divers événements, ressources et actions qui vous intéresseront sans doute, tant sur le plan de la défense de la vie à naître que sur celui de la lutte contre la dictature « sanitaire ». Pour commencer :

La Campagne de financement de Geneviève De Vriendt sur LifeFunder pour fonder une succursale de Campagne Québec-Vie à Québec

Il s’agit du plus nouveau (et plus jeune) membre de l’équipe de CQV qui a pour mission de fonder une antenne de CQV à Québec, afin d’y propager le message de la Vie, de la famille et du christianisme par des actes concrets. C’est pourquoi nous avons eu recours à la plateforme de financement de LifeSite, le LifeFunder, pour réunir 25 000 $. Participez-y ! Sur le nombre visé, 3 365 $ ont déjà été atteints, et il reste 21 jours pour participer généreusement à ce projet audacieux.

Le Pèlerinage pour la Vie à Lasalle

Le Pèlerinage pour la Vie annuel de CQV aura lieu le samedi 11 septembre à Lasalle, dans Montréal, commençant à l’église Saint John Brebeuf, 7777 rue George, à 8 h. Renseignements et réservation : (514) 344-2686.

l’Événement de lancement de la succursale de Campagne Québec-Vie à Québec

L’Événement de lancement de Campagne Québec-Vie à Québec aura pour but de vous faire rencontrer Geneviève De Vriendt et de vous informer sur l’antenne de CQV dans la Capitale nationale et ses projets — que je vous ai mentionné plus haut. l’événement se tiendra le jeudi 30 septembre à l’École Sainte-Famille, 10 425 Bd Guillaume-Couture à Lévis, ne le manquez pas ! Contact : Geneviève De Vriendt · [email protected] · 438-814-2272.

La Page de ressources contre les vaccins covid-19

Vous sentez-vous démuni face à l’imposition de la vaccination covid-19 au Québec et au Canada, vaccination que votre employeur pourrait exiger de vous ? Nous vous présentons ici plusieurs ressources, tant de l’information sur le covid-19 que sur les vaccins censés y remédier, outre des lettres de demande d’exemption aux vaccins covid-19 à présenter à votre employeur, si celui-ci exige que vous vous fassiez vacciner.

L’Outil de communication aux députés

Voici, enfin, l’outil de communication aux députés, fédéraux, provinciaux, municipaux, etc., de Campaign Life Coalition pour leur envoyer un message afin de protester, en l’occurrence, contre le passeport vaccinal.

Pour la foi, la famille et la Vie,

Augustin Hamilton

Visitez régulièrement Culture de Vie, votre nouvelle source de nouvelles du monde, du Canada et du Québec

Nos articles de la semaine : 


Une campagne de financement pour diffuser la culture de la vie, de la famille et de la Foi à Québec
Alors que l’héritage catholique du Québec est rapidement oublié et enterré, une jeune femme courageuse de la province a entrepris de restaurer la culture de la foi, de la famille et de la vie dans la région.


Grand entretien avec Mgr Athanasius Schneider sur le passe sanitaire : « Une préfiguration de la marque de la Bête »
Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de Sainte-Marie d’Astana (aujourd’hui Noursoultan) au Kazakhstan, a accordé à http://reinformation.tv une interview essentielle sur le passe sanitaire et l’obligation vaccinale.


Les protocoles de « santé » du Québec ont probablement augmenté le nombre de décès « liés » au covid
Une infirmière en chef adjointe dans un foyer de soins de longue durée à Laval, au Québec, avait reçu l’ordre du ministère provincial de la Santé d’administrer de la morphine aux patients atteints du coronavirus, au lieu de les soigner pour traiter leur maladie dans une optique de survie, a-t-on appris lors d’une enquête.


Les médecins de la conférence Stop the Shot : les femmes enceintes ne devraient jamais se faire vacciner au covid
Des recherches menées dès 2012 montrent que la technologie qui sous-tend les injections expérimentales de COVID-19 peut entraîner des problèmes critiques de fertilité et de grossesse, a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet lors de la deuxième conférence « Stop the Shot ».


Mgr Schneider accorde une lettre d’exemption religieuse aux vaccins souillés par l’avortement
Mgr Athanasius Schneider du Kazakhstan a décidé de fournir des déclarations sous serment certifiant l’appartenance à la Confrérie Notre-Dame de Fatima.


Combattez le programme anti-vie : diffusez cette vidéo rare et étonnante sur l’enfant à naître
Ce film du National Geographic est particulièrement captivant parce qu’il offre une qualité rarement vue de séquences vidéo de l’enfant à naître.


Un juge du Manitoba se range du côté d’un étudiant en médecine chrétien expulsé pour publication de messages pro-vie sur Facebook
Un juge provincial a « annulé » la décision de l’Université du Manitoba d’expulser l’étudiant copte orthodoxe Rafael Zaki pour avoir exprimé publiquement ses convictions religieuses pro-vie dans un message publié sur Facebook en 2019.


L’Administration Biden veut punir les élèves qui n’emploient pas les noms et pronoms « transgenres » de leurs camarades…
L’Administration Biden a publié un document recommandant que soient punis les élèves ne se pliant pas à l’exercice grotesque (pour ne pas dire abominable) de traiter leurs camarades « transgenres » selon la fantaisie de ces derniers.


La tyrannie des vaccins covid n’est pas catholique : analyse des arguments de la moralité des vaccins
Les arguments pour ou contre l’utilisation de vaccins compromis sur le plan éthique s’appuient nécessairement sur les principes de coopération matérielle, qui fournissent en général les bases de certaines des questions morales les plus difficiles...


Canada : des « transgenres » meurtriers et violeurs bientôt dans les prisons pour femmes
Faut-il le rappeler ? Grâce à la loi C-16 de Justin Trudeau votée le 17 juin 2017, l’« orientation de genre » a été reconnue au Canada… jusque dans les pénitenciers. Ce qui fait qu’aujourd’hui, on en parlait depuis un certain temps, des « transgenres » ou hommes se prétendant « femmes » seront transférés en tant que « femmes » dans les établissements réservés à la gent féminine.


En France, le gratin féministe de gauche est furieux de la diffusion du film pro-vie « Unplanned »
Une petite chaîne de télévision privée française, C8, est dans la ligne de mire du CSA (« Conseil supérieur de l’audiovisuel »), l’organisme national de surveillance des médias, parce qu’elle a diffusé Unplanned...


Effets secondaires des vaccins covid sur les femmes enceintes : fausses couches
Parmi les nombreux effets indésirables de ces différents « vaccins » est signalée la mort in utero, ce qui n’est pas rien, ainsi que « les fausses couches spontanées » qui « représentent la majorité des effets indésirables enregistrés dans la BNPV » pour les femmes enceintes.


Des étudiants privés de cours poursuivront le Seneca College sur la vaccination covid obligatoire
Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles représente deux étudiantes qui ne sont pas autorisées à retourner sur le campus du Seneca College en septembre à moins de recevoir les vaccins destinés à la [prétendue] prévention du COVID-19.


Le pape accepte la démission d’un évêque espagnol connu pour ses prises de position contre l’homosexualité
Certains médias ont suggéré que le pape a accepté la démission de l’évêque à la suite des pressions des groupes LGBT d’Espagne.

Autres articles de la semaine :

Le gouverneur d’Illinois signe une loi instaurant une «éducation sexuelle» explicite qui promeut l’avortement
Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a signé vendredi un projet de loi mettant en place une éducation sexuelle qui promeut l’avortement, ignorant les plaintes des démocrates et des républicains concernant ce programme au contenu sexuellement explicite qui sera imposé aux enfants dès la maternelle.

Médias et CDC occultent le fait que la «flambée» de covid de juillet avait pour épicentre un village de vacances LGBT
Le CDC, les médias nationaux et la Maison-Blanche occultent tous l’évidence afin de déclencher une nouvelle obligation de port de masque et d’autres mesures strictes de confinement : ce n’est pas une question de masques insuffisants ou de confinement. Il s’agit de ce qui se passe lorsque des milliers d’hommes convergent pour se livrer à la sodomie...

Deux nouvelles boîtes à bébé « Refuge sûr » installées en Indiana dans l’espoir de sauver des vies
Des boîtes à bébé Safe Haven [Refuge sûr] ont été installées cette semaine à Floyds Knobs et à Jeffersonville, en Indiana, ce qui porte à 77 le nombre de ces boîtes disponibles dans tout le pays.

Une mère atteinte d’une maladie rare rejeta l’avortement, maintenant, elle et son bébé vont bien
Lisa Nicholas, une mère de famille britannique, était prête à risquer sa vie pour sauver sa fille. Alors que Lisa était enceinte de son cinquième enfant, on lui a diagnostiqué la maladie de Cushing et on l’a incité à avorter.

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L’Administration Biden veut punir les élèves qui n’emploient pas les noms et pronoms « transgenres » de leurs camarades…

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock

Aussi fou que cela puisse paraître, l’Administration Biden a publié un document intitulé Confrontation du harcèlement anti-LGBTQI+ dans les écoles, qui est sensé donner une ligne de conduite aux écoles, et selon lequel les ministères de la Justice et de l’Éducation pourraient mener enquête sur la (juste) discrimination dont font l’objet les élèves « transgenres » quant à certaines de leurs prétentions — comme d’aller aux toilettes réservées à l’autre sexe ou de se faire donner du « elle » quand il s’agit de « il », et inversement. Le document recommande donc que soient réprimandés les établissements discriminant les « transgenres » et que soient punis les élèves ne se pliant pas à l’exercice grotesque (pour ne pas dire abominable) de traiter leurs camarades « transgenres » selon la fantaisie de ces derniers.

Ainsi, le document donne quelques cas types qu’il croit devoir désigner comme tragiques et auxquels il serait nécessaire de remédier, selon International Family News :

« Alors qu’elle se dirige vers les toilettes des filles, une lycéenne transgenre [c’est-à-dire un homme biologique] est arrêtée par le principal qui lui interdit l’entrée. Le principal dit à l’élève d’utiliser les toilettes des garçons ou le bureau de l’infirmière parce que son dossier scolaire l’identifie comme un “homme”. Plus tard, l’élève rejoint ses amies pour essayer de faire partie de l’équipe de pom-pom girls et l’entraîneur la renvoie des essais uniquement parce qu’elle est transsexuelle. Lorsque l’élève se plaint, le principal lui répond que c’est la politique du district ».

Ainsi, la politique créée par un conseil scolaire de district élu, qui a été conçue pour respecter la vie privée des femmes dans ces lieux les plus intimes et pour s’assurer que les hommes biologiques* ne se mesurent qu’à d’autres hommes biologiques — et qui est légale selon la loi actuelle — est présumée être un comportement illicite. L’administration Biden veut nous faire croire que les éducateurs et les parents devraient avoir honte d’essayer de protéger leurs filles.

Dans un autre exemple, un garçon transgenre (c’est-à-dire une femme biologique) à l’école intermédiaire « se présente sous le nom de Brayden et dit à ses camarades de classe qu’il utilise les pronoms il/elle ». Cet enfant, qui n’a très probablement que 11 ans, est déjà « affirmé » par la note dans son identité transgenre. Parmi les activités que la note considère comme méritant une enquête, il y a le fait que des camarades de classe « appellent [l’étudiant] par son ancien nom ». Ainsi, des collégiens de 11 ans, qui ont très probablement connu l’étudiante biologique en question comme étant une fille pendant plusieurs années et qui peuvent faire la différence de manière innée entre les garçons et les filles, adoptent un comportement illicite lorsqu’ils utilisent l’ancien nom de l’étudiante. Selon l’administration Biden, ces élèves de collège doivent être contraints par le gouvernement à soutenir le programme LGBT ou à en subir les conséquences. S’il y a jamais eu un cas de tyrannie, c’est bien celui-là.


*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.

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Les évêques du Colorado publient une lettre d’« exception religieuse » aux vaccins covid-19

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Studio Romantic/AdobeStock

Les évêques du Colorado — Mgr Samuel Aquila, archevêque de Denver, Mgr Stephen Berg, évêque de Pueblo, Mgr James Golka, évêque de Colorado Springs, et Mgr Jorge Rodriguez, évêque auxiliaire de Denver — ont publié un document dans lequel ils offrent aux catholiques le désirant, une lettre d’« exception religieuse » à fournir à leur employeur si celui-ci exige d’eux qu’ils se fassent vacciner au covid, conformément aux dernières mesures édictées par le maire de Denver, Michael Hancock, rapporte LifeSiteNews :

Les évêques catholiques du Colorado ont publié un modèle de lettre d’exemption religieuse aux injections expérimentales de COVID-19 pour les catholiques, les évêques déclarant qu’ils « continuent à soutenir les exemptions religieuses à toute obligation vaccinale. »

[...]

Cette lettre intervient après que le maire de Denver, Michael Hancock, eût déclaré le 2 août que « tous les employés de la ville » ainsi que les employés du secteur privé travaillant dans des « environnements à haut risque » seraient soumis à une vaccination obligatoire d’ici le 30 septembre. L’ordre concerne plus de 10 000 personnes et intervient alors que Hancock a admis qu’environ 70 % des personnes admissibles avaient reçu l’injection.

Toutefois, l’ordonnance a accordé une marge de manœuvre à ceux qui détenaient des exemptions médicales ou religieuses au vaccin. « Les employeurs doivent fournir des aménagements raisonnables pour tout personnel qui a des exemptions médicales ou religieuses au vaccin COVID19. »

[...] Les évêques ont fourni un modèle de lettre que les catholiques peuvent faire signer à leurs pasteurs lorsqu’ils demandent une exemption religieuse une vaccination obligatoire.

Les évêques offrent une lettre d’exception basée sur l’enseignement de l’Église :

La lettre explique « comment les enseignements de l’Église catholique peuvent conduire des catholiques individuels... à refuser certains vaccins. »

Selon cet enseignement moral de l’Église catholique, « une personne peut être amenée à refuser une intervention médicale, y compris la vaccination, si sa conscience en arrive à ce jugement. »

Un catholique, soulignent-ils, peut baser son refus sur le fait que le vaccin est lié à l’avortement (ce qui est le cas des vaccins covid-19 les plus courants) et sur les risques et bénéfices dudit vaccin, entre autres.

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Des avortements tardifs perpétrés au Québec sous prétexte de « pandémie »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (couleurs modifiées) : Prostock-studio/AdobeStock

Pétition : Non à l’avortement tardif au Québec

Le covid a bon dos, on lui fait endosser tout et n’importe quoi, même le fait que les avortements tardifs de Québécoises soient accomplis au Québec au lieu d'être commis aux États-Unis comme d’habitude ; il serait plus honnête de dire que ce sont les mesures « sanitaires » qui font en sorte qu’il n’est plus possible d’envoyer des femmes se faire avorter chez les Étatsuniens.

TVA Nouvelles, qui rapporte l’affaire, clame que la « pandémie » a « obligé » le réseau de santé du Québec à commettre des avortements tardifs, ce qui s’avérerait compliqué pour les « soignants » qui affrontent un climat « hostile » dans le milieu hospitalier. TVA rapporte les propos d’un anonyme — à qui on peut bien lui faire dire ce qu’on veut :

« À chaque cas, on change d’hôpital. C’est un bordel effrayant, avoue un gestionnaire du dossier, qui a requis l’anonymat pour éviter des représailles. Ce n’est pas facile de développer le service rapidement. »

Des « représailles » ? Encore l’exagération rhétorique des pro-avortement. Sans doute que des collègues, justement horrifiés, font savoir franchement leur désapprobation à ces bouchers qui, puisqu’ils tuent des bébés à terme, devraient être assez bardés côté sensibilité. J’espère bien, en effet, que ces individus rencontrent l’hostilité et la désapprobation du milieu médical !

Ne manquant pas l’occasion, l’article de TVA affirme que l’avortement est un « droit sans restriction au Canada », ce qui est un demi-mensonge ; l’avortement est certes sans restriction au Canada, mais il n’est pas un droit.

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Un message pro-vie se promène en autobus en Colombie-Britannique

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le groupe pro-vie catholique Life Compass a lancé une campagne publicitaire pour sa ligne et son site d’aide aux femmes enceintes, faisant afficher sur des autobus un message à teneur pro-vie qui circulera entre Coquitlam et Maple Ridge, en Colombie-Britannique, rapporte B.C. Catholic :

Si vous conduisez derrière les autobus de TransLink sur la distance séparant Coquitlam de Maple Ridge, vous verrez peut-être des publicités en faveur de la vie grâce à Life Compass, le groupe catholique pro-vie du nord du Fraser.

Le président de Life Compass, Richard Whalen, déclare que le groupe avait acheté de la surface auprès de Lamar Advertising pour huit publicités à l’arrière des autobus pendant huit semaines, depuis le début de juillet.

M. Whalen affirme que ces publicités positives et édifiantes « peuvent sauver des vies ».

L’affiche à l’arrière du bus montre une femme souriante tenant un bébé heureux. Le message principal est le suivant : « Vous êtes plus forte que vous ne le pensez ». Le numéro de la ligne d’assistance téléphonique du groupe, 1-800-712-4357, et l’adresse de son site internet, Love4Life.ca, sont également indiqués.

Ce message est important, dit-il, « parce que tout le monde, de l’utérus à la tombe, devrait avoir le droit à la vie. C’est une liberté fondamentale dont nous devrions tous jouir. Et au Canada, aujourd’hui, si vous n’êtes pas encore né, vous n’avez pas cette liberté ».

Life Compass a dépensé près de 7 000 dollars pour la campagne publicitaire.

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L’Université de Saskatchewan interdit à ses étudiants en médecine de faire un stage à un centre de grossesse pro-vie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Blue Planet Studio/AdobeStock

L’Université de Saskatchewan à Saskatoon, sous la pression d’étudiants pro-avortement, n’accepte plus le Saskatoon Pregnancy Options Centre, centre pro-vie d’aide aux femmes enceintes, comme lieu de stage pour ses étudiants en médecine. Et les pro-avortement de tous poils de se réjouir, rapporte Pete Baklinski sur Campaign Life Coalition (CLC) :

Les militants de l’avortement qui se disent « pro-choix » ont ironiquement crié « victoire » suite à la décision d’une université canadienne de restreindre le choix des étudiants en médecine en leur interdisant d’effectuer un stage dans un centre de soins de grossesse pro-vie.

Le Collège de médecine de l’Université de Saskatchewan a décidé la semaine dernière que le Saskatoon Pregnancy Options Centre « ne sera pas inclus comme option de site de stage à l’avenir », selon une lettre du 20 juillet signée par les hauts responsables du Collège. Cette décision a été prise après que des étudiants militants pro-avortement eussent fait campagne pour que le collège revienne sur sa décision initiale autorisant les étudiants à être placés au centre de grossesse.

Le groupe pro-avortement Action Canada s’est réjoui de la nouvelle sur Twitter plus tôt cette semaine.

« Une victoire ! @USaskMedDean a décidé de mettre fin au placement d’étudiants dans un centre de grossesse critique anti-choix. Félicitations aux étudiants à l’avant-garde de ce combat », a écrivait sur Twitter l’organisation.

La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada est également intervenue, félicitant ceux qui avaient fait campagne auprès de l’université pour limiter le choix des options de placement des étudiants.

« Merci au groupe Gender Engagement in Medicine pour son travail, et aux anciens étudiants qui ont parlé de leurs expériences négatives de stage au CPC », a déclaré le groupe pro-avortement sur Twitter.

L’ironie des groupes « pro-choix » célébrant la restriction des choix des étudiants n’a cependant pas échappé aux Canadian Physicians for Life.

« C’est malheureusement le comble de l’ironie que ceux qui se disent “pro-choix” se réjouissent de réduire les choix des autres », a déclaré le groupe de médecins pro-vie sur Twitter.

Les médias pro-avortement, qui ne sont jamais en reste quand il s’agit de dénigrer les pro-vie, a employé l’événement, si l’on peut dire, que représente la décision de l’université pour dénigrer le Saskatoon Pregnancy Options Centre, rapporte l’article de CLC :

La CBC a utilisé son reportage pour colporter la désinformation d’un étudiant en médecine qui a déclaré que le Pregnancy Options Centre, selon les termes du reportage de la CBC, « diffuse intentionnellement des informations erronées sur les avortements pour effrayer et intimider les femmes ».

Insinuation évidemment fausse, accusant le centre pro-vie de mentir.

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