Interdire le recours aux mères porteuses à l’étranger
Par Léo Kersauzie (Médias-Presse-Info) — Photo : Tierney/Adobe Stock
Le Parlement italien a fait le premier pas pour sanctionner la pratique de la maternité de substitution à l’étranger, en amendant un projet de loi proposé par la coalition de droite qui gouverne le pays depuis octobre dernier.
La Commission Justice de la Chambre des députés a approuvé hier mercredi une série d’amendements à un projet de loi approuvé par le gouvernement de Giorgia Meloni en février et qui vise à faire de cette pratique « un crime universel ».
La maternité de substitution est déjà un crime en Italie par une loi de 2004 qui punit « quiconque, de quelque manière que ce soit, réalise, organise ou parraine la commercialisation de gamètes ou d’embryons » par des peines de prison pouvant aller jusqu’à deux ans et des amendes pouvant aller jusqu’à un million d’euros. Le nouveau projet de loi veut sanctionner également ceux qui recourent à cette pratique en dehors des frontières italiennes.
L’amendement approuvé interdit aux « citoyens italiens » d’utiliser des « utérus de substitution » également à l’étranger « pour entraver toute pratique qui pourrait être configurée comme un trafic commercial d’enfants ». Il s’agit du premier « oui » parlementaire au projet de loi Meloni, qui devrait atteindre la session plénière de la Chambre des députés le 19 juin, puis aboutir au Sénat pour approbation finale, ce qui est considéré comme acquis par la majorité de la droite.
Des partis d’opposition, comme le Parti démocrate social-démocrate (PD) ou le Mouvement 5 étoiles, ont voté contre.
La ministre de la Famille, de la Naissance et de l’Égalité des chances, Eugenia Roccella, a expliqué que la position du gouvernement est « claire et condamne absolument toutes les formes de maternité de substitution comme étant préjudiciables à la dignité des femmes et aux droits des enfants ».
1 réactionLes fanatiques LGBT qualifient la « masculinité authentique » de terme offensant et dépassé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ivan/Adobe Stock
30 mai 2023 (LifeSiteNews) — En avril, j’ai eu une longue discussion avec Jojo Ruba sur la façon dont l’interdiction des thérapies de conversion au Canada était appliquée depuis l’adoption de la loi.
Ruba, qui a eu recours à la thérapie pour faire face à sa propre attirance pour le même sexe, s’est exprimé sur ce projet de loi depuis qu’il a été présenté par le gouvernement Trudeau et a témoigné contre l’interdiction devant un comité parlementaire (vous pouvez regarder son témoignage ici).
L’un des principaux objectifs de cette loi, m’a-t-il dit, n’est pas simplement de poursuivre les pasteurs, les parents ou les conseillers qui aident les jeunes souffrant de dysphorie de genre ou d’attirance non désirée pour le même sexe. Il s’agit de produire un effet dissuasif dans tout le pays qui amènera les gens à refuser volontairement de s’occuper de ces questions par crainte d’être inculpés.
1 réaction Lire la suiteComment des responsables catholiques aident les promoteurs de l’avortement
Par John Smeaton (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lors de la tentative, heureusement ratée, des ennemis de la vie et de la famille de promulguer une loi sur l’éducation sexuelle obligatoire en 2010, M. Ed Balls, secrétaire d’État du gouvernement travailliste pour les enfants, les écoles et les familles, a déclaré :
« Le soutien de l’Église catholique et de l’archevêque Nichols dans ces changements est, je pense, très, très important... un énorme pas en avant ». [1]
Malheureusement, sept ans plus tard, sous un gouvernement conservateur, une législation similaire est entrée en vigueur — avec le soutien des évêques catholiques d’Angleterre et du Pays de Galles.
La politique de soutien des évêques catholiques aux lignes directrices du gouvernement en matière d’éducation sexuelle et relationnelle (ESR) a également revêtu une grande importance politique. Leur soutien a été souligné dans une déclaration de Nick Gibb, ministre des normes scolaires du gouvernement conservateur, qui a déclaré :
« Les directives ont été soigneusement élaborées pour obtenir le consensus le plus large possible en faveur de cette politique, ce qui explique qu’elles aient été adoptées par cette Chambre à une écrasante majorité et par l’autre Chambre sans aucune division ». [2]
M. Nick Gibb a poursuivi :
« Les personnes qui s’y opposent se situent à l’autre extrémité de ce consensus. Je crains qu’il soit peu probable que nous amenions ces extrémités du débat à ce consensus, mais je suis très satisfait que nous ayons obtenu le soutien de l’Église catholique... pour les orientations que nous avons créées ».
1 réaction Lire la suiteLors d’un congrès à Rome, un théologien moraliste démystifie un nouveau livre défiant l’enseignement de l’Église sur la contraception
Dr John Haas.
Par Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : nbccenter.org
24 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le Professeur John Haas, ancien membre de l’Académie pontificale pour la vie et président émérite du Centre national de bioéthique, a prononcé un discours samedi dernier à Rome, dans lequel il s’est attaqué aux récents mouvements visant à saper l’enseignement de l’Église sur les actes intrinsèquement mauvais, en particulier en ce qui concerne la contraception.
Le congrès des 19 et 20 mai, organisé par la Chaire internationale de bioéthique Jérôme Lejeune, s’est déroulé à l’Institut patristique Augustinianum. Parmi les intervenants figuraient de hauts prélats de l’Église, tels que le cardinal Luis Ladaria (préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi) et le cardinal Matteo Zuppi (président de la conférence épiscopale italienne). Le congrès avait pour thème « “Mon corps, mon choix...” Humanae Vitae : l’audace d’une encyclique sur la sexualité et la procréation » et a porté sur l’encyclique Humanae Vitae du pape Paul VI et ses implications pour aujourd’hui.
Le discours du Pr Haas a été prononcé le 20 mai et était intitulé « La beauté d’Humanae Vitae 50 ans après et les défis du futur ». Le Pr Haas a aimablement fourni à LifeSite une copie de sa présentation.
Dans sa conférence, le théologien américain s’attaque en partie à un livre paru en 2022, On Theological Ethics of Life, publié par l’Académie pontificale pour la vie, qui avait suscité de nombreuses controverses, car il semblait plaider en faveur de certaines formes de contraception.
Haas revient sur ce livre dès le début de son discours :
« L’année dernière, un livre a été publié par une maison d’édition du Vatican qui remettait en question l’enseignement de l’Église sur la contraception. L’éditeur du livre a écrit à propos de la contraception : “Le choix judicieux sera réalisé en évaluant de manière appropriée toutes les techniques possibles en fonction de leur situation spécifique et en excluant évidemment les techniques abortives” [Etica Theologica della Vita, ed. Vincenzo Paglia, Académie pontificale pour la vie] ».
1 réaction Lire la suiteUn conseil scolaire catholique d’Ontario vote 6-4 contre le déploiement du « drapeau de la fierté » en juin
L'York Catholic Distrct School Board.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Myles Vosylius/Twitter
30 mai 2023, Aurora, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique d’Ontario situé juste au nord de Toronto a voté contre le déploiement du drapeau de la « fierté » au sommet de ses écoles pendant le mois de juin, alors que les Canadiens protestent de plus en plus contre l’agenda LGBT dans le système éducatif.
Lors de la réunion du 29 mai du York Catholic District School Board (YCDSB), les administrateurs ont voté par 6 voix contre 4 contre l’exhibition du drapeau pro-LGBT au sommet de ses écoles et autres bâtiments à l’occasion du « mois de la fierté », une décision qui a été accueillie avec une agréable surprise par les défenseurs de la famille.
« C’est une rare bonne nouvelle en ces temps sombres où le groupe de pression LGBT s’empare de toutes les institutions de la société », a déclaré Jack Fonseca de la Coalition nationale pour la Vie (CNV) à LifeSiteNews, alors que CNV a récemment lancé une pétition auprès de ses partisans pour qu’ils fassent campagne auprès du YCDSB contre le déploiement du drapeau.
« La CNV est très reconnaissante aux parents et aux contribuables catholiques concernés qui sont allés voir les administrateurs du YCDSB, et à ceux qui ont envoyé des courriels et téléphoné aux administrateurs pour leur demander de ne pas hisser le drapeau de la “fierté” homosexuelle », a poursuivi M. Fonseca.
« Sans eux, ce vote aurait probablement été très différent », a-t-il ajouté, en remerciant les six administrateurs qui ont voté contre le déploiement du drapeau.
1 réaction Lire la suiteAu moins 87 485 enfants à naître victimes d’avortement au Canada en 2021
Par Paul Tuns (The Interim), 8 mai 2023 — Traduit par Campagne Québec-Vie
Selon les derniers chiffres de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), plus de 87 000 enfants à naître ont été tués par avortement en 2021.
Les chiffres officiels recueillis par l’ICIS sont incomplets, car un certain nombre d’avortements pratiqués en dehors d’un hôpital ou que l’on recherche dans les données de facturation des médecins ne sont pas enregistrés. L'état d'incomplétion de ces données persiste malgré « les efforts d’amélioration continus de l’ICIS... pour combler les lacunes des données ». L’ICIS a utilisé une « méthodologie révisée » qui inclut « les données de facturation des médecins comme source des volumes totaux d’avortements et des méthodes d’avortement pour certaines provinces », indique le rapport. « Les résultats de 2021 ne sont pas comparables aux résultats des données historiques ». Malgré ces lacunes, le rapport de l’ICIS indique qu’il y a eu 87 307 avortements.
En 2021, 55 073 avortements « chirurgicaux » et 32 234 avortements « médicaux » (avortements chimiques par pilule) ont été déclarés. Le rapport admet qu’il sous-estime les avortements chimiques pratiqués en dehors des hôpitaux.
Au Canada, 20 217 avortements ont été déclarés en milieu hospitalier et 67 268 en milieu extrahospitalier. En Alberta, en Colombie-Britannique, au Manitoba, en Ontario, à Terre-Neuve-et-Labrador et au Québec, le nombre d’avortements déclarés en milieu extrahospitalier est supérieur à celui des avortements en milieu hospitalier. Au Québec, 67 % des avortements déclarés ont été pratiqués dans des cabinets de médecins et des cliniques de santé, tandis qu’en Ontario et à Terre-Neuve-et-Labrador 84 % et 94 % des avortements déclarés ont été pratiqués en dehors du milieu hospitalier.
Les nouveaux ensembles de données ne comprennent pas les informations que les rapports précédents de l’ICIS sur l’avortement incluaient, comme les avortements par âge gestationnel, par nombre d’accouchements précédents, par nombre d’avortements précédents et par complications. Le rapport comprend des informations de base telles que l’âge de la mère, le type d’avortement et la province dans laquelle l’avortement a eu lieu.
1 réaction Lire la suiteLe mois de l'humilité
Le mois de juin vient, le mois du Sacré-Cœur de Jésus, un temps où nous devrions méditer sur l’humilité du Dieu fait homme dont le cœur de chair a répandu du sang et de l’eau pour nous. Pour certain ce mois resplendissant est le mois de l’« orgueil », et quel orgueil ! celui de s’abaisser aux pulsions les plus basses et les plus irrationnelles, rassemblées sous le sigle « LGBT ».
En ce mois en particulier, nombre d’écoles feront la promotion de l’orgueil LGBT et tiendront une cérémonie de lever du drapeau LGBT le 1er juin. Nous recommandons fortement aux parents, si un tel événement devait avoir lieu dans l’école de leurs enfants, de les retirer ce jour-là afin de leur épargner cette propagande.
Après tout, ce monde, dont l’esprit recommande d’avoir un enfant de moins, ne mérite pas d’avoir le contrôle de vos enfants, alors qu’il aurait souhaité qu’ils ne fussent pas.
Durant le mois de juin, nous tiendrons notre annuel Pèlerinage pour la vie, le samedi 17 juin, sur les pas de la vénérable Rosalie Cadron-Jetté (1794-1864), fondatrice des Sœurs de la Miséricorde de Montréal, un ordre qui s’occupe des filles-mères.
Programme :
7 h 30 Messe, Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, Montréal, suivie d’un temps de prière à la tombe de la vénérable Rosalie Cadron-Jetté.
9 h Pèlerinage au centre-ville de Montréal, visite de sanctuaires et centres d’avortement.
12 h 30 Fin du pèlerinage.
Renseignement : 438 930 8643
Ci-dessous, nous vous présentons nos articles de la semaine, parmi lesquels j’ose attirer particulièrement votre attention, notamment au sujet du prélèvement d’organes, du pouvoir de votre choix d’achat sur la direction que prennent les entreprises, et enfin, le discours d’un père face à un conseil scolaire qui planifie hisser le pavillon multicolore.
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
P.S. Merci de nous donner, votre aide est toujours la bienvenue.
Nos articles de la semaine :
Les parents canadiens sont invités à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 1er juin 2023 pour protester contre le « mois de la fierté »
Le 25 mai, l’organisation pro-vie et pro-famille Coalition nationale pour la Vie (CNV) a annoncé la première journée nationale annuelle de Refus du drapeau de la fierté, qui aura lieu le 1er juin, alors que les écoles arboreront le « drapeau de la fierté » pour marquer le début du « mois de la fierté » homosexuelle.
Je suis médecin. Accepterais-je une greffe d’organe pour moi-même ?
« On m’a récemment demandé si j’accepterais une greffe pour moi-même. J’ai souvent abordé cette question dans mes conférences et mes vidéos sur l’éthique du prélèvement et de la transplantation d’organes. »
Voter avec son pouvoir d’achat : une arme puissante dans la guerre culturelle
« Dans le monde clownesque d’aujourd’hui, les gens cherchent des moyens efficaces d’exprimer leurs convictions et de se battre pour les causes qui leur tiennent à cœur. Si les manifestations, l’activisme sur les réseaux sociaux et l’engagement politique sont des approches courantes, une arme moins connue, mais puissante dans la guerre culturelle réside dans notre pouvoir d’achat. »
Un enfant de moins pour sauver le climat ? une proposition saugrenue dans un Québec de 1,49 enfant par femme
Tout récemment, Outremont distribuait un dépliant à ses citoyens proposant des actions censées avoir un impact positif sur le climat. À la tête de celles-ci était placé le geste le plus salvateur pour le climat : avoir un enfant en moins…
En juin, fêtons le mois de l’humilité à la place de la fierté LGBT !
« En ce mois de juin, les "LGBT" ouvrent désormais la période estivale avec leurs revendications, leurs parades, leurs marches de fierté tous azimuts. Doublons-les ! Travaillons plus que jamais la vertu d’humilité au cœur de nos vies, dans notre prière quotidienne. Affichons-la, faisons-la rayonner, pour pallier un tant soit peu cet orgueil sans fond et consoler Celui qu’il attaque de plein front. »
Des élèves québécois arrachent et piétinent le drapeau de la « fierté » de l’école pour protester contre l’agenda LGBT
Une foule d’étudiants, protestant récemment contre l’agenda LGBT dans une école québécoise, a arraché et piétiné un drapeau arc-en-ciel de la « fierté.
Un père catholique demande à un conseil scolaire d’Ontario d’abandonner le drapeau de la fierté et d’adopter la croix comme symbole de l’amour
Un père canadien exhorte un conseil scolaire catholique de l’Ontario à ne pas faire flotter le drapeau de la fierté mais à « prendre la croix » comme symbole d’amour et de miséricorde.
C’est l’avortement qui devrait choquer, pas un autocollant pro-vie sur un vélo
Il aura suffi d’autocollants portant le message « Et si vous l’aviez laissé vivre ? » placés sur les vélos Vélib’ de Paris pour créer un séisme parmi les bobos pro-avortement.
Un enseignant chrétien se voit interdit parce qu’il n’a pas utilisé le bon pronom
Au Royaume-Uni, un enseignant, professeur de mathématiques chrétien, a été viré par la secrétaire d’Etat à l’Éducation pour avoir « discrédité la profession », en n’utilisant pas le « pronom préféré » d’une collégienne qui s’était identifiée comme un garçon.
Les étudiants commencent à résister à la propagande LGBT qui leur est imposée
Le collège Lakeridge dans l’Oregon a récemment rencontré un problème intéressant : des garçons arrachaient les distributeurs de tampons des murs de leurs salles de bain et les jetaient dans les toilettes.
DeSantis interdit les mutilations transgenres sur les enfants
Le gouverneur républicain de Floride et candidat probable à la présidence, Ron DeSantis, a officiellement interdit les opérations mutilantes et les produits transgenres pour les mineurs dans le cadre d’un vaste paquet législatif visant à protéger les enfants de Floride de l’idéologie transgenre.
La Californie renonce à obliger les médecins à participer à l’aide au suicide, une victoire pour les défenseurs de la vie
La Californie a renoncé à appliquer une loi obligeant les médecins à participer à des suicides médicalement assistés contre leur volonté et a accepté de verser 300 000 dollars aux professionnels de santé chrétiens qui ont poursuivi l’État en justice.
Une mère ontarienne demande au conseil scolaire catholique pourquoi on fait jouer des élèves de 4e année à des jeux de « préparation sexuelle » en classe
Un conseil scolaire catholique de l’Ontario a refusé de répondre aux questions des parents sur la raison pour laquelle on fait jouer leurs enfants à des jeux axés sur la sexualité dans une classe de quatrième année.
Une ancienne avorteuse raconte comment ses yeux se sont ouverts sur l’avortement
Dans un entretien exclusif avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, Dr Beverly McMillan, ancienne avorteuse, a parlé de sa conversion de pro-avortement à pro-vie — et a rappelé le moment où elle a réalisé qu’elle ne pourrait plus jamais commettre d’avortement.
Le Canada étend son régime d’aide au suicide tout en ignorant un système de soins de santé déficient
En réalité, au Canada, si vous avez besoin de soins palliatifs et que vous ne pouvez pas les payer vous-même, vous n’aurez probablement pas de chance. Si vous avez besoin d’une aide en matière de santé mentale, vous serez inscrit sur une liste d’attente. Si vous avez besoin d’une aide aux personnes handicapées, il est extrêmement difficile de l’obtenir.
Autres articles de la semaine :
Euthanasie clé en main
« En ce mois de mai 2023, le mois de Marie, les médias du Québec nous ont informés d’une autre triste nouvelle. L’euthanasie est tellement populaire dans notre belle province que certaines grandes maisons funéraires proposent à leurs clients l’euthanasie clé en main. »
Un Néerlandais condamné à une peine de prison avec sursis pour avoir aidé sa petite amie à se suicider
Un Néerlandais a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir aidé sa compagne à se suicider, après avoir reconnu son crime.
Trudeau reproche au premier ministre italien les décisions de son pays par rapport aux « droits LGBT »
Trudeau a de nouveau endossé le rôle d’interpellateur progressiste lors d’une récente rencontre avec le premier ministre italien Giorgia Meloni.
Ayant refusé l’avortement suggéré par les médecins, elle est aujourd’hui la mère d’un enfant de 11 mois en bonne santé
La mère d’une petite fille de 11 mois en pleine santé se dit « très reconnaissante de ne pas avoir écouté les médecins » qui l’ont encouragée à avorter son bébé à naître.
Je suis médecin. Accepterais-je une greffe d’organe pour moi-même ?
Par Heidi Klessig, docteur en médecine (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : peoplecreations/Adobe Stock
24 mai 2023 (American Thinker) — On m’a récemment demandé si j’accepterais une greffe pour moi-même. J’ai souvent abordé cette question dans mes conférences et mes vidéos sur l’éthique du prélèvement et de la transplantation d’organes.
Comme la plupart des questions, la réponse à cette question est : « Cela dépend ! ». Il existe de nombreux types de transplantations, dont certaines sont éthiques et d’autres non. Et comme les questions éthiques nécessitent un cadre moral, mes réponses sont basées sur la loi morale que l’on trouve dans les dix commandements contre le meurtre, le mensonge et le vol.
Recevrais-je une greffe de tissu ? Absolument ! Les tissus sont des éléments tels que la peau, les os, les valves cardiaques et les cornées. Les tissus sont des structures simples qui tolèrent très bien l’absence de circulation sanguine. Ils peuvent être prélevés sur un cadavre (un donneur biologiquement mort et dont l’esprit est parti) et sont tout à fait éthiques.
Le don de tissus comporte toutefois une mise en garde d’ordre éthique. Un article du LA Times a révélé que des organisations de collecte d’organes prélevaient des tissus sur les cadavres de donneurs d’organes enregistrés avant que le médecin légiste n’ait eu la possibilité de déterminer la cause du décès. Cet article fait part de la tristesse dévastatrice des familles qui n’ont pas pu tourner la page parce que leurs proches avaient signé de manière désintéressée une carte de donneur. Malheureusement, lors de l’autopsie, les corps de ces victimes sont tellement mutilés par le prélèvement de tissus que les pathologistes du laboratoire criminel sont parfois incapables de déterminer si les blessures seraient liées à de la violence domestique ayant entraîné un meurtre. Je recommande donc que personne ne soit enregistré comme donneur d’organes ou de tissus. Si vous souhaitez faire don de vos tissus, il vous suffit d’informer votre famille qu’elle peut libérer votre corps pour le don de tissus après que l’on ait répondu à toutes ses questions concernant votre décès.
1 réaction Lire la suiteLes étudiants commencent à résister à la propagande LGBT qui leur est imposée
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
29 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le collège Lakeridge dans l’Oregon a récemment rencontré un problème intéressant : des garçons arrachaient les distributeurs de tampons des murs de leurs salles de bain et les jetaient dans les toilettes. L’école a officiellement demandé aux garçons de cesser de détruire les produits menstruels gratuits qui leur sont fournis, et a donné aux parents des ressources sur « les menstruations, les produits menstruels, la sexualité et la santé » afin de les aider à expliquer à leurs enfants que les menstruations sont normales pour une « personne qui a un utérus ».
Pourquoi y a-t-il des distributeurs de tampons dans les toilettes des garçons ? La loi de l’Oregon de 2021 sur la dignité menstruelle impose à toutes les écoles publiques de fournir des produits menstruels à tous les élèves, quels que soient leur sexe, leur âge, leurs capacités et leur statut socio-économique, afin de promouvoir « l’intimité, l’inclusion, l’accès et l’éducation ». L’impact éducatif de l’installation de distributeurs de tampons dans les salles de bains des garçons est bien sûr d’informer les enfants que les garçons peuvent avoir des règles, ce qui revient à dire que les filles peuvent être des garçons.
« Chaque fois que les distributeurs sont enlevés, l’école doit consacrer du temps et des ressources pour les remettre en place afin de se conformer à la loi sur la dignité menstruelle », indique un courriel envoyé par les responsables de l’école. « Nous demandons à nos élèves de respecter les biens de l’école et d’être sensibles aux besoins de tous nos élèves ».
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Jasmine.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 mai 2023, Brisbane, Australie (LifeSiteNews) — La mère d’une petite fille de 11 mois en pleine santé se dit « très reconnaissante de ne pas avoir écouté les médecins » qui l’ont encouragée à avorter son bébé à naître.
Dans une entrevue accordée au site internet australien pour parents Kidspot, une mère de 39 ans, identifiée uniquement sous le nom de « Jodie », a déclaré qu’elle considérait sa dernière grossesse comme sa dernière chance d’avoir un enfant après de multiples fausses couches et une relation récemment rompue.
Cependant, elle raconte que ses médecins ont commencé à l’encourager à avorter en raison de prétendus handicaps.
« Ils m’ont dit qu’en raison de mon âge, de mes antécédents de fumeuse et d’autres statistiques, il y avait un risque élevé de syndrome de Down », a déclaré la nouvelle maman, ajoutant qu’elle était « furieuse » lorsque les médecins l’ont incitée à « envisager l’avortement ».
Les femmes enceintes sont souvent encouragées à avorter sur la base d’un diagnostic de trisomie 21. On estime que 60 à 90 % des bébés diagnostiqués avec ce handicap aux États-Unis sont tués dans l’utérus, et cette pratique est courante dans le monde entier. Pourtant, les personnes atteintes du syndrome de Down se décrivent en grande majorité comme heureuses et les progrès médicaux ont permis d’augmenter considérablement l’espérance de vie des personnes atteintes de cette maladie.
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