Comment on évalue, au Royaume-Uni, l’impact économique du suicide assisté et de l’euthanasie
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : George Hodan/PublicDomainPictures
La loi sur l’aide à mourir n’est pas encore passée depuis l’adoption historique du projet en novembre dernier, porté par la députée travailliste Kim Leadbeater, mais un tout récent document remue les esprits outre-Manche : il s’agit de l’étude d’impact sur l’égalité du projet de loi sur les adultes en fin de vie (Terminally Ill Adults “End of Life” Bill), publiée par le gouvernement. Autrement dit : ce que va coûter, mais surtout ce que va faire économiser au National Health Service, à l’Etat, la légalisation de l’aide médicale à mourir, c’est-à-dire du suicide assisté et de l’euthanasie des personnes « en phase terminale » qui les désirent.
Pas d’argument éthique et philosophique, mais une analyse froide et mécanique des chiffres qui a fait réagir un certain nombre de Britanniques, à commencer par « l’évêquesse » anglicane de Londres. Des millions de livres sterling contre le sacrifice de vies humaines ? Mais ce macabre matérialisme pragmatique choquera-t-il tant que cela les députés ? Nous sommes désormais à huit jours du prochain débat à la Chambre des communes.
1 réaction Lire la suiteL’acteur Liev Schreiber ne prend pas au sérieux la confusion sexuelle de son fils, disant que « ce n’est pas grave »
L'acteur Liev Schreiber.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Image : Martin Kraft (photo.martinkraft.com), license : CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons
12 mai 2025 (LifeSiteNews) — Quelques semaines après que l’acteur oscarisé Robert De Niro ait fait les gros titres pour avoir exprimé son soutien public à son fils transidentifié en l’appelant sa « fille transgenre », une autre vedette d’Hollywood a déclaré qu’il élevait lui aussi une « fille transgenre » — mais que ce n’était pas « si grave que ça ».
Selon Liev Schreiber, célèbre pour des rôles allant d’épopées historiques comme Defiance à des films de superhéros comme Wolverine, son fils de 16 ans — qui est aussi le fils de son ancienne petite amie Naomi Watts — s’identifie comme une fille nommée Kai.
Schreiber a déclaré à Variety, avant un grand gala auquel il devait assister avec Kai, qu’élever un adolescent qui s’identifie comme transgenre n’est pas très différent d’élever n’importe quel autre adolescent. Selon The Cut :
1 réaction Lire la suiteEn fait, Kai, 16 ans, n’a jamais officiellement fait de révélation de soi auprès de ses parents, a déclaré Schreiber à Variety. Elle n’a pas eu à le faire. « Kai a toujours été ce qu’elle est », a déclaré Schreiber. Le « moment le plus profond » a été celui où elle a demandé à ses parents de commencer à utiliser des pronoms différents pour elle, mais cela ne les a pas dérangés non plus. « Pour être honnête avec vous, je n’ai pas eu l’impression que c’était une grosse affaire, uniquement parce que Kai avait été si féminine pendant si longtemps », a déclaré M. Schreiber. Schreiber a donné des conseils à d’autres parents dans sa situation. « Je pense que si je devais dire quelque chose à quelqu’un qui a des problèmes avec son adolescent ou son jeune transgenre, ce serait : “Les adolescents sont un casse-tête. Ils sont difficiles”, a-t-il déclaré. “Peu importe qu’ils soient trans ou non, vous vous en sortirez” ».
Deux « philosophes » décrivent la grossesse comme une « maladie » dans le Journal of Medical Ethics...
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Il y a des articles qui passent inaperçus alors que la terre entière devrait réagir devant leur folie jusqu’au-boutiste, en tout cas, pour celui-ci, au moins la moitié de l’humanité, à savoir les femmes. Parce qu’il les dit régulièrement malades : malades d’engendrer ! Cette publication, parue dans le très officiel Journal of Medical Ethics, s’interroge en effet sur la grossesse et suggère que c’est ni plus ni moins, en fait, qu’une maladie.
L’argumentaire est fallacieux, voire ridicule. Mais il est instructif, car il éclaire le chemin parcouru depuis la mise en place de la contraception qui a décorrélé la sexualité de la procréation, et il donne à voir la trajectoire progressiste dont le transhumanisme n’est qu’un aboutissement : devenir son seul maître. La grossesse est une contrainte et une limite tout à la fois, nécessitant la contribution obligée, sur neuf mois, d’un seul sexe. En ce sens, elle est un enjeu majeur : il faut la contourner, la déborder, et auparavant, pour cela, la déprécier.
Quoi d’étonnant à ce que les deux auteurs, « philosophes », soient favorables par ailleurs à l’ectogenèse pour les hommes ou à l’utilisation des femmes en état de mort cérébrale pour porter les enfants… Le monde post-moderne veut choisir sa dépendance, dans une éternelle rébellion à son Créateur et Maître.
1 réaction Lire la suiteLe Québec a besoin de nous
Le Québec a besoin de nous. Aujourd’hui plus que jamais, notre province s’enfonce dans une culture de mort, rendue banale, technique, silencieuse.
En trois ans, l’usage de la pilule abortive a doublé au Québec. Chaque année, environ 20 000 enfants à naître sont éliminés par avortement — et maintenant, on veut que ce soit aussi simple que de se procurer un médicament en pharmacie. Bientôt, les pharmaciens, sans examen ni échographie, pourront prescrire la pilule abortive. La médecine devient un simple protocole. La vie humaine, un « produit à éliminer ».
Et comme si cela ne suffisait pas, Québec solidaire propose de rendre gratuite la contraception, avec l’appui possible de la CAQ. On justifie cette dépense publique au nom de la « santé des femmes », alors que la contraception hormonale peut entraîner des effets secondaires graves — allant jusqu’au cancer et aux troubles mentaux. Pire encore, certaines de ces contraceptions sont abortives.
Face à cette dérive, allons-nous rester silencieux ?
C’est à nous de faire quelque chose. Il ne suffit plus de dénoncer. Il faut reconstruire une culture de vie. Cela commence par des gestes concrets — comme participer ensemble à la Marche pour la Vie à Québec, le samedi 31 mai devant l’Assemblée nationale.
Soyons nombreux à y affirmer que toute vie humaine, de la conception à la mort naturelle, mérite d’être protégée.
📸 Vous n’avez pas vu passer notre compte rendu de la Marche à Ottawa du 8 mai ?
Voici un aperçu de cette journée de mobilisation :
➡️ Compte rendu
➡️ Photos & vidéos sur notre page Facebook
Enfin, permettez-moi de conclure avec cette question :
Quelle société voulons-nous léguer à nos enfants ?
Si nous voulons que le Québec redevienne une terre qui aime la vie, c’est à nous de l’incarner. Dès maintenant.
Au plaisir de vous voir le 31 mai à Québec,
Pour rappel, nous tiendrons la 2e Marche pour la vie de Québec le 31 mai prochain :
📍 Marche pour la vie à Québec
🗓 Samedi 31 mai, dès 11 h, à Québec devant l'Assembée nationale
🚍 Autobus du centre-ville et Drummondville
Départ à 7 h 30, 430 rue Sainte-Catherine Est (métro Berri-UQAM)
Arrivée à 9 h, Drummondville (au Bulk Barn, 1045 boul. René-Lévesque, Drummondville, Québec J2C 7V4)
Départ à 9 h 15, Drummondville
Arrivée à 10 h 45, Québec (Hôtel Hilton – 1100 René Levesque Est, G1R 5V2)
Contact : Brian Jenkins (438) 930-8643
🚍 Autobus de l’Ouest-de-l’Île
Départ 8 h, Pierrefonds (Église St-Thomas-à-Becket, 4320 rue Sainte-Anne)
Arrivée 11 h, Québec (Hôtel Hilton – 1100 René-Lévesque Est, G1R 5V2)
Contact : Bernie Ratneiya (438) 518-8795
🚍 Autobus de Granby
Détails à venir.
Aidez-nous à faire connaître la Marche pour la vie à Québec ! Nous comptons sur vous pour faire rayonner cette Marche dans vos milieux : églises, groupes communautaires, amis et famille. Voici une affiche 8.5 x 11 que vous pouvez imprimer :
➡️Télécharger l'affiche.
Si vous souhaitez recevoir des circulaires imprimées par la poste ou venir en chercher à nos bureaux à Montréal, n’hésitez pas à nous contacter: [email protected] / 1-855-996-2686.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
Contraception gratuite au Québec ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : torwaiphoto/Adobe Stock
Ruba Ghazal, député de Québec solidaire, a déposé le 7 mai « au nom de la santé des femmes » un projet de loi visant à rendre la contraception gratuite pour les femmes au Québec. Le projet de loi 994 est appuyé par une pétition de quelque 100 000 signatures.
Mme Ghazal invoque l’interdiction partielle de l’avortement dans plusieurs des États américains pour promouvoir son projet de loi. Selon Radio-Canada :
« Dans le contexte actuel où on voit des reculs pour les droits des femmes ailleurs dans le monde, notamment chez nos voisins du Sud, on ne peut pas juste se contenter du statu quo. On a besoin de bonnes nouvelles et d’avancées pour les droits des femmes. Et la contraception gratuite permettrait ça au Québec. »
Mme Ghazal espère que son projet de loi sera appuyé par la CAQ, le premier ministre François Legault ayant montré un certain intérêt, mitigé cependant de quelques réserves quant à la possibilité de mettre en œuvre un tel programme. Radio-Canada rapporte :
1 réaction Lire la suiteEn réponse à la première question posée par Ruba Ghazal à titre de cheffe parlementaire, en décembre, François Legault avait répondu que rendre la contraception gratuite était « une bonne suggestion », « une bonne idée », mais que le ministre de la Santé, Christian Dubé, n’avait « pas vraiment » la « marge de manœuvre » nécessaire.
M. Legault a d’ailleurs répondu sensiblement la même chose, mercredi dernier, lors de l’étude des crédits budgétaires du ministère du Conseil exécutif. « C’est quelque chose qu’on regarde » et qui mérite d’être « considéré », a-t-il dit, tout en soulignant qu’il y avait « beaucoup de demandes » en santé et services sociaux.
Habemus papam ! Léon XIV, ou la rupture avec la confusion
Le Pape Léon XIV.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Edgar Bletrán/The Pillar/Wikimedia Commons
La première apparition du pape Léon XIV au balcon de Saint-Pierre, après la proclamation de l’Habemus papam, nous a d’abord convaincu d’une chose, presque surprenante : nous avons un pape ! Le cardinal Robert Prevost s’est coulé dans la fonction — une fonction restaurée — avec une gravité empreinte de bienveillance, habillé comme un pape, parlant comme un pape, et ouvrant son discours par ces mots qui renvoient immédiatement au Christ : « La paix soit avec vous. » Notre Seigneur n’a-t-il pas envoyé ses disciples en mission en leur enjoignant de dire, dans quelque maison qu’ils visitent : « La paix soit sur cette maison » ? Et ce sont les premiers mots que Jésus a prononcés — comme l’a aussitôt rappelé Léon XIV — lui, le Bon Pasteur après sa résurrection.
Léon XIV a aussi rappelé que « l’humanité a besoin de Lui comme le pont qui lui permet d’être atteinte par Dieu et par son amour ». Lui, le Christ, le Dieu fait homme, est en effet en tant qu’homme « l’unique médiateur » entre Dieu et l’humanité. Il n’y en a pas d’autres. Il n’y a pas d’autre religion qui puisse ainsi relier l’homme à Dieu.
Léon XIV marque de nombreuses ruptures avec le pontificat précédent
Du cardinal Robert Prevost on a dit beaucoup de choses. Il était classé plutôt parmi les bergogliens, apprécié des progressistes, présenté comme préoccupé par le réchauffement climatique ou le sort des migrants. Sur ce dernier point, on peut noter en effet qu’en tant que missionnaire au Pérou envoyé par son ordre des Augustins, puis évêque de Chiclayo dans le même pays, il y a été confronté très directement. Entre 2016 et 2023, le Pérou a connu l’afflux de plus d’un million et demi de réfugiés depuis le Venezuela. Des réfugiés de culture chrétienne et catholique, des gens acculés au départ par la misère chaviste, ce communisme à la mode sud-américaine. Robert Prevost a surtout œuvré à ce qu’ils puissent vivre du fruit de leur travail, et non des subventions publiques, et c’est aussi un point important.
Est-il le pape de la « synodalité » ? Le mot a fait surface pendant sa première allocution. Mais n’oublions pas que ce mot offre l’avantage de n’avoir jamais été vraiment défini, même pendant les deux synodes qui l’ont promu. Le tout nouveau pape l’a situé dans un registre précis (après avoir déclaré à la suite de saint Augustin : « Avec vous je suis chrétien, pour vous je suis évêque ») : « Nous pouvons marcher tous ensemble vers la patrie que Dieu nous a préparée. » Cette idée de chemin vers l’éternité, véritable but de l’existence, commence déjà à être un leitmotiv des interventions du nouveau souverain pontife.
Comme ses prédécesseurs — y compris, contrairement à une fausse information qui circule, Jean-Paul II, Benoît XVI et François — Léon XIV a donné en latin la bénédiction Urbi et Orbi assortie de l’indulgence plénière. Il la prononça avec assurance et recueillement, avec une solennité qu’on avait oubliée depuis Benoît XVI, et surtout en inclinant la tête en prononçant le saint Nom de Jésus. C’est un signe qui s’ajoute à d’autres signes : la vêture, la promptitude à bénir, le retour dans les appartements pontificaux… Le matériel renvoie ici et souligne de diverses manières la tournure spirituelle que le nouveau pape a déjà donnée au pontificat.
1 réaction Lire la suiteLe Père Robert Prevost, maintenant Pape Léon XIV, dénonçait la « sympathie » des médias pour « l’avortement »
Le Pape Léon XIV.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edgar Beltrán/The Pillar/Wikimedia Commons
Note de l’éditeur : Le texte suivant est une transcription des remarques faites en 2012 par le Père Robert Prevost, aujourd’hui Pape Léon XIV, sur les défis de la diffusion de l’Évangile dans un monde où les médias sont souvent hostiles à son message salvateur.
12 mai 2025 (LifeSiteNews) — Les médias occidentaux sont extraordinairement efficaces pour susciter au sein du grand public une énorme sympathie pour des croyances et des pratiques qui sont en contradiction avec l’Évangile.
Par exemple, l’avortement, le mode de vie homosexuel, l’euthanasie.
Dans le meilleur des cas, la religion est tolérée par les médias de masse comme une chose banale et désuète lorsqu’elle ne s’oppose pas activement à des positions, sur des questions éthiques, que les médias ont adoptées comme étant les leurs.
Toutefois, lorsque des voix religieuses s’élèvent pour s’opposer à ces positions, les médias peuvent prendre la religion pour cible, la qualifiant d’idéologique et d’insensible aux soi-disant besoins vitaux des gens dans le monde contemporain.
1 réaction Lire la suiteEnquête du procureur sur l’euthanasie d’un homme souffrant d’une terrible plaie de lit acquise à l’hôpital
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shmeljov/Adobe Stock
Le 12 avril 2024, Rachel Watts a rapporté à CBC News qu’un homme quadriplégique, Normand Meunier (66 ans), est mort par euthanasie (Aide médicale à mourir ou AMM) après avoir développé une grave escarre à l’hôpital de Saint-Jérôme, au Québec. Meunier avait subi une tragique blessure à la moelle épinière en 2022. Il est décédé par euthanasie le 29 mars 2024.
Gordon Friesen, président de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie, a réagi au décès de Meunier en déclarant :
1 réaction Lire la suiteEn janvier 2024, Normand Meunier s’est rendu au service des urgences d’un grand hôpital régional de la province de Québec, la juridiction où le taux d’euthanasie est le plus élevé au monde.
Meunier se plaignait d’une infection respiratoire potentiellement mortelle qui a été traitée avec succès pendant son séjour. Pourtant, avant même d’être officiellement admis à l’hôpital, ce patient a passé 95 heures sur une civière dans le couloir des urgences ; [cette immobilité] lui a causé une grave escarre qui l’a finalement décidé à mettre fin à ses jours en consentant à l’aide médicale à mourir.
L’interdiction des « thérapies de conversion » criminalise la conception chrétienne de la repentance et du pardon
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Mercredi 7 mai 2025 (LifeSiteNews) — Au cours de la dernière décennie, une vague d’interdictions des « thérapies de conversion » a déferlé sur le monde. Promues comme des protections pour les jeunes s’identifiant comme LGBT, ces interdictions sont présentées comme criminalisant d’horribles pratiques charlatanesques, dont la « thérapie par électrochocs » et d’autres pratiques néfastes. En réalité, ces interdictions soigneusement élaborées — qui sont aujourd’hui en vigueur dans plus de vingt pays — criminalisent souvent aussi les conseils prodigués aux personnes souffrant de dysphorie de genre ou d’attirances sexuelles non désirées.
L’interdiction des thérapies de conversion est à nouveau un sujet d’actualité. Aux États-Unis, les militants LGBT accusent le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis de promouvoir cette pratique dans son rapport exposant les dangers des « soins d’affirmation du genre », qui a déjà été surnommé la « révision américaine de Cass ». En mars, la Cour suprême des États-Unis a accepté d’entendre un recours contre l’interdiction de la « thérapie de conversion » dans le Colorado. Lors des dernières élections canadiennes, un candidat conservateur a été accusé par les libéraux de soutenir la « thérapie de conversion ».
Jojo Ruba, un apologiste chrétien qui dirige l’organisation Redeeming Conversations, s’exprime ouvertement sur la question de l’interdiction des « thérapies de conversion » depuis un certain temps. Le 2 décembre 2020, Ruba a témoigné devant le Comité de la justice de la Chambre des communes du Canada sur C-6, la loi canadienne interdisant les « thérapies. de conversion ». Il a gentiment accepté de répondre aux questions de LifeSiteNews sur la pression croissante du mouvement LGBT en faveur de ces interdictions.
1 réaction Lire la suiteProtection dès la conception
Des milliers de Canadiens ont marché pour la vie dans les rues d’Ottawa, le jeudi 8 mai, lors de la Marche nationale pour la vie organisée par la Coalition nationale pour la vie, avec pour thème « protection dès la conception ».
C’est une foule joyeuse et animée sur la Colline du Parlement qui a salué des orateurs talentueux comme le Révérend Calvin Robinson, Angelina Ireland, présidente de la Delta Hospice Society, l’écrivaine Emily Stimpson Chapman.
Emily Stimpson Chapman.
C'est avec intérêt que les pro-vie assemblés ont accueilli le témoignage émouvant d'une femme du mouvement Silent No More, qui a raconté avoir eu 9 avortements avant de se convertir, ou l'avertissement d'Alex Schadenberg de la Coalition pour la prévention de l'euthanasie sur le sort qui attend les personnes âgées, malades et vulnérables si le gouvernement actuel continue à mettre en œuvre son programme mortifère, ou bien l'appel de Rod Taylor du Parti de l'héritage chrétien à combattre le « géant » des médias qui impose sa vision pervertie du monde, ou encore l'annonce de l'élection du Pape Léon XIV !
Après la marche, Campagne Québec-Vie a tenu une rencontre à l'église St. Theresa avec plusieurs participants de la marche dans une atmosphère conviviale.
À la fin de la journée, l’habituel Dîner de la Rose a rassemblé de nombreux militants et personnalités pro-vie, avec pour conférencière l’écrivaine Emily Stimpson Chapman qui a parlé de son combat contre l’infertilité et de la tentation du recours à la fécondation in vitro, une pratique où des enfants à naître sont créé de façon inhumaine, avant d’être, pour un grand nombre d’entre eux, congelés et jetés. C’est, souligne-t-elle, un enjeu inséparable de l’avortement que les pro-vie doivent également combattre. Faits divers : au cours du dîner, un individu malintentionné a déclenché la sonnette d'alarme afin de perturber l'événement... avant de se faire poursuivre par un cuisinier ! Heureusement, l'incident n'a pas dérangé outre mesure le dîner.
Le Dîner de la Rose ; le directeur suprême des Chevaliers de Colomb, Daniel Duchesne, parrain de la marche, s'adresse aux convives.
En espérant vous voir ou vous revoir lors de la prochaine Marche nationale pour la vie et à celle de Québec,
Pour la Vie,
Augustin Hamilton