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Le projet de déclaration des droits de l’Alberta reconnaît l’autorité parentale comme donnée par Dieu

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda Productions/Adobe Stock

9 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur uni d’Alberta devrait bientôt introduire une nouvelle « Déclaration des droits » qui, dans le projet actuel, comprend une disposition qui reconnaîtrait formellement les droits parentaux comme étant « donnés par Dieu ».

LifeSiteNews a récemment reçu un accès exclusif à une version préliminaire de la « Déclaration des droits de l’Alberta » de la part d’une source bien connectée avec le Parti conservateur uni (UCP) au pouvoir.

Le projet de loi comprend une section intitulée « Liberté des parents de prendre des décisions éclairées concernant la santé, l’éducation, le bien-être et l’instruction de leurs enfants ».

Le texte de la version préliminaire, qui est encore susceptible d’être modifiée, stipule que le « gouvernement de l’Alberta, au nom de ses citoyens », doit reconnaître que « la liberté des parents d’élever leurs enfants est sui generis — indépendante de la législation, sans en découler — et qu’elle précède le gouvernement ».

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Sur la possibilité de vivre dans les ruines du libéralisme

Par Georges Buscemi (Campagne Québec-Vie) — Photo : Thermos/Wikimedia Commons

En lisant l’article « Sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme » de Nicolas Langelier, publié dans le magazine Nouveau Projet de l’automne 2024, il m’est immédiatement venu à l’esprit le passage apocalyptique de l’Évangile de Saint Luc, où les apôtres, admirant la splendeur du Temple de Jérusalem, ont entendu Jésus leur annoncer d’une manière qui pouvait sembler laconique et distante à leurs oreilles : « Les jours viendront où, de ce que vous voyez, il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée. » (Luc 21, 6) Ce faisant, le Christ annonce la fin des temps, en décrivant une série de bouleversements cataclysmiques, tant politiques qu’écologiques, jusqu’à ce que la dernière scène de l’Histoire se déroule : « Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et grande gloire. » (Luc 21, 27)

Bien sûr, Langelier n’est pas le Christ, mais il est difficile de ne pas entendre, dans ce sombre article aux relents de feu et de soufre accompagné de l’illustration « Le grand jour de Sa colère » de John Martin, un écho lointain et distordu des paroles de Jésus dans le contexte d’un Québec postchrétien. Né en 1973, Langelier appartient à la génération X, qui a grandi dans l’ombre de celle, plus influente et plus affirmée, des Boomers.

Après l’échec du rêve indépendantiste des Boomers, Langelier et sa génération ont cherché un nouveau cadre pour donner un sens à leur existence. En 2011, il cofonde l’Atelier 10, sorte de think tank de gauche, qui, l’année suivante, donne naissance à Nouveau Projet, un semestriel cherchant à tracer les contours d’un « nouveau projet » pour le Québec d’après la Révolution tranquille. Le nationalisme ayant échoué à fédérer durablement, une nouvelle cause devait émerger.

Ce nouveau projet, semble-t-il, consiste à vivre en harmonie avec l’environnement, faisant de l’écologie pour la génération X et ses héritiers ce que le nationalisme représentait pour les Boomers et leurs prédécesseurs : un eschaton, c’est-à-dire à la fois une fin des temps et un but ultime, destiné à remplacer la transcendance chrétienne d’autrefois. Le recul de la religion chrétienne a laissé un vide, et l’écologie, avec sa promesse d’un monde meilleur, offre un nouveau but à atteindre, capable de rassembler un monde fragmenté et individualiste.

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Le programme d’euthanasie du Canada est celui qui se développe le plus rapidement au monde

Par le Dr Paul Saba (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Lorsque le Canada a légalisé l’aide à mourir (suicide assisté, euthanasie) en 2016, cela ne devait concerner qu’un « petit nombre » de patients atteints d’une maladie en phase terminale et n’ayant plus que quelques jours à vivre. Toutefois, en date du 31 décembre 2023, environ 60 000 Canadiens avaient mis fin à leur vie grâce à l’aide médicale à mourir (à la fin de 2022, il y avait 44 958 décès médicaux assistés).

Le Canada est le pays où l’aide à mourir, le suicide assisté, l’euthanasie connaissent la croissance la plus rapide parmi tous les pays où ils ont été légalisés.

Depuis mars 2021, la loi a été étendue aux personnes handicapées qui ont encore des dizaines d’années à vivre et, en 2027, les personnes souffrant uniquement de maladies mentales pourront bénéficier d’une aide au suicide.

En octobre 2024, dans la province de Québec, des directives anticipées seront disponibles pour les personnes souffrant d’un déclin cognitif.

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Une femme handicapée est critiquée parce qu’elle a eu un enfant : « Je suis tout à fait capable de prendre soin de ma fille »


Sydney Anne Barrett et sa fille.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : the.annegirl/Instagram

Sydney Anne Bennett, connue sous le nom de « Annie Girl » sur les réseaux sociaux, est atteinte d’un trouble neurologique fonctionnel (TNF), qui affecte la façon dont son cerveau communique avec son système nerveux central. Elle a récemment dénoncé les attaques dont elle a fait l’objet en raison de sa décision d’avoir un enfant.

Sur son site internet, Mme Bennett explique : « En moins d’un an, je suis passée d’une santé parfaite à un fauteuil roulant la plupart du temps. Cela a été un long chemin de confiance dans le Seigneur pour en arriver là, mais il est fidèle. J’espère pouvoir vous encourager ici et vous donner plus de confiance, de joie et d’espoir dans votre maladie chronique ou avec votre aide à la mobilité. Votre vie n’est pas terminée lorsque vous devenez handicapé. J’en suis la preuve vivante. »

Sur son compte Instagram, Bennett a partagé que depuis qu’elle a un bébé, elle reçoit des commentaires discriminatoires. « Nous sommes en 2024 et les gens ne sont toujours pas prêts à ce qu’une femme handicapée ait un bébé », écrit-elle. Elle a ensuite partagé un échantillon des commentaires horribles qu’elle a reçus.

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« Ils nous envoient des missionnaires du mal » : des évêques déplorent la campagne homosexuelle occidentale en Afrique

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock

29 août 2024 (LifeSiteNews) — Les archevêques catholiques africains tirent la sonnette d’alarme au sujet des efforts occidentaux visant à endoctriner les Africains dans des styles de vie homosexuels, ce qu’un prélat décrit comme un nouveau type de prosélytisme — un prosélytisme « diabolique ».

Des ecclésiastiques de premier plan de toute l’Afrique subsaharienne ont dénoncé, dans des entretiens exclusifs avec le National Catholic Register, les tentatives subversives d’ONG occidentales, de travailleurs humanitaires et même de touristes visant à promouvoir l’idéologie LGBT et à inciter les Africains à se livrer à des activités homosexuelles pour de l’argent.

« Autrefois, les missionnaires allaient partout pour prêcher l’Évangile », a déclaré l’archevêque Renatus Leonard Nkwande de Mwanza, en Tanzanie. Sauf qu’aujourd’hui, déplore-t-il, l’Occident « nous envoie des missionnaires du mal ».

Ces efforts sont suffisamment répandus pour que les archevêques du Kenya au Cameroun et du Ghana à la Tanzanie témoignent tous de problèmes similaires, qui incluraient l’endoctrinement LGBTQ dans les salles de classe et les soirées sexuelles entre homosexuels.

L’archevêque Charles Palmer-Buckle de Cape Coast, au Ghana, a décrit au Register comment des touristes attirent des garçons avec de l’argent pour les entraîner dans des activités homosexuelles.

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Poutine approuve un visa russe pour les Occidentaux cherchant à fuir « l’idéologie néolibérale destructrice »


Vladimir Poutine.

Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rumble

2 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Une initiative lancée par le gouvernement russe cherche à attirer les Occidentaux conservateurs qui en ont assez de « l’idéologie néolibérale destructrice » pour s’installer dans le pays.

Le 19 août, le président Vladimir Poutine a signé le visa pour les valeurs partagées (SVV) afin de permettre aux étrangers cherchant un « soutien humanitaire » de résider temporairement en Russie. Cette mesure n’exige pas des demandeurs qu’ils aient une connaissance de l’histoire russe ou qu’ils parlent la langue russe.

Le programme, qui commencera à accepter des candidats en septembre, s’inscrit dans le cadre d’une initiative plus vaste intitulée « Move to Russia » (déménager en Russie) et destinée aux Occidentaux. Un compte X et un site internet conçu pour les anglophones semblent faire partie de son plan de marketing.

Un communiqué de presse publié par l’agence de presse russe indique que le gouvernement publiera bientôt une liste des pays qui « imposent des attitudes malsaines à leurs citoyens ». Des visas de trois mois devraient être approuvés pour les personnes originaires de ces pays dans les prochains jours.

Andrew Henderson, animateur de la chaîne YouTube Nomad Capitalist, a fourni une analyse du SVV, notamment de son fonctionnement et des implications économiques et politiques que les personnes intéressées par ce visa devraient connaître.

Le SVV semble s’inscrire dans le cadre d’une vaste campagne anti-woke menée par le gouvernement russe sous la direction de M. Poutine, qui n’a pas hésité à exprimer son mépris pour ce qu’il a appelé l’Occident « satanique ».

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Tucker Carlson se dit désormais préoccupé par la pilule contraceptive et affirme que son point de vue est en train de « changer radicalement »

Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/Adobe Stock

26 août 2024 (LifeSiteNews) — Tucker Carlson a admis que son point de vue sur la pilule contraceptive était en train de « changer radicalement » au cours d’un long entretien vidéo avec le Dr Casey Means, une activiste de la santé, qui a déclaré que « la pilule » a été le premier médicament « de tous les temps » que les gens « prenaient pendant plus de deux semaines et qui ne guérissait pas le problème immédiatement ».

En d’autres termes, la « pilule » a été le premier produit de l’industrie pharmaceutique qui a transformé une partie de la population américaine en clients à long terme, réorientant la grande majorité de l’industrie avide de profits vers la « gestion » des maladies, une activité bien plus rentable pour Big Pharma, au détriment des vrais remèdes.

Big Pharma ne cherche pas à guérir ; elle vous maintient malade tout en gérant votre état de santé. La refonte de l’industrie a commencé avec les contraceptifs hormonaux il y a 64 ans.

« Les pilules contre les maladies chroniques n’existaient pas avant 1960 », fait remarquer Means. « Zéro pour cent du projet médical était consacré aux maladies chroniques. »

« La première a été la pilule contraceptive », a ajouté Means, précisant qu’il s’agissait de la première pilule que l’on prenait pendant plus de quelques semaines et qui ne guérissait pas le problème immédiatement. « La toute première ! »

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Les médias glorifient le célèbre avorteur qui considère la grossesse comme une « maladie »


L'avorteur Warren Hern.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image : capture d'écran vidéo/PBS News

27 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Dr Warren Hern tue des bébés à terme dans l’utérus depuis des décennies. Beaucoup des enfants qu’il démembre pourraient survivre en dehors de l’utérus. Dans son livre Abortion Practice publié en 1990, le Dr Hern note que la destruction des corps des bébés dans l’utérus à 30 semaines — ou même à 22 ou 25 semaines — peut être un travail difficile. « Les sensations de démembrement passent à travers les forceps comme un courant électrique », écrit-il. La vie commence dès la conception ; pour des milliers de personnes, elle s’arrête à la clinique de Hern à Boulder, dans le Colorado.

Hern est l’un des seuls avorteurs à accepter de pratiquer des avortements tardifs. Pour cette raison, il a été acclamé par la presse — surtout depuis la chute de l’arrêt Roe v. Wade. L’activité de Hern a augmenté d’environ 50 % depuis l’affaire Dobbs, et un avortement tardif à sa clinique coûte environ 6 000 dollars. Un portrait élogieux publié en 2023 par The Atlantic indique qu’à plusieurs reprises, des bébés sont sortis vivants de l’utérus malgré tous les efforts déployés par M. Hern :

Une ou deux fois, lors d’une intervention à 15 ou 16 semaines, il a utilisé des forceps pour retirer un fœtus dont le cœur battait encore. Le cœur n’a battu que quelques secondes avant de s’arrêter. Mais longtemps après, une vision de ce fœtus réveillait Hern de son sommeil. Il pouvait voir, dans son esprit, le corps de l’enfant de quelques pouces de long et son cœur, qui battait, battait, battait.

Aucun de ces détails n’apparaît dans un profil récent, publié par le Los Angeles Times. L’article, rédigé par Robin Abcarian, est un reportage flatteur destiné à présenter l’avortement tardif — qui horrifie encore la plupart des Américains — comme une œuvre de bienfaisance. Le titre : « Warren Hern est l’un des rares médecins pratiquant des avortements tardifs dans le pays. C’est ce qui le motive ». Hern a aujourd’hui 86 ans, mais il est toujours en activité. Abcarian souligne les nombreuses menaces auxquelles il a été confronté au fil des ans, ainsi que le harcèlement verbal dont il a fait l’objet. Elle rappelle son amitié avec George Tiller, l’avorteur clandestin assassiné à Wichita en 2009.

« Il n’est pas étonnant que Hern affiche son mépris pour les opposants à l’avortement », écrit Mme Abcarian, sans se demander — même brièvement — pourquoi quelqu’un pourrait s’opposer à ce travail difficile, qui consiste à démembrer des bébés presque à terme et à reconstituer leurs corps comme des puzzles sanglants pour s’assurer qu’aucun membre n’est resté dans l’utérus. Elle note qu’il sort un mémoire — intitulé sans hésitation « L’avortement à l’âge de la déraison » — et passe en revue les détails désormais bien connus des décennies qu’il a passées dans l’industrie de l’avortement.

Elle note, avec admiration, que Hern « n’a pas peur des choses difficiles » — les choses difficiles étant que l’avortement tardif implique la destruction d’un enfant dans l’utérus :

« Toute notre expérience évolutive consiste à prendre soin des petites créatures sans défense, y compris les bébés humains », a-t-il déclaré. « C’est le problème bioculturel central de cette question ».

Récemment, il m’a raconté qu’un jeune médecin qu’il formait s’était senti obligé de quitter la salle d’opération lors d’une intervention sur une femme enceinte de 34 semaines. « Je lui ai dit qu’il n’y avait rien de mal à ressentir cela ».

Il lui est arrivé de devoir se recueillir en privé après une intervention.

Pendant des décennies, Hern a défendu la position iconoclaste selon laquelle la grossesse n’est pas différente de la maladie. Dans presque tous les cas, l’accouchement est bien plus dangereux que l’avortement.

« La grossesse n’est pas un état bénin », écrit-il. « Elle peut vous tuer. » Il cite le médecin français du XVIIe siècle François Mauriceau qui décrit la grossesse comme une « maladie de neuf mois ».

« Le traitement de choix de la grossesse est l’avortement, à moins que la femme ne veuille mener sa grossesse à terme et avoir un bébé », conclut-il. « C’est un point de vue odieux pour ceux qui croient que le but des femmes, à part donner du plaisir aux hommes et faire le ménage, est d’avoir autant de bébés que possible ».

La logique est profondément tordue, mais elle a une sorte de sens malsain : si la grossesse est une maladie, alors l’avortement est un soin de santé. Si la grossesse est une maladie, alors le bébé est une tumeur qu’il faut enlever. La plupart des médecins traitent l’infertilité comme un problème de santé ; pour Hern, c’est la grossesse qui est la maladie. Il ne s’agit pas d’une hyperbole — comme l’a noté Live Action, Hern a écrit que les êtres humains sont un « cancer planétaire » que l’avortement peut traiter : « L’espèce humaine est un exemple d’écotumeur maligne, une prolifération incontrôlée d’une seule espèce qui menace l’existence d’autres espèces dans leurs habitats ».

Et malgré ses spasmes de conscience momentanés à la vue d’un bébé en morceaux, il dit à Abcarian qu’il trouve toujours de la « joie » dans son travail. « Je l’adore », lui a-t-il dit. Le but de ce portrait est de faire en sorte que l’Amérique l’aime aussi.

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Un pasteur canadien est fier d’avoir payé plus de 300 000 $ d’amendes covid pour avoir refusé de fermer son église


Henry Hildebrandt.

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X

28 août 2024 (LifeSiteNews) — Le pasteur canadien Henry Hildebrandt, qui a gardé son église ouverte pendant le COVID malgré les mandats, a récemment fini de payer un montant stupéfiant de 339 005 $ d’amendes, mais a déclaré que la somme était un « petit prix à payer » pour valider l’engagement de son église aux principes sur lesquels « le Canada et les États-Unis ont été fondés ».

« Nous venons de payer au procureur général de l’Ontario notre dernière amende — 65 005 $ hier + 274 000 $ plus tôt — pour nous être rassemblés pour le culte, pour avoir fait ce qui était biblique et constitutionnel », a écrit Hildebrandt sur X le 24 août.

« Nous avons refusé de vivre dans le mensonge, et la vérité est désormais connue de tous, Dieu soit loué ! Merci à tous pour votre soutien ! »

Hildebrandt, qui est le pasteur principal de l’Église de Dieu à Aylmer, en Ontario, a inclus une vidéo dans son annonce, réitérant que son refus d’accepter les mandats provinciaux du COVID était simplement sa façon de faire ce que « la Bible nous ordonne de faire : ne pas abandonner nos assemblées ».

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Le projet de déclaration des droits de l’Alberta inclurait le « droit à la vie » dès la « conception »

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alexscuccato/Wikimedia Commons

29 août 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur unifié (UCP) de la province de l’Alberta devrait bientôt introduire une nouvelle « Déclaration des droits », dont une version actuelle inclut le « droit à la vie » à partir de la « conception, la gestation dans l’utérus ».

LifeSiteNews a reçu une copie d’une version préliminaire de la « Déclaration des droits de l’Alberta » de la part d’une source qui a demandé à ne pas être nommée mais qui est bien connectée avec l’UCP au pouvoir. LifeSiteNews a pu confirmer l’authenticité de la version préliminaire du projet de loi grâce à une deuxième source de haut niveau au sein de l’UCP.

Le texte du projet, qui est susceptible d’être modifié, comprend une section exclusivement consacrée au « droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur ».

« Personne ne sera privé de son droit à la vie, à la liberté, à la propriété et à la possession, ni d’aucun autre de ses droits, sans avoir été préalablement entendu et jugé dans un procès conforme aux lois ; il ne sera pas non plus jugé deux fois pour la même cause », peut-on lire dans la version préliminaire.

« Toutes les personnes vivantes qui se trouvent sur le territoire de l’Alberta ont le droit à la vie, donné par Dieu. Le terme “personne vivante” comprend toutes les personnes à tous les stades de la vie, de la conception, la gestation dans l’utérus, à la naissance et tout au long de la vie jusqu’à la mort naturelle ».

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