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Kamala et sa grand-mère


Kamala Harris.

Par Campagne Québec-Vie — Image : capture d’écran vidéo/X

Kamala Harris a évoqué avec fierté l’engagement de sa grand-mère en Inde, où cette dernière se rendait dans des villages ruraux pour prêcher au moyen d’un mégaphone sur l’importance des « soins de santé reproductive ». Ce terme, dans le discours politique contemporain, est généralement compris comme incluant la contraception et l’avortement.

Chez Campagne Québec-Vie (CQV), nous sommes profondément préoccupés par ce genre de témoignages. Ce qui est présenté comme un « soin » cache souvent des pratiques qui, au lieu de protéger la vie humaine, la détruisent. La promotion de l’avortement et de la contraception dans des communautés vulnérables est une tragédie morale qui va à l’encontre du respect de la dignité humaine.

La description de Kamala Harris souligne la propagation de ces idéologies à travers le monde sous couvert de « santé reproductive », y compris dans des villages ruraux d’Inde où les femmes et les familles sont souvent dans des situations socio-économiques précaires. Loin de fournir des solutions respectueuses de la vie et du bien-être des familles, ces programmes tendent à imposer des normes occidentales qui favorisent l’avortement comme une solution à la pauvreté.

Nous croyons fermement que les véritables solutions résident dans le soutien aux familles, la promotion de la culture de la vie, et la défense des droits des plus vulnérables, y compris les enfants à naître. Loin d’imposer des solutions destructrices, les initiatives devraient viser à éduquer et à soutenir les familles dans la dignité et le respect de la vie humaine à toutes ses étapes. Kamala Harris et d’autres chefs doivent reconnaître que les politiques qui favorisent l’élimination de la vie innocente sous couvert de la « santé reproductive » ne répondent pas aux besoins fondamentaux des communautés.

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Grande victoire pro-vie à St. Catharines

Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : vecstock

21 août 2024

Quelle merveilleuse victoire le mouvement pro-vie vient de remporter à St. Catharines, en Ontario !

Un règlement municipal tyrannique visant à censurer les discours pro-vie dans toute la ville de St. Catharines a été abrogé !

Les conseillers municipaux ont reconnu que le règlement, tel qu’il était rédigé, ferait face à de puissantes contestations constitutionnelles et ont voté en faveur de son abrogation.

Nous savons que ce n’est qu’un sursis temporaire. Les ennemis de la liberté d’expression se regrouperont et lanceront une nouvelle attaque bien assez tôt.

Mais en attendant, célébrons et rendons grâce à Dieu pour cette victoire.

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Elon Musk : De héros écologique à paria de la liberté d’expression


Elon Musk.

Par Campagne Québec-Vie — Photo : Justin Pacheco/Wikimedia Commons

L’acharnement contre Elon Musk dans les médias a pris une tournure particulièrement virulente depuis qu’il a acquis Twitter (maintenant X) et rétabli une certaine liberté d’expression sur la plateforme, un geste que certains individus et groupes influents ne semble pas lui pardonner, notamment à l’approche des élections américaines. Longtemps encensé pour son rôle de pionnier écologique avec Tesla, Musk est désormais la cible de nombreuses critiques, principalement en raison de son opposition à la censure sur les réseaux sociaux et de sa volonté de défendre des voix conservatrices marginalisées.

Cette volte-face médiatique est révélatrice de la tolérance limitée des élites pour la dissidence, malgré leurs discours en faveur de la « liberté d’expression ». Le soutien de Musk à un discours pluraliste a provoqué une véritable chasse aux sorcières à son encontre, surtout dans le contexte d’une campagne électorale où les médias préfèrent maintenir un récit unilatéral.

Bien que la vie personnelle de Musk, tout comme celle de Donald Trump, puisse prêter à controverse et ne soit pas un modèle à suivre, il faut reconnaître que Musk aborde des questions essentielles, notamment la crise démographique. Dans plusieurs déclarations, Musk a exprimé son inquiétude face à la baisse dramatique des taux de natalité dans le monde, affirmant que le déclin démographique représente une menace pour la civilisation elle-même. Cette position va à l’encontre du discours dominant sur la surpopulation, soutenu par des figures telles que Bill Gates, et souligne la nécessité d’encourager la croissance familiale et la natalité.

L’acharnement actuel contre Musk, autrefois célébré par ces mêmes médias, montre clairement que ceux-ci ne tolèrent pas les voix dissidentes. Tant qu’il soutenait les idéaux écologiques progressistes, il était un héros. Mais en permettant la libre expression sur X, il est devenu un paria. Ce double standard démontre que la liberté d’expression est trop souvent conditionnée par les intérêts politiques et économiques des élites.

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La séparation de l’Église et de l’État est un péché : voici pourquoi


Le baptème de Clovis par François Louis Dejuinne.

Par Matthew McCusker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : G. Garitan/Wikimedia Commons

Voici la sixième partie d’une série consacrée à la véritable nature de la liberté humaine. 

La première partie traitait de la liberté naturelle de l’homme, en vertu de laquelle il est libre de choisir sa manière d’agir. La deuxième partie a examiné la liberté morale, par laquelle l’homme agit librement en accord avec sa propre nature. La troisième partie a exploré les façons dont Dieu nous assiste, afin que nous puissions atteindre la liberté morale. La quatrième partie explique comment les lois de l’État peuvent aider l’homme à atteindre la vraie liberté. La cinquième partie traite de la nature du libéralisme et de son incompatibilité avec la foi catholique.

22 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Ce titre peut sembler choquant pour certains lecteurs. Beaucoup d’entre nous ont grandi sous des systèmes politiques qui consacrent la séparation de l’Église et de l’État dans la loi constitutionnelle, ou qui la considèrent comme positive pour la société.

Cependant, ce titre reflète l’enseignement de l’Église catholique tel qu’il nous a été transmis par les pontifes romains. Cet enseignement a été expliqué avec une clarté et une précision particulières par le pape Léon XIII dans sa lettre encyclique Immortale Dei, « De la constitution chrétienne des États », et dans Libertas, « De la liberté humaine ».

La redécouverte de cette doctrine nous aidera à comprendre bon nombre des problèmes auxquels l’Occident moderne est confronté. Nous savons que quelque chose a mal tourné dans notre société : l’avortement, la redéfinition du mariage, le transgenrisme, la montée en flèche de la criminalité, l’augmentation du taux de suicide, les guerres sans fin et bien d’autres symptômes d’une civilisation en plein effondrement.

Selon les papes, c’est ce qui arrive inévitablement à une société qui tente de vivre sans Dieu et sans la révélation divine qu’il a confiée à son Église.

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Richard Martineau : l’opposition contrôlée et le déni de la solution divine

Par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : QUB Radio/YouTube, Wikimedia Commons

Dans son article intitulé Le club des violeurs, Richard Martineau endosse une fois de plus son rôle habituel de critique du statu quo, tout en demeurant parfaitement intégré au système qu’il prétend dénoncer. Ce rôle, qu’on pourrait qualifier d’« opposition contrôlée », consiste à donner une voix aux dissidents et aux gens frustrés par certains excès du système en place (p. ex. Wokisme, propagande LGBT, etc.). Martineau donne l’impression de se tenir aux côtés des dissidents et des frustrés. Pourtant, son rôle est bien celui d’une soupape de sécurité : il permet aux mécontents d’exprimer leur frustration, mais une fois leur colère exprimée, rien ne change. Le système continue à ignorer ces voix, et les excès qu’il dénonce se poursuivent sans relâche. C’est précisément pour cette raison que Richard Martineau reste en poste depuis tant d’années : il canalise la colère sans jamais menacer le véritable pouvoir.

Cette semaine, Martineau reprend son jeu habituel, oscillant entre athéisme déclaré et fascination pour Dieu. Il déplore l’absence de Dieu, tout en laissant entrevoir un certain regret, voire un désir caché qu’Il existe. Ce strip-tease intellectuel sert à attirer à la fois des lecteurs athées, qui se reconnaissent dans son rejet de la religion, et des lecteurs croyants, qui gardent l’espoir de le voir un jour se convertir. Après tout, pourquoi parlerait-il tant de Dieu s’il n’était pas profondément fasciné par la question ? Ce double jeu lui permet de séduire un large public, tout en restant fidèle à son rôle de rebelle domestiqué.

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« Elle » a raison d’avoir peur : quand l’idéologie du genre disloque l’âme et le corps

Par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash

L’article du Devoir « “Elle” a peur » aborde les vives critiques que le magazine « Elle » a reçues pour avoir inclus deux transgenres parmi ses « huit femmes canadiennes extraordinaires » et la reculade d'« Elle » face audites critiques. L'article du Devoir pourfend les contempteurs réactionnaires d'« Elle » qui rejettent le genre et défendent la différence sexuelle. Bien que l'article s'apparente à un plaidoyer pour plus de liberté individuelle et une défense de la fluidité de genre, sa position mérite une réflexion critique, car elle repose sur une idéologie dangereuse aux conséquences anthropologiques sérieuses.

La dislocation corps-âme : une aliénation profonde

Le discours promouvant l’idéologie du genre — qui dissocie de plus en plus le corps du ressenti personnel — pose un risque fondamental pour la compréhension de la nature humaine. Cette idéologie soutient que le corps n’a pas de signification intrinsèque et que l’« identité de genre » (si on se considère comme homme ou femme) est uniquement déterminée par la subjectivité de chacun. Mais cette séparation entre l’âme et le corps, poussée à l’extrême, entraîne une perte du sens profond de ce que signifie être humain.

Lorsque la biologie, pourtant porteuse de vérités objectives sur la sexualité humaine, est totalement écartée, il devient alors impossible de fonder une morale cohérente. Si l’on accepte que l’âme et le corps soient si disjoints que le corps n’a plus de rôle à jouer dans l’identité, la notion même de nature humaine est éclipsée. La morale, issue de cette nature — ce que l’on appelle la loi naturelle — devient alors une construction arbitraire.

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Le cardinal Burke condamne l’idéologie du genre comme une « attaque contre la raison et la nature »


Le Cardinal Burke.

Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Our Lady of Guadalupe Shrine/YouTube

21 août 2024, Northfield, Massachusetts (LifeSiteNews) — Le cardinal Raymond Burke a décrit l’idéologie du genre et le changement de sexe comme « une attaque contre la raison » et « contre la nature ».

S’adressant au Thomas Aquinas College, une institution catholique d’arts libéraux avec laquelle le cardinal Burke entretient de bonnes relations, le cardinal américain s’est exprimé sur l’idéologie du genre et les attaques contre la vie familiale.

« Aujourd’hui, l’attaque porte sur la nature elle-même ainsi que sur la raison », a-t-il déclaré. « Par exemple, dire que je peux changer ma nature, que je suis né homme et que je peux, par le biais de divers produits chimiques et de mutilations, devenir une femme — c’est une attaque contre la raison, contre la nature ».

Le cardinal Burke, qui a occupé des fonctions clés au sein de la Curie romaine pendant une trentaine d’années, a appelé les catholiques à proclamer les enseignements de la foi. « L’Église doit donc continuer à enseigner les doctrines de la foi dans toute leur clarté, ce qui nous amènera à nous poser des questions sur la loi naturelle, sur le bon ordre qui est inscrit dans notre nature humaine et que nous devons respecter », a-t-il expliqué.

Un tel rôle, a noté le cardinal Burke, permet de souligner « l’importance de l’éducation telle qu’elle est dispensée au Thomas Aquinas College », cet établissement d’enseignement supérieur catholique qui existe depuis 53 ans et dont le programme d’études est centré sur les chefs-d’œuvre des grands auteurs.

Cette étude de la foi catholique et de la civilisation occidentale « nous permet de voir ces questions les plus fondamentales, qui ont trait à la loi naturelle, qui ont trait à ce que nous sommes en tant qu’êtres humains », a indiqué le cardinal Burke.

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Des centaines de bébés survivent à l’avortement et sont abandonnés à la mort au Canada, mais personne ne semble s’en soucier

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : standret/Adobe Stock

23 août 2024 (LifeSiteNews) — Au Canada, pas un seul dirigeant fédéral ne discutera de l’avortement — sauf pour affirmer leur soutien au fœticide sous toutes ses formes. Ainsi, il n’y a pas eu de réponse à une nouvelle étude déchirante menée par des statisticiens médicaux de l’Université de Montréal qui a révélé qu’un bébé sur quatre avorté à 23 semaines de gestation au Québec naît vivant. L’une des « complications » des avortements tardifs est connue sous le nom de « naissance vivante », et les « taux de naissance vivante » après un avortement ont augmenté au Québec, surtout pour les avortements entre 20 et 24 semaines.

L’étude québécoise a révélé que plus de 11 % des bébés avortés au cours du deuxième trimestre entre 1989 et 2020 sont nés vivants après la tentative d’avortement, sur la base d’une étude portant sur 13 777 avortements pratiqués entre 15 et 29 semaines. L’étude a révélé que 90 % de ces bébés sont morts dans les trois heures, et LSN a rapporté le 6 août que « seuls 24,5 % des bébés nés vivants ont été admis à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN), tandis que 5,5 % seulement ont reçu des soins palliatifs ». Notamment, le taux de bébés nés vivants après un avortement est passé à plus de 20 % entre 2011 et 2021.

Selon les auteurs de l’étude : « Au Québec, la naissance vivante est définie comme la présence de tout signe de vie, y compris la respiration, les battements de cœur, la pulsation du cordon ombilical ou les mouvements musculaires, chez un fœtus retiré de sa mère, que le cordon soit coupé ou non ou que le placenta soit attaché ou non. » Ils ont conclu que les taux de naissance vivante après des tentatives d’avortement « étaient les plus élevés à 23 semaines de gestation (27,0 pour 100 avortements), suivis par 22 semaines (26,7 pour 100 avortements) et 21 semaines (22,9 pour 100 avortements) ». Les auteurs ont noté une tendance étrange, rapportant que la probabilité qu’un bébé survive à un avortement a en fait augmenté entre 1989-2000, où elle était de 4,1 %, et 2011-2021, où elle était de 20,8 %.

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La démission de Fitzgibbon : une opportunité pour un renouveau fondé sur les valeurs essentielles du Québec


Pierre Fitzgibbon.

Par Campagne Québec-Vie — Photo : TVA Nouvelles/YouTube/Wikimedia Commons

La démission de Pierre Fitzgibbon cette semaine est révélatrice d’un malaise plus profond au sein du gouvernement Legault, un gouvernement qui montre des signes d’usure et d’incohérence. Alors que ce départ laisse un vide important au sein de l’équipe gouvernementale, il ouvre également la porte à une réflexion plus large sur la direction politique du Québec. Chez Campagne Québec-Vie (CQV), nous croyons qu’un véritable renouveau pour le Québec ne peut se faire sans un retour à des valeurs fondamentales et transcendantes, basées sur le respect de la vie humaine, de la famille et de la dignité de chaque personne.

Le gouvernement actuel, en se concentrant presque exclusivement sur des projets économiques, tels que ceux portés par Fitzgibbon, a négligé des questions essentielles touchant à l’âme même de la société québécoise. La famille, par exemple, n’est pas seulement une institution sociale, mais le fondement de la cohésion sociale et du bien commun. CQV défend une vision où la protection de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi que les droits des parents dans l’éducation morale et religieuse de leurs enfants sont au centre des politiques publiques.

Par ailleurs, l’approche centralisée du gouvernement, avec une concentration du pouvoir décisionnel dans les mains de quelques ministres, semble avoir laissé les régions du Québec à l’écart. CQV propose une décentralisation qui permettrait aux communautés locales d’assumer un rôle plus important dans la gestion de leurs ressources et de leur développement, tout en respectant les talents et les besoins propres à chaque région.

Enfin, un renouveau durable pour le Québec nécessite une reconnexion avec la transcendance. Dieu et les valeurs spirituelles ne doivent pas être écartés du débat public sous prétexte de laïcité. La dignité humaine, enracinée dans une perspective transcendante, est la clé d’une société véritablement juste et prospère.

La démission de Fitzgibbon appelle donc à une réflexion sur l’avenir du Québec, où les valeurs portées par CQV sont essentielles pour bâtir un nouveau régime durable et respectueux des fondements moraux et spirituels de la société.

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La fin de l’entente NPD-Libéral : un moment décisif pour le Canada, mais sans grand espoir pour la protection de la vie


À gauche, Justin Trudeau, à droite Jagmeet Singh.

Par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : Presidencia de la República del Ecuador/Flickr/Wikimedia Commons/Yvonne Bambrick/Flickr/Wikimedia Commons

La récente rupture de l’entente entre Jagmeet Singh, chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), et les libéraux de Justin Trudeau marque un tournant important dans la politique canadienne. Jagmeet Singh s’est distancié des libéraux, se positionnant stratégiquement pour potentiellement faire tomber le gouvernement minoritaire de Trudeau lors d’un vote de censure. Bien que ce bouleversement puisse redessiner le paysage politique, il est crucial de rappeler que ni les libéraux ni le NPD n’offrent de véritable espoir aux citoyens soucieux de la protection de la vie humaine.

Une position unifiée contre la vie

Il est bien connu que ni le NPD ni le Parti libéral ne tolèrent la présence de députés pro-vie dans leurs rangs. Depuis plusieurs années, ces deux partis ont systématiquement exclu toute voix dissidente sur la question de l’avortement. Justin Trudeau a imposé une politique rigide obligeant les candidats et députés à soutenir une position pro-avortement, interdisant ainsi toute candidature pro-vie lors des élections de 2015 et 2019. Le NPD sous la direction de Jagmeet Singh a suivi la même ligne dure, refusant catégoriquement de laisser une place aux députés pro-vie, consolidant une politique favorable à l’avortement et à l’euthanasie.

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