Ne vous laissez pas tromper
Au Québec en ce moment, on n’en finit plus de parler de la loi 2, c’est-à-dire d’un projet de loi gouvernemental visant à réformer le système de santé québécois, notamment la manière de rémunérer les médecins. Les manifestations se multiplient, les récriminations fusent. Sauf que cette loi, qui a certainement ses défauts comme elle a sûrement quelques mérites, n’est pas celle qui devrait réellement capter notre attention. Car une loi encore plus fondamentale a également été proposée dernièrement : la loi no 1, mieux connue sous le nom de « Constitution du Québec ».
Il est normal qu’un peuple distinctif comme le peuple québécois se dote d’une constitution écrite. Le problème, c’est que cette constitution menace, de plusieurs manières, l’avenir de cette même nation.
- Ce projet de loi affirme la « liberté » d’avorter, inscrivant ainsi le meurtre des enfants à naître parmi les valeurs fondamentales du Québec ! Non seulement est-ce une injustice morale du plus haut niveau que de mettre à mort un être humain innocent de tout crime, mais, par cette inclusion de l’avortement comme « liberté » fondamentale, le Québec cautionne sa disparition démographique — curieux pour une nation bâtie sur des familles de 12, 15, 20 enfants et qui affiche aujourd’hui un taux de fertilité pathétique d’environ 1,33 enfant par femme.
- Ce projet de loi affirme le droit à l’euthanasie, ce qui, à de façon semblable à l’avortement, confère au soi-disant médecin le pouvoir de tuer un être humain innocent dans le cadre de ses fonctions « médicales ». Ces pratiques dévoient la médecine et la transforment en service de mort au profit d’une vision mercantile et utilitaire de la vie, qui n’y voit de valeur que si elle procure une jouissance ou un profit pour soi-même ou autrui.
- Ce projet de loi affirme que le Québec, bâti sur le socle du Christ comme en témoignent la nuée de saints qui ont porté le flambeau de la foi en Nouvelle-France, est désormais « laïque ». Cela signifie que l’État rejette les lumières du Christ et ne reconnaît nullement sa Royauté, mais le met au même niveau que toutes les autres religions ou idéologies — sauf l’athéisme, qui, sous couvert de « neutralité », prend le contrôle et menace (par le rapport gouvernemental dit « Pelchat-Rousseau ») d’éliminer toute aide publique aux églises et écoles confessionnelles, tout en menaçant indirectement les familles chrétiennes en alléguant un soi-disant « droit à la laïcité » pour les étudiants.
À ce jour, à l’appel de Campagne Québec-Vie, près de 600 communications (courriels, appels) contre le projet de loi no 1 ont été envoyées aux députés du Québec par le biais de notre service d’envois de messages. Si ce n’est pas déjà fait, et si vous êtes résident du Québec, vous pouvez profiter de notre outil de communication auprès des députés ici :
https://www.cqv.qc.ca/contactez_votre_depute
Également, le gouvernement du Québec a cru bon de mettre en place une étude du projet de loi no 1, avec possibilité de contributions citoyennes. Nous vous encourageons donc vivement à remplir le formulaire de la consultation populaire :
https://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/commentaire.html?id=54223&type=Mandat
La mobilisation des gens de bonne volonté est importante, en témoigne l'absence au budget fédéral des recommandations 429 et 430 du Comité des finances qui préconisaient le retrait du statut de charité aux organismes religieux et pro-vie.
Le combat pour la Vie continue,
Cordialement,
L'équipe de Campagne Québec-Vie
La pilule abortive a révolutionné l’« accès » à l’avortement au Canada

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
11 novembre 2025 (LifeSiteNews) — Une décennie après que Santé Canada ait approuvé l’utilisation du médicament abortif RU-486 (plus connu sous le nom de mifépristone) et huit ans après que le produit abortif soit devenu disponible en janvier 2017 sous le nom de Mifegymiso, l’avortement chimique a transformé l’accès à l’avortement au Canada – et les militants font pression pour aller encore plus loin.
Le Mifegymiso est prescrit pour mettre fin à la vie d’un enfant à naître jusqu’à neuf semaines de gestation ; un groupe pro-avortement militant a fait remarquer que les médecins pouvaient également « le prescrire hors indications approuvées jusqu’à 10 semaines de gestation ». Selon une étude publiée en avril par l’Association médicale canadienne, l’accès aux « services d’avortement » a augmenté en Ontario, mais elle indique également que, à l’inverse, « les services d’avortement chirurgical ont diminué ».
L’avortement chimique devenant une méthode peu coûteuse et pratique pour tuer les enfants à naître, de moins en moins de médecins sont disposés ou enclins à pratiquer l’avortement chirurgical. La suppression des réglementations, qui facilite la délivrance de la pilule abortive en pharmacie, y a contribué ; l’étude de l’AMC indique que l’accès à l’avortement est passé de 27 % en 2017 à 91 % en 2022, les avortements chimiques représentant 56 % des avortements en 2022, contre seulement 8 % en 2017.
1 réaction Lire la suiteL’avortement tardif « rare » et que pour des « raisons médicales sérieuses » ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WaveBreakMediaMicro/Adobe Stock
La propagande pro-avortement dit en général que les avortements tardifs n’existent pas au Canada. Quand cependant on réussit à prouver qu’ils ont réellement lieu, on nous répond qu’ils sont « rares » (pas tant que ça...) et qu’ils n’arrivent que pour des « raisons médicales sérieuses ».
Qu’en est-il en réalité ?
Le groupe pro-vie canadien Right Now a mené une enquête sous couverture auprès de quatre cliniques d’avortement de Toronto pour voir s’il était possible d’obtenir un avortement sans aucune raison après 20 semaines de grossesse.
Dans la vidéo, l’investigatrice, enceinte de cinq mois (20 semaines) se rend à la Cabbagetown Women’s Clinic où elle se fait dire qu’il n’y a pas de limite légale. La clinique les pratique jusqu’à 24 semaines (6 mois). (Détail curieux, la Cabbagetown Women’s Clinic n’accepte que l’argent comptant pour les frais de 2137 $ demandés pour l’avortement.) Si la femme est rendue plus loin dans la grossesse, elles sont dirigées par la clinique vers le Women’s College Hospital, où, selon la conseillère de la clinique, « ils n’ont pas de limite, ils vont quelques fois, je crois, jusqu’à 32 semaines [8 mois] ».
La conseillère explique que l’avortement tardif est difficile mentalement et physiquement, et qu’il s’étend sur plusieurs jours, que cela est comme une sorte de mortinaissance. La conseillère explique également que si la femme n’est pas absolument certaine qu’elle veut aller au travers de ce processus que cela peut lui faire du tort (mentalement) parce qu’une fois le processus commencé ils ne peuvent pas l’arrêter. La conseillère explique à l’investigatrice que la procédure d’avortement commencera par l’injection de digoxine dans l’utérus pour arrêter le cœur du fœtus, donnant pour raison que cela rend la procédure plus sécuritaire et que, bien qu’aussi loin que la science (selon elle) sache, il n’y a pas de conscience à ce stade, s’il y avait une potentielle conscience chez le fœtus cela la préviendrait... Le médecin préfère opérer comme cela, dit-elle.
1 réaction Lire la suiteUn projet de loi canadien vise à punir ceux qui nient les allégations de charniers des pensionnats autochtones

Le pensionnat de Kamloops.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
7 novembre 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — Un nouveau projet de loi vise à infliger des peines d’emprisonnement aux personnes qui se livreraient au « déni » et remettraient en question le discours des médias et du gouvernement concernant le « système des pensionnats autochtones » au Canada, selon lequel il y aurait des fosses communes, alors qu’aucune preuve ne vient étayer cette affirmation.
Le projet de loi d’initiative parlementaire C-254, Loi modifiant le Code criminel, présenté par la députée néo-démocrate Leah Gazan, prévoit des sanctions sévères pour les négationnistes, affirmant que ce projet de loi est nécessaire pour « mettre fin au déni des pensionnats ».
Gazan a déclaré que son projet de loi s’adressait à tous les « survivants des pensionnats et à nos familles ».
Elle a ajouté que le « déniisme se répand, déforme les faits, nie le génocide et ravive les blessures », ajoutant que « ce n’est pas seulement blessant, c’est dangereux ».
1 réaction Lire la suiteUn Canadien perd ses deux grands-mères par euthanasie en seulement deux mois

Benjamin Turland.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Amanda Atchman/YouTube
5 novembre 2025 (LifeSiteNews) — « Nous sommes ici parce que deux de mes quatre grands-parents sont décédés par euthanasie à deux mois d’intervalle. »
C’est ainsi que Benjamin Turland commence une nouvelle vidéo poignante et bouleversante réalisée par Dying to Meet You, un projet de témoignage lancé par Amanda Achtman. Bon nombre de ces histoires qui célèbrent la vie, notamment celle de Roger Foley, un homme à qui l’euthanasie a été proposée à plusieurs reprises, et celle de Christine, qui s’est fait tatouer les mots « Don't Euthanize Me » (Ne m’euthanasiez pas) à plus de 80 ans, sont devenus virales.
Turland se souvient très bien du moment où ses parents l’ont appelé pour lui annoncer que l’une de ses grands-mères avait choisi l’euthanasie. « Je n’avais jamais vécu une telle expérience auparavant, j’avais l’impression d’avoir reçu un coup de poing dans le ventre », a-t-il déclaré. « Elle allait probablement mourir dans les jours qui suivaient de causes naturelles, et je ne comprenais pas pourquoi elle voulait aller à travers ça. Cela m’a complètement bouleversé. »
Deux mois plus tard, la grand-mère dont Turland était le plus proche a pris la même décision. Il avait vécu avec elle pendant ses études universitaires, et elle était l’une de ses amies les plus proches. Ils avaient des surnoms spéciaux l’un pour l’autre, notamment « Bestie ». Il chérissait chaque moment passé avec elle.
1 réaction Lire la suitePour un Québec pro-vie
Le gouvernement Legault prétend préserver la particularité québécoise avec son projet constitutionnel, lequel comprend dans ses principes fondateur « liberté d’avorter ». On voit mal cependant en quoi l’avortement peut servir cet intérêt. D'un point de vue pragmatique il est inconcevable de faire de la liberté d’éliminer sa progéniture un principe conducteur de la société quand on a un taux de fécondité de 1,33 enfant par femme... Du point de vue moral, outre le tort évident que l’avortement fait au bien commun, cette pratique est une grave injustice à l’égard de l’enfant à naître.
Constitutionnaliser la laïcité ? Enchâsser l’euthanasie dans la Charte des droits et libertés ? Omettre l’héritage chrétien ? Le Québec n’a pas besoin de ces lubies, bien au contraire !
Nous avons lancé un appel à l’action et nous sommes heureux de voir que 446 de nos abonnés y ont répondu et ont communiqué avec leur député au sujet de la constitution. Si vous ne l’avez pas encore fait, nous vous prions instamment de communiquer votre opinion à votre député provincial sur ces éléments importants de la constitution par le biais de notre outil de communication (cela n’est possible que si vous êtes résident du Québec, mais si vous habitez hors Québec vous pouvez partager le lien avec des connaissances du Québec).
Envoyez votre message en 60 secondes (pré-rédigé, modifiable, cliquez ici.)
Une bonne nouvelle, le budget déposé par le gouvernement Carney, malgré le déficit qu’il annonce, au moins n’inclut pas les recommandations 429 et 430 du Comité des finances qui demandaient le retrait du statut de charité aux organismes religieux et pro-vie. Ces recommandations impopulaires, qui auraient eu pour effet de faire fermer la plupart des organisations religieuses et les organisations pro-vie comme les centres d’aide aux femmes enceintes, ont fait l’objet d’un tollé à travers tout le Canada, amenant le gouvernement à les rejeter. Quand assez de voix s’élèvent, elles ont un poids indéniable sur les décisions du gouvernement. Cela montre l'importance de lutter de façon concertée contre de tels maux, nos efforts portent fruit !
C’est pour quoi nous vous invitons à communiquer avec vote député grâce à l’outil que nous mettons à votre disposition ici.
Nous vous invitons également (un grand merci si vous l’avez déjà signé) à signer notre pétition contre l’inscription de l’avortement et de la laïcité dans la constitution québécoise et à participer à la consultation populaire lancée par le gouvernement au sujet de son projet de constitution.
À Campagne Québec-Vie, nous croyons que le Québec doit protéger la vie de la conception à la mort naturelle, soutenir la famille selon l’ordre naturel et revenir à ses racines chrétiennes.
Pour atteindre ces buts, nous militons par le biais d’événements, comme la Marche pour la vie, par l’appel à l’action politique, comme cet appel à communiquer avec son député, par la publication, comme notre site cqv.qc.ca et notre page Facebook, et nos envois de courriels, comme celui que vous lisez actuellement.
Avec nos remerciements les plus cordiaux pour votre engagement,
Pour la Vie,
Augustin Hamilton,
Responsable du site de nouvelles
Les églises et les groupes pro-vie épargnés dans le budget Carney

Par la Coalition nationale pour la vie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shankar s/Flickr/Wikimedia Commons
La Coalition nationale pour la vie est soulagée d’apprendre que les églises et les organisations pro-vie n’ont pas été dépouillées de leur statut d’organisme de bienfaisance dans le budget libéral de Carney publié aujourd’hui. Notamment, le budget n’inclut pas deux recommandations controversées formulées par le Comité des finances qui auraient retiré le statut d’organisme de bienfaisance aux institutions religieuses et aux organisations pro-vie, des mesures qui, si elles avaient été adoptées, auraient dévasté le milieu caritatif au Canada.
« Les Canadiens à travers tout le pays se sont fermement opposés à ces propositions, et le gouvernement les a écoutés », a déclaré Jeff Gunnarson, président national de la Coalition nationale pour la vie. « C’est une victoire pour la liberté religieuse et pour les valeurs canadiennes qui consistent en l’aide aux personnes vulnérables, à tendre une main compatissante et à être présent pour celles qui sont en situation de crise. »
Gunnarson a déclaré que le fait que les recommandations 429 et 430 aient été incluses dans le rapport du Comité des finances représentait une « grave erreur de jugement » de la part du comité multipartite.
« Le gouvernement libéral a eu raison d’écouter les citoyens ordinaires et les responsables religieux et de rejeter finalement ces recommandations scandaleuses », a-t-il déclaré. « Grâce à Dieu, le Canada vit un jour de plus sans que le spectre de la persécution ne plane sur les organisations religieuses et pro-vie. »
1 réaction Lire la suiteAvez-vous contacté votre député aujourd’hui ?
Avez-vous envoyé un message à votre député au sujet du projet de Constitution du Québec ? Il est encore temps : les bureaux sont ouverts et consignent les messages cet après-midi.
Le gouvernement du Québec veut inscrire l’avortement, l’euthanasie et un laïcisme radical dans la nouvelle Constitution du Québec. (Lire ici pour plus d'informations à ce sujet.)
Nous vous demandons de contacter votre député maintenant pour refuser que notre nation soit définie par la mort et l’oubli de ses racines chrétiennes.
Envoyez votre message en 60 secondes :
Pourquoi agir dès maintenant ?
- Un fort volume citoyen reçu en courte fenêtre = impact immédiat.
Ce que je vous propose de dire ou d'écrire (extraits) :
-
« Je vous demande de rejeter toute disposition faisant de l’avortement ou de l’euthanasie un principe constitutionnel. »
-
« Reconnaissez l’héritage chrétien au cœur de l’identité québécoise. »
-
« Protégez la vie humaine dès la conception. »
Envoyez votre message en 60 secondes :
Merci de prendre 1 minute pour défendre la vie, la foi et la mémoire du Québec.

Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
P.-S. : Un simple partage de ce lien avec votre réseau peut doubler l’impact : https://www.cqv.qc.ca/contactez_votre_depute
Laissez un commentaireURGENT — contactez aujourd'hui votre député
Le gouvernement du Québec veut inscrire l’avortement, l’euthanasie et un laïcisme radical dans la nouvelle Constitution du Québec. (Lire ici pour plus d'informations à ce sujet.)
Nous vous demandons de contacter votre député maintenant pour refuser que notre nation soit définie par la mort et l’oubli de ses racines chrétiennes.
Envoyez votre message en 60 secondes :
Pourquoi agir dès maintenant ?
-
Les bureaux des députés ouvrent et trient les courriels entre 9 h et 11 h 30.
-
Un fort volume citoyen reçu en courte fenêtre = impact immédiat.
Ce que je vous propose de dire ou d’écrire (extraits) :
-
« Je vous demande de rejeter toute disposition faisant de l’avortement ou de l’euthanasie un principe constitutionnel. »
-
« Reconnaissez l’héritage chrétien au cœur de l’identité québécoise. »
-
« Protégez la vie humaine dès la conception. »
Envoyer mon message à mon député :
Merci de prendre 1 minute pour défendre la vie, la foi et la mémoire du Québec.

Pour la Vie,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
P.-S. : Même si vous l’avez déjà fait, partagez le lien à 2 amis de votre paroisse, église ou groupe. Deux messages de plus peuvent faire basculer un bureau politique.
1 réactionUne célébrité se fait euthanasier, mettant encore davantage l’horreur de l’euthanasie à la mode

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
31 octobre 2025 (LifeSiteNews) — Une autre célébrité a choisi de mourir par suicide assisté, contribuant ainsi à mettre à la mode l’euthanasie et le suicide assisté, opérés par un médecin.
Il s’agit cette fois-ci de Jackie Ferrara, artiste et sculpteur de renom, décédée le 22 octobre. Elle était âgée de 95 ans, mais en « bonne santé ». Elle avait simplement décidé qu’elle était prête à partir et qu’elle voulait mourir avant de devoir dépendre de quelqu’un.
« Je ne veux pas d’aide ménagère », a-t-elle déclaré au New York Times dans une récente entrevue. « Je n’ai jamais voulu personne. Je me suis mariée trois fois. Ça me suffit. » Ferrara, qui est Américaine, n’était admissible au suicide assisté ou à l’euthanasie nulle part aux États-Unis, car elle était en bonne santé. Elle s’est donc rendue à l’établissement de Pegasos, à Bâle en Suisse, où elle s’est suicidée.
Ferrara est célèbre dans les cercles artistiques new-yorkais et au-delà ; ses œuvres sont exposées au Museum of Modern Art et elle était réputée pour ses sculptures en planches de bois. Selon le magazine People, sa conseillère en succession et en héritage, Tina Hejtmanek, a confirmé son décès.
J’ai remarqué que le tabloïd utilisait désormais l’acronyme canadien « MAID » (AMM — aide médicale à mourir) pour décrire le suicide de Ferrara, bien qu’il s’agisse d’une publication américaine. Cet acronyme est employé pour éviter le mot « suicide », qui a une charge émotionnelle pour beaucoup de gens. « Suicide assisté » a une connotation dramatique, contrairement à « MAID ».
1 réaction Lire la suite