Un médecin avait dit à Maria von Trapp d’avorter, elle a refusé
Maria von Trapp et cinq de ses filles.
Par Right to Life UK — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
L’héroïne [qui a inspiré le film] de La Mélodie du bonheur, Maria von Trapp, s’est vu dire par son médecin d’avorter parce qu’on pensait que son fils à naître était handicapé. Non seulement elle ne s’est pas fait avorter, mais son fils est né en bonne santé.
L’histoire de la famille von Trapp, de ses prouesses musicales et de la façon dont elle a échappé à l’Allemagne nazie est bien connue, mais on sait moins que Maria von Trapp a refusé d’avorter de son dixième enfant, Johannes, même si l’histoire a été publiée il y a plusieurs décennies.
Dans son livre, The Story of the Trapp Family Singers, Maria von Trapp raconte que, peu après que sa famille se soit installée aux États-Unis à la fin des années 1930, elle a appris qu’elle était enceinte de son dernier enfant. Elle s’est rendue chez un médecin en se plaignant de fortes douleurs au dos.
Elle écrit : « Votre femme ne peut pas avoir d’autre enfant », a dit le médecin à mon mari, « du moins, pas avant que ses reins ne soient redevenus normaux. Ils sont tous les deux gravement infectés… L’enfant doit être retiré immédiatement, bien sûr ».
« Les prédictions du docteur se sont révélées magnifiquement fausses »
Maria n’a pas été impressionnée par la recommandation du médecin de se faire avorter et lui a dit : « “Comment ça, bien sûr ? Ce n’est pas du tout évident. Au contraire, il n’en est absolument pas question — nous sommes catholiques, vous savez”. Maintenant, le docteur semblait sérieusement inquiet. L’enfant ne naîtra pas vivant, je peux vous le dire ».
Malgré l’insistance du médecin, Maria a courageusement refusé d’envisager de mettre fin à la vie de son fils à naître. Elle raconte le moment où le travail a commencé : « J’ai dû serrer très fort la main de mon mari, et le temps semblait s’arrêter. Puis j’ai entendu un drôle de petit couinement... À ce moment-là, une chorale complète a commencé en bas : “Maintenant, remercions tous notre Dieu ! Car c’est un garçon !”… Les prédictions du médecin se sont révélées parfaitement fausses, et Johannes promet d’être un beau garçon américain. »
1 réaction Lire la suiteL’ex-président brésilien Bolsonaro : « Nous avons toujours défendu la vie dès sa conception contre l’avortement »
Jair Bolsonaro.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 mars 2023 (LifeSiteNews) — Lors d’un discours à la Conservative Political Action Conference (CPAC) [Conférence d’action politique conservatrice] dans le Maryland la fin de semaine dernière, l’ancien président brésilien Jair Bolsonaro a réitéré son opposition à l’avortement et à l’agenda LGBT.
« Quand vous parlez de conservatisme, nous nous battons pour la famille. Nous ne voulons pas de l’idéologie du genre ! Nous voulons que les garçons grandissent avec les enseignements de leur père et les filles avec ceux de leur mère », s’est-il exclamé.
« Nous avons toujours défendu la vie dès sa conception contre l’avortement », a-t-il également affirmé.
Bolsonaro, qui n’a jamais reconnu sa défaite face à l’actuel président brésilien — et blanchisseur d’argent condamné — Lula da Silva, a annoncé le mois dernier son intention de diriger le parti d’opposition dans son pays d’origine. Il vit en Floride avec un visa depuis plusieurs mois.
Au cours de son mandat, le dirigeant populiste et non-vacciné a promu le message pro-vie à plusieurs reprises. Après l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade, il a exprimé son soutien aux enfants à naître dans une série de tweets demandant à Dieu de « donner force et sagesse » à ceux qui « protègent » les enfants à naître. Lorsque l’Argentine a légalisé l’avortement en décembre 2020, il a condamné cette décision dans les termes les plus forts sur les médias sociaux. En mai 2022, il a rencontré le fondateur de Jesus Menino, une communauté pro-vie qui s’occupe d’enfants handicapés.
Bolsonaro, un catholique, a également bénéficié de ce qu’il a appelé une relation « exceptionnelle » avec l’ancien président américain Donald Trump. Dans ses remarques de la semaine dernière, Bolsonaro a abordé des thèmes qui suggèrent que, comme Trump, il prépare le terrain pour une autre course à la présidence.
1 réaction Lire la suiteUn autre pays européen vient de porter un coup dévastateur au mouvement transgenre
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Koziol Kamila/Adobe Stock
13 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le Norwegian Healthcare Investigation Board (NHIB) [Comité norvégien d’enquête sur les soins de santé] est le dernier organisme européen en date à annoncer que le soi-disant « modèle affirmatif de soins » pour les mineurs atteints de dysphorie de genre n’est pas soutenu par des preuves et déconseille l’utilisation d’hormones de sexe opposé, de bloqueurs de puberté et d’opérations de « changement de sexe » pour les mineurs. Le NHIB recommande que ces « traitements » soient classés comme expérimentaux et note que l’augmentation du nombre d’enfants s’identifiant comme transgenres est préoccupante.
« Les bases de connaissances, en particulier les connaissances fondées sur la recherche, concernant les traitements de confirmation du sexe (hormonaux et chirurgicaux) sont insuffisantes », note le rapport. « On sait peu de choses sur les effets à long terme ». Le NHIB recommande plutôt de recueillir davantage de données — en particulier des données de suivi — et note que les normes actuelles mettent en danger les enfants, qui ne peuvent pas consentir aux effets irréversibles de ces traitements. Les médias indiquent que les nouvelles recommandations font suite à des plaintes de familles concernant « la sécurité, le manque d’implication des parents et l’absence de suivi des patients mineurs ».
Aux États-Unis, les législateurs qui adoptent des lois limitant l’utilisation du « modèle affirmatif » sont condamnés par les militants transgenres et les législateurs de gauche comme une campagne d’extrême droite visant les « jeunes transgenres », mais la scène mondiale indique en fait que des pays comme les États-Unis et le Canada sont de plus en plus en décalage par rapport aux conversations médicales qui ont lieu dans d’autres pays. La Norvège n’est que le dernier pays en date à condamner les changements de sexe et les hormones transsexuelles pour les enfants.
Au Royaume-Uni, la Tavistock Gender Clinic a été fermée après qu’une enquête menée par le National Health Service a conclu que la qualité des soins prodigués mettait en danger les enfants et a publié des recommandations s’opposant aux interventions hormonales et chirurgicales pour les enfants dans la plupart des cas, allant même jusqu’à mettre fortement en garde contre la « transition sociale », qui prête à confusion et risque d’entraver la renonciation naturelle au fil du temps.
1 réaction Lire la suiteLa vie d’un bébé a été épargnée !
La vie d’un enfant à naître a été épargnée ! Voici un message de mon collègue Brian, qui prie et veille à l’extérieur de centres d’avortement de centre-ville de Montréal :
Hier un incident remarquable s’est produit en mi-après-midi.
Une dame accompagnée m’approcha pour m’informer qu’elle garderait son enfant à naître plutôt que de l’avorter.
En bref, il a fallu qu’elle se rende à son rendez-vous au centre d’avortement de la rue Berri pour qu’elle prenne conscience de l’horreur de ce qu’est un avortement, la destruction d’un innocent.
Je vous remercie tous et toutes d’avoir participé à cette journée de prière et de bénédiction.
JMJ
Brian
Rendons grâce à Dieu pour avoir touché cette mère, pour qu’elle se rende compte de l’acte qu’elle s’apprêtait à poser contre son enfant à naître innocent. Prions pour que d’autres femmes enceintes en difficulté, d’ici et d’ailleurs, sauront répondre à la grâce de Dieu et dire OUI à la vie.
Merci de votre générosité
Je remercie tout ceux et celles qui ont déjà donné pour notre campagne de financement du temps du carême. Par vos dons, vous nous fournissez les moyens de rejoindre le plus de personnes possible, par notre site Internet, par nos vidéos sur YouTube, par nos rencontres et événements, par nos écrits papier. Vos dons et vos prières nous soutiennent dans notre travail.
Vôtre pour la Vie,
Georges Buscemi
P.S. Il est encore temps de vous joindre à Brian Jenkins en personne ou par la prière à la vigile des 40 jours pour la vie, qui se tient au coin nord-est de la rue Sainte-Catherine et Berri, à Montréal. Pour 40 jours d'affilée, 12 heures par jour, jusqu'au 2 avril, nous serons à l'extérieur des avortoirs situés au centre ville pour prier et jeûner pour la fin de l'avortement. Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter notre site des 40 jours pour la vie. Aussi, je vous encourage à lire l'entretien avec notre organisateur des 40 jours, Brian Jenkins.
Aussi, n'oubliez pas de mettre La Marche nationale pour la vie à votre calendrier. Cet événement se tient cette année le jeudi, 11 mai. Voir la vidéo pour en savoir plus !
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Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
1 réaction Lire la suiteUn enseignant chrétien emprisonné pour avoir refusé d’utiliser des pronoms transgenres perd son appel pour réintégrer l’école
Enoch Burke entouré de safaimlle devant la cour à Dublin.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
9 mars 2023, Dublin (LifeSiteNews) — Un enseignant chrétien d’une école irlandaise, licencié pour avoir refusé d’utiliser des pronoms transgenres, a perdu son appel contre les injonctions du tribunal l’empêchant de se rendre dans son école.
Enoch Burke a vu son appel rejeté par la Cour d’appel de Dublin le 7 mars, lors d’une audience qui s’est terminée par l’expulsion des membres de la famille Burke du tribunal, et l’arrestation et l’inculpation de l’un d’entre eux. Ses parents l’avaient rejoint pour assister aux résultats de son appel, ainsi que sa sœur et de ses deux frères, alors qu’Enoch contestait la décision de justice qui l’empêchait d’entrer dans l’école où il travaillait.
Burke était professeur d’histoire et d’allemand à l’école secondaire Wilson’s Hospital de l’Église d’Irlande à Multyfarnham, dans le comté de Westmeath. L’année dernière, il avait refusé de se conformer à l’ordre donné par le directeur de son école, le 9 mai, d’utiliser un nom et un pronom féminins pour un élève de sexe masculin qui était en cours de « transition ».
Le 22 août, il avait été mis en congé administratif rémunéré pendant que le conseil scolaire menait une procédure disciplinaire. Après que Burke ait ignoré cette mesure et ait continué à fréquenter l’école, il a reçu une ordonnance provisoire le 30 août pour l’empêcher d’entrer dans l’école, ce qu’il a également ignoré.
Les autorités scolaires ont convoqué la police et Burke a été arrêté pour outrage au tribunal le 5 septembre alors qu’il était assis dans une salle de classe vide de l’école. Il a été condamné à une peine de prison d’une durée indéterminée, jusqu’à ce qu’il purge son outrage au tribunal ou jusqu’à ce que le tribunal en décide autrement. Cependant, quelques jours avant Noël, il a été libéré par la Haute Cour, le juge ayant estimé que Burke utilisait son emprisonnement à des fins personnelles.
Burke avait passé 108 jours derrière les barreaux, mais après sa libération, le tribunal l’a averti qu’il serait condamné à une amende journalière de 700 euros s’il refusait d’obéir à l’injonction du tribunal lui interdisant l’accès à l’école.
1 réaction Lire la suiteLes évêques demandent à la Cour suprême du Kenya d’annuler une décision en faveur des organisations LGBT
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 mars 2023, Nairobi, Kenya (LifeSiteNews) — La Conférence des évêques catholiques du Kenya a lancé un appel à la Cour suprême du pays pour qu’elle annule une décision prise le mois dernier autorisant les groupes LGBT à s’associer, qualifiant le jugement d’« inconstitutionnel », de « malvenu » et d’attaque contre le bien de la famille, la vie humaine et le bon ordre de la société.
La décision de la Cour a été prise en dépit du fait que les actions et les relations homosexuelles restent illégales dans ce pays socialement conservateur qu’est le Kenya. La décision a été rendue le 24 février par 3 juges contre 2. Deux membres du tribunal étaient absents.
Cette décision a suscité l’indignation des législateurs kenyans, des chefs religieux et d’autres personnes, qui soutiennent que cette décision contribuera à normaliser l’homosexualité dans le pays et permettra la création d’ONG pro-LGBT, érodant ainsi la culture kenyane.
Dans leur appel, les évêques rappellent à la Haute Cour que le pays est profondément religieux. « Le Kenya est une nation qui craint Dieu », écrivent les évêques. « C’est sur cette base que nous reconnaissons que Dieu a créé l’humanité en tant qu’homme et femme ».
Les évêques ont ensuite cité les textes bibliques dans lesquels l’homosexualité est condamnée comme immorale, un jugement qui se reflète dans la culture et la législation kenyanes.
« L’homosexualité (masculine et féminine) et les unions entre personnes du même sexe sont contre nature, elles sont fautives, néfastes et intrinsèquement immorales. Elles sont contraires à la loi naturelle. Selon l’Écriture Sainte, les actes homosexuels relèvent d’une grave dépravation (cf. Genèse 19, 1-29 ; Romains 1, 24-27 ; 1 Corinthiens 6, 10 ; 1 Timothée 1, 10). Les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés ».
Les évêques ont ensuite fait référence à l’article 45 de la Constitution du Kenya, qui traite du rôle fondamental de la famille dans la société. Dans cet article, la Constitution déclare que « la famille est l’unité naturelle et fondamentale de la société et la base nécessaire de l’ordre social, et qu’elle doit bénéficier de la reconnaissance et de la protection de l’État ».
1 réaction Lire la suiteLe Royaume-Uni interdit la prière silencieuse devant tous les établissements pratiquant l’avortement
Le Père Sean Gough et Isabel Vaughan-Spruce.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie
Les députés de la Chambre des communes du Royaume-Uni ont approuvé mardi une loi qui interdirait un large éventail d’activités pro-vie — y compris la prière silencieuse — devant les établissements pratiquant l’avortement dans le pays.
Selon la Catholic News Agency, le projet de loi créerait des « zones tampons » de 150 mètres autour des établissements pratiquant l’avortement en Angleterre et au Pays de Galles. À l’intérieur de ces zones tampons, « l’intimidation, le harcèlement ou l’interférence » à l’encontre de toute personne cherchant à avorter ou pratiquant un avortement sont interdits. Les activités interdites comprennent le fait d’« influencer sur la décision d’une personne d’accéder à des services d’avortement, de les fournir ou de les faciliter », même la prière silencieuse. La loi a été adoptée par 299 voix contre 116.
Bien que plusieurs députés aient introduit un amendement qui aurait exempté la prière et les conversations consensuelles des interdictions prévues par le projet de loi, cet amendement n’a pas été adopté.
« Il est très décevant que les députés aient rejeté même ce modeste amendement, qui visait à garantir que la criminalisation de la pensée ne soit pas inscrite dans la législation britannique. L’introduction de zones tampons signifie déjà que des citoyens ordinaires seront considérés comme des criminels et soumis à des sanctions financières écrasantes pour avoir témoigné pacifiquement et offert leur aide à des femmes dans le besoin », a déclaré Alithea Williams, responsable de la politique publique de la Society for the Protection of Unborn Children.
« Il ne s’agit pas seulement d’une atteinte scandaleuse aux libertés civiles, mais aussi du retrait de véritables bouées de sauvetage pour les femmes. De nombreux enfants sont en vie aujourd’hui parce que leurs mères ont reçu l’aide et le soutien d’une personne pro-vie compatissante à l’extérieur d’une clinique. De nombreuses femmes se sentent contraintes ou forcées d’avorter, et les vigiles pro-vie leur offrent d’autres options. Aujourd’hui, ces options leur ont été retirées. »
1 réaction Lire la suiteLes militants LGBT emploient l’argument du suicide dans le procès du conseiller scolaire catholique Michael Del Grande
Michael Del Grande.
Par Jack Fonseca (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews
Ce rapport est un résumé du quatrième jour d’audience au tribunal de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEEO) contre le conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board (TCDSB), Mike Del Grande, qui est persécuté pour sa défense de l’enseignement moral chrétien. Laissez-moi vous dire quelque chose...
Le quatrième jour a été un vrai casse-tête !
Vous trouverez ici un récapitulatif des accusations portées contre l’administrateur Del Grande.
Ce quatrième jour d’audience a eu lieu le 22 février et s’est concentré sur le témoignage et le contre-interrogatoire de Markus De Domenico, administrateur du quartier 2 du TCDSB, l’un des plus grands détracteurs de M. Del Grande.
Le témoin est-il crédible ?
Permettez-moi de vous donner une idée de ce « témoin vedette » de l’accusation...
Markus De Domenico est l’un des huit administrateurs hérétiques du conseil d’administration qui ont voté — en violation totale de l’enseignement moral catholique — en faveur de l’installation du drapeau de la fierté homosexuelle dans toutes les écoles catholiques de la Commission scolaire. Ce drapeau symbolise des modes de vie sexuels que l’enseignement de l’Église et les Saintes Écritures ont toujours considérés comme des péchés.
Les observateurs de longue date du TCDSB ont trouvé ironique que l’on compte sur De Domenico pour témoigner de la véracité des plaintes pour mauvaise conduite déposées contre Del Grande.
Pourquoi ceci est-il ironique ?
Parce que nous avons été trompés par les réponses qu’il a données sur son questionnaire électoral de 2018 afin d’obtenir le soutien de Campaign Life Coalition.
L’administrateur du quartier 2 a coché « oui » à la question du questionnaire du candidat de Campaign Life Coalition qui se lit comme suit : « Vous opposez-vous à l’enseignement de la théorie controversée et anti-scientifique de l’identité de genre dans les écoles ? »
M. De Domenico a également répondu « oui » à une question l’engageant à promouvoir « une fidélité totale à la foi et aux enseignements moraux de l’Église catholique » en ce qui concerne la pratique homosexuelle.
Cependant, presque immédiatement après sa victoire, il s’est publiquement rétracté de ces réponses catholiques orthodoxes.
En 2019, il a voté en faveur de la promotion de la théorie de l’identité de genre dans les écoles, en en faisant un « motif protégé » de non-discrimination, ce qui permettrait aux enseignants et aux étudiants de pratiquer le travestissement !
Alors s’il vous plaît, gardez cela à l’esprit lorsque vous lirez ce qui se passera ensuite…
1 réaction Lire la suiteMacron demande aux législateurs français d'« inscrire » la « liberté » d’avorter dans la Constitution
Emmanuel Macron.
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
10 mars 2023, Paris (LifeSiteNews) — Emmanuel Macron, le président français sans enfant, veut que la « liberté d'avorter » soit inscrite dans la Constitution et l'a déclaré lors d'une cérémonie nationale d'hommage à Gisèle Halimi, une figure de proue du mouvement pro-avortement, mercredi.
Macron, qui promeut également la légalisation de l'euthanasie en France, s'est engagé à ce que son gouvernement présente un projet de loi à cette fin dans les prochains mois, ce qui reviendrait à accélérer les initiatives parlementaires actuelles et à leur donner le poids supplémentaire de son soutien présidentiel.
À ce jour, l'Assemblée nationale française a approuvé la constitutionnalisation du « droit » à l'avortement et, début février, le Sénat a modifié le texte initialement présenté par les députés en remplaçant le mot « droit » par le mot « liberté », obtenant ainsi, contre toute attente, une majorité de voix favorables alors que tout le monde s'attendait à ce que l'initiative soit rejetée.
Venant des parlementaires, la proposition de révision de la Constitution aurait dû être approuvée par référendum. En tant que loi présentée par l'exécutif, la révision constitutionnelle promue par Macron sera beaucoup plus facile à réaliser, ne nécessitant qu'une majorité des trois cinquièmes lors d'un vote conjoint de l'Assemblée nationale et du Sénat. Compte tenu de la formulation choisie par Macron (« liberté » d'avorter par opposition au « droit » d'accéder à l'avortement), le risque d'un vote en faveur de son projet est élevé.
Avec son intrusion largement inattendue dans le débat sur l'avortement, Macron apparaît de plus en plus comme le chef d'État le plus « pro-mort » de l'histoire de France. Même les révolutionnaires sanguinaires tels que Robespierre et Carnot sous la « Terreur » n'ont jamais atteint son niveau de mépris pour la vie humaine innocente.
Certes, au cours des années tragiques qui ont suivi la Révolution de 1789, plusieurs centaines de milliers d' « ennemis de la liberté » ont été guillotinés, fusillés, noyés, brûlés ou écorchés — principalement lors du génocide vendéen — mais depuis la dépénalisation de l'avortement en 1975, quelque 200 000 enfants à naître ont été légalement tués chaque année dans le ventre de leur mère.
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