Blog - Campagne Québec-Vie
M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Les adolescents américains sont désormais plus enclins que les adultes à affirmer que le fait d’être un homme ou une femme « est déterminé par le sexe »

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock

28 janvier 2025 (LifeSiteNews) — De nouvelles données montrent que les adolescents américains sont maintenant plus susceptibles que les adultes de dire que le « genre » d’une personne est déterminé par son sexe, marquant un renversement des tendances de 2022.

Pew Research a constaté en 2024 que 65 % des adultes américains pensent que le fait d’être un homme ou une femme est déterminé par le sexe, alors que 69 % des adolescents sont du même avis. Bien que les statistiques de Pew pour 2022 n’indiquent pas spécifiquement les opinions des adolescents, elles montrent que les jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans étaient beaucoup moins susceptibles que les cohortes plus âgées de croire que le genre est synonyme de sexe.

En 2022, seuls 50 % des adultes âgés de 18 à 29 ans pensaient que le fait d’être un homme ou une femme était déterminé par le sexe, tandis que 60 % des adultes âgés de 30 à 49 ans pensaient que c’était le cas, et 66 % des adultes âgés de 50 à 64 ans.

1 réaction Lire la suite

Un engagement courageux peut faire reculer la culture de mort

Voici un aperçu des activités et contenus pro-foi, pro-famille et pro-vie que nous vous proposons cette semaine, préparés par notre équipe et nos collaborateurs :

Finalement, je ne peut conclure ce message sans vous faire part des très belles avancées pro-vie accomplies si rapidement sous l'administration Trump ces derniers jours. Ces avancées démontrent qu’un engagement politique courageux peut faire reculer la culture de mort:

Je vous remercie pour votre soutien et j'espère que vous pourrez participer à certains de nos événements ou activités. Ensemble, faisons avancer la foi, la famille et la vie au Québec et au Canada !

Pour la Vie,


Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie

1 réaction Lire la suite

L’enfant à naître a-t-il un « droit » au ventre de sa mère ?

Blogue de Philippe Letellier-Martel — Photo : valeria Aksakova/Freepik

Le débat sur l’avortement semble sans cesse réitérer une opposition fondamentale entre pro-vie et pro-choix : celle du droit à la vie de l’enfant à naître ainsi que du droit de la femme à disposer de son corps. Dans son célèbre article, Judith Jarvis Thomson utilise le droit à l’autonomie corporelle comme élément central de ce qui deviendra un des arguments philosophiques pro-choix les plus utilisés : l’analogie du violoniste. Dans cette analogie, vous vous retrouvez un matin connecté à un violoniste de renommée mondiale, dans un hôpital. Pour cause ? vous vous êtes fait kidnapper par la Société des amateurs de musique (« Society of Music Lovers ») qui cherchait à tout prix à sauver le violoniste, qui était atteint d’une maladie mortelle et qui devait, pour survivre, être connecté avec le corps de quelqu’un d’autre. Étant le seul corps compatible avec celui du violoniste, vous avez été capturé, et voilà que vous devrez rester connecté avec le violoniste pour les 9 prochains mois, sinon, le violoniste va mourir de sa maladie. On vous annonce que le fait de vous kidnapper était bel et bien illégal, mais, malheureusement, maintenant que vous êtes connecté, vous ne pouvez plus tirer la plug, car ça reviendrait à tuer le violoniste, qui est une personne et qui a un droit à la vie.

Par cette mise en situation, Thomson entend prouver que le droit à l’avortement est moralement justifié, puisqu’il serait moralement justifié pour le lecteur de se débrancher du violoniste. En effet, l’obligation de rester connecté au violoniste (ce qui est, selon Thomson, manifestement injuste) semble moralement équivalente à forcer une femme à garder un enfant dans son ventre à cause du droit à la vie de ce dernier.

Mais cette analogie tient-elle vraiment la route ?

Les pro-vie ont trouvé plusieurs failles dans cet argument. D’emblée, on remarque que celui-ci ne s’applique que dans les cas de viols, puisque le lecteur se fait capturer dans la mise en situation. Et même pour ce qui est des cas de viols, il y a une différence entre retirer un soin médical (ce qui se produit lorsque le lecteur se débranche du violoniste) et le fait de directement, intentionnellement tuer un humain en santé (ce qui se produit lors d’un avortement). Enfin, on remarque également la différence de relation entre le connecté et le violoniste, deux étrangers, et celle entre une mère et son enfant, celle-ci ayant des devoirs particuliers envers celui-là. Dans cet article, je souhaite étoffer, préciser cette dernière différence. Montrer que si l’on envisage le droit à la vie selon la théorie du droit naturel, il y a une différence entre le droit naturel que le très jeune enfant a de vivre dans son milieu naturel (le sein de sa mère), et le droit inexistant du violoniste au corps du lecteur. Dans le raisonnement qui va suivre, je vais tenir pour acquis que l’on considère le fœtus comme une personne humaine, doté en principe des mêmes droits que n’importe qui d’autre, car c’est précisément la prémisse de l’article de Thomson.

1 réaction Lire la suite

Amazon supprime les références aux « droits LGBTQ+ » et aux lois pro-transgenre de son site internet

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen Zigic/Freepik

27 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le géant de la vente au détail Amazon a supprimé plusieurs déclarations de politique identitaire de son site internet, ce qui constitue peut-être le meilleur coup de la campagne contre l’idéologie woke dans le monde de l’entreprise.

De nombreuses déclarations d’activistes libéraux ont disparu d’Amazon depuis décembre, selon les archives des pages web, y compris l’approbation de « l’équité pour les Noirs » et des « droits LGBTQ+ », le mot « transgenre », l’approbation de « la législation pour combattre les fautes et les préjugés raciaux dans le maintien de l’ordre, les efforts pour protéger et étendre les droits de vote, et les initiatives qui fournissent de meilleurs résultats en matière de santé et d’éducation pour les Noirs » ; et le soutien aux lois pro-transgenre.

Le site d’Amazon se targuait auparavant d’être un partisan « précoce et convaincu » du « mariage » homosexuel et de défendre « l’égalité des droits » pour les personnes souffrant d’un trouble du genre et de « travailler au niveau fédéral et des États américains sur la législation, notamment en soutenant l’adoption de la loi sur l’égalité ».

1 réaction Lire la suite

L’administration Trump met fin aux poursuites engagées contre des militants pro-vie et limite fortement l’emploi futur de la loi FACE

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock

25 janvier 2025, Washignton, D.C. (LifeSiteNews) — (Mise à jour.) Le ministère de la Justice de Trump (DOJ) a mis fin vendredi à trois poursuites en cours de l’ère Biden contre des militants pro-vie en vertu de la loi fédérale sur la liberté d’accès aux entrées des cliniques (FACE), avec de nouvelles exigences strictes pour les invocations futures de la loi afin d’empêcher qu’elle ne soit à nouveau utilisée comme une arme au cours des quatre prochaines années.

Monica Miller, de Red Rose Rescue et de Citizens for a Pro-Life Society, a déclaré à LifeSiteNews que ses organisations étaient « incroyablement reconnaissantes » :

Nous sommes incroyablement reconnaissants, et particulièrement reconnaissants à Dieu, que ce procès pathétique ait disparu. Il n’aurait jamais dû être intenté en premier lieu. En effet, les sauvetages de Red Rose n’enfreignent pas la loi FACE, car les sauveteurs de Red Rose ne bloquent pas physiquement ou n’interfèrent pas avec la liberté de mouvement de qui que ce soit. (Voir redroserescue.com pour plus d’informations sur cette stratégie de sauvetage innovante.) Mais sous le ministère de la Justice de Garland et Biden, les procureurs fédéraux n’ont fait que plier, tordre et élargir la formulation de la loi FACE pour que ce que nous faisions corresponde à leur interprétation pervertie. Si nous avions dû aller jusqu’au procès, nos avocats de la Société Thomas More étaient convaincus que nous aurions gagné contre cette accusation injuste. Le rejet de cette affaire FACE est la cerise sur le gâteau, en plus des grâces accordées par Trump aux prisonniers pro-vie qui ont été condamnés pour avoir violé la loi FACE et l’accusation supplémentaire de conspiration pour interférer avec les droits civils, ce qui a entraîné des peines d’emprisonnement draconiennes d’un an. Désormais, tous les sauveteurs pro-vie sont libres à tous les niveaux en termes de poursuites fédérales.

Nous attendons avec impatience l’abrogation de la loi FACE, la pire loi en faveur de l’avortement après Roe v Wade.

1 réaction Lire la suite

Trump va réintégrer les militaires expulsés pour avoir refusé les vaccins COVID

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist

27 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump aurait l'intention de réintégrer cette semaine les membres de l'armée qui ont été expulsés pour avoir refusé le vaccin COVID-19, une piqûre expérimentale entachée d'avortement.

La directive fait suite à la promesse faite par Trump lors de son discours d'investiture de « réintégrer tous les militaires qui ont été injustement expulsés de notre armée pour s'être opposés au vaccin COVID », en leur promettant des « arriérés de salaire ».

« Le décret ordonne au secrétaire à la Défense de réintégrer tous les membres de l'armée (actifs et de réserve) qui ont été renvoyés pour avoir refusé le vaccin COVID et qui demandent à être réintégrés », indique la directive, selon Fox News, qui a reçu une « fiche d'information » sur la décision.

« De 2021 à 2023, l'administration Biden et l'ancien secrétaire à la défense Lloyd Austin ont réformé plus de 8 000 soldats uniquement en raison de leur statut vaccinal COVID-19 », a déclaré la Maison Blanche. « Après l'abrogation de l'obligation de vaccination en 2023, seuls 43 des plus de 8 000 soldats licenciés ont choisi de reprendre le service sous l'administration Biden et le secrétaire Austin.

1 réaction Lire la suite

Plus de décès que de naissances au Québec

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist

Dernièrement, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié un rapport sur la démographie québécoise, révélant des chiffres consternants : pour la première fois de notre histoire, il y a eu plus de décès que de naissances, rapporte La Presse.

Ainsi, entre juillet 2023 et juillet 2024, il y a eu 1550 décès de plus que de naissance, ce qu’on appelle l’accroissement naturel de la population a donc été négatif durant cette période.

Autre facteur inquiétant, mais qui suit, pour ainsi dire, naturellement la baisse de la natalité, l’âge moyen est monté jusqu’à 43 ans.

Les causes de cette dénatalité ne sont pas abordées par l’article de La Presse qui rapporte les chiffres de ISQ. Nous pouvons en nommer quelques-unes :

  • La difficulté de fonder une famille : maintenant, plus que jamais, avec la hausse des prix, il est de plus en plus difficile pour les jeunes de fonder une famille.
  • L’instabilité des foyers : beaucoup de jeunes, passés par les classes du monopole de l’éducation du Québec, n’ont pas appris à fonder une famille stable, bien au contraire ! ils se font enseigner à vivre dans le libertinage le plus complet, bien loin de l’idée d’avoir des enfants, avec à la clef, pour éviter cette dernière éventualité, la contraception et l’avortement comme garanties.
  • En parlant d’avortement et de contraception, ce sont certainement les deux causes principales au désastre démographique du Québec, dans les dernières années, le Québec avait entre 20 000 à 30 000 avortements par an.

Quiconque a à cœur l’avenir du Québec doit s’opposer avec fermeté à ces fléaux, notamment la corruption de la jeunesse, l’avortement et la contraception.

1 réaction

Trump rétablit la politique de Mexico et applique l’amendement Hyde pour limiter le financement de l’avortement


Donald Trump.

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr

25 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a rétabli deux règles fédérales clés pour éloigner l’argent des contribuables de l’industrie de l’avortement vendredi, en signant deux décrets pour rétablir la politique de Mexico régissant l’aide étrangère et en ordonnant aux agences fédérales de reconnaître les limites de l’amendement Hyde sur la distribution de l’argent fédéral à l’intérieur du pays.

La politique de Mexico interdit aux organisations non gouvernementales d’utiliser l’argent des contribuables pour financer des avortements volontaires à l’étranger. Le président Ronald Reagan a institué cette politique pour la première fois en 1984, et le président George W. Bush l’a rétablie en 2001. Pendant des décennies, il a été considéré comme acquis que les présidents démocrates annulent la politique peu après leur entrée en fonction et que les présidents républicains la rétablissent. Le rétablissement de cette politique a été l’une des premières mesures prises par M. Trump au cours de son premier mandat, et il a déclaré lors de la campagne électorale de 2024 qu’il « envisagerait » de la rétablir.

De même, l’amendement Hyde est traditionnellement inclus chaque année dans les budgets fédéraux sans grande objection et on estime qu’il a sauvé plus de deux millions de vies depuis son adoption il y a plusieurs décennies, en interdisant que l’argent des contribuables finance directement des avortements, sauf en cas de viol, d’inceste ou de menace pour la vie de la mère. Le président Joe Biden a proposé de le supprimer dans les budgets qu’il a soumis au Congrès et s’est efforcé, tout au long de sa présidence, de distribuer des fonds à des entités impliquées dans l’avortement.

1 réaction Lire la suite

Une ex-avorteuse explique pourquoi elle s’est détournée de l’industrie de l’avortement


Le Dr Catherine Wheeler.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Facebook

24 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Ancienne avorteuse devenue avocate pro-vie, Dr Catherine Wheeler, a révélé comment le Christ l’a sauvée de l’industrie de l’avortement.

Le 24 janvier, Mme Wheeler s’est adressée à des dizaines de milliers de pro-vie du monde entier lors de la 52e Marche nationale pour la vie à Washington, D.C., expliquant comment elle a pris conscience de la réalité de l’avortement au cours de son internat en médecine.

« Pendant mon internat, j’ai été initiée à l’avortement, en particulier pour les bébés ayant des besoins spéciaux, que nous aurions appelés anomalies et défauts de naissance », s’est-elle souvenue.

« Dans cette situation, on nous a dit que la femme avait le droit de choisir et que nous n’étions pas là pour juger », a-t-elle expliqué.

1 réaction Lire la suite

Un conseil scolaire catholique canadien maintient l’interdiction d’arborer le drapeau de la « fierté » LGBT


Matthew Wojciechowski, vice-président de la Coalition nationale pour la vie, s'exprimant devant le Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB).

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CampaignLifeTV/YouTube

23 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique canadien a voté à la quasi-unanimité contre une motion lui demandant d’annuler l’interdiction de hisser tout drapeau autre que le drapeau national ou provincial au sommet de ses bâtiments, y compris le drapeau de la « fierté » pro-LGBT.

Lors d’une réunion du 21 janvier, les conseillers du Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB), en Ontario, ont voté à 10 contre 1 contre la motion de la conseillère Brea Corbet visant à annuler l’interdiction de déployer des drapeaux non gouvernementaux, tels que le drapeau de la « fierté » pro-LGBT, dans les écoles du district ou sur leur toit.

Ce n’était pas la première fois que Corbet tentait de faire annuler l’interdiction de déployer des drapeaux non gouvernementaux, une motion similaire de Corbet ayant été rejetée en juin. L’interdiction initiale du DPCDSB concernant les drapeaux non gouvernementaux est entrée en vigueur le 15 mai 2024.

À la suite du rejet de la motion, seuls le drapeau canadien et le drapeau de l’Ontario pourront être déployés.

1 réaction Lire la suite