Une ex-trans poursuit Planned Parenthood pour lui avoir administré de la testostérone après une consultation de 30 minutes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
12 août 2024, Hudson, New York (LifeSiteNews) — Bien qu’il soit surtout connu pour ses avortements, Planned Parenthood est également très impliqué dans le secteur de la « transition » de genre, ce qui lui a récemment valu un procès de la part d’une jeune femme autiste à qui PP a donné de la testostérone après seulement une demi-heure de consultation.
Le 7 août, The Free Press a publié l’histoire de Cristina Hineman, qui, à l’âge de 18 ans en novembre 2021, s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood à New York pour obtenir la thérapie à la testostérone qu’elle recherchait sans le consentement de ses parents.
Elle était confrontée à divers problèmes, notamment l’automutilation, la dépression, l’anxiété et l’autisme, dont beaucoup avaient été exacerbés par l’isolement social dû aux confinements du COVID-19. Et elle se souvient avoir été attirée par la possibilité que le genre en soit la source par des vidéos YouTube qui l’ont amenée à conclure : « le terme “trans” inclut toutes les choses que j’ai ressenties : mon inconfort avec ma poitrine, mon inconfort d’être appelée “jeune femme”, le fait de ne pas être sûre de qui je suis ou de ce que je voudrais être ».
Après avoir rempli un formulaire de consentement, répondu à quelques questions et passé en revue les « changements attendus » de l’hormone — un processus prenant moins de 30 minutes — Hineman a reçu une prescription de gel de testostérone. Mais après un an de traitement hormonal ainsi que l’ablation de ses seins sains à l’âge de 19 ans, Hineman regrette sa transition.
« J’ai subi un lavage de cerveau », a-t-elle déclaré. « Beaucoup de gens disent que les adultes devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent. Mais si vous souffrez d’une maladie mentale qui obscurcit votre vision, ou si vous êtes mal informé sur ce que signifie la dysphorie de genre, alors vous ne pouvez pas consentir à des traitements aussi invasifs. »
1 réaction Lire la suiteL'interdiction d’avorter en Iowa quand les battements de cœur sont détectés, entre en vigueur — des milliers de bébés pourraient être sauvés
Par Peter Martin — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : user18526052/Freepik
29 juillet 2024, Des Moines, Iowa (LifeSiteNews) — Des milliers de bébés à naître seront probablement sauvés dans l'Iowa maintenant que la loi sur les battements de cœur de l'État est finalement entrée en vigueur aujourd'hui après des années de batailles juridiques.
La loi, que la gouverneure de l'Iowa Kim Reynolds a signée en juillet 2023, interdit l'avortement dès que les battements de cœur d'un bébé peuvent être détectés, c'est-à-dire dès la cinquième semaine de grossesse.
La gouverneure avait signé une interdiction similaire en 2018, mais la Cour suprême de l'Iowa ne l'a pas confirmée l'année dernière dans une décision bloquée sur un 3-3 pour des raisons de procédure, et elle n'est jamais entrée en vigueur.
Cependant, la Cour a statué en faveur de la nouvelle loi sur les battements de cœur dans une décision de 4-3 ce mois-ci, une victoire pour les pro-vie.
La semaine dernière, le juge de district de l'Iowa Jeffrey Farrell a ordonné que la loi entre en vigueur aujourd'hui à 8 heures du matin, heure centrale, a rapporté LifeSiteNews.
La Cour suprême de l'Iowa, à majorité républicaine (7-0), avait déclaré en 2022 que la Constitution de l'Iowa n'incluait pas de « droit fondamental » à l'avortement, renversant ainsi un précédent favorable à l'avortement.
1 réaction Lire la suiteLe Parlement bulgare adopte une loi interdisant la propagande LGBT dans les écoles
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Le 7 août, le Parlement bulgare a adopté un amendement à la loi sur l’éducation préscolaire et scolaire interdisant la « propagande » LGBT dans les écoles par une majorité massive de 159 voix pour, 22 contre et 12 abstentions.
L’amendement a été proposé par le parti Vazrazhdane (Renouveau) et a reçu un large soutien de la part de tous les partis politiques, les députés citant des brochures et des livres d’éducation sexuelle inappropriés fournis aux enfants et aux adolescents.
L’amendement interdit « la propagande, la promotion ou l’incitation de quelque manière que ce soit, directement ou indirectement, dans le système éducatif, d’idées et de points de vue liés à l’orientation sexuelle non traditionnelle ou à l’identité de genre autre que biologique ». Les parlementaires ont également voté un texte qui définit spécifiquement « l’orientation sexuelle non traditionnelle » comme « différente des notions généralement acceptées et établies dans la tradition juridique bulgare de l’attirance émotionnelle, romantique, sexuelle ou sensuelle entre personnes de sexes opposés ».
Kornelia Ninova, chef du parti socialiste, a déclaré que des familles bulgares expatriées l’avaient contactée pour la mettre en garde contre l’influence de « l’idéologie du genre » qui, selon elle, « s’insinue et s’empare des écoles bulgares » ainsi que de la société européenne en général, citant le spectacle blasphématoire des « transgenres » lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris ainsi que le récent vainqueur du concours Eurovision de la chanson, Nemo Mettler, qui s’identifie comme « non binaire ».
Mme Ninova a également déclaré que l’idéologie du genre était poussée par des personnes qui s’identifient comme « une chose le matin, une deuxième l’après-midi, une troisième le soir », et a affirmé sans équivoque : « Je répète ce que je dis depuis sept ans : ne touchez pas aux enfants bulgares ». Zvezdelina Karavelova, du parti Vazrazhdane, a abondé dans ce sens, déclarant dans un discours que la sexualisation des enfants et la « pédérastie » devaient être combattues, ajoutant qu’elle espérait que son fils, actuellement âgé d’un an, épouserait un jour une femme plutôt qu’un homme. La Bulgarie ne reconnaît en droit que le mariage naturel.
1 réaction Lire la suiteLa gauche veut détruire la Vie, la Famille et la Foi
Par Carlos Polo (Population Research Institute) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Conall/Flickr/CC 2.0
Si vous êtes comme moi, vous avez été consterné par la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Des drag-queens parodiant « La dernière Cène » de Léonard de Vinci n’ont rien à voir avec le sport et tout à voir avec la moquerie du christianisme.
Ce spectacle blasphématoire n’était pas un incident isolé, mais s’inscrivait dans un long processus. Le « progressisme » ou « wokisme » est une adaptation moderne du marxisme athée qui vise à détruire le christianisme et, avec lui, la civilisation occidentale.
De telles attaques contre notre foi et nos valeurs se produisent à chaque heure de la journée. Elles se produisent dans les écoles, les bibliothèques, les films, la musique, les émissions de télévision, les livres, les places publiques, les prix, la peinture, la sculpture, les boîtes de nuit, les musées, les parlements, les ministères, les hôpitaux, les ONG, etc.
Le blasphème de Paris a déclenché toutes les alarmes uniquement en raison de sa portée : il a été diffusé simultanément sur des centaines de millions d’écrans de télévision dans le monde entier.
Il s’agit d’un grand scandale, mais c’est par une myriade de petites choses que notre culture occidentale est en train d’être détruite. Parce que nous ne nous indignons pas des petites choses, le mal a envahi nos salons.
Ce n’est pas un hasard si des enfants ont été utilisés pour cette moquerie. Depuis plus d’un siècle, le marxisme culturel est en marche. Il s’est attaché successivement à tuer Dieu (athéisme), puis à tuer le père (rejet de l’autorité), et enfin à tuer la mère (féminisme radical et avortement).
Aujourd’hui, c’est à l’enfant qu’elle s’en prend. Et il veut qu’il soit isolé de ses parents et seul, afin qu’il puisse être plus facilement endoctriné par l’État. La vision « woke » des enfants est qu’ils ne sont plus des fils ou des filles, mais des « citoyens » juniors — des créatures de l’État dont les seuls « droits » importants sont sexuels et reproductifs.
Le principal moyen de réaliser ce plan infâme est ce que l’on appelle « l’éducation sexuelle complète ».
1 réaction Lire la suiteKamala Harris : propriété des industries pharmaceutiques, de transition de genre et d’avortement
Kamala Harris.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran vidéo/X
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Tout au long de sa mystifiante et fulgurante carrière politique, Kamala Harris a démontré à maintes reprises sa fidélité aux industries pharmaceutiques, de l’avortement et du transgenrisme, utilisant sa position d’autorité pour nourrir leur soif inextinguible de profit en promouvant leurs requêtes pour des vaccins expérimentaux dangereux, pour leurs monstrueux traitements médicaux et chirurgicaux dits « de changement de sexe » pour les jeunes et les enfants, et pour la dévalorisation et la destruction de la vie humaine par le biais de l’avortement.
Mme Harris et son nouveau colistier à la vice-présidence, Tim Walz, sont de dangereux extrémistes radicaux, plus enclins à remplir les poches des industries démoniaques de la « santé » qu’à protéger la dignité et l’épanouissement de la vie des Américains.
Harris : combattre pour l'industrie pharmaceutique, pas pour la santé publique
Mme Harris a fait la promotion du vaccin COVID-19 (C19) dès le début et continue de le faire, comme en témoigne son exigence d’une vaccination « à jour » pour tous ceux qui cherchent un emploi au siège de sa campagne.
Harris exige en effet que les personnes qu’elle emploie mettent continuellement à jour leur statut vaccinal C19, bien que les Centres de contrôle des maladies (CDC) admettent depuis août 2021 que le vaccin C19 n’empêche en rien la transmission du COVID.
« Harris a toujours soutenu les obligations fédérales de Biden en matière de vaccins et de masques, ainsi que les fermetures d’entreprises, d’écoles et de lieux de culte dans toute l’Amérique pendant la période du COVID », a déclaré Nikos Biggs-Chiropolos, du Honest Media Project. « Il est clair que la priorité absolue de la députée, qui a passé toute sa carrière à essayer de plaire aux élites et aux donateurs du parti démocrate plutôt qu’aux gens ordinaires, est de soutenir ces puissantes entreprises plutôt que de lutter pour une meilleure santé publique ».
1 réaction Lire la suiteTrump a jeté les conservateurs pro-vie et pro-famille sous le bus
Donald Trump.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Wikimedia Commons/Flickr
24 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Lors d’un récent discours de campagne, le candidat républicain à la présidence Donald Trump a désavoué le « Projet 2025 » de la Fondation Héritage, suscitant les huées de la foule après avoir laissé entendre que ses auteurs conservateurs sont l’image inversée des extrémistes de gauche.
M. Trump a déclaré vendredi à Grand Rapids, dans le Michigan, qu’il n’avait aucune idée du Projet 2025, le qualifiant de produit de la « droite radicale ». « Je ne sais pas ce que c’est », a déclaré Trump, tout en accusant Heritage Foundation de diffuser des « informations erronées » et de la « désinformation ».
Dans un autre message publié sur les réseaux sociaux, le candidat républicain a de nouveau affirmé qu’il ne le connaissait pas, mais a néanmoins qualifié certains éléments du projet 2025 d’« absolument ridicules et abominables ».
Pour beaucoup, les propos de Trump étaient une attaque directe non seulement contre une seule organisation à Washington, mais aussi contre les conservateurs sociaux de tout le pays, ceux-là mêmes qui l’ont aidé à être élu en 2016 et qui ont été ses partisans les plus ardents et reconnaissants en 2020.
La réalité est qu’aucune organisation à Washington n’a fait plus pour soutenir le président Trump pendant son mandat à la Maison-Blanche, et personne n’a fait plus pour l’aider à se préparer à démarrer dès le premier jour s’il remporte à nouveau la présidence en novembre. Depuis la présidence de Reagan, la Fondation a accompli un travail remarquable au fil des ans en aidant les administrations républicaines à définir leurs politiques et leur personnel.
1 réaction Lire la suite« Nous avons choisi la vie pour notre fils “non-viable”. Il a survécu 53 jours et a conquis le cœur de nombreuses personnes »
Par Stephanie Vergano et Bradley Vergano — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Stephanie et Bradley Vergano
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Notre fils Remy nous a inspiré de nous joindre aux 40 jours pour la vie. Suite à son combat pour la vie dans et hors de l’utérus, nous avons été convaincus d’être une voix pour les enfants qui sont considérés comme « non-viables » par les communautés médicales et scientifiques. À 24 semaines et quatre jours de grossesse, nous avons découvert quelque chose d’horrible à propos des lois australiennes. L’avortement est légal jusqu’à la naissance, et nous le savons parce qu’on nous l’a proposé.
Nous nous sommes mariés à la fin de la vingtaine, en décembre 2021. Avec l’espoir au cœur, nous avons aimé chaque minute de notre nouvelle vie ensemble, ne nous étant rencontrés qu’au Nouvel An de cette année-là. Bien que nous ayons vécu toute notre vie dans la même grande ville de Sydney, ce n’est qu’à ce moment précis que nous nous sommes rencontrés. Nous avions l’impression que Dieu nous avait conduits l’un vers l’autre par un long chemin détourné ! Maintenant, nous étions prêts à l’honorer par notre vie et à fonder une famille.
Peu de temps après notre mariage, nous avons appris l’heureuse nouvelle : nous étions bénis, nous attendions notre premier enfant. La grossesse se déroulait à merveille. Cependant, l’échographie de la 20e semaine a révélé que les choses semblaient un peu inhabituelles. Notre bébé était assez petit. Comme nous vivions dans une ville régionale, nous avons été envoyés dans un grand hôpital, à environ trois heures de route, pour passer un examen spécialisé afin de confirmer les résultats. Nous avons pris congé de notre travail et nous sommes allés à l’hôpital, pensant qu’il s’agissait d’un examen de routine qui nous donnerait plus d’informations. Au lieu de cela, nous avons eu le choc de notre vie.
1 réaction Lire la suitePlus de 1400 bébés nés vivants après un avortement au Québec depuis 1989
Photo : jcomp/Freepik
Une importante nouvelle : selon une étude québécoise, publiée dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, plus de 10 % des bébés avortés au 2e trimestre naissent vivant. Et 10 % de ces bébés nés vivants après la tentative d’avortement vivent plus de trois heures.
Apparemment, seuls 24,5 % des bébés nés vivants ont été admis aux unités néonatales de soins intensifs et 5,5 % seulement ont reçu des soins palliatifs. Tous les autres bébés ont-ils donc été laissés à mourir sans aucune forme de soin ?...
L’étude a analysé 13 777 avortements pratiqués sur des bébés au cours du deuxième trimestre, entre 15 et 29 semaines de gestation, dans les hôpitaux du Québec entre le 1er avril 1989 et le 31 mars 2021.
Vous savez, on nous dit que les avortements tardifs sont rares au Québec. On nous parle encore moins des bébés nés vivants après un avortement et laissés à mourir.
Se pourrait-il qu’au Québec des bébés aient survécu à l’avortement et pu grandir jusqu’à l’âge adulte ?
Encore pire, même si nous acceptons le délirant Code criminel canadien tel qu'il est rédigé aujourd'hui, qui maintient la fiction selon laquelle un enfant « devient un être humain » seulement lorsqu'il est sorti vivant du ventre de sa mère, cette information que nous apprenons sur ces enfants nés vivants après un avortement signifie que près de 1 400 homicides en règle, selon le texte de la loi, ont été commis au Québec entre 1989 et 2021, et probablement aucune enquête policière ne s'en est ensuivie !
En effet, le Code criminel stipule clairement : « Commet un homicide quiconque cause à un enfant, avant ou pendant sa naissance, des blessures qui entraînent sa mort après qu’il est devenu un être humain », c'est-à-dire après sa sortie vivante de l'utérus.
Avez-vous entendu parler de cette étude dans les grands médias ?
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Je voudrais vous parler également du témoignage d’un de nos lecteurs, qui, autrefois, était « pro-choix », qui a même manifesté contre la Chaîne de la Vie que nous organisions. Ayant vu la haine de plusieurs contre-manifestants, il a commencé à remettre en question plusieurs des positions du mouvement pro-avortement. Depuis, il est revenu à la foi catholique et est devenu pro-vie !
Il serait présomptueux de notre part de vouloir restaurer la morale au Québec sans restaurer également la foi. L’avortement, le laïcisme et l’avortement semblent être des compagnons de route inséparables. Aussi, pour combattre le dernier, s’agit-il de contrer les deux premiers. Et quoi de mieux qu’un pèlerinage (sans que ce soit, de loin, la seule solution) pour, à la fois, renforcer la foi de ses participants et promouvoir publiquement le christianisme ? Précisément, le Pèlerinage Marie Reine du Canada (31 août au 2 septembre) réunit ces deux aspects : tremper l’âme du chrétien et proclamer la gloire de Dieu.
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Nous œuvrons au Québec pour l’essor d’une Culture de Vie, voici plusieurs de nos services, actions et événements :
1 réaction Lire la suiteLe congrès 2024 du Parti de l'Héritage Chrétien
Cette semaine, j’ai le privilège d’assister au congrès du Parti de l’Héritage Chrétien. Ce congrès de quatre jours rassemble plus de 75 délégués et plus de 110 participants, venus de toutes les régions du pays. Il y a huit participants de la province de Québec, dont quatre candidats et anciens candidats.
Une chose que vous ne savez peut-être pas, c’est que le Parti de l’Héritage Chrétien est l’un des plus anciens partis fédéraux au Canada, créé en 1986. Depuis le tout début, le PHC est 100 % pro-vie. En plus de sa position pro-vie parfaite, le PHC dispose d’un cahier de politiques bien développé, abordant tous les aspects de la gouvernance. Au cours de ce congrès, les délégués voteront sur plus de 50 politiques nouvelles ou modifiées.
Les délégués voteront notamment sur les points suivants :
— De nombreuses politiques environnementales qui visent à poser des bases solides pour assurer un avenir radieux aux générations futures.
— Plusieurs politiques éducatives qui visent à fournir un cadre aux droits des parents et des étudiants sans empiéter sur les compétences provinciales.
— Plusieurs politiques en matière de soins de santé visant à mieux protéger les droits des patients et des travailleurs de la santé, également dans le respect des compétences provinciales.
— Des politiques sur l’intelligence artificielle, l’euthanasie, la justice, les projets de loi omnibus, l’adhésion aux Nations unies et bien d’autres choses encore.
Le thème de ce congrès est basé sur Néhémie 2:18-20. Après l’exil babylonien et le retour des Juifs à Jérusalem, Néhémie, échanson du roi de Perse, revient lui aussi. À son retour, il constate l’état de désolation des murs de Jérusalem et mobilise le peuple pour les reconstruire. Ainsi, les orateurs de ce congrès ont encouragé les participants à se lever et à bâtir, compte tenu de l’état pitoyable du Canada aujourd’hui.
L’esprit du congrès est joyeux et plein d’espoir. Les sessions plénières ont été très productives et la plupart des résolutions ont été adoptées avec un soutien massif.
Je serai ici jusqu’à la clôture du congrès, jeudi. Si vous souhaitez suivre le congrès, vous avez de la chance. Pour la première fois, la plupart des sessions sont diffusées en direct. Vous pouvez les voir en visitant le : https://chpconvention.ca/live. Le discours du chef aura lieu mercredi soir à 19 heures.
Plus d’informations la semaine prochaine !
1 réactionMgr Francis Leo encourage les parlementaires canadiens à voter pour un projet de loi contre la pornographie
Par l’Archidiocese of Toronto — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MEDIAIMAG/Adobe Stock
Mgr Leo écrit aux membres du Parlement au sujet du projet de loi S-210
12 juin 2024
Le mercredi 12 juin 2024, Mgr Francis Leo, archevêque métropolitain de Toronto, a écrit aux députés des circonscriptions de l’archidiocèse de Toronto au sujet du projet de loi S-210, qui vise à protéger les jeunes contre l’accès à des contenus explicites en ligne.
Dans sa lettre encourageant les députés à soutenir le projet de loi, l’archevêque Leo écrit : « Ce texte de loi constituerait un pas en avant dans la construction d’une société libérée de ces pratiques préjudiciables et contraires à l’éthique, protégée contre une industrie toxique qui normalise la dégradation de la personne humaine, désensibilise l’esprit et célèbre la violence et l’immoralité ».
« Nous aspirons à un avenir imprégné d’un solide tissu moral qui permette aux individus, aux familles et aux communautés de s’épanouir, de grandir et de mener une vie de plénitude, et où nos enfants soient préservés de ces influences néfastes et créant une dépendance ».
Le texte intégral de la lettre de l’archevêque est disponible ici.
Selon le site internet du Parlement du Canada, le projet de loi S-210 vise à « protéger la santé et la sécurité publiques et, en particulier, à :
a. protéger la santé mentale des jeunes en limitant leur accès à du matériel sexuellement explicite ;
b. protéger les Canadiens — en particulier les jeunes et les femmes — contre les effets néfastes de l’exposition des jeunes à du matériel sexuellement explicite, y compris du matériel dégradant et du matériel illustrant la violence sexuelle ; et
c. dissuader les organisations qui mettent du matériel sexuellement explicite à disposition sur Internet à des fins commerciales de permettre aux jeunes d’accéder à ce matériel ».
Les catholiques qui souhaitent exprimer respectueusement leur point de vue sur cette question sont invités à contacter leur député local et peuvent trouver les coordonnées de celui-ci en cliquant sur le lien suivant.
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