Une école maternelle expulse des enfants après que leurs parents aient protesté contre des affiches pornographiques
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lordn/Adobe Stock
14 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Selon un rapport de Reduxx, deux enfants ont été expulsés d’une maternelle en Autriche après que leurs parents aient « exprimé des inquiétudes au sujet d’affiches choquantes et sexuelles qui avaient été accrochées dans l’établissement ». Les affiches représentaient des « hommes trans nus » et auraient été accrochées pour « faciliter les discussions dans le jardin d’enfants ».
L’affiche, trop explicite pour être incluse dans cet article, est pornographique. Elle montre des hommes trans, nus, exhibant leurs seins et leur pénis. Elle montre des adultes nus aux côtés d’enfants. L’une des images montre un homme en surpoids dans la douche avec un petit garçon, tous deux chantant. Les images montrant des adultes et des enfants ne sont pas expliquées, mais compte tenu du fait qu’elles font partie de l’« éducation sexuelle », elles sont objectivement dérangeantes pour tout spectateur raisonnable.
Comme je l’ai fait remarquer dans un essai il y a plusieurs années, les histoires de ce type s’inscrivent dans un contexte historique essentiel : les révolutionnaires sexuels étaient, dans la plupart des cas, des « toiletteurs ». Wilhelm Reich, l’intellectuel qui a inventé le terme « révolution sexuelle », prônait la sexualisation de l’enfance. L’équipe Kinsey a facilité la maltraitance des enfants afin de démontrer, dans ses tristement célèbres rapports, que les êtres humains sont sexués de la naissance à la mort. Michel Foucault, quant à lui, était un violeur pédophile. Les exemples ne manquent pas.
1 réaction Lire la suiteUne nouvelle vidéo montre la réalité brutale de l’avortement
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Live Action/YouTube
13 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le groupe de médias pro-vie Live Action a posté sur X une vidéo montrant des images horribles de jeunes bébés démembrés et mutilés par l’avortement, soulignant que ce carnage est le résultat direct de ce que les pro-avortement appellent les « droits reproductifs ».
« Voici à quoi ressemblent les “droits reproductifs” », est-il écrit sur le compte Live Action en légende d’un montage vidéo montrant les corps défigurés de bébés déchiquetés par l’avortement, y compris des bébés à terme. La vidéo comprend également des séquences animées montrant comment les enfants sont le plus souvent avortés : déchiquetés lors d’un avortement par dilatation et évacuation (D&E) au cours du deuxième trimestre ou aspirés hors de l’utérus lors d’un avortement par dilatation et curetage (D&C) au cours du premier trimestre.
Il est à noter que X ne permet pas d’intégrer la vidéo pour la partager.
Plusieurs des bébés montrés font partie des cinq enfants avortés presque à terme découverts par les militantes pro-vie Lauren Handy et Terrisa Bukovinac en 2022 à l’extérieur d’un établissement d’avortement de Washington, D.C. dirigé par Cesare Santangelo.
1 réaction Lire la suiteMcDonald abandonne les politiques « woke » et s’engage à la place à respecter la « règle d’or »
Robby Starbuck.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Robby Starbuck/X
8 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le géant de la restauration rapide McDonald’s est la dernière grande entreprise en date à prendre ses distances avec les politiques de « diversité, d’équité et d’inclusion » (DEI), recadrant son approche de l’inclusion autour de la « règle d’or », plus universelle.
L’Associated Press rapporte que la chaîne prévoit abandonner les objectifs spécifiques de diversité pour les cadres supérieurs, mettre fin à un programme de formation à la diversité pour les fournisseurs et suspendre sa participation à des « enquêtes externes », telles que celles menées par le groupe de pression LGBT Human Rights Campaign (HRC).
« La position de McDonald’s et son engagement en faveur de l’inclusion sont inébranlables », a déclaré la direction de McDonald’s dans une lettre ouverte datée du 6 janvier. « Depuis notre création, nous sommes fiers de comprendre que le fondement de notre activité repose sur les personnes. Comme l’a dit Fred Turner, “Nous sommes une entreprise humaine, et ne l’oublions jamais”. »
1 réaction Lire la suiteUn juge fédéral annule les règles pro-LGBT du Titre IX de Joe Biden dans tout le pays
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Svitlana/Adobe Stock
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Les règles controversées pro-LGBT du Titre IX du président sortant Joe Biden sont illégales a statué jeudi le juge Danny C. Reeves dans une décision annulant la politique à l’échelle nationale.
En 2021, le ministère américain de l’Éducation (DOE), sous l’autorité de M. Biden, avait publié une directive à l’intention des éducateurs selon laquelle son Bureau des droits civils (OCR) interprète le titre IX — un ensemble de règles de longue date contre la discrimination sexuelle dans l’enseignement public — comme couvrant également « l’orientation sexuelle et l’identité de genre » et « appliquant pleinement » cette interprétation « dans les programmes et activités d’éducation qui reçoivent une aide financière fédérale du ministère ».
En février 2024, le ministère de l’Éducation a soumis à l’Office of Management & Budget (OMB) des États-Unis une règle finalisée sur le titre IX, publiée plus tard en avril, qui étend l’interdiction de la « discrimination » par le gouvernement fédéral pour y inclure la « discrimination fondée sur les stéréotypes sexuels, l’orientation sexuelle, l’identité de genre et les caractéristiques sexuelles ».
1 réaction Lire la suiteLes médias canadiens continuent de dissimuler l’horreur de la mutilation des enfants au nom du « genre »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Au Royaume-Uni, une interdiction nationale des bloqueurs de puberté pour les mineurs a été confirmée par la plus haute Cour du pays. Aux États-Unis, 26 États ont interdit les « traitements » de changement de sexe pour les mineurs.
Au Canada, une seule province — l’Alberta — a suivi le mouvement, et les activistes transgenres se battent bec et ongles pour empêcher l’ouverture d’un débat national sur les changements de sexe pour les enfants. Ils reconnaissent que pour maintenir leur emprise sur les politiques publiques, ils doivent contrôler le discours public — et la censure est le seul moyen d’y parvenir.
La pièce à conviction est le groupe militant transgenre « Fairy Godparents, London & Area », qui « riposte » (selon les termes de CTV News) à une série de publicités sur les bus actuellement diffusées à London (Ontario). Achetée par l’Association pour l’action politique réformée (ARPA), la publicité se lit comme suit : « Freinez les transitions médicales pour les mineurs ».
1 réaction Lire la suiteDes médecins canadiens préconisent l’euthanasie par don d’organes
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lenets tan/Adobe Stock
Logan Washburn a rapporté dans le Federalist du 8 janvier 2025 que les médecins canadiens poussent à l’euthanasie par don d’organes.*
Actuellement, l’euthanasie est liée au don d’organes au Canada, c’est-à-dire que les personnes dont l’euthanasie est approuvée sont également encouragées à faire don de leurs organes sains. Or, certains médecins et « éthiciens » canadiens font pression pour que la loi soit modifiée afin d’autoriser l’euthanasie par don d’organes.
Washburn rapporte :
1 réaction Lire la suiteDes médecins canadiens ont suggéré de tuer les victimes d’euthanasie en prélevant leurs organes, selon de nombreux rapports, des dénonciateurs et des entretiens publics. Les défenseurs de la liberté médicale documentent les liens émergents entre l’« aide médicale à mourir » (AMM) et le prélèvement d’organes.
« La meilleure utilisation de mes organes, si je dois bénéficier d’une mort médicalement assistée, pourrait être non pas de me tuer d’abord et de récupérer ensuite mes organes, mais de faire en sorte que mon mode de mort — tel que nous considérons médicalement la mort aujourd’hui — soit de récupérer mes organes », a déclaré Rob Sibbald, éthicien du London Health Sciences Centre dans l’Ontario.
Une ex-transgenre qualifie les interventions de « transition » de « pseudoscience » et de « charlatanisme »
Prisha Mosley.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a été persuadée de subir des interventions hormonales et chirurgicales pour « devenir » un « homme » et qui a, depuis, détransitionné, s’élève contre ce processus transgenre qui repose sur du « charlatanisme » et de la « pseudo-science ».
Prisha Mosley, maintenant âgée de 26 ans, luttait, à l’âge de 17 ans et à la suite d’un viol, contre l’anorexie et des idées suicidaires. Des conversations en ligne avec des activistes transgenres l’ont convaincue que sa détresse était due au fait que son « corps se battait pour être un garçon », comme elle l’a déclaré à Fox News.
Lorsqu’elle a fait part de ses idées aux professionnels de la santé qui tentaient de résoudre son anorexie, on lui a « presque immédiatement » donné des pilules hormonales qui ont perturbé son cycle menstruel.
Mme Mosley a mis en évidence l’irrationalité et le double standard absurde auxquels la profession médicale a recours lorsqu’elle aborde la dysphorie de genre.
« J’ai été traitée pour des croyances délirantes pendant un certain temps », a expliqué Mme Mosley à Fox News Digital. Mais lorsque j’ai exprimé un délire différent, à savoir « je suis né dans le mauvais corps » au lieu de « je suis grosse », alors que j’étais en train de mourir d’anorexie, j’ai été traitée médicalement pour cela.
1 réaction Lire la suiteLa prorogation du Parlement annule le projet de loi visant à retirer aux centres de grossesse pro-vie leur statut d’organisme caritatif
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
9 janvier 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — La fermeture du parlement par le premier ministre Justin Trudeau signifie que son projet de loi destiné à priver les centres de grossesse pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance est maintenant annulé, ce qui a été accueilli comme une « excellente nouvelle » par le principal groupe pro-vie et pro-famille du Canada.
« L’annonce de Trudeau de démissionner et de proroger le Parlement signifie que toutes les affaires du gouvernement et les projets de loi en suspens sont effectivement annulés », a écrit le directeur des communications de la Coalition nationale pour la Vie (CNV), Pete Baklinski, sur X mardi.
« Cela signifie donc que le projet de loi de M. Trudeau destiné à attaquer les centres de grossesse pro-vie en leur retirant leur statut d’organisme de bienfaisance s’ils refusent d’adhérer à sa politique en matière d’avortement, est mort sur la liste des affaires à venir. Merci de diffuser cette excellente nouvelle ».
M. Trudeau a annoncé lundi matin qu’il prévoyait quitter son poste de chef du Parti libéral une fois qu’un nouveau chef aura été choisi. La gouverneure générale Mary Simon l’a autorisé à proroger le parlement jusqu’au 24 mars. Cela signifie que, pour l’instant, il reste premier ministre, mais que tous les travaux parlementaires ont été interrompus.
1 réaction Lire la suiteLe christianisme est un rempart contre la marche inexorable de la culture de mort
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Max Pixel
6 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Dans le sillage du vote du 29 novembre en faveur du suicide assisté par le Parlement britannique, une citation du théologien américain Stanley Hauerwas a circulé sur les médias sociaux : « Dans cent ans, si les chrétiens sont identifiés comme des personnes qui ne tuent pas leurs enfants ou les personnes âgées, nous aurons bien travaillé ».
J’ai d’ailleurs ouvert un chapitre de mon dernier livre How We Got Here : A Guide to Our Anti-Christian Culture avec cette citation — et il semble de plus en plus que Hauerwas vivra assez longtemps pour voir ses paroles prémonitoires se réaliser.
Sky News a récemment publié une analyse du vote des députés, et il était révélateur de voir le rôle de la croyance religieuse dans le résultat.
Les parlementaires n’affichent pas toujours publiquement leurs opinions religieuses personnelles, mais lorsqu’ils sont officiellement initiés aux Communes, ils peuvent « soit choisir un texte religieux pour prêter serment, soit faire une “affirmation solennelle” sans texte religieux ». Selon Sky News :
1 réaction Lire la suiteParmi les 266 députés qui n’ont pas prêté serment sur un texte religieux lorsqu’ils ont rejoint le Parlement de 2024, le projet de loi a recueilli 192 voix pour et 60 voix contre, 14 n’ayant pas voté. Parmi les 377 députés qui ont prêté serment sur un texte religieux, une majorité a voté contre le projet de loi. Toutes religions confondues, 138 ont voté pour et 215 contre.
Sur les 266 députés qui ont fait une affirmation laïque, 72 % ont voté pour le projet de loi sur l’aide à mourir, 22 % ont voté contre. Sur les 377 députés qui ont prêté un serment religieux, 57 % ont voté contre et 37 % ont voté pour.
La famille d’un homme intente une action en justice après son euthanasie en Colombie-Britannique
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ipuwadol/Adobe Stock
La famille d’un homme de Colombie-Britannique souffrant de troubles bipolaires et de maux de dos chroniques poursuit les gouvernements fédéral et de la Colombie-Britannique ainsi que le Dre Ellen Wiebe après que l’homme soit mort par euthanasie dans des circonstances douteuses.
Jason Proctor de CBC News a rapporté le 18 décembre que :
1 réaction Lire la suiteDans une plainte déposée devant la Cour suprême de la Colombie-Britannique, la famille du défunt affirme que l’homme de 52 ans — connu sous le nom de JMM — faisait partie d’un groupe de personnes dont les maladies physiques et mentales concomitantes les rendent « vulnérables » en vertu du cadre canadien de l’aide médicale à mourir (AMM).
« JMM a reçu l’autorisation de bénéficier d’une aide médicale à mourir, mais il a par la suite indiqué qu’il ne souhaitait pas subir cette procédure et qu’il souhaitait plutôt poursuivre d’autres traitements, y compris la réadaptation », peut-on lire dans la poursuite.
« Malheureusement, tandis qu’il recevait un traitement à l’Hôpital St. Paul pour sa maladie invalidante, JMM a quitté l’hôpital avec une permission de jour, s’est rendu dans une clinique l’après-midi et est mort à la suite de l’administration abusive de l’aide médicale à mourir. »