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30 octobre : entrée en vigueur des demandes anticipées d’euthanasie au Québec


Sonia Bélanger, ministre déléguée de la Santé et responsable des Aînés du Québec.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada info/YouTube

Le 30 octobre 2024, les demandes anticipées d’euthanasie en raison de maladie neurodégénérative, comme l’Alzheimer, entrent en vigueur au Québec.

Le gouvernement du Québec se dit prêt, selon Sonia Bélanger, ministre déléguée de la Santé et responsable des Aînés du Québec, après maintes consultations auprès du Collège des médecins du Québec, l’ordre des infirmières et infirmiers du Québec et autres institutions à mettre en œuvre ces demandes anticipées, bien malgré, d’ailleurs, le fait qu’Ottawa n’ait pas modifié le Code criminel pour permettre une telle pratique.

Le ministère de la Justice du Québec a ordonné au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) de produire une directive disant de ne pas poursuivre les médecins qui appliqueraient les demandes anticipées.

Lors de son émission le 28 octobre « Les coulisses du pouvoir », Daniel Thibault a demandé à Sonia Bélanger si les 7 % de décès au Québec que représente l’« aide médicale à mourir » (l’euthanasie) ne seraient pas « beaucoup ». Mme Bélanger a répondu que oui c’était « beaucoup », mais que l’on observerait une stabilisation dans le nombre d’AMM avec 9 % d’augmentation en 2023-2024, par rapport à des progressions pouvant aller jusqu’à 30 % à 40 % les années précédentes. Beaucoup... mais pas trop ?

Déjà une euthanasie c'est trop.

La vie a-t-elle si peu de valeur au Québec pour que l’on veuille ainsi anticiper l’heure de la mort ?

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Il y aura plus de décès que de naissances au Québec en 2027

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (montage) : Pxfuel/Nathan Sugg/Wirestock/Adobe Stock

Selon les estimations de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), le nombre de décès devrait dépasser celui des naissances en 2027. Bien que la population continue à croître à cause de l’immigration, le Québec selon les prévisions de l’ISQ devant atteindre les 10 millions dans 20 ans, l’« accroissement naturel » de la population québécoise plafonnera d’ici 2027. Selon Le Devoir :

À l’instar de nombreux pays occidentaux, l’accroissement naturel de la population québécoise plafonnera d’ici trois ans, estime l’ISQ. Il est déjà négatif depuis quelques années au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, en Mauricie et plus récemment au Saguenay–Lac-Saint-Jean.

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Quand commence la vie humaine ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Alfons Photographer/Adobe Stock

Quand commence la vie humaine ? C’est une question pour ainsi dire vitale, notamment pour déterminer ce qui est un être humain et ce qui ne l’est pas, question qui détermine au fond la légitimité ou l’illégitimité de l’avortement.

Dans une vidéo intitulée « Quand Commence la Vie Humaine? Réponse Scientifique sur l’Avortement », le groupe québécois pro-vie Action Vitale expose les faits scientifiques qui démontrent que l’être humain est un être humain dès sa conception.

À partir de cette certitude, se pose naturellement la question suivante concernant l’avortement : est-il légitime de tuer un être humain à naître ? La réponse est non, puisqu’il s’agit d’un être humain.

Dans une seconde vidéo intitulée « L’Incohérence des Scientifiques Pro-Avortement : Quand les Faits ne Suffisent Plus », Action Vitale répond aux arguments niant la valeur de l’enfant à naître sur la base de leur développement, arguments spécieux qui, s’ils sont appliqués jusqu’à leurs extrémités logiques pourraient s’étendre aux êtres humains déjà nés, qui sont à divers niveaux de développement, de capacité et d’autonomie.

Dans une troisième vidéo intitulée « Situations Difficiles et Avortement : Un Crime Justifie-t-il un Autre? », Action Vitale expose les raisons pour lesquelles il n’est pas juste de mettre fin à la vie de l’enfant à naître dans les cas de viol. En effet, l’enfant à naître étant innocent, il serait injuste de le punir pour le crime de son géniteur, pas plus qu’il ne serait juste de tuer un enfant déjà né pour les crimes de son père. Tout en reconnaissant la tragédie que subissent les femmes victimes de viol, nous ne pouvons pas répondre à leur traumatisme par l’avortement.

Dans un prochaine vidéo, Action Vitale traitera de la question de l’avortement en cas de danger pour la vie de la mère.

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Chaîne de la Vie 2024


Chaîne de la Vie au croisement du Boulevard Le Carrefour et l’Avenue Terry-Fox à Laval, le 6 octobre 2024.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Le dimanche 6 octobre, près de 350 chaînes ont eu lieu au Canada, dont une vingtaine au Québec. La Chaîne de la Vie est un événement de prière et de manifestation pacifiques et silencieuses pour promouvoir la protection de l’enfant à naître, c’est-à-dire, le protéger de l’avortement. Deux chaînes ont également été tenues au Togo en Afrique par le groupe Vie Féconde, inspiré par notre action au Québec.

Voici des photos de plusieurs de nos chaînes au Québec :


Boulevards Saint-Michel et Crémazie

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Des milliers de Canadiens protestent contre l’endoctrinement LGBT à l’école


Manifestation à Ottawa le 20 septembre 2024.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : David Krayden/X

Le 20 septembre 2024, des milliers de citoyens dans plus de 50 villes au Canada ont manifesté contre l’endoctrinement de l’idéologie LGBT à l’école.

À Montréal, la marche organisée par le groupe « Ensemble pour protéger nos enfants » a réuni une présence importante, comprenant des parents avec leurs enfants et des membres de Campagne Québec-Vie. Les participants ont dû faire face à une contre-manifestation, plus nombreuse encore et bien organisée, qui a à plusieurs reprises entravé la progression de la marche. Ce qui laisse penser qu’il ne s’agissait pas principalement de simples citoyens en désaccord, mais de militants LGBT qui reçoivent probablement du financement du gouvernement de Justin Trudeau.


Participants à la Marche un million pour les enfants, Montréal, 20 septembre 2024. — Photo : Arpad Nagy

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Les démocrates ont fait de leur congrès de cette année celui de l'avortement


L'autobus-avortoir de Planned Parenthood.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X

20 août 2024, Chicago (LifeSiteNews) — Selon le groupe d’action politique « Evangelicals for Harris », le congrès démocrate (DNC) a été jusqu’à présent un modèle de piété. « Si vous voulez voir l’amour du Christ, il était en pleine évidence l’autre soir au DNC », s’enthousiasment-ils sur X. « De l’alimentation des affamés au logement des mal-logés en passant par l’attention à nos voisins, Kamala Harris et ses partisans nous montrent un chemin aligné sur ses enseignements. »

Si vous avez remarqué la dérive vers la gauche de Christianity Today au cours des dernières années, ce n’est pas un hasard si l’un des « Évangéliques pour Harris » les plus influents, Claude Alexander, est le président du conseil d’administration du Gordon-Conwell Theological Seminary et siège aux conseils de Christianity Today, du Council for Christian Colleges and Universities (CCCU), de l’InterVarsity Christian Fellowship, de BioLogos et d’autres organisations de grande envergure.

M. Alexander pense également que l’avortement devrait être légal. L’expression « Évangéliques pour Harris » a autant de sens que l’expression « Avorteurs pour les bébés ». Je ne sais pas quel DNC ces collabos spirituels ont regardé jusqu’à présent, mais ce que le reste d’entre nous a vu au cours des derniers jours et demi met en évidence le fait que Kamala Harris et Tim Walz ne sont pas seulement les candidats de l’avortement qui conduisent une élection sur l’avortement — l’extravagance démocrate de cette année pourrait également être appelée à juste titre le congrès de l’avortement.

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Le gouvernement québécois veut instaurer les demandes anticipée d'euthanasie pour les personnes atteintes d'Alzheimer

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : aijiro/Adobe Stock

Le gouvernement du Québec va permettre les demandes anticipées d’euthanasie pour les personnes atteintes de maladies graves, comme l’Alzheimer, dès cet automne, et ce, bien qu’Ottawa n’ait pas changé le Code criminel à ce sujet.

Le Québec s’est doté le 7 juin 2023 d’une loi autorisant demandes anticipées. Il a depuis demandé à plusieurs reprises à Ottawa de changer le Code criminel, ce que ce dernier n’a toujours pas fait et ne fait pas mine de le faire. En dépit de quoi, le gouvernement québécois s’apprête à autoriser quand même les médecins à appliquer les demandes anticipées. Léa Fortin, attachée de presse du ministre des Aînés Sonia Bélanger, a déclaré : « On va être prêt, on va aller de l’avant. Nous ce qu’on souhaite, c’est que [le fédéral] change son Code criminel, mais s’il ne le change pas, on travaille en parallèle nos options », rapporte La Presse.

Selon Léa Fortin, les demandes anticipées d’euthanasie feraient l’objet d’un large consensus au Québec : « C’est un consensus au Québec. C’est une démarche transpartisane, les usagers, les parlementaires, les professionnels ; tout le monde est d’accord pour aller de l’avant avec l’AMM ». Pas moi, en tout cas. Le gouvernement québécois fera des annonces cet automne.

Selon Patrick Taillon, constitutionnaliste et professeur de droit à l’Université de Laval, Québec peut aller de l’avant avec la question des demandes anticipées, rapporte La Presse :

« Qui dépose les accusations ? C’est l’État québécois. Et si l’État québécois dit, par le biais d’une directive, […] quand ça respecte nos lois, on ne dépose jamais d’accusation, eh bien il n’y en aura pas de problème », explique-t-il.

Le constitutionnaliste affirme qu’« Ottawa ne pourrait pas poursuivre les médecins » québécois qui administreraient l’AMM dans le cadre d’une demande anticipée.

Ruba Ghazal et Christine Labrie, députés de Québec solidaire, ont même écrit une lettre dans laquelle elles affirment que le Québec pouvait passer outre Ottawa, comme il l’a fait en 2015 avec sa première loi sur l’euthanasie.

Comme en 2015 ? À cette époque la décision Carter dépénalisant l’euthanasie venait d’être rendue et Ottawa ne s’était pas encore doté de loi. La Cour suprême du Canada avait donné un an à Ottawa pour ce faire, suspendant l’application de son jugement. Aussi, le Québec enfreignait-il le Code criminel quand il adopta sa loi sur l’euthanasie. Et Ottawa n’a rien fait, laissant le Québec piquer ses citoyens avant même qu’il ne l’y eût autorisé, déplorable précédent d’inaction de la part du gouvernement fédéral. Car je ne pense pas qu’Ottawa soit totalement dépourvue de moyen face à une province qui ne respecterait pas son Code criminel. Ce sur quoi le gouvernement du Québec compte en fait, c’est sans doute, encore une fois, l’inaction d’Ottawa, sur un sujet sur lequel ce dernier lui-même est plus que désireux d’avancer.

On peut être sûr que d’autres provinces prendront exemple sur le Québec si Ottawa n’intervient pas.

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Le Pèlerinage Marie Reine du Canada


Les pèlerins au bord de la route avec la statue de la Vierge pèlerine en tête.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : Bénédicte Soulard

Depuis que le Québec et le Canada ont rejeté leur foi, ils n’ont cessé de tomber de fléau en fléau : contraception, avortement, « mariage gay », euthanasie, transgenrisme, etc. Pour que notre nation connaisse un renouveau moral, il lui faut également un renouveau spirituel. La société peut bien se munir de béquilles pour clopiner et vivoter encore quelque temps, si elle ne reconnaît pas à Dieu la place qui Lui est due, elle court à sa perte.

C’est pourquoi il est important d’encourager les événements et les mouvements promouvant la foi chrétienne, ainsi que d’y participer. Je veux vous parler ici de l’un de ces événements qui promeuvent la foi chrétienne, tout en fortifiant la foi de ses participants : le pèlerinage.

Connaissez-vous le Pèlerinage Marie Reine du Canada ? C’est un pèlerinage qui a lieu chaque année entre Saint-Joseph-de-Lanoraie et le Cap-de-la-Madeleine, lors de la fin de semaine de la fête du Travail. D’une durée de trois jours et s’étendant sur 100 km (environ), le pèlerinage vous emmène à pied à travers la campagne, à travers Sainte-Geneviève-de-Berthierville, Saint-Joseph-de-Maskinongé, Louiseville, Sainte-Anne-de-Yamachiche, Pointe-du-Lac, Trois-Rivières et le Cap-de-la-Madeleine, où finalement, les pèlerins se rendent au sanctuaire Notre-Dame-du-Cap.

Ce pèlerinage, qui s’inspire du grand Pèlerinage Notre-Dame-de-Chrétienté à Chartres, est organisé depuis 2003 par des paroissiens de Saint-Clément d’Ottawa.

Mais qu’est-ce qu’un pèlerinage ?

Le pèlerinage est une ancienne pratique dans l’Église catholique. Le but d’un pèlerinage est toujours un lieu de dévotion, un lieu qui a été marqué par la vie d’un saint (en Terre Sainte, il ne s’agit pas moins que des lieux où a vécu le Christ Lui-même), un lieu de miracles ou d’apparitions. Un pèlerinage peut être réalisé pour implorer une grâce du ciel, ou en remerciement des prières exaucées ou pour remplir un vœu (Jacques Cartier en 1535 fit vœu de se rendre à Notre-Dame de Rocamadour si lui et son équipage étaient guéris du scorbut). Un pèlerinage est également une pénitence pour expier ses péchés, pour obtenir sa propre conversion ou celle d’un autre. Il s’agit, enfin, d’une dévotion au saint dont le sanctuaire est le but du pèlerinage.

Le sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, qui a vu de grandes foules de pèlerins, a été le lieu du miracle du pont de glace ou « pont des chapelets », d’une apparition de la Vierge (le « prodige des yeux ») et de plusieurs guérisons. Il s’agit également du lieu où a si souvent prêché le bon Père Frédéric Jansoone.

Le pèlerinage de 2024, 31 août au 2 septembre, a pour thème Notre-Dame des Sept Douleurs. Chaque journée du pèlerinage porte également sur un saint. Le 31 août : saint Gabriel de l’Addolorata. Le 1er septembre : sainte Brigitte de Suède. Le 2 septembre : bienheureuse Émilie Tavernier.

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Réactions internationales au blasphème de l'ouverture des Jeux olympiques

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ibex73/Wikimedia Commons

Les Jeux olympiques de Paris battent leur plein pour la joie ou le désarroi de ses adeptes. Peut-être davantage à la consternation de nombreuses personnes de voir des hommes « intersexués » (ils ont XY dans leurs gènes, mais le caractère apparent de leur sexe était incertain à la naissance) concourir dans les catégories féminines comme la celles de boxe...

Si ce n’était que ça !

La cérémonie d’ouvertures des jeux, qui a eu lieu le 26 juillet, a donné lieu à un blasphème répugnant contre le christianisme. La Cène, ou l’institution de l’Eucharistie, la première messe, le sacrifice anticipé du Christ, le dernier repas de Jésus avec ses apôtres, a été parodié dans un tableau vivant composé de lesbiennes, de drag-queens et autres personnages au sexe incertain qui a servi de décor à l’irruption d’une sorte de Bacchus bleu pratiquement à poil (précisons qu’au milieu de toutes ces horreurs il y avait un enfant...). Selon les premières communications des participants mêmes de la mise en scène, il s’agissait d’une parodie de la Cène de Vinci.

Qu’est-ce qu’une parodie de la Cène pouvait bien faire au milieu de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques ? Cela n’a assurément rien à voir avec l’esprit de l’événement sportif qui, rappelons-le n’est pas censé avoir d’éléments religieux selon la règle 50.2 de la charte olympique (à part, bien sûr la cérémonie du flambeau olympique qui met, du moins symboliquement, les jeux sous la protection d’Apollon...).

Cette attaque gratuite contre le christianisme, ce blasphème hideux et obscène dont ont été témoins des millions de téléspectateurs a suscité une vive indignation à travers le monde.

La réaction a été telle que le metteur en scène Thomas Jolly a prétendu que son spectacle n’avait rien à voir avec la Cène... un peu tard sans doute, France TV n’avait-il pas écrit sur X dès le départ « Une mise en Cène LE-GEN-DAIRE » ? Des vidéos de la cérémonie d’ouverture publiées pas les médias ont été depuis retirées.

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Le gouvernement Trudeau injecte 400 000 $ dans le Canadian Anti-Hate Network pour combattre la « haine »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Stockking/Freepik (modifiée)

Connaissez-vous le Canadian Anti-Hate Network (CAHN) ? C’est un organisme non gouvernemental qui prétend combattre la « haine ». Le CAHN a reçu du gouvernement du Canada 400 000 $ pour combattre la « haine » des groupes d’« extrême droite ». À recevoir autant d’argent du gouvernement, ça fait en quelque sorte du CAHN une extension de ce premier.

Et quelle est cette haineuse et redoutable extrême droite ?

Pete Baklinski, directeur des communications de la Coalition nationale pour la vie, écrit sur X au sujet des récents subsides octroyés par le gouvernement au CAHN :

Amis canadiens, j’ai un message urgent que vous devez lire et partager.

Un groupe financé par le gouvernement fédéral et dont la mission est prétendument de lutter contre la « haine » au Canada vient de révéler que les 440 000 dollars qu’il a récemment reçus des libéraux de Trudeau seront employés à neutraliser les individus et les groupes qu’il considère comme étant « d’extrême droite ».

Le Canadian Anti-Hate Network (CAHN) a annoncé le 10 juillet que la subvention servira à embaucher un chercheur qui produira « une recherche de niveau universitaire avec des applications pratiques pour empêcher la croissance de l’extrême droite ».

En d’autres termes, il s’agit d’écraser ces individus et ces groupes.

Dans un tweet subséquent, M. Baklinski demande « Et qui sont les individus et les groupes que le Canadian Anti-Hate Network étiquette d’“extrême droite” ? ».

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