Prions pour que Dieu accorde sa miséricorde à la reine, elle qui avait donné son assentiment à la légalisation de l’avortement
La reine Elizabeth II du Royaume-Uni et du Commonwealth.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : The Royal Family/Twitter
La Reine Elizabeth II du Royaume-Uni et des Royaumes du Commonwealth, dont le Canada, est décédée tout récemment, hier en fait. Elle était ma souveraine, bien que je sois Canadien français et catholique et que son règne fut somme toute symbolique ; aussi ai-je un certain devoir à son endroit de prier pour le repos de son âme.
Combien de gens ne l’aimaient-ils pas autrement dans le monde anglophone et parmi ses sujets ! – tendresse qui rayonnait sans doute plus loin que la Grande-Bretagne et ses colonies. Nombre d’Anglais ont pleuré la mort d’Elizabeth II, elle qui avait régné pendant 70 ans !
Mais il y a une raison encore plus importante de prier pour que Dieu étende spécialement sa miséricorde à elle, particulièrement qu'Il lui pardonne d'avoir signé la Loi sur l’avortement (Abortion Act) en 1967, permettant le meurtre des enfants à naître jusqu’à la 28e semaine de grossesse.
Son rôle est peut-être, me direz-vous, assez mineur puisque les souverains du Royaume-Uni apposent systématiquement la Sanction Royale aux lois votées par le parlement britannique depuis plusieurs siècles, et que, cela étant devenu une tradition fermement établie, elle ne pouvait en pratique empêcher aucune loi qui lui était présentée.
Oui et non. Même si le gouvernement qui exerce le pouvoir (ou gouvernement « réel ») aurait pu sans doute contourner le gouvernement officiel de la reine, elle pouvait, en théorie du moins, mettre son veto à toute loi déplaisant à Sa Majesté. Qu’en eût-il résulté ? Sans doute un ternissement de l’image « démocratique » du système britannique ; mais ne vaut-il pas mieux sauver monarchiquement ses sujets que de ratifier démocratiquement leur meurtre ? La fin de la monarchie ou du moins la perte du statut de législateur suprême eût peut-être été l’aboutissement d’un tel geste.
Mais la popularité de la reine aurait peut-être aussi suffi à faire reculer parlement et ministres avec leurs lois macabres, du moins en Grande-Bretagne ; a contrario, la reine use de sa popularité pour soutenir des lois immorales.
1 réaction Lire la suiteElon Musk, l’homme le plus riche au monde : « j’espère que vous avez une grande famille »
Elon Musk.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Duncan Hull/Wikimedia Commons
Elon Musk — outre qu’il soit le propriétaire de Tesla et de SpaceX, et maintenant l’homme le plus riche au monde — fait la promotion des familles nombreuses. Dans un tweet récent, il écrivait : « J’espère que vous avez une grande famille, et je félicite ceux qui en ont déjà une ! »
Elon Musk, qui comptait sept enfants (avec différentes femmes malheureusement) a accueilli des jumeaux, disant qu’il fait de son mieux pour « lutter contre la crise de la dépopulation ».
Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk contredit d’autres puissants milliardaires ou personnalités, comme Bill Gates, Paul Ehrlich, Jeffrey Sachs, Rockefeller et autres promoteurs du contrôle si ce n’est de la réduction de la population (qui prétendent « lutter » contre la « surpopulation », le « changement climatique » ou la pauvreté), affirmant que le plus grand danger auquel le monde fait face n’est pas la surpopulation, mais bien le dépeuplement : « Je pense que l’un des plus grands risques pour la civilisation est le faible taux de natalité et le taux de natalité en déclin rapide... Si les gens n’ont plus d’enfants, la civilisation va s’effondrer. »
Certes, Elon Musk n’est pas un saint et a de gros défauts, outre le manque de cohérence puisque sa compagnie Tesla paye les frais de voyages aux employées allant se faire avorter en dehors des États américains où cela n’est plus possible pour elles, souligne la réplique de LifeNews à son tweet.
Mais il vaut mieux un milliardaire qui dénonce le dépeuplement plutôt qu’un milliardaire qui l’encourage.
1 réactionLe Collège des médecins du Québec retire l’échographie obligatoire avant la prescription de la pilule abortive
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Auparavant, pour la prescription d’une pilule abortive, une échographie était requise afin de déterminer avec le plus de précision possible l’âge de l’enfant à naître à tuer — ou détecter une possible grossesse ectopique.
Maintenant, en réponse à une lettre de 300 médecins qui réclamaient la levée de l’obligation de l’échographie, le Collège des médecins du Québec a retiré cette mesure — il faut dire que pendant la durée des mesures « sanitaires » les plus strictes, cette obligation avait été temporairement levée, sous prétexte de « difficultés d’accès ».
Parmi les raisons hautement scientifiques, qui conduisaient les médecins protestataires à demander l’annulation de l’échographie obligatoire, vient celle de la spécificité de la mesure au Québec, rapporte TVA Nouvelles :
« Il n’y a pas de raison que le Québec ait des lignes directrices spécifiques au Québec. On n’a pas des utérus distincts ici », s’exclame la Dre Geneviève Bois, médecin de famille et signataire de la lettre.
J’objecterais que si on fait plus mal ailleurs, ce n’est pas une raison pour faire de même ici.
Pour appuyer leurs prétentions, ils citent une étude censée démontrer selon eux l’inutilité de l’échographie — et par extension, de la consultation en personne — pour éviter des dangers autrement évitables. TVA Nouvelles rapporte :
1 réaction Lire la suite« On s’est aperçu qu’on avait quand même des études très fiables qui démontraient des dizaines de milliers de femmes qui ont eu accès, par télémédecine, à l’avortement médical, et sans échographie, et que la procédure était très fiable avec des taux de succès de 98,99 pour cent. La science est là », affirme la Dre Diane Francoeur, directrice générale de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada.
Quand les médias essaient de vous faire croire que l’on condamne des femmes pour une fausse couche là où on punit l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Plusieurs grands médias on relayé, avec un empressement qui trahit l’idéologie à laquelle ils adhèrent, la nouvelle effroyablement… fausse comme quoi une femme aurait été condamnée au Salvador à 50 de prison pour une fausse couche ! les autorités étant fabuleusement dépourvu de bon sens et confondant avortement provoqué avec avortement spontané.
À vrai dire, ce sont bien plutôt les rapporteurs de la « nouvelle » qui fabulent, si ce n’est qu’ils mentent. En fait, rapporte Le Salon Beige, il s’agit d’une femme qui a dissimulé sa grossesse à sa famille et qui, ayant accouché en dehors de tout lieu médical, a tué son nouveau-né de six coups de couteau — c’est ce qu’on appelle un infanticide, et non une fausse couche… C’est pour ce crime abominable qu’elle a été condamnée à 50 ans de prison.
#Condena I A 50 años de prisión fue condenada Lesly Lisbeth Ramírez, de 23 años de edad, por el Homicidio Agravado en perjuicio de su hija recién nacida.
— Fiscalía General de la República El Salvador (@FGR_SV) June 29, 2022
Los hechos sucedieron el 17 de junio del 2020, al interior de una vivienda en el cantón El Volcán de San Miguel. pic.twitter.com/HjhcUee85P
Ce qui m’inquiète avec ces médias, c’est que soit ils sont trop empressés et ne vérifient pas, soit ils affabulent, soit ils sont malhonnêtes, ou les trois à la fois à des degrés divers.
1 réactionBonne Saint-Jean-Baptiste !
Saint Jean le Baptiste prêchant, par Mattia Preti.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : The AMICA Library/Wikimedia Commons
Campagne Québec-Vie vous souhaite une bonne Saint-Jean-Baptiste, tout spécialement aux Canadiens français dont c’est le saint patron attitré.
Qu’il nous garde dans la foi et ramène ceux qui s’en sont éloignés.
Qu’il nous inspire également le courage de témoigner jusqu’au bout, même si cela doit nous coûter la tête.
1 réactionGrâce à la loi du Texas, des femmes n'ont pu avorter leurs bébés — elles ne le regrettent pas
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Marira Korneeva/Adobe Stock
Cela fait près de dix mois que le Texas a réussi à mettre en vigueur une loi protégeant l’enfant à naître dès que leurs battements de cœur sont détectables. Malgré toutes les poursuites dont elle a fait l’objet elle est toujours en place, sauvant des bébés de l’avortement. Mais qu’en disent les femmes qui, pour certaines, ne peuvent se rendre à l’avortoir le plus proche ou trouvent que cela présente trop d’inconvénients ? Certaines ont décidé de ne pas mettre fin à leur grossesse devant la longueur du voyage à faire, des centaines de dollars à dépenser, ou tout simplement qu’elles ne pussent pas s’absenter de leur travail.
L’une d’elles, Brooke Alexander, voulait un avortement, mais voyant son bébé sur l’échographe, ou plutôt ses bébés puisqu’il s’agissait de jumelles ! elle changea tout à fait d'avis. Elle ne peut qu’être effrayée maintenant à la pensée qu’elle aurait pu perdre les deux trésors qu’elle chérit, si la loi ne l’en avait empêchée. Selon Le Salon Beige :
Brooke a eu une paire de jumelles. En regardant ses filles, Brooke a du mal à exprimer ses sentiments sur l’avortement. D’un côté, dit-elle, elle croit absolument que les femmes devraient avoir le droit de choisir ce qui est le mieux pour leur propre vie. D’autre part, elle savait que, sans la loi texane, ses bébés ne seraient peut-être pas là.
« Qui peut dire ce que j’aurais fait si la loi n’avait pas été en vigueur ? Je ne veux pas y penser. » « C’est vraiment effrayant de penser que je ne les aurais pas ».
La directrice générale du Pregnancy Center of the Coastal Bend, un centre pro-vie où Brooke s’est présentée lorsqu’elle était enceinte, raconte que Brooke, accompagnée de sa mère, était en colère. Mais dès qu’elles ont vu l’échographie, tout a changé.
« Le moment où nous avons posé la baguette sur son joli ventre et où deux bébés sont apparus… ça les a fait fondre. »
L’année dernière, 583 femmes désireuses d’avorter ou vulnérables à l’avortement ont choisi de poursuivre leur grossesse après avoir visité leur établissement.
Brooke ne regrette pas : elle a deux bébés qu’elle aime plus que tout au monde.
Et cela parce que des législateurs pro-vie ont cru en l’humanité de l’enfant à naître et de son droit à la vie.
1 réactionBonne Fête des Pères !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie souhaite une bonne Fête des Pères à tous les pères, vous êtes le pilier et le soutien de votre famille.
Être père signifie prendre ses responsabilités, et souvent de lourdes responsabilités. Quand les pères accueillent une nouvelle vie, qu’ils s’opposent à l’avortement, ils montrent par là leur rôle fondamental : protecteur de la famille.
Aujourd’hui à lieu une autre fête à laquelle j'ai assisté, bien plus importante encore, la Solennité de la Fête-Dieu.
Quel beau dimanche nous eûmes !
Après une magnifique messe solennelle, une grande procession sortit de l’église Sainte-Anne, porte-croix et acolytes en tête, suivis des premiers communiants — les premières communiantes en robe immaculée jetaient des pétales de roses sur le chemin du Saint-Sacrement —, puis les autres servants de messe. Sous un dais porté par quatre hommes, le curé portait l’Eucharistie dans un ostensoir doré, précédé des thuriféraires et accompagné des chants de la chorale qui suivait. Enfin, venaient 500 fidèles environ.
Le lieu du reposoir (lieu où l’on s’arrête un moment avec le Saint-Sacrement) était dans un parc à quelque distance de l’église, un kiosque en guise de chapelle !
Là, dans la rue, un individu enragé à la vue de la procession criait et gesticulait ; quelques hommes sont restés le long du trottoir afin de s’assurer que l’énergumène ne causerait de tort à personne, jusqu’à ce qu’il fût parti.
Après, le retour à l’église, où se termina la procession de la solennité de la Fête-Dieu.
1 réactionLes conservateurs se font envoyer une boîte de cintres par des pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrzej Tokarski/Adobe Stock
Les cintres, normalement, servent à suspendre ses vêtements, comme une chemise ou un manteau. Cependant, selon les pro-avortement, il servirait également de moyen d’avorter, employé par les femmes désespérées de ne pouvoir tuer autrement leur bébé, ces dernières mourant par conséquent d’une méthode aussi précaire — conte à dormir debout s’il en est d’hécatombe de femmes blessées, manque d’avortement légal et sécuritaire. Plusieurs études démontrent, chiffres à l’appui, qu’il n’y a pas davantage de décès maternels dans les pays où l’avortement est interdit ou plus restreint qu’ailleurs (il y en a même moins…), et par conséquent, que le cintre n’est pas employé comme méthode de « secours ».
Un groupe d’étudiants de Sherbrooke cependant s’en tient à la légende selon laquelle les femmes seraient assez insensées pour recourir à un moyen aussi dangereux. Selon Le Soleil :
« La criminalisation de l’avortement a longtemps été et est toujours une grande cause de morts dans plusieurs endroits du monde et ça force les femmes à se replier sur des moyens insalubres et barbares comme les cintres… »
Lesdits étudiants sont les expéditeurs d’un paquet de cintres métalliques au Parti conservateur — ils forment un groupe qui se veut quelque peu facétieux (du moins le croient-ils) et qui arbore le pseudonyme de « Duc de Sherbrooke ».
Leur geste est sensé ouvrir les yeux aux députés du Parti conservateur sur l’enjeu de l’avortement et les pousser à prendre officiellement position en faveur de l’avortement, pour contrer les pro-vie qui s’affirment dans la course à la chefferie du parti — le tout sur fond de trame d’une Cour suprême américaine qui pourrait annuler Roe vs Wade. Une lettre accompagnait le colis, selon Le Soleil :
« Il nous est inconcevable qu’une institution politique aussi importante que la vôtre soit incapable de s’entendre sur le fait que ce droit doit être protégé, peu importe le prix »
Que demandent-ils par là ? Qu’une seule opinion seulement soit possible au sein du parti, et celle en faveur de l’avortement ?
Les membres du Duc de Sherbrooke, ayant communiqué anonymement avec La Tribune, disent avoir consulté les quelque 1600 abonnés de la page Instagram du groupe sur la possibilité de poser un geste afin d’attirer l’attention sur la question de l’avortement, notamment dans la perspective de la fuite d’un document de la Cour suprême américaine qui laissait entrevoir la possibilité d’un renversement de Roe vs Wade. Selon Le Soleil :
« Cet événement a causé beaucoup d’angoisses quant au traitement futur des cas d’agressions sexuelles. La majorité écrasante de nos abonnés (86 %) voulaient que nous agissions dans ce sens. »
Des « angoisses quant au traitement futur des cas d’agressions sexuelles » ? Je ne saisis pas exactement. Craindraient-ils que les femmes devenues enceintes suite à un viol ne puissent plus se faire avorter ? Cela est hautement improbable aux États-Unis où la plupart des lois les plus restrictives sur l’avortement le permettent en cas de viol. Qu’ils soient rassurés ! Les femmes pourront encore tuer leur bébé si celui-ci a été conçu lors d’un viol (bien qu’il soit totalement innocent et que son existence soit une chose distincte du viol lui-même)…
1 réaction Lire la suitePlus de 4000 rapports de fausses couches de femmes vaccinées au covid dans le VAERS
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pormezz/Adobe Stock
Tamara Ugolini, journaliste du Rebel News, rapporte la teneur d’un entretien qu’elle a eu avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste où cette dernière parle de ses analyses des données du VAERS, notamment les quelque 4000 rapports volontaires de fausses couches chez les femmes vaccinées au covid, un nombre qui serait à multiplier par 31 à cause de la sous-déclaration. Selon le Rebel News :
Dans cet entretien, nous discutons de cette tendance avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste. Mme Rose m’a déjà rejoint pour discuter des analyses qu’elle a réalisées et qu’elle continue d’effectuer sur les données du système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) des Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis.
Mme Rose note que certains rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS sont devenus si nombreux qu’ils sont trop lourds à analyser sur le plan informatique.
Dans la base de données VAERS, selon le décompte de Mme Rose, il y a eu à ce jour 4 474 rapports d’avortements spontanés (c’est-à-dire de fausses couches) soumis après l’injection d’un vaccin covid. Mme Rose suppose qu’il existe un facteur de sous-déclaration de l’ordre de 31, de sorte que la multiplication de ces événements signalés par le facteur de 31 est susceptible de donner une représentation plus fidèle du profil des événements indésirables.
Ces résultats ne sont en fait pas étonnants si l’on considère, comme le souligne le Dr Rose, que les protéines de pointe (spike proteins) ne restent pas dans le lieu d’injection, mais circulent dans tout le corps, pour se concentrer dans les organes tels que le foie, la rate… ou les ovaires.
On peut certainement mettre en lien avec ces faits le nombre important de signalements de troubles menstruels de femmes vaccinées au covid auprès du Réseau français des centres de pharmacovigilance.
1 réactionAutres centres pro-vie incendiés par des pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock
D’autres centres pro-vie ont été incendiés par des pro-avortement tentant d’intimider leurs opposants par des gestes de violences, dans l’expectative d’un jugement de la Cour suprême des États-Unis qui pourrait annuler l’arrêt Roe vs Wade. Les partisans de l’avortement, devant la possibilité que le jugement empêchant les États américains de légiférer selon leur souhait sur la question de l’avortement fût révoqué, explosent de rage, se répandant en manifestations illégales devant la demeure des juges de la Cour suprême, allant jusqu’à les menacer de mort, et à brûler des centres pro-vie.
Selon LifeNews :
Les militants radicaux de l’avortement, qui ont incendié à la bombe les bureaux de groupes pro-vie dans le Wisconsin et l’Oregon, ainsi qu’un centre de grossesse à Buffalo, dans l’État de New York, et qui ont vandalisé plus d’une douzaine d’églises et de centres de grossesse, ont encore frappé.
Aujourd’hui, moins d’une semaine après que des pro-avortement eussent incendié le centre de grossesse de Buffalo, un autre centre de grossesse a été incendié à Gresham, dans l’Oregon.
Le Gresham Pregnancy Resource Center a été incendié samedi matin, selon les responsables du centre de grossesse. D’après les premières investigations de la police et des pompiers, il semblerait qu’un engin incendiaire ait été jeté par une fenêtre.
[...]
La division de Seattle du Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF) a déclaré qu’elle enquêtait sur cet incendie criminel. Les graffitis laissés sur le bâtiment par les incendiaires ressemblent à ceux laissés par des pro-avortement qui ont frappé ailleurs dans le pays.
Jane’s Revenge a revendiqué avoir jeté une bombe incendiaire dans le centre d’une organisation pro-vie à Madison dans le Wisconsin, en mai, et pourrait être responsable de l’incendie des bureaux de l’Oregon Right to Life au cours du même mois. Ce groupe a également vandalisé et détruit plusieurs églises et centres de grossesse.
Ces attaques révèlent, si ce n’était déjà évident, l’esprit violent de l’avortement. C’est pour défendre le « droit » de tuer son propre bébé que des gens vont jusqu’à incendier des centres d’aide aux femmes enceintes…
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