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16 janvier : Marche pour la Vie à Paris


Marche pour la Vie à Paris en 2019.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Webmasterdelatradition/Wikimedia Commons

L’annuelle Marche pour la Vie à Paris aura à nouveau lieu le 16 janvier 2022, pour rassembler les Français autour de la défense de l’enfant à naître et du soutien aux femmes enceintes. L’un des sujets cruciaux de la marche portera sur la Loi Gaillot, adoptée le 30 novembre 2021 en seconde lecture à l’Assemblée nationale, qui étend notamment l’accès à l’avortement jusqu’à 14 semaines de grossesse. La loi contient, selon le site de la Marche pour la Vie :

  • L’allongement des délais légaux d’accès à l’avortement de douze à quatorze semaines,
  • La suppression de la clause de conscience des professionnels de santé,
  • L’allongement des délais légaux d’IVG à domicile de 5 à 7 semaines de grossesse,
  • La pratique de l’IVG chirurgicale par les sages-femmes jusqu’à 10 semaines de grossesse,
  • La suppression du dernier délai de réflexion de 48 heures entre les deux consultations d’IVG pour les mineures.

Les coordonnées de la marche sont les suivants, selon un courriel du vice-président de Choisir la Vie, Paul Ginoux Defermon :

Point de rendez-vous : Place de Catalogne, Paris 14ème, derrière la gare de Paris Montparnasse, station de métro Gaieté, Ligne 13 bleue

Heure du rendez-vous : 13 h 30

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Canada : le gouvernement libéral prive les non-vaccinés de prestations de chômage

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock

Le gouvernement libéral (marxiste) de Justin Trudeau a annoncé par le truchement du ministre Carla Qualtrough de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées (rien que ça !) que les non-vaccinés au covid seront privés de prestations de chômage si la perte de leur emploi était due à leur refus de se faire vacciner, Radio-Canada rapporte :

La ministre fédérale responsable de l’assurance-emploi affirme que les Canadiens sans travail refusant de se faire vacciner pourraient se voir privés de prestations tant que les préoccupations de santé publique resteront au premier plan.

Les libéraux ont ajouté des clauses restrictives pour le versement de prestations, affirmant que le soutien fédéral ne doit pas aller aux travailleurs qui perdent leur emploi ou des heures de travail parce qu’ils refusent de se faire vacciner.

Les règles ne s’appliquent pas à ceux qui ont une exemption médicale.

La ministre de l’Emploi, Carla Qualtrough, a affirmé que la décision était en partie économique, pour s’assurer que les lieux de travail ne soient pas fermés en raison d’une éclosion, et qu’elle visait également à encourager davantage de Canadiens admissibles à se faire vacciner.

Dans une entrevue avec La Presse canadienne, Mme Qualtrough a indiqué que les règles resteront probablement en place tant que la santé publique demeurera une priorité politique absolue.

La dernière série de prestations du gouvernement pour les travailleurs durement touchés devrait durer jusqu’au début de mai, mais les libéraux ont le pouvoir de prolonger l’aide jusqu’à l’été si nécessaire.

Ainsi, il y aura deux sortes de travailleurs durement touchés, ceux recevant les prestations et les autres laissés dans l’oubli.

Me direz-vous quelle raison scientifique justifie un tel geste venant du gouvernement, en quoi le fait de ne pas recevoir de prestations de chômage réduit-il la « propagation » d’un virus ou d’un autre ? Est-ce que l’on exige des gens qui travaillent de se faire vacciner parce que leur emploi les expose théoriquement à des personnes « contaminées », ou est-ce simplement un moyen de les forcer à se faire injecter une substance ? Si c’est parce que leur emploi les expose à la propagation théorique du covid, cette mesure est inutile puisque les chômeurs ne seront de toute façon pas au travail. Est-ce une raison économique ? Il est fort surprenant que le gouvernement se soucie tout d’un coup d’économie, c’est une notion qu’il semble avoir totalement oubliée depuis près de deux ans. Le gouvernement n’a qu’à libérer le pays de ses mesures totalitaires et l’économie pourra rouler à nouveau (quand elle aura fini d’encaisser le choc de la crise financière que les libéraux auront préparé avec autant de zèle). C’est d’ailleurs une des choses que je reproche à ce gouvernement déchaîné, c’est d’avoir plongé le pays dans une crise bien plus grave que le « problème » qu’il prétend résoudre. En fin de compte, cette énième mesure n’a pas de fondement scientifique et est donc illégale ; elle est purement punitive (pour ce que tout ce cirque a de scientifique de toute façon).

Bien sûr, le fait que les vaccins covid disponibles soient liés à l’avortement ne dérange aucunement ce gouvernement pro-mort à tout crin, ni que ces vaccins soient tout à fait expérimentaux, ni que de nombreux effets secondaires graves ont suivi l’injection des produits en question, ni, enfin, que les produits ne sont même pas censés arrêter la « propagation » d’un virus qui ne fait pas grand-chose aux jeunes et aux gens dans la force de l’âge…

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L’avortement a été la première cause de décès dans le monde en 2021

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : SciePro/AdobeSock

Plus que toute autre cause de décès dans le monde l’avortement a tué, et tué 42,6 millions d’enfants à naître en 2021. Un véritable génocide représentant ainsi plus de 42 % des 101,5 millions de décès survenus l’année dernière, selon la société renommée Worldometer qui se base sur les données collectées par l’OMS. FSSPX.News rapporte :

Plus de 42 % de tous les décès survenus en 2021 concernaient des enfants assassinés dans le ventre de leur mère, selon le Worldometer, un site de référence, exploitant les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les décès, toutes causes confondues, se sont élevés à 101,5 millions de personnes : ceux dus à l’avortement à 42,6 millions.

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Une survivante de la Shoah dénonce la dictature sanitaire

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : archives fédérales allemandes/Wikimedia Commons

Dans une plainte déposée devant la Cour pénale internationale par un groupe de Britanniques — notamment contre Boris Johnson, Bill et Melinda Gates, Klaus Schwab, le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus et bien d’autres personnalités — pour crimes contre l’humanité et violations du Code de Nuremberg, une survivante de la Shoah, Vera Sharav, trace un parallèle saisissant entre les horreurs que perpétraient les nazis et les crimes de la dictature sanitaire actuelle :

« Sous le régime nazi, les normes morales ont été systématiquement oblitérées. La profession et les institutions médicales ont été radicalement transformées, la science universitaire, l’armée, l’industrie et la médecine clinique étaient étroitement imbriquées, comme elles le sont aujourd’hui. Le système nazi a détruit la conscience sociale au nom de la santé publique. Les violations contre des individus et des classes d’êtres humains ont été institutionnalisées. Les politiques de santé publique axées sur l’eugénisme ont remplacé l’accent mis par les médecins sur le bien de l’individu. La profession et les institutions médicales allemandes ont été perverties. Les politiques de santé publique coercitives violent les droits civils et humains individuels. Des méthodes criminelles sont utilisées pour faire appliquer ces politiques. La propagande nazie a utilisé la peur des épidémies infectieuses pour diaboliser les Juifs en tant que propagateurs de maladies, en tant que menace pour la santé publique... La peur et la propagande étaient les armes psychologiques utilisées par les nazis pour imposer un régime génocidaire et aujourd’hui, certains commencent à comprendre pourquoi le peuple allemand ne s’est pas soulevé, la peur l’a empêché de faire ce qu’il fallait. Les mandats médicaux sont un grand pas en arrière vers une dictature fasciste et un génocide. Les dictats gouvernementaux, l’intervention médicale, tout cela porte atteinte à notre dignité ainsi qu’à notre liberté... La leçon brutale de l’Holocauste est que lorsque les médecins s’allient au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être pervertie et passer d’une profession de guérison et d’humanité à un appareil meurtrier... Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Les médecins et les prestigieuses sociétés et institutions médicales ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse des civils. T4 a été le premier projet de meurtre médical industrialisé de l’histoire. Les premières victimes étaient des nourrissons et des enfants allemands handicapés de moins de 3 ans... Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Les opérations meurtrières étaient méthodiques, et suivaient le protocole très, très soigneusement. »

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Des sanctions pour les aumôniers qui n’« aident pas » les militaires « LGBTQ+ »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Cherkas/Adobe Stock

Les Forces armées canadiennes ont décidé de sanctionner les aumôniers militaires qui refuseraient ou seraient incapables d’aider les membres « LGBTQ+ » de l’armée, selon La Presse :

« Si l’on apprenait, soit par autodivulgation ou en raison d’une plainte, qu’un aumônier est ou a été incapable ou réticent à aider un membre des Forces armées canadiennes ou sa famille, incluant des membres LGBTQ2+, le mandat de cet aumônier serait suspendu immédiatement en attendant les résultats d’une enquête », est-il écrit dans une note de breffage [du service d’aumônerie] préparée le 5 août dernier.

À l’issue du processus, s’il est déterminé qu’un aumônier « est incapable, pour quelque raison que ce soit », d’offrir du soutien à des militaires qui font partie de la communauté, « le mandat de l’aumônier sera révoqué par l’aumônier général, et l’aumônier ne pourra plus servir dans les Forces à titre d’aumônier », poursuit-on dans ce document obtenu par La Presse grâce à la Loi sur l’accès à l’information.

J’avoue ne pas comprendre exactement ce que le service d’aumônerie entend par « incapable ou réticent à aider » un militaire « LGBTQ+ ». Je ne vois pas en quoi un aumônier catholique serait « réticent » à aider un militaire « LGBTQ+ », bien au contraire, le Christ ne dit-il pas « Je vous le dis, il y aura de même plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui fait pénitence, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de pénitence » (Lc 15,7) (une telle aide ne tomberait-elle pas sous le coup de la loi contre les « thérapies de conversion » ?) ? Mais je doute qu’il s’agisse d’un refus de cette sorte ou de l’incapacité d’aider une personne en ce sens (de vraiment l’aider) qui fera l’objet de sanctions, mais bien plutôt le refus de conforter un « LGBTQ+ » dans ses erreurs et ses péchés.

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L’Autriche légalise l’euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jokekung/Adobe Stock

Le jeudi 16 décembre, le Parlement autrichien a légalisé l’euthanasie pour les personnes atteintes d’une maladie grave ou incurable, suivant l’invalidation de l’interdiction d’une telle pratique par la Cour constitutionnelle en 2020.

Un scénario classique (et on sait ce que cela donne…). Selon Gènéthique :

Le texte prévoit que deux médecins valident les demandes après avoir reçu le consentement « libre et éclairé » du patient. Un délai « d’au moins douze semaines » devra s’écouler entre la demande et le suicide assisté. Une durée réduite à deux semaines pour les patients en phase terminale.

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Le tyran Legault impose le passeport covid pour les messes de Noël

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ian Livesey/Flickr/rawpixel

Legault impose le « passeport vaccinal » aux lieux de culte dès le lundi 20 décembre, donc pour Noël. D’après le site du Gouvernement du Québec :

À compter du 20 décembre 2021, le passeport vaccinal sera requis dans les lieux de culte et les spas (sauf pour soins personnels). Pour les mariages et les funérailles, possibilité de tenir une cérémonie sans passeport vaccinal avec un maximum de 25 personnes.

Ainsi, pour un vaccin qui n’est même pas censé arrêter la prétendue propagation du « variant Omicron », les Québécois non vaccinés seront privés de messe de Noël. C’est donc une mesure qui n’a en soi aucune raison pratique, mais qui vise plutôt à punir les gens exerçant leur sens critique par rapport aux agissements du gouvernement (sans compter que l’État empiète sur les prérogatives de l’Église se faisant – encore un exemple de la malfaisance de l’État laïciste, quand il considère que l’Église ne doit pas être prise en compte dans ses lois, sa « neutralité » le conduit à entraver l’Église dans les situations prétendument d’« urgence », comme n’importe quel commerce « non essentiel »…).

Ceci représente un geste antichrétien, les évêques réagiront-ils ?

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France : la Commission parlementaire d’accord pour l’interdiction des « thérapies de conversion »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Drobot Dean/Adobe Stock

Les membres de la Commission parlementaire, composée de sénateurs et de députés, se sont mis d’accord pour la rédaction d’un projet de loi qui interdirait les « thérapies de conversion » — pratiques, souvent caricaturisées comme étant des pratiques barbares, inoffensives mais utiles pour les personnes qui désirent se défaire d’une attraction pour les personnes de même sexe ou d’un sentiment d’appartenance à l’autre sexe. Gènéthique rapporte :

Mardi 14 décembre, députés et sénateurs ont trouvé un accord sur la proposition de loi visant à interdire les « thérapies de conversion ». Une infraction spécifique a été créée, un délit passible de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

Mais pour Christian Flavigny, pédopsychiatre, psychanalyste, et auteur notamment de l’essai Aider les enfants « transgenres », cette proposition entend également « empêcher toute mise en question du souhait d’adolescents voulant changer de sexe ».

Pour le pédopsychiatre, le texte examiné « en procédure parlementaire accélérée » interdirait « des pratiques qui, fort heureusement, n’ont jamais existé en France ». Mais « insidieusement, l’interdiction porte sur un tout autre sujet, estime-t-il. Il s’agit de prohiber toute mise en réflexion du vœu exprimé par des jeunes se ressentant être de l’autre sexe, aussi bien la réflexion des parents qui objecteraient à la prescription d’hormones à des jeunes réclamant d’engager leur “transition”, que celle de professionnels qui auraient recours aux “psychothérapies” ». « Ce qui revient à disqualifier les parents et insulter les professionnels », dénonce-t-il.

L’importation de la thèse américaine

« Selon les défenseurs de la proposition de loi, être “transgenre” serait une situation avérée n’appelant aucune mise en questionnement », explique Christian Flavigny. Ils souscrivent ainsi à « la thèse des militants américains », « sans même avoir procédé à l’audition des professionnels du monde psy français (qui l’avaient pourtant sollicitée) ».

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Des cardinaux mexicains condamnés pour avoir mis en garde les citoyens contre les candidats pro-avortement et pro-LGBT


Le cardinal Carlos Aguiar Retes de Mexico.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran d'une Vidéo de CNS

La Chambre spécialisée du Tribunal électoral du pouvoir judiciaire de la Fédération (TEPJF) du Mexique a condamné le 18 novembre dernier deux cardinaux, un évêque et deux prêtres pour avoir encourager leurs concitoyens à considérer avec soins leur vote, à prier Dieu afin qu’Il les éclaire et à ne pas voter pour les partisans de l’avortement et de l’idéologie LGBT, la veille des élections de 2018 qui ont mené López Obrador à la présidence.

La constitution mexicaine interdisant aux ministres du Culte le prosélytisme pour ou contre tout candidat, parti ou formation politique, le tribunal a repris une poursuite, d’abord intentée par les députés du parti Morena du président Andrés Manuel López Obrador puis abandonnée par les plaignants, sous prétexte que ces prélats auraient transgressé les principes constitutionnels de la séparation entre l’Église et l’État.

Les ecclésiastiques incriminés risquent jusqu’à 150 000 dollars américains d’amende ! rapporte The Catholic World Report :

Leur cas a maintenant été transmis au Secrétariat de la gouvernance pour déterminer la sanction qui sera appliquée. Le Secrétariat a la possibilité d’appliquer un simple avertissement ou une amende pouvant atteindre l’équivalent de 150 000 dollars américains.

Lors du jugement, poussant le laïcisme à son paroxysme, le juge Gabriela Villafuerte Coello a même reproché à l’un des défendeurs le seul fait d’avoir appelé à « prier et demander à Dieu de les éclairer au moment de voter », selon FSSPX News :

« Cela ne devrait pas être autorisé », a-t-elle déclaré. « Les votes ne sont pas des choses célestes ou spirituelles, il s’agit de voter avec des informations, en se basant sur la pondération d’autres choses, et c’est exactement ce qu’il faut respecter, parce que l’inspiration céleste ne va pas nous amener à avoir les meilleures personnes dans les bureaux élus, c’est logique », a-t-elle ajouté.

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Le Sénat du Canada adopte le projet de loi C-4 interdisant les « thérapies de conversion »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock

C’est chose faite, le Sénat du Canada a adopté mardi à l’accéléré et à l’unanimité le projet de loi C-4, qui interdit ce qu’il désigne par le terme « thérapies de conversion ». C’est encore grâce à une motion du Parti conservateur, comme à la Chambre des Communes, que C-4 a été approuvé, voté et ratifié par le Sénat sans débat ni étude. Dans les deux chambres, il aurait suffi qu’un conservateur s’élevât contre la motion alors proposée, mais aucun n’a osé aller contre la ligne du parti d’Erin O’Toole, tous nous ont trahis. Il ne manque plus que la sanction royale pour que C-4 soit gravé dans le marbre de la loi.

Ainsi, il sera interdit, sous prétexte de prohiber des formes de tortures toutes plus caricaturales et théoriques les unes que les autres, les thérapies saines et basées sur la conversation avec un professionnel de la santé et son patient visant à aider ce dernier à se défaire d’une attirance envers les personnes de même sexe, ou à le conforter dans son appartenance au sexe de sa naissance (il n’y en a d’ailleurs pas d’autres) s’il pouvait être confus à ce sujet. Qui nous dit qu’un parent discutant avec son enfant ayant des problèmes sous l’un de ces rapports-là ne risquerait pas la prison pour avoir discuté à plusieurs reprises avec sa progéniture (sans doute égarée par la propagande scolaire…) sur la réalité de son sexe et de ce que cela implique comme comportement.

Même un adulte ne pourrait pas demander une « thérapie de conversion », car rapporte Radio-Canada :

Le projet de loi C-4 vise à criminaliser, entre autres, la fourniture, la promotion ou la publicité des thérapies de conversion. Il serait également illégal de bénéficier de la prestation d’une thérapie de conversion.

La pièce législative fournit une définition de la thérapie de conversion, qui comprend une pratique, un traitement ou un service qui vise à modifier l’orientation sexuelle d’une personne pour la rendre hétérosexuelle, ou à modifier l’identité de genre d’une personne pour la rendre cisgenre.

Sombre jour pour le Canada…

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