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Big Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons

16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.

Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.

Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».

Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».

Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.

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Ils démontrent que les mesures de confinement ont été prises sous le prétexte d’une augmentation artificielle du nombre d’infections et de décès dus à un virus modifié, ainsi que les « vaccins » expérimentaux :

Des dommages et des décès massifs à court terme, avec au moins 395 049 réactions indésirables aux « vaccins » COVID signalées rien qu’au Royaume-Uni ; une forte augmentation des appels ChildLine d’enfants vulnérables pendant les confinements ; « la destruction de richesses et d’entreprises » par les confinements imposés ; La « privation sévère de liberté physique en violation des règles fondamentales du droit international », y compris l’interdiction de voyager et de se réunir, la quarantaine forcée et l’auto-isolement ; l’apartheid dû à la ségrégation en fonction de la possession du passeport vaccinal ; et la « réduction attendue de la fertilité » après la « vaccination », entre autres effets physiques et psychologiques néfastes.

En outre, les requérants soutiennent que « la suppression de traitements alternatifs sûrs et efficaces pour le Covid-19 équivaut à un meurtre et justifie une enquête complète de la part du tribunal ». Ils notent qu’outre la censure des informations en ligne sur ces traitements alternatifs et leur promotion, « certaines revues universitaires bloquent la publication d’études montrant l’efficacité de médicaments tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. »

Les demandeurs ont également cité des témoignages de survivants de l’Holocauste qui ont établi « des parallèles frappants entre les restrictions en raison du Covid et le début de l’Holocauste ». Dans une lettre ouverte, les survivants de l’Holocauste ont demandé aux autorités de réglementation médicale de « mettre immédiatement fin à cette expérience médicale impie sur l’humanité », qui, selon eux, viole le code de Nuremberg.

Ils affirment même qu’« un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux ». Une survivante, Vera Sharav, a noté dans une entrevue citée dans la plainte,

« La leçon brutale de l’Holocauste est que chaque fois que les médecins s’associent au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas faire de mal à l’individu, la médecine peut alors être pervertie d’une profession de guérison et d’humanité en un appareil meurtrier. »

« Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Des médecins, des sociétés et institutions médicales prestigieuses ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse de civils. »

Selon les requérants, toutes les conséquences néfastes des « vaccins », du verrouillage et du virus répondent aux critères de génocide, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre contre la population du Royaume-Uni, car les coupables « membres du gouvernement britannique et dirigeants mondiaux ont à la fois la connaissance et l’intention en ce qui concerne ces crimes présumés ».

En fait, ils affirment que les conséquences destructrices des « vaccins », des confinements et du virus artificiel sont des tentatives délibérées de dépeuplement et de déstabilisation de la société dans le cadre d’un plan coordonné à l’échelle mondiale visant à consolider la richesse et le pouvoir entre les mains de quelques-uns.

Ils affirment que ces mesures constituent donc également un « crime d’agression », c’est-à-dire la tentative « d’exercer effectivement un contrôle sur un État ou de diriger son action politique ou militaire ». Dans ce cas, ils affirment que l’objectif est de « démanteler tous les États-nations démocratiques, étape par étape » et de « détruire les petites et moyennes entreprises, en transférant les parts de marché aux plus grandes sociétés », détenues par les ultra-riches, afin de donner à cette « élite » un plus grand contrôle politique et monétaire.



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