Les grands médias ne sont pas fiables
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Freepik
Il est un sujet important, et même primordial : la non-fiabilité des grands médias, non seulement sur les enjeux moraux comme l’avortement, mais également sur tout ce qui concerne le pouvoir, monétaire ou légal. Comment ces institutions qui œuvrent à promouvoir l’avortement, l’euthanasie, l’homosexualité, le transgenrisme, etc. pourraient-ils être dignes de confiance pour d’autres sujets comme le coronavirus et les manifestations de citoyens canadiens, qui se déroulent actuellement en Alberta sur la frontière américaine, à Ottawa et à Québec ?
Pour illustrer ce propos, voici un texte de Steve Jalsevac de LifeSiteNews qui décrit avec justesse la contradiction entre la réalité et le récit médiatique au sujet des grandes manifestations pour la liberté au Canada :
1 réaction Lire la suiteChers lecteurs,
Les convois géants de camions traversant le Canada ont provoqué une réaction internationale explosive. Ils menacent les plans mondialistes et doivent donc être empêchés d’une manière ou d’une autre de continuer à avoir un effet aussi puissant quant au réveil du public démoralisé qui souffre depuis deux ans de cette tyrannie covidienne manipulée.
Les seules informations auxquelles vous pourrez faire confiance à ce sujet seront celles de LifeSite et de nombreux autres services d’information alternatifs, ainsi que de certaines personnes du courant dominant, comme Tucker Carlson, qui a fait un travail phénoménal en rendant compte de cet incroyable mouvement de protestation canadien.
Les chefs de ce mouvement de protestation sont très bien informés des véritables objectifs des confinements, masques et mandats de vaccination et des autres politiques de tyrannie médicale qui écrasent la liberté et la prospérité dans le monde entier. Il ne s’agit pas du tout de protéger la santé — quoi qu’en disent les menteurs Justin Trudeau, Joe Biden et autres dirigeants nationaux. Les camionneurs canadiens ont déclenché un mouvement spontané international d’espoir qu’il existe peut-être un moyen de mettre enfin un terme aux politiques gouvernementales désastreuses, terriblement oppressives et apparemment sans fin qui détruisent la santé, les emplois, les entreprises, le culte religieux, l’espoir et la liberté en général.
La Société québécoise des médecins de soins palliatifs signale des doses de médication « potentiellement excessives » pour les cas covid
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WaveBreakMediaMicro/Adobe Stock
Des rapports de la Société québécoise des médecins de soins palliatifs (SQMDSP) soulignent un côté inquiétant de certains protocoles de détresse respiratoire mis en place au printemps 2020 pour les cas covid. Ils indiquent que des doses de médication « potentiellement excessives » ont été employés dans le cadre de ces protocoles, en vigueur jusqu’en automne dernier où quelques-uns d’entre eux ont été retirés, menant possiblement certains patients à un état de « dépression respiratoire », lui-même pouvant amener le décès de l’intéressé. Mais précisément, n’a-t-on pas dit que les patients covid pouvaient être sujets à des difficultés respiratoires ?
Radio-Canada rapporte :
Des doses de médication « potentiellement excessives » figurent dans plusieurs protocoles de détresse respiratoire de patients atteints de la COVID-19, constate la Société québécoise des médecins de soins palliatifs (SQMDSP) qui lance un appel à corriger la situation dans les meilleurs délais.
Lors des premiers mois de la pandémie, bien des infirmières et des médecins ont eu à prodiguer des soins palliatifs à des patients atteints de la COVID-19 dans des conditions inédites.
Au fil des semaines, le virus faisait des victimes surtout chez les personnes âgées, dont plusieurs présentaient de grandes difficultés respiratoires.
Cela confirme les dires de médecins et d’infirmières qui ont rapporté avoir vu ou appliqué des protocoles dangereux ou provoquant le décès de patient covid.
Certains protocoles ont été retirés :
1 réaction Lire la suiteDes protocoles ont été adoptés rapidement dans les établissements pour répondre à la demande des équipes, dont l’expertise et la formation en soins palliatifs étaient très variables d’un milieu de soins à l’autre, constate aujourd’hui Christiane Martel, présidente de la Société québécoise des médecins de soins palliatifs.
À la demande de Radio-Canada, une douzaine de médecins de la Société ont parcouru les protocoles de détresse respiratoire en vigueur au début de l’automne dernier auprès d’une vingtaine d’établissements de santé partout au Québec. Au fil de notre démarche, certains ont été retirés.
Pas un seul corps n’a été exhumé à Kamloops
Hamlet et Horatio écoutant le fossoyeur, dans Hamlet de Shakespeare.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Depuis mais 2021, où l’on a prétendu avoir découvert des centaines de « tombes non marquées » sur le terrain d’un ancien pensionnat autochtone à Kamloops, pas une seule dépouille, pas un seul os n’a été exhumé de la redoutable « fosse commune » — et pour cause, personne n’a creusé là pour vérifier si les « perturbations dans le sol » relevées au radar, qui « ont des signatures multiples qui se présentent comme des sépultures », étaient bien des tombes.
Je ne plaisante pas, quiconque a-t-il seulement entendu les médias parler d’exhumation d’ossements sur l’un des sites présumés de cimetières abandonnés ? Non, tout le raffut lancé autour des pensionnats indiens n’est basé que sur les « perturbations dans le sol », détectées et interprétées par une jeune anthropologue-sociologue de Colombie-Britannique.
Que l'on n'ait pas déterré de corps ne signifie pas qu'il n'y en a pas, on pourrait très bien en découvrir si on se donnait la peine de creuser (encore faut-il que ce soit fait…), mais jusqu'à preuve du contraire, il faut présumer qu'il n'y en a pas.
Jacques Rouillard, professeur émérite au département d’histoire de l’Université de Montréal, démonte avec pertinence le nouveau Mythe médiatique dans un article du site The Dorchester Review, dont voici un extrait traduit :
1 réaction Lire la suiteAprès sept mois de récriminations et de condamnations, où sont les restes des enfants enterrés au pensionnat indien de Kamloops ?
La presse canadienne vient d’honorer les enfants des pensionnats du titre de « Personne de l’année 2021 ». L’énorme histoire médiatique de l’été dernier est née du scannage d’une partie du site, en Colombie-Britannique, où le pensionnat a fonctionné de 1890 à 1978. La « découverte » a été signalée pour la première fois le 27 mai dernier par Rosanne Casimir, chef de la Première nation Tk'emlúps te secwépemc, après qu’une anthropologue, Sarah Beaulieu, eût utilisé un radar géologique pour rechercher les ossements d’enfants qui, selon certains, seraient enterrés là. Il s’agit d’une jeune anthropologue, enseignante en anthropologie et en sociologie à l’University of the Fraser Valley depuis 2018. Son rapport préliminaire est en fait basé sur des dépressions et des anomalies dans le sol d’une pommeraie près de l’école — et non sur des ossements exhumés. Selon le chef Casimir, ces « enfants disparus » représentent des « décès non documentés ». Leur présence, dit-elle, est depuis longtemps « connue » dans la communauté et « certains n’avaient que trois ans ».
À partir de nouvelles recherches qu’elle a divulguées lors d’une conférence de presse tenue le 15 juillet dernier, l’anthropologue a ramené les chiffres de la potentielle découverte de 215 à 200 « sépultures probables ». Ayant « à peine gratté la surface », elle a trouvé de nombreuses « perturbations dans le sol telles que des racines d’arbres, des métaux et des pierres. » Les « perturbations relevées par le radar », dit-elle, l’ont amenée à conclure que les sites « ont des signatures multiples qui se présentent comme des sépultures ». Mais elle ne peut pas le confirmer tant que le site n’a pas été fouillé — si jamais il le sera. Un porte-parole de la communauté dit que le rapport complet « ne peut pas » être communiqué aux médias. Pour le chef Casimir, « il n’est pas encore clair si la poursuite des travaux sur le site de Kamloops impliquera des fouilles. »
France : nouvelle loi punissant les « thérapies de conversion »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Afshar Tetyana/Adobe Stock
Au Canada, en Allemagne, Malte et certaines régions d’Espagne les « thérapies de conversion » sont interdites. En France maintenant, suite à l’adoption définitive par 142 voix à l’Assemblée nationale française d’un projet de loi aggravant les peines pour « thérapies de conversion », « les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre vraie ou supposée d’une personne, et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale, sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende », rapporte Gènéthique. Cela pourrait paraître raisonnable (à part l’idéologie exprimée à travers ce texte) s’il y avait vraiment un objet réel auquel répondrait cette loi, s’il y avait vraiment des personnes qui ont subi une « altération » de leur santé mentale. Car, qu’est-ce qui défini une telle « altération » dans la loi et comment l’attribuer à une thérapie précédente ? En outre, la peine peut aller jusqu’à trois ans de prison et 45 000 € d’amende en cas de « circonstances aggravantes », selon un autre article de Gènéthique :
Mardi 25 janvier, la proposition de loi de la députée Laurence Vanceunebrock (LREM) visant à interdire les « thérapies de conversion » a été définitivement adoptée. Les 142 députés présents dans l’hémicycle ont voté le texte issu de la commission mixte paritaire et déjà approuvé par les sénateurs le 20 janvier.
« Nous envoyons un signal fort car formellement nous condamnons tous ceux qui envisagent un changement de sexe ou d’identité comme une maladie », a affirmé la députée.
Vous me pardonnerez si je fais remarquer ici qu’ils couvrent précisément d’opprobres la volonté de changer autrement que selon leurs vues. Gènéthique continue :
Cette loi crée un nouveau délit dans le Code pénal. Les peines encourues sont de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. Trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende en cas de « circonstances aggravantes ».
Cela semble surtout être une loi pour punir au moindre prétexte les personnes qui viennent en aide à ceux désireux de se défaire d’attirances indésirées pour le même sexe, ou étant égarés quant au sexe auquel ils appartiennent.
1 réactionCanada : le convoi des camionneurs pour la liberté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Note : je rectifie le passage où j'écris que les camionneurs ne semblent pas avoir de chefs officiels, du moins ils semblent extrêmement bien organisés. — Mise à jour : 1er février 2021.
Depuis le 23 janvier 2022, un colossal convoi de camions parti de Colombie-Britannique se dirige lentement (comparativement à la circulation ordinaire) vers la capitale canadienne. Ayant franchi la frontière ontarienne le 26 janvier, les camionneurs de l’ouest convergent vers Ottawa avec le convoi de l’est, qui traverse actuellement la Nouvelle-Écosse, ainsi que d’autres convois de partout au Canada.
Le Freedom Convoy 2022 compte, dans son contingent occidental seulement, plus de 50 000 camions et 500 000 participants, dont des partisans enthousiastes qui suivent en voitures, formant une file de plus de 70 km. Partout où les camionneurs passent, la population les acclame, montrant son soutien à ce formidable mouvement qui a pour but de forcer, en bloquant la capitale, le gouvernement fédéral à lever toutes les mesures « sanitaires » qu’il impose depuis près de deux ans aux Canadiens.
While @JustinTrudeau dismisses history in the making, the world is watching Canadian truckers lead the charge against vaccine mandates. #FreedomConvoyCanada #FreedomConvoy2022 #freedomconvoy22 pic.twitter.com/Q9UYsrxzHH
— Bright Light News (@BLNewsMedia) January 27, 2022
L’élément déclencheur de cette manifestation pacifique et légale a été l’imposition de la vaccination obligatoire aux camionneurs pour la traversée de la frontière canado-américaine, d’abord le 15 janvier par le gouvernement canadien, puis le 22 janvier par celui américain ; jusqu’à maintenant, les camionneurs bénéficiaient d’une exception en vertu de leur service essentiel leur permettant de voyager à l’étranger. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ce dernier coup menace directement l’approvisionnement en denrées essentielles des Canadiens, depuis l’imposition de la vaccination aux camionneurs des pénuries se font déjà sentir dans les commerces, aussi bien à l’ouest en Alberta qu’à l’est au Québec ; le premier ministre de l’Alberta affirme sur Twitter avoir reçu des rapports de pénuries dans sa province :
Je reçois des photos comme celle-ci des épiceries de l’Alberta ce matin.
C’est en train de devenir une crise. Elle exige une action immédiate de la part des gouvernements canadien et américain.
1 réaction Lire la suiteI’m getting pictures like this from grocery stores across Alberta this morning.
— Jason Kenney (@jkenney) January 24, 2022
This is turning into a crisis. It requires immediate action by the Canadian & US governments. pic.twitter.com/nEmbSgX2BU
Le nouveau gouverneur pro-vie de Virginie, Glenn Youngkin, soutien les droits des parents en éducation
Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Glenn Youngkin/Flickr
Le nouveau gouverneur de Virginie, le pro-vie Glenn Youngkin, qui a arraché ce bastion démocrate grâce notamment à l’appui des parents indignés par l’ingérence de l’État dans leurs prérogatives en éducation et par son incurie face au problème d’abuseurs transgenres dans les écoles, est entré en fonction le lundi 17 janvier, signant, pour son premier geste, onze décrets. Quelques-uns d’entre eux nous intéressent particulièrement.
L’interdiction de la « théorie critique de la race » dans les écoles, une idéologie qui dresse plus qu’autre chose les races les unes contre les autres ; la levée du port obligatoire du masque dans les écoles, laissant aux parents le soin de décider si leur enfant porte ou non le masque ; l’ordonnance d’une enquête sur la possible dissimulation de viols d’élèves commis par un transgenre ; et l’abrogation des mesures covid imposées aux commerces et de la vaccination obligatoire pour tous les employés de l’État ! Selon LifeSiteNews :
Parmi les points saillants, citons l’interdiction de la promotion de la théorie critique de la race — doctrine selon laquelle la race est une « catégorie socialement construite (culturellement inventée) qui est utilisée pour opprimer et exploiter les personnes de couleur » par le biais des institutions américaines — dans les écoles publiques ; la clarification du fait que les parents ont le droit exclusif de décider si leurs enfants portent le masque dans les écoles publiques ; la demande d’une enquête sur le district scolaire du comté de Loudoun à la suite d’allégations selon lesquelles il aurait couvert des viols d’étudiants ; la suppression des réglementations commerciales covid et l’annulation des mandats de vaccination covid pour tous les employés de l’État.
Plusieurs écoles ont d’ores et déjà annoncé qu’elles continueraient à imposer le masque aux enfants dans leurs murs, l’école d’Alexandrie surenchérissant avec de nouvelles directives qui obligent les élèves à porter le masque KN95 ou deux masques ! (Comment peut-on encore en redemander ?…) Le gouverneur a riposté qu’il utiliserait tous les moyens à sa disposition afin de contraindre ces écoles à se conformer à ses décrets.
Ceci dit, comme je l’ai souligné plus haut, c’est notamment grâce à l’appui des parents, indignés à juste titre, que Glenn Youngkin occupe pour le bien de tous le poste de gouverneur, tant il est vrai que lorsque les parents prennent leurs responsabilités au sérieux, il en sort un grand bien, tant pour leurs enfants que pour la nation.
1 réactionMacron, président de l’UE pour six mois, veut « la reconnaissance du droit à l’avortement »
Emmanuel Macron.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Faces of the World/Flickr
Le président de France, Emmanuel Macron, cumulant maintenant le poste de la présidence tournante de l’Union européenne pour six mois, a déclaré au Parlement de Strasbourg, lors de l’habituel discours d’entrée en fonction, sa volonté de promouvoir « la reconnaissance du droit à l’avortement », rapporte Présent :
Ainsi, parmi les priorités qu’il a affichées mercredi, Macron a expliqué vouloir « actualiser » durant ce semestre de présidence française la « charte des droits fondamentaux de l’UE » en y inscrivant notamment « la protection de l’environnement » ainsi que… « la reconnaissance du droit à l’avortement ».
Rappelons qu’un acte mauvais — et même intrinsèquement mauvais comme l’est l’avortement — ne peut être un droit ; il ne sera jamais légitime de tuer volontairement un être innocent comme l’enfant à naître.
1 réactionEst-il moralement licite de devenir un consommateur systématique et permanent de produits liés à l’avortement ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Comme dirait Hamlet « That is the question ». Nombre de personnes (dont des prélats), ayant connaissance que les vaccins covid actuellement disponibles sont liés à l’avortement, assurent les catholiques, pour ceux qui s’en soucient, qu’ils peuvent prendre lesdits vaccins sans arrière-pensée, et même que c’est un « devoir de charité » de se les faire injecter.
Les défenseurs ou les promoteurs des vaccins covid liés à l’avortement — dans leur développement, leur testage ou leur production — se réfèrent en général au document que la Congrégation pour la Doctrine la Foi a publié en décembre 2020 au sujet de la question de licéité desdits vaccins. Ledit document affirme dans ses principes moraux que l’on peut, pour des raisons graves, se faire injecter un vaccin dont le processus de fabrication comprend une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté, parce que le lien entre l’avortement dans lequel le bébé a été tué et la consommation des vaccins n’impliquerait qu’une participation matérielle lointaine. Cependant, il est bien compris que les raisons menant à se faire injecter un tel vaccin doivent être graves, que l’on ne doit pas approuver l’avortement d’origine, ni utiliser même les lignées employées pour le vaccin (autrement dit : les scientifiques ne devraient pas utiliser ces lignées cellulaires, mais si des vaccins impliquant ces lignées cellulaires existent, on pourrait les prendre sous certaines conditions), et que l’on doit utiliser les alternatives existantes à ces vaccins.
La GDF a bien témérairement affirmé dans ce document que le covid représentait une raison suffisamment grave pour employer les vaccins teintés d’avortement, mais cela ne relève pas de ses compétences, selon les principes mêmes qu’elle a énoncés (et qu’elle semble avoir oubliés un court instant), à savoir que la question empirique relative aux vaccins ne relevait pas de sa compétence, bien qu’il fût nécessaire de l’étudier pour poser un jugement concret selon ses principes. En théorie donc on peut prendre les vaccins en question, mais dans la réalité…
On nous a seriné ad nauseam depuis que la campagne de vaccination a commencé que la situation « exceptionnelle », où nous serions censés nous trouver, justifierait l’emploi occasionnel des vaccins teintés d’avortement. Mais là où ce ne devait être qu’une injection « exceptionnelle », nous en sommes rendus à trois piqûres et même quatre dans certains pays ; il est même question que ces vaccins teintés d’avortement reviennent chaque année.
1 réaction Lire la suite16 janvier : Marche pour la Vie à Paris
Marche pour la Vie à Paris en 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Webmasterdelatradition/Wikimedia Commons
L’annuelle Marche pour la Vie à Paris aura à nouveau lieu le 16 janvier 2022, pour rassembler les Français autour de la défense de l’enfant à naître et du soutien aux femmes enceintes. L’un des sujets cruciaux de la marche portera sur la Loi Gaillot, adoptée le 30 novembre 2021 en seconde lecture à l’Assemblée nationale, qui étend notamment l’accès à l’avortement jusqu’à 14 semaines de grossesse. La loi contient, selon le site de la Marche pour la Vie :
- L’allongement des délais légaux d’accès à l’avortement de douze à quatorze semaines,
- La suppression de la clause de conscience des professionnels de santé,
- L’allongement des délais légaux d’IVG à domicile de 5 à 7 semaines de grossesse,
- La pratique de l’IVG chirurgicale par les sages-femmes jusqu’à 10 semaines de grossesse,
- La suppression du dernier délai de réflexion de 48 heures entre les deux consultations d’IVG pour les mineures.
Les coordonnées de la marche sont les suivants, selon un courriel du vice-président de Choisir la Vie, Paul Ginoux Defermon :
1 réactionPoint de rendez-vous : Place de Catalogne, Paris 14ème, derrière la gare de Paris Montparnasse, station de métro Gaieté, Ligne 13 bleue
Heure du rendez-vous : 13 h 30
Canada : le gouvernement libéral prive les non-vaccinés de prestations de chômage
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
Le gouvernement libéral (marxiste) de Justin Trudeau a annoncé par le truchement du ministre Carla Qualtrough de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées (rien que ça !) que les non-vaccinés au covid seront privés de prestations de chômage si la perte de leur emploi était due à leur refus de se faire vacciner, Radio-Canada rapporte :
La ministre fédérale responsable de l’assurance-emploi affirme que les Canadiens sans travail refusant de se faire vacciner pourraient se voir privés de prestations tant que les préoccupations de santé publique resteront au premier plan.
Les libéraux ont ajouté des clauses restrictives pour le versement de prestations, affirmant que le soutien fédéral ne doit pas aller aux travailleurs qui perdent leur emploi ou des heures de travail parce qu’ils refusent de se faire vacciner.
Les règles ne s’appliquent pas à ceux qui ont une exemption médicale.
La ministre de l’Emploi, Carla Qualtrough, a affirmé que la décision était en partie économique, pour s’assurer que les lieux de travail ne soient pas fermés en raison d’une éclosion, et qu’elle visait également à encourager davantage de Canadiens admissibles à se faire vacciner.
Dans une entrevue avec La Presse canadienne, Mme Qualtrough a indiqué que les règles resteront probablement en place tant que la santé publique demeurera une priorité politique absolue.
La dernière série de prestations du gouvernement pour les travailleurs durement touchés devrait durer jusqu’au début de mai, mais les libéraux ont le pouvoir de prolonger l’aide jusqu’à l’été si nécessaire.
Ainsi, il y aura deux sortes de travailleurs durement touchés, ceux recevant les prestations et les autres laissés dans l’oubli.
Me direz-vous quelle raison scientifique justifie un tel geste venant du gouvernement, en quoi le fait de ne pas recevoir de prestations de chômage réduit-il la « propagation » d’un virus ou d’un autre ? Est-ce que l’on exige des gens qui travaillent de se faire vacciner parce que leur emploi les expose théoriquement à des personnes « contaminées », ou est-ce simplement un moyen de les forcer à se faire injecter une substance ? Si c’est parce que leur emploi les expose à la propagation théorique du covid, cette mesure est inutile puisque les chômeurs ne seront de toute façon pas au travail. Est-ce une raison économique ? Il est fort surprenant que le gouvernement se soucie tout d’un coup d’économie, c’est une notion qu’il semble avoir totalement oubliée depuis près de deux ans. Le gouvernement n’a qu’à libérer le pays de ses mesures totalitaires et l’économie pourra rouler à nouveau (quand elle aura fini d’encaisser le choc de la crise financière que les libéraux auront préparé avec autant de zèle). C’est d’ailleurs une des choses que je reproche à ce gouvernement déchaîné, c’est d’avoir plongé le pays dans une crise bien plus grave que le « problème » qu’il prétend résoudre. En fin de compte, cette énième mesure n’a pas de fondement scientifique et est donc illégale ; elle est purement punitive (pour ce que tout ce cirque a de scientifique de toute façon).
Bien sûr, le fait que les vaccins covid disponibles soient liés à l’avortement ne dérange aucunement ce gouvernement pro-mort à tout crin, ni que ces vaccins soient tout à fait expérimentaux, ni que de nombreux effets secondaires graves ont suivi l’injection des produits en question, ni, enfin, que les produits ne sont même pas censés arrêter la « propagation » d’un virus qui ne fait pas grand-chose aux jeunes et aux gens dans la force de l’âge…
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