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Le Parlement portugais adopte une nouvelle loi sur l’euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : roungroat/Rawpixel

Le Parlement de Lisbonne a adopté le vendredi 5 novembre une nouvelle version de la loi légalisant l’euthanasie, par 227 voix contre 138. Ce vote a été tenu sur la base des recommandations de la Cour constitutionnelle qui avait examiné la mouture du projet de loi précédent, envoyé devant elle par le président du Portugal, Marcelo Rebelo. Ce dernier aura à nouveau le choix de mettre son veto, de renvoyer le projet de loi devant la cour ou de l’approuver. En outre, le président a décidé de dissoudre le parlement, des élections anticipées devraient avoir lieu d’ici le 30 janvier 2022. Selon Gènéthique :

Une loi sur l’aide médicale à mourir avait été adoptée par le Parlement en janvier 2021. Mais, le Président Marcelo Rebelo de Sousa avait saisi la Cour constitutionnelle, afin qu’elle vérifie sa conformité à la Constitution portugaise. Jugées trop vagues dans la première version de la loi, les notions de « lésion définitive de gravité extrême » et de « maladie grave ou incurable » ont été redéfinies.

Le texte est renvoyé devant le chef de l’Etat. Il a désormais trois possibilités : il « pourra désormais promulguer la loi, y opposer son veto ou la soumettre une nouvelle fois à l’analyse de la Cour constitutionnelle ».

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Victoire surprise en Virginie d’un républicain en faveur du droit de regard des parents dans l’éducation de leurs enfants


Glenn Youngkin (au centre) et sa famille.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Glenn Youngkin/Flickr

Glenn Youngkin, pro-vie et candidat au poste de gouverneur de Virginie, a été élu avec 2,7 points d’avance sur son concurrent démocrate Terry McAuliffe, d'après le décompte de 95 % des bulletins de vote, rapporte Pour une école libre au Québec (PÉLQ).

La victoire de ce républicain dans un État tenu par les démocrates depuis douze ans est en partie due à ses promesses de faire respecter davantage les droits des parents en ce qui concerne l’éducation de leurs enfants. Dans le domaine scolaire, justement, une controverse tournait autour de trois idéologies et de leurs conséquences, comme : « l’enseignement de la théorie critique de la race, l’omerta autour de filles agressées par un élève mâle qui se disait fille dans les toilettes des filles ainsi que la longue fermeture des écoles publiques pendant la pandémie », rapporte PÉLQ.

Un indicateur pour les élections de mi-mandat de l’année prochaine ? :

La course au poste de gouverneur de Virginie étant considérée comme un indicateur clé avant les élections de mi-mandat de l’année prochaine, la victoire de Youngkin dans un État où les républicains n’avaient pas gagné au niveau de l’État depuis une douzaine d’années accroîtra les inquiétudes des démocrates alors qu’ils tenteront de défendre leurs très minces majorités à la Chambre et au Sénat en 2022.

Glenn Youngkin promet de soutenir les parents :

Youngkin, candidat pour la première fois à un poste politique et ancien PDG d’une firme d’investissement, a gagné grâce à une vague d’enthousiasme des électeurs républicains et en puisant dans la colère des parents face aux décisions de leurs conseils scolaires locaux.

« Nous allons soutenir nos parents, pas les ignorer », a-t-il souligné dans son discours de victoire.

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Le Christ Roi de l’univers

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Le Christ est Roi de l’univers, parce qu’Il Dieu et parce qu’Il est Homme. Sans Lui, le monde ne pourrait subsister ; sans Lui les États ne sauraient régner. Il règne tant par ses bienfaits sur les sociétés qui l’honorent que par les maux de l’absence de Ses bénédictions sur les sociétés qui Le rejettent.

La paix ne peut durer sans la paix du Christ.

L’ordre s’effrite s’il n’est ordonné au Christ.

La justice cesse d’être exercée sans celle du Christ.

L’État est voué à disparaître, celui qui refuse de se plier au Christ.

Il faut que César rende à Dieu ce qui est à Dieu.

Quand donc notre société reconnaîtra-t-elle la Royauté du Christ ? Tant qu’il est encore temps…

Car à Lui sont dus la gloire, l’honneur et les louanges, dans tous les siècles des siècles. Amen.

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Le Sénat italien bloque le projet de loi sur l’« homophobie »


Forum de Rome.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ipictures/adobestock

Par un vote de 154 voix contre 131 et deux abstentions, le Sénat italien a bloqué le projet de loi « Zan », du nom de son auteur, qui prévoyait condamner les actes de « discrimination » ou de « violence » contre les gens se revendiquant d’une des catégories comprises dans le sigle LGBT(+) — une tentative en fait d’imposer l’idéologie LGBT à toute l’Italie, car tous les citoyens italiens sont protégés par la loi (sauf certains enfants à naître, bien sûr…).

Le projet de loi sera suspendu durant une période de six mois et ne pourra être représenté qu’après modification. Le suspens de ce projet a été voté à l’instigation du Parti Fratelli d’Italia. Matteo Salvini, chef du Parti Lega, s’est félicité pour sa part de la mise en échec de la législation douteuse.

Un projet de loi qui menaçait d’insinuer la propagande LGBT dans les écoles, d’imposer l’idéologie LGBT à l’Italie et censurer les défenseurs de la famille naturelle, selon la FSSPX.News :

Le Sénat italien, lors d’un vote à bulletin secret, a donné son approbation à la « coupe » proposée par la Ligue et Frères d’Italie (Fratelli d’Italia) pour le projet de loi Zan : cette qui loi visait à imposer l’idéologie du genre dans tout le pays est donc paralysée.

Le projet de loi « Zan », du nom du député Alessandro Zan du Parti démocrate (PD, centre-gauche), visait à punir les actes de discrimination et d’incitation à la violence à l’encontre des gays, des lesbiennes, des transgenres et des personnes handicapées. Elle avait été approuvée par le Parlement en novembre dernier.

En juin, le Vatican avait déposé une note diplomatique officielle contre la loi, estimant qu’elle violait le Concordat, le traité bilatéral entre l’Italie et le Saint-Siège. Le Vatican s’inquiétait notamment du fait qu’en vertu de la loi sur l’homophobie, les catholiques pouvaient être poursuivis pour avoir exprimé des opinions en faveur des structures familiales hétérosexuelles traditionnelles.

Les détracteurs de la loi estimaient également […] qu’elle aurait ouvert la voie à la propagande homosexuelle dans les écoles.

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Premier passeport américain avec la mention « X »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik

Les États-Unis ont délivré le premier passeport ayant pour toute indication de sexe la mention « X » pour ceux qui ne se reconnaissent pas comme homme ou femme (quelle époque…), rapporte Gènéthique :

Mercredi 27 octobre, aux Etats-Unis, le premier passeport indiquant le genre « X » a été délivré à une personne qui ne se reconnaît pas dans les choix traditionnels « masculin » ou « féminin ». Ned Price, le porte-parole du département américain a expliqué que cette troisième case a été ajoutée à ce document officiel, « une case X pour les personnes non binaires, intersexes » et plus largement celles qui ne se reconnaissent pas dans les critères de genre proposés jusque-là ».

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Le cours d’Éthique et culture religieuse sera remplacé par celui de Culture et citoyenneté québécoise… assez peu différent

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WaveBreakMediaMicro/AdobeStock

Le ministre de l’Éducation du Québec, François Roberge, a annoncé le remplacement du cours d’« Éthique et culture religieuse » par un cours de « Culture et citoyenneté québécoise » sensé être basé, comme l’indique son nom, sur la culture et la citoyenneté québécoise, ainsi que le dialogue et la pensée critique.

François Roberge affirme, en guise d’explication, que l’ancien cours comportait un « dogme » erroné selon lequel la religion était le seul prisme par lequel on devait voir la personne humaine, selon Le Devoir :

Il a insisté à plusieurs reprises pour dire que le cours d’ECR était « vicié à la base » et « reposait sur un dogme qui est une erreur », soit que la religion est l’unique « lunette à travers on regarde la personne ». L’analyse des identités religieuses demeurera au programme, mais perdra son aspect « prépondérant ». « On ne peut plus tolérer ce genre de biais dans nos écoles. »

Certes, la religion n’est pas le seul angle de vue sous lequel on peut voir la personne humaine, on n’étudie par le corps humain par le biais de la religion, mais par celui de la biologie, science expérimentale ; d’autre part, on n’étudiera pas la morale humaine (puisqu’elle concerne l’Homme) par le biais de la biologie ou d’une autre science expérimentale, mais par le biais de la religion ou de la philosophie (il est vrai que la Loi naturelle repose souvent sur des considérations sur la biologie humaine et de son bon usage, mais ce sont souvent des faits évidents). Mais je doute que ce fût ce que le ministre voulait dire.

Sans doute veut-il que l’on mette en parallèle le matérialisme et l’athéisme (à une place prépondérante), ou « laïcisme québécois », avec les religions. Au fond, l'angle de vue (mais non l'approche) ne sera pas tellement différent puisqu'on opposera areligion à religion.

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La Chambre basse du Chili adopte un projet de loi dépénalisant l’avortement jusqu’à 14 semaines

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/AdobeStock

La Chambre basse du parlement chilien a adopté par une courte majorité un projet de loi dépénalisant l’avortement jusqu’à la 14e semaine de grossesse, selon Gènéthique :

Au Chili, la chambre basse du Parlement a adopté le mardi 28 septembre une proposition de loi élargissant l’accès à l’avortement jusqu’à 14 semaines.

En 2017, le Chili avait légalisé l’avortement, dans trois cas : la vie de la femme est en danger, le fœtus n’est pas viable ou la grossesse résulte d’un viol.

Le projet de loi devra passer devant le Sénat.

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Partout dans le monde, de jeunes couples hésitent à avoir des enfants par « anxiété climatique »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevich/AdobeStock

S’il est une chose qui me paraît étrange, c’est de ne pas vouloir d’enfants ou même d’hésiter à en avoir par « anxiété climatique ». Pourquoi donc craindre une menace hypothétique qui reste encore à démontrer ? Un réchauffement climatique pourrait même s’avérer bénéfique. Toujours est-il que partout dans le monde, de jeunes couples hésitent à avoir des enfants à cause de la « crise climatique » (qu’on leur rabâche sans cesse) selon une étude menée auprès de jeunes de 16 à 25 ans dans dix pays différents : Australie, Brésil, Finlande, France, Inde, Nigéria, Philippines, Portugal, Royaume-Uni et États-Unis. Selon France Soir :

Selon une enquête mondiale, menée dans 10 pays, la plupart des 16-25 ans s’inquiètent beaucoup au sujet de l’avenir, et se sentent livrés à eux-mêmes, abandonnés par les gouvernements.

L’anxiété climatique pourrait avoir un impact sur la natalité

Les forêts en flammes, les cadavres d’animaux marins pris dans les déchets ou encore les inondations, suscitent une sensation d’anxiété, et cette détresse psychologique est en hausse.

Et où me direz-vous ces jeunes ont-ils vu ces forêts incendiées, ces charognes échouées ou ces débordements aquatiques ? Sans doute à la télévision… La plupart d’entre eux n’ont sans doute que rarement vu directement quelque chose de tel, ce qui signifie qu’il ne s’agit pas d’une menace les concernant vraiment. Il faudrait à mon humble avis qu’ils s’abstiennent de suivre les nouvelles sur les gros médias, cela calmerait grandement leur anxiété.

Victimes de la propagande réchauffiste, les trois quarts des jeunes interrogés répondent que l’« avenir est effrayant » :

Les trois quarts des répondants sont d’accord avec l’énoncé « l’avenir est effrayant », et plus de la moitié estiment qu’ils auront moins d’opportunités que leurs parents. Cela explique le fait que quatre jeunes sur dix ne sont pas rassurés par l’idée d’avoir des enfants, dont la santé sera touchée par la dégradation climatique.

Ce qui me sidère, c’est que cette mentalité pourrait amener un nombre non négligeable à saborder l’avenir de la prochaine génération en s’abstenant d’engendrer un nombre non moins négligeable de ses futures membres, par crainte d’hypothétiques catastrophes.

Pour ma part, si quelque chose pouvait éveiller quelques alarmes en moi (si je prévoyais d’avoir des enfants), ce serait bien plutôt la dégradation de l’Église catholique, ce serait la dictature covid qui sévit actuellement, ce serait la culture de mort qui règne en maîtresse dans notre société, ce serait l’indigente rareté d’écoles réellement catholiques, ce serait les maux engendrés par la dénatalité et le remplacement des populations, mais certainement pas un certain mythe du « changement climatique anthropique ». Mais que je sache, sous la tyrannie soviétique les jeunes gens chrétiens se mariaient et avaient des enfants, aussi rien ne devrait arrêter ceux de maintenant d’agir de même.

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La gouverneure de New York dit des vaccins covid-19 que « cela vient de Dieu »…


L'inénarrable Kathy Hochul, gouveneur de New York, proclamant l'origine « divine » du vaccin covid...

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

La nouvelle gouverneure démocrate de New York Kathy Hochul, remplaçant le démocrate Andrew Cuomo qui a dû démissionner à cause de scandales de harcèlement sexuel (sans compter que les nombreux décès survenus en maisons de soins pour personnes âgées sont sans doute attribuables à ses politiques « sanitaires »), a déclaré, lors d’une allocution prononcée au Christian Cultural Center où elle a assisté au service, que les vaccins covid-19 venaient de Dieu, et que pour cela « nous devons dire, merci, Dieu »… Selon le site du gouvernement de l’État de New York :

Nous ne sommes pas sortis de cette pandémie. J’aurais aimé que ce soit le cas, mais j’ai beaucoup prié Dieu pendant cette période et, vous savez quoi, Dieu a répondu à nos prières. Il a fait en sorte que les hommes et les femmes les plus intelligents, les scientifiques, les médecins, les chercheurs trouvent un vaccin. Cela vient de Dieu pour nous et nous devons dire, merci, Dieu. Merci. Et je porte tout le temps mon collier « vacciné » pour indiquer que je suis vaccinée. Vous tous, oui, je sais que vous êtes vaccinés, vous êtes les plus intelligents, mais vous savez qu’il y a des gens dehors qui n’écoutent pas Dieu et ce qu’Il veut [pour nous]. Vous savez qui ils sont.

J’ai besoin que vous deveniez mes apôtres. J’ai besoin que vous sortiez, que vous en parliez et que vous disiez : Nous nous devons les uns aux autres. Nous nous aimons les uns les autres. Jésus nous a appris à nous aimer les uns les autres, et comment montrer cet amour ? En se souciant suffisamment de l’autre pour lui dire : S’il te plaît, prends le vaccin parce que je t’aime et que je veux que tu vives.

Ainsi, pour Mme Hochul, les vaccins covid-19 sont divinement inspirés, voulus, donnés ! Comment un produit qui a été développé, produit ou testé sur des lignées cellulaires de bébés avortés, donc relevant d’un mal intrinsèque, peut-il être voulu par Dieu ? Cela m’échappe… En outre en l’absence de besoin de tels vaccins et en présence des effets secondaires dont ils sont l’origine, comment peut-on les considérer comme bénéfiques ?

Mais pour Mme Hochul, nous devons même dire « Merci, Dieu. Merci » pour ce remède divinement inspiré ! Pour ma part, je Le supplierais plutôt de m’accorder la grâce de ne pas être forcé pas des autorités insensées à me faire injecter une substance douteuse et dangereuse.

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La Haute Cour de Nouvelle-Zélande entérine la restriction à l’objection de conscience des médecins face à l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : orelphoto/AdobeStock

La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a confirmé une assez récente loi, qui enjoint aux soignants de rediriger une femme désirant un avortement vers un collègue disposer à le pratiquer, s’ils ne veulent l’exécuter eux-mêmes, déclarant en la matière que cela ne viole pas leur liberté de conscience — ce qui est évidemment faux, puisque cela les rendrait complices de l’avortement. Selon Gènéthique :

La Haute Cour de Wellington vient de trancher : l’obligation de donner aux femmes cherchant à avorter les coordonnées d’un service d’avortement ne viole pas les droits des objecteurs de conscience.

En Nouvelle-Zélande, les membres de l’Alliance des professionnels de la santé refusent en conscience de pratiquer des avortements. En mars 2020, la loi néo-zélandaise a été modifiée, les obligeant à donner à une femme cherchant à avorter les informations nécessaires pour trouver un service d’avortement. Ils estiment que ce changement les rend « complices » du processus d’avortement, enfreint leur liberté de pensée, de conscience, de religion, et d’expression.

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