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Un enfant de moins pour sauver le climat ? une proposition saugrenue dans un Québec de 1,49 enfant par femme

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : poplasen/Adobe Stock

Tout récemment, Outremont distribuait un dépliant à ses citoyens annonçant la tenue d’une consultation publique sur le Plan d’urgence climatique 2024-2030 menée par l’arrondissement montréalais. Le papier en question indiquait également des actions censées avoir un impact positif sur le climat. À la tête de celles-ci était placé le geste le plus salvateur pour le climat : avoir un enfant en moins…

Cette proposition saugrenue a évidemment choqué des Outremontois. Une résidente du cartier, Sarah Dormer, a exprimé son indignation, rapporte TVA Nouvelles :

« C’est irresponsable et ça fait preuve d’un total manque de jugement »

Et :

« Quand on travaille en justice climatique, ce n’est pas un message qu’on veut partager. On ne veut pas que nos enfants se sentent mal d’exister ».

Laure Widdel, elle, souligne le côté positif de la natalité, selon TVA Nouvelles :

« La natalité, ça peut aussi être positif et être une force de changement »

Le maire Laurent Desbois, face aux réactions de ses administrés, a présenté des excuses quant à l’incitation à avoir moins d’enfant contenue dans le dépliant distribué. Ceci, affirme-t-il, serait dû à un agent technique qui a adapté le graphique d’un article scientifique, « C’est tombé entre les craques », avance-t-il en guise d’excuse, rapporte TVA Nouvelles.

Vous me permettrez peut-être d’exprimer quelques doutes quant au fait que la présence de cette recommandation dans le dépliant incriminé était due à un obscur employé. Hé quoi ! N’y a-t-il aucun responsable pour vérifier la teneur du contenu avant qu’il ne soit distribué ?

En tout cas, la proposition d’avoir un enfant de moins au Québec est particulièrement grotesque quand on sait que l’indice synthétique de fécondité est tombé à 1,49 enfant par femme dans la province en 2022...

Cette proposition répugnante est d'autant plus grave qu'elle jette l'opprobre sur ceux qui ont eu des enfants et décourage tous à en avoir, même ceux qui n'en ont pas, car un enfant de plus, même si c'est le seul que vous eussiez, est un enfant de plus contre le climat.

Combien même avoir un enfant de moins aurait un impact sur le climat, il est des plus inappropriés de le suggérer. Quelle sera la prochaine recommandation tout aussi pragmatique ? Suggérer l’euthanasie aux personnes dont l’impact est négatif sur le climat ? Il est des « solutions » qui ne se proposent pas.

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Vive les mères !

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : spyrakot/Adobe Stock

Que ferions-nous sans les mères ? Ou plutôt : que serions-nous sans les mères ? Nous ne serions tout simplement pas... Elles sont irremplaçables. Elles nous ont portés avec amour. Elles nous ont nourris. Elles ont veillé avec tendresse sur nos premiers pas. Elles nous ont éduqués durant notre jeunesse. Elles ont enduré avec patience nos rebuffades durant l’âge ingrat. Elles continuent à se soucier de nous durant toute leur vie.

Le rôle de la mère, complémentaire à celui du père, est essentiel. En ce mois de Marie — la Femme entre toutes les femmes, la Mère entre toutes les mères — rappelons-nous de l’importance des mères, et tout particulièrement de la nôtre.

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Annulation de la fête des Mères et de la fête des Pères

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock

Ici et là, notamment dans les écoles au Québec, on parle de ne pas fêter la fête des Mères ou celle des Pères, au nom de l’« inclusion » — vous aurez compris qu’il s’agit d’exclure le particulier afin d’accueillir le vague... C’est un symptôme évident de perte du sens naturel de la vie. Ce n’est pas tant l’annulation de ces fêtes en particulier qui est préoccupante — ces fêtes laïques somme toute récentes me laissent froid, tout comme les jours de telle ou telle catégorie de personnes —, mais l’attaque qui est menée contre la paternité et la maternité à travers l’annulation de ces fêtes.

Exemple récent d'exclusion inclusive

La négation des parties constituantes de la famille est grave, après tout, c’est de l’union d’un homme et d’une femme que naissent les enfants, les auteurs de leurs jours devenant par le fait même père et mère.

La famille — un père, une mère et leurs enfants — est la base de la société, tant historiquement pour sa fondation qu’actuellement pour son maintien. La société, l’État sont l’extension de la famille, ou du moins devraient l’être...

L’importance de la famille réside notamment dans le principe de subsidiarité. Parce qu’elle peut engendrer ses enfants sans avoir besoin de l’aide l’État, elle est la source de l’État qui ne peut engendrer d’enfants propres à lui (sauf à recourir à quelque système collectif cauchemardesque que certains voudraient sans doute voir mis en place — ce n’est pas une idée nouvelle, Platon élucubrait déjà là-dessus dans sa Citée idéale).

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Bonne nouvelle : Pornhub se retire de l’Utah !

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Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : photoroyalty/Freepik

Pornhub, l’un des plus gros sites de pornographie en ligne au monde (dirigé par MindGeek, basé à Montréal…), a bloqué l’accès à tous les usagers utahains plutôt que de se conformer aux exigences de l’État de la ruche de vérifier l’âge de ses visiteurs. En effet, l’Utah a récemment adopté une loi exigeant la vérification de l’âge sur les sites à contenu pornographique par le biais du téléchargement de son identité digitale par le biais d’une application approuvée par le gouvernement, ou d’autres moyens de vérification par une tierce partie basés sur des données : en d’autres termes, de façon efficace.

L'Utah a également instauré des règles exigeant la permission des parents pour l'usage par les mineurs des réseaux dits sociaux.

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Québec — projet de loi pour instaurer le « don » d’organes présumé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : lenets tan/Adobe Stock

Vous vous demandez peut-être pourquoi je dis le « don d’organes présumé » et non le « consentement présumé au don d’organe ». Je m’explique : un don se fait normalement avec le consentement du donateur — d’où la redondance des termes. Mais parlant de consentement, un don se fait sciemment de la part du donateur, vous ne pourriez présumer qu’un quidam consent à vous donner sa voiture s’il ne vous a pas clairement précisé son accord — autrement c’est du vol.

Ces deux considérations devraient être évidentes, mais elles semblent avoir échappé au député libéral provincial de Pontiac, André Fortin, qui a déposé une proposition de loi à l’Assemblée nationale du Québec visant à instaurer la « présomption de consentement au don d’organes ou de tissus après le décès ». Cette formulation tiendrait-elle devant un tribunal impartial ?

Le prétexte pour étendre ainsi le prélèvement d’organes est que la liste des personnes en attente d’un organe a augmenté depuis la « pandémie ». André Fortin affirme, selon CISION :

« Malheureusement, la liste des personnes en attente d’un don d’organes a connu une augmentation marquée depuis la pandémie. Le don d’organes ne doit plus être un fait rare. Il est temps, au Québec, de légiférer en ce sens pour sauver toujours plus de vies grâce aux avancées spectaculaires de la médecine. Ayant obtenu, hier, l’appui du ministre de la Santé, il ne reste à la CAQ qu’à appeler le projet de loi pour son étude et son adoption. »

Manque-t-il donc de donneurs pour que le représentant de Pontiac veuille ainsi augmenter leur nombre ? Mais de quelle façon ce nombre augmenterait-il ? Qu’est-ce qui pousserait ceux qui ne se sont pas enregistrés parmi les donateurs à s’enrôler dans les rangs de cette brillante compagnie ? Précisément… rien, sauf peut-être l’oublie de s’être faits enregistrés parmi les prosaïques non-donateurs, puisque le « don » est présumé. M. Fortin assure, bien sûr, que son projet de loi prévoit d’importantes balises pour encadrer la pratique, et que les proches du « donateur » présumé seront consultés au cas où ils auraient eu connaissance des volontés du présumé « donateur » de ne pas se faire prélever ses organes… sauf en cas d’urgence !

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Questions de catholicisme québécois


Statue de Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, devant la Basilique Notre-Dame de Montréal.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Achim ft/Wikimedia Commons

Aux alentours de Pâque, un mini-séisme avait secoué la sphère médiatique québécoise autour d’un tweet du premier ministre du Québec François Legault reprenant l’article du chroniqueur Mathieu Bock-Côté au sujet de « notre vieux fond catholique ».

L’article de M. Bock-Côté se voulait un éloge (plutôt faible), à l’occasion de Pâque, du côté positif de l’héritage que le catholicisme a laissé dans la culture québécoise.

Dans son tweet, François Legault affirmait « Le catholicisme a aussi engendré chez nous une culture de la solidarité qui nous distingue à l’échelle continentale. »

En réponse à ce message semblant louer quelque peu le catholicisme, divers usagers de Twitter ont réagi, pour certains, positivement, pour d’autres, négativement. Parmi les critiques de l'inconsistance de Legault, on lui reprochait notamment d’avoir enlevé le crucifix de l’Assemblée nationale, ou au contraire de contredire le principe de laïcité de l’État :

« À titre de PM de TOUS les Québécois, vous ne devez pas faire l’éloge d’une religion, fût-elle la religion historique du Québec. C’est inapproprié. Sans compter que le catholicisme a aussi été une idéologie réactionnaire qui a retardé notre développement et notre émancipation. »

Si on examine l’idéologie du laïcisme, que prétend résumer la première phrase de cette réaction, je ne pense pas que l’on puisse imputer à François Legault d’être incohérent. En effet, le laïcisme ne reconnaît aucune religion d’État ni n’accorde de valeur juridique à la religion. Si donc l’État laïciste ne reconnaît aucun pouvoir à la religion, pourquoi ne lui accorderait-il pas des privilèges ? Si le laïcisme ne considère pas la religion comme une chose sérieuse, digne d’entrer en compte dans sa direction politique, rien ne l’empêche de lui accorder une valeur culturelle, surtout si la religion en question fait partie intégrante de l’histoire du Québec. D’où le retrait du crucifix du lieu de pouvoir et le tweet, après tout peu officiel, à la gloire (tweetesque) du catholicisme. C’est peut-être là la « laïcité ouverte » chère à certains…

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Pourquoi Tucker Carlson quitte-t-il Fox News ?


Tucker Carlson.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le célèbre présentateur américain, Tucker Carlson, ne tiendra plus d’émission sur Fox News. La chaîne a annoncé le 24 avril qu’elle et le présentateur « se sont séparés d’un commun accord ». Renvoi ou démission ?

Tucker Carlson, épiscopalien, tenait depuis plusieurs années l’émission Tucker Carlson Tonight lors de laquelle il invitait diverses personnalités comme Chloe Cole pour parler des méfaits des « transitions » de « genre », comme Paul Vaughn à propos de son arrestation pour activisme pro-vie, ou Ryan-Mary Houck au sujet de l’arrestation de son mari le pro-vie Mark Houck, ou encore l’exorciste Vincent Lampert sur la réalité des démons et de la puissance de Dieu, ou Mgr Charles Chaput sur la nature du « transgenrisme » comme « révolte suprême contre Dieu », ou Josh Alexander à propos de son arrestation pour s’être opposé à la mise en œuvre de l’idéologie du genre dans son école, ou le rappeur Kanye West au sujet de l’avortement, ou le milliardaire Elon Musk sur le rapport entre la faible natalité et l’avortement et la contraception, ou bien le premier ministre de Hongrie Viktor Orbán ou le président de Pologne Andrzej Duda sur leur politique nationale et familiale, ou l’ex-président du Brésil Jair Bolsonaro, sur son opposition au vaccin covid, et bien d’autres encore.

Prenant aussi la forme du monologue lors de ses émissions, Tucker Carlson avait décrit la vague de violence qui a surgi aux États-Unis contre les pro-vie et les chrétiens, lors de la révélation d’un projet de jugement infirmant la décision Roe de la Cour suprême, comme étant motivée par une volonté « d’évincer Dieu et d’attaquer le christianisme ».

Plus récemment, Tucker Carlson avait aussi affirmé, à la suite de la fusillade dans une école chrétienne de Nashville perpétrée par une jeune femme confuse quant à son sexe, que « le mouvement transgenre cible les chrétiens » et que « le mouvement transgenre est l’image inversée du christianisme et donc son ennemi naturel. »

Tucker Carlson illustrait cette intéressante comparaison par les idées respectives du « transgenrisme » et du christianisme :

« Dans le christianisme, le prix de l’admission est de reconnaître que l’on n’est pas Dieu. Les chrétiens admettent ouvertement qu’ils n’ont aucun pouvoir réel sur quoi que ce soit… Le mouvement transgenre adopte le point de vue opposé. L’idéologie trans prétend dominer la nature elle-même. Nous pouvons changer l’identité avec laquelle nous sommes nés, vous diront-ils avec une certitude aveugle. Les chrétiens ne pourront jamais être d’accord avec cette affirmation, car ils croient qu’il s’agit de pouvoirs que Dieu seul possède. »

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L’Assemblée nationale du Québec vote à l’unanimité une motion en faveur des drag queens


Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : La Presse

Que nous vaut cette motion unanime récemment votée au Salon Bleu à la défense des dits « drag queens » ? Ce message plein d’émotions (mais peu de raison…), lancé à l’initiative de Québec solidaire, proclame : « l’Assemblée nationale souligne que les drag queens ne devraient, en aucune circonstance, faire face à des insultes violentes, à de l’intolérance et à de la haine pour leur participation à la lecture de contes pour enfants ».

De quelles effroyables menaces ont fait l’objet les pauvres drag queens ? Si l’on en croit La Presse qui rapporte les faits (ou du moins une partie…), une manifestation a eu lieu devant le bâtiment où devait se tenir une lecture par un « drag queen » dit Barbada à des enfants, conduisant la Ville de Saint-Catherine en Montérégie à déplacer l’événement. Une pancarte brandie par l’un des manifestants se lisait comme suit : « les drag queens n’ont pas leur place dans nos écoles » et « leur place est dans les établissements 18 ans et plus ».

Il faut faire un petit effort d’imagination (ou même un gros…), avec une bonne pincée d’émotions dans le sens nécessaire si vous en êtes capable, pour voir de la haine à l’endroit de « Barbada » — si c’est là la pire « intolérance », « insulte violente » ou « haine » à laquelle le bonhomme a dû faire face.

Par contre, il est certainement intolérable qu’un homme déguisé en caricature de femme vienne lire des histoires douteuses à des enfants dans le but de déconstruire la « norme sociale » chez ces derniers. Déjà qu’il est pour le moins étrange qu’un individu veuille se produire dans un assortiment immodéré, il n’est certainement pas sain qu’il transmette cette lubie aux jeunes générations.

À côté de l’unanimisme parlementaire, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec, a tout de même lancé une pétition allant quelque peu à l’encontre des spectacles de « drag queens » auprès des enfants.

Au passage, l’article de La Presse souligne que le « Québec se distingue des politiques du Tennessee dans sa relation avec les drag queens », car cet État interdit maintenant leur exhibition dans les lieux où peuvent se trouver des mineurs. Affreux, n’est-ce pas ?

La manifestation en question, ci-dessous :

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Quand les médias se font les limiers du pouvoir pour dénicher les « thérapies de conversion »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock

Un article du journal Métro nous apprend que des journalistes de cette feuille de chou se sont présentés auprès d’églises protestantes comme des personnes mal à l’aise avec leur « orientation sexuelle » et cherchant une solution à cet égard, afin de découvrir si elles offraient des « thérapies de conversion » — illégales au Canada, et davantage au Québec.

Selon Métro :

Des églises offrent des thérapies de conversion pour les personnes LGBTQ+ à Montréal, un an après l’adoption de la loi canadienne les interdisant. Des journalistes de Métro ont enquêté sur ces églises en prétendant vouloir changer d’orientation sexuelle et ont obtenu l’une de ces thérapies qui s’apparentent à un exorcisme.

Notez que lesdits journalistes n’ont pas hésité à mentir pour débusquer les fournisseurs de « thérapies de conversion », mais que l’article de Métro ne se gêne pas pour mettre en relief que ces églises ont nié avoir fourni des « thérapies », lorsqu'ouvertement interrogés par le journal. Oh ! tant qu’à y être, pouvez-vous me dire quand les journalistes cessent de mentir afin que je sache s’ils disent vrai dans leur article…

Mais qu’est-ce qu’une « thérapie de conversion » ? « Thérapie de conversion » est le terme employé par la Loi C-4 du Canada et la Loi 70 au Québec pour désigner toute tentative de changer ou réprimer l’« orientation sexuelle », l’« identité de genre » ou l’« expression de genre » d’une personne. Cependant, les deux lois s’entendent pour n’interdire que les « thérapies de conversion » visant à « amener une personne à changer son orientation sexuelle, son identité de genre ou son expression de genre ou encore à réprimer les comportements sexuels non hétérosexuels », pour citer la loi québécoise. Pourquoi donc ne pas interdire les « thérapies » ayant pour but de rendre une personne homosexuelle ?

Les « thérapies » par lesquelles les espions de Métro sont passés consistaient en prières prononcées par le pasteur de l’église qu’ils sollicitaient, et en quelques conseils.

Un des journalistes (toujours sous le masque du mensonge…) a contacté un pasteur, prétendant qu’il voulait aider son petit frère à se défaire de son « orientation sexuelle », amenant le pasteur Karl DeSouza à révéler qu’il connaîtrait des groupes de soutien pour une telle personne, selon Métro :

Le pasteur a proposé de mettre le jeune homme en contact avec des groupes de soutien situés à différents endroits au Canada, dont certains à Montréal. Ces groupes seraient composés de « frères et sœurs chrétiens » qui sont « aux prises avec l’homosexualité » et qui pourraient témoigner de la façon dont ils « surmontent cela ».

« Vous n’êtes pas seul », lui a-t-il assuré. « Une fois que j’aurai pris contact avec ces gens, ils me mettront dans le réseau où ils me donneront d’autres contacts. »

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Le pro-vie Gerrit Van Dorland, exclu par le Parti conservateur de la course à l’investiture du comté d’Oxford en Ontario


Gerrit Van Dorland.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : YouTube

Gerrit Van Dorland, qui avait présenté sa candidature à l’investiture dans le comté d’Oxford pour le Parti conservateur du Canada, s’est vu rejeter par le Comité national dudit parti, par un vote de 3 voix contre 2. Cette décision a été confirmée par le Comité national de sélection des candidats par un vote de 11 voix contre 3 et une abstention, selon les sources de LifeSiteNews.

Gerrit Van Dorland aurait-il été exclu pour ses convictions pro-vie ou parce que le parti voulait parachuter un de ses favoris, ou les deux ? Il est à noter que le comté d'Oxford en Ontario est une place forte conservatrice tenue depuis 2004 par le député Dave MacKenzie, qui a pris sa retraite.

Selon la source de LifeSiteNews proche du Parti conservateur, Pierre Poilievre serait en faveur de cette disqualification :

Il semble également que le chef du PCC, Pierre Poilievre, était en faveur du maintien de l’interdiction de Van Dorland, selon les informations envoyées à LifeSiteNews.

« Il (Poilievre) aurait même pu exprimer son mécontentement face à la pratique de la discrimination contre les conservateurs sociaux, afin d’envoyer le message qu’il ne veut pas que ce genre d’escroquerie se poursuive », a déclaré la source de LifeSiteNews.

« Nos informations indiquent que la pression exercée par le bureau du chef était de maintenir la disqualification.

Le parti, quant à lui, dans un récent communiqué, invoque “un manquement à l’obligation de divulguer les informations requises au cours de la procédure de candidature” de la part de Van Dorland, rapporte True North. Cependant, Bas Sluijmers, directeur de campagne de Van Dorland, souligne que le parti ne précise pas quels documents manquaient au dossier du candidat rejeté — ce qui semble être une pratique courante au sein du parti…

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