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21 médecins canadiens demandent un réexamen des produits et opérations transgenres pour enfants

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : makyzz/Adobe Stock

27 mai 2025 (LifeSiteNews) — 21 médecins canadiens ont signé une lettre appelant à la révision des dangereux médicaments et chirurgies de « transition » de genre destinés aux enfants.

Dans une lettre datée du 14 mai et produite par l’Institut Macdonald-Laurier, 14 médecins canadiens ont exprimé leurs inquiétudes quant au nombre croissant d’enfants à qui l’on prescrit des médicaments et des interventions médicales irréversibles pour tenter de les « transitionner » d’un sexe à l’autre. Depuis la publication de la lettre, sept autres médecins ont ajouté leur nom au document, atteignant le total de 21 signataires.

« Nous pensons qu’il est essentiel que le public sache que de nombreux médecins — et peut-être la plupart d’entre eux — estiment que des restrictions doivent être imposées aux thérapies de genre qui modifient de façon permanente le corps d’un mineur », écrivent les médecins.

« De nombreux Canadiens ignorent probablement que des politiques restrictives similaires sont déjà en place dans d’autres pays médicalement avancés, comme la Grande-Bretagne et plusieurs États membres de l’UE », expliquent les médecins, faisant également référence aux nouvelles restrictions imposées par le président Donald Trump aux États-Unis.

La lettre fait référence à l’étude Cass du Royaume-Uni, qui a révélé les dangers de la « transition » des enfants, notamment au moyen de produits pharmaceutiques et d’opérations chirurgicales mutilantes. L’étude en question a amené des agences gouvernementales à repenser leurs politiques en matière de transgenrisme.

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Un nouveau documentaire met en lumière le sort d'un Canadien gravement blessé après une injection covid

Par Angeline Tan — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le cinéaste canadien Dean Rainey braque les projecteurs sur les vaccins expérimentaux COVID-19 avec un nouveau documentaire de 80 minutes détaillant le cas d'un homme canadien qui a souffert de séquelles invalidantes après avoir reçu les vaccins.

Intitulé « Why Can't We Talk About This » (Pourquoi ne pouvons-nous pas en parler ?), le documentaire explore l'histoire de Michael Oesch, un homme autrefois actif et en bonne santé dont la santé a dégénéré après avoir reçu sa quatrième injection du vaccin COVID à ARN messager en octobre 2022. Environ 36 heures après avoir été vacciné, Michael Oesch a éprouvé des difficultés à marcher et, peu de temps après, a commencé à souffrir de paralysie.

Après avoir passé une IRM, Oesch a appris qu'il souffrait de graves lésions de la colonne vertébrale, comme l'a rapporté le journal local Norfolk Today. Bien que tout cela se soit produit peu de temps après sa quatrième dose de vaccin COVID, les médecins n'ont pas donné à M. Oesch un diagnostic clair et ont qualifié son état d'« idiopathique », c'est-à-dire de cause inconnue.

Convaincu qu'il souffrait d'une lésion vaccinale liée à la protéine « spike », Oesch a dû faire face à un nouvel obstacle lorsque sa demande auprès du programme fédéral canadien de soutien aux victimes de vaccins a été retardée. Le documentaire de Rainey explique comment Oesch s'est battu pour obtenir un traitement, un soutien et une reconnaissance officielle de ses blessures dans un monde hostile à tout ce qui est négatif à propos des vaccins.

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Les demandes anticipées d’euthanasie sont illégales au Canada, des centaines de personnes en ont quand même signé

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

26 mai 2025 (LifeSiteNews) — À l’automne 2024, le Québec a autorisé les « demandes anticipées » d’euthanasie. Du 30 octobre au 17 avril, près de 650 Québécois ont rempli un formulaire autorisant leur mort par injection létale ultérieurement, lorsqu’ils seront incapables de donner leur consentement en raison d’une maladie avancée ou de déclin mental. Le Comité des Nations unies sur les droits des personnes handicapées a demandé au Canada de cesser de laisser cette pratique avoir lieu ; le Canada n’a pas encore répondu.

Les médias peuvent réagir à cette pratique de deux manières. La première est de souligner les conséquences horribles de cette pratique. Aux Pays-Bas, par exemple, une femme atteinte de démence a été maintenue physiquement par sa famille et s’est fait injecter une dose mortelle par un médecin après que le tranquillisant qui avait été glissé dans son café n’ait pas réussi à la rendre inconsciente. Elle menait une vie heureuse dans sa maison de retraite et n’avait aucune idée de ce qui se passait lorsqu’elle a été tuée. Sa famille affirme que c’est ce qu’elle aurait voulu. Le médecin a été mis hors de cause.

Une grande partie de la presse canadienne adopte l’approche inverse et publie plutôt le genre d’articles que Mourir dans la dignité souhaite si désespérément nous faire lire (en fait, je ne serais pas surpris qu’elle ait facilité beaucoup ou la plupart de ces histoires). Un grotesque article publié récemment par City News illustre cette approche.

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Il nous reste une semaine, et voilà ce qui arrive...

Au moment où ce courriel est envoyé, il ne reste qu'une semaine avant notre prochaine Marche pour la vie à Québec. Des centaines de personnes sont attendues dans la capitale afin de faire briller la lumière dans une province actuellement et tragiquement plongée dans les ténèbres quant au droit à la vie des enfants à naître.

Nous préparons cette Marche depuis près de 6 mois : planification des événements devant l’Assemblée nationale, coordination avec la police et la sécurité du parlement, gestion des équipes techniques pour le son et la scène, coordination avec les responsables des bénévoles, désignation des chefs de marche pour guider le cortège, conception et impression des pancartes. En outre, nous organisons aussi notre premier banquet annuel pro-vie, prévu en soirée après la marche, à l'hôtel Delta tout proche.

Nous voici donc à une semaine de cet événement phare, finalisant les derniers préparatifs, signant de gros chèques pour les repas, la location de salles à l'hôtel et l’équipement, pour apprendre que Postes Canada est une fois de plus en pleine perturbation! Ce genre de situation, bien qu’irritante pour les Canadiens, est particulièrement problématique pour les organismes pro-vie comme le nôtre. Aussi surprenant que cela puisse paraître en 2025, plus de 70 % de nos dons annuels nous parviennent encore par courrier : beaucoup de gens préfèrent simplement cette méthode.

Ce n’est pas faute d’avoir essayé de nous tourner davantage vers les communications électroniques — ce courriel en témoigne. Cependant, le papier reste une grande part de notre survie et de notre prospérité. Je laisserai de côté aujourd'hui la question de savoir comment notre organisme peut évoluer au-delà de Postes Canada, dont la fiabilité diminue constamment.

Ce que je veux vous demander aujourd'hui, en tant que personne pro-vie, c'est d’encourager notre équipe, nos bénévoles et tous les participants à la Marche pour la vie en faisant un don généreux en ligne. Nous lançons aujourd’hui une collecte de fonds de 3 semaines afin de pallier les effets de cette perturbation des services postaux et de renflouer nos coffres qui se vident rapidement. Notre objectif est de 15 000 $.

Faites un don dès aujourd'hui à Campagne Québec-Vie >>

Nous avons travaillé toute l’année, et voilà qu’au sommet de nos efforts, nous sommes confrontés à un manque à gagner qui affecte fortement notre moral en ce moment crucial. C’est pourquoi je me tourne vers vous, en espérant que vous puissiez répondre à cet appel.

À Campagne Québec-Vie, nous vivons pour la mission, et nous avons besoin de vos dons pour continuer à exister. Sans dons, nous n’avons pas les moyens de sauver des bébés et leurs mères de l’avortement, nous ne pouvons organiser des événements comme la Marche qui rappellent aux Québécois que tout être humain a droit à la vie, que nous, pro-vie, sommes bien présents et que nous ne disparaîtrons pas!

Encore une fois, nous lançons aujourd’hui une campagne de 3 semaines avec un objectif de 15 000 $, afin de traverser cette tempête financière et nous soutenir durant cette intense période entourant la Marche pour la vie. Soyez généreux — ensemble, nous pouvons réussir!

Que Dieu vous bénisse,


Georges Buscemi

Président, Campagne Québec-Vie


📍 Marche pour la vie à Québec 🗓 Samedi 31 mai, 11 h — Devant l'Assemblée nationale 🚍 Autobus à partir de Montréal et d’autres régions — Contactez Brian Jenkins au (438) 930-8643

Cliquez ici pour le site web>>

Cliquez ici pour l’événement Facebook>>

Aidez-nous à diffuser l'information sur la Marche pour la vie! Partagez dans votre paroisse, vos groupes communautaires, avec vos amis et votre famille. ➡️ Téléchargez l'affiche 8,5x11 ici

Vous souhaitez des dépliants imprimés par la poste ou en récupérer à notre bureau de Montréal? 📩 Contactez-nous : [email protected] / 1-855-996-2686

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La Cour suprême du Canada rejette l’appel du conseiller scolaire catholique persécuté Michael Del Grande


Statue de la justice devant la Cour suprême du Canada.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stephen boisvert/Flicrk/Wikimedia Commons

21 mai 2025 (LifeSiteNews) — La Cour suprême du Canada a refusé d’examiner le cas du conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board (TCDSB), Mike Del Grande, qui a été puni pour avoir défendu l’enseignement de l’Église sur la sexualité en s’opposant à l’agenda LGBT.

« La demande d’autorisation d’appel du jugement de la Cour d’appel de l’Ontario, numéro COA-23-CV-1052, 2024 ONCA 769, datée du 23 octobre 2024, est rejetée avec dépens », a décidé la Cour suprême du Canada le 15 mai, en référence à l’affaire Del Grande. Le conseiller avait demandé à la cour d’entendre son appel après avoir été sanctionné par le TCDSB en 2019 pour s’être opposé au programme LGBT.

Del Grande a tenté dans un dernier effort de porter son affaire devant la Cour suprême pour renverser les sanctions qui lui ont été imposées pour avoir condamné l’agenda LGBT.

En novembre, un juge d’Ontario, nommé par les libéraux, a rejeté l’appel de Del Grande qui demandait que le TCDSB abandonne les accusations de « mauvaise conduite » portées contre lui pour s’être opposé à l’ajout de l’« identité de genre » et de l’« expression de genre » en tant que classes protégées dans le code de conduite du conseil, catholique de nom.

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Plainte du gouvernement espagnol contre Mgr Reig Pla pour avoir prêché sur les conséquences du péché originel


Mgr Reig Pla.

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : © Conferencia Episcopal Española

Le gouvernement espagnol vient de porter plainte devant le procureur général, la « Fiscalía General del Estado », contre Mgr Juan Antonio Reig Pla, évêque émérite d’Alcalá de Henares, pour une récente homélie au cours de laquelle il avait expliqué que la souffrance, la maladie et la mort sont la conséquence du péché originel. Le sang du ministre des Droits sociaux n’a fait qu’un tour : dix jours après ces propos jugés intolérables, la Direction générale des droits des personnes handicapées dépendant de ce ministère a donc saisi la justice en estimant qu’ils pouvaient être constitutifs d’un « délit de haine » à l’égard des personnes handicapées.

En outre, un dossier d’information a été ouvert et il a été demandé à la Conférence épiscopale de condamner publiquement les déclarations de l’évêque et de prendre des mesures pour éviter qu’elles ne se reproduisent à l’avenir.

Etant donné que l’évêque s’appuyait directement sur l’enseignement de l’Eglise, il s’agit bel et bien pour le gouvernement socialiste de l’Espagne de contrôler ce qui est dit au nom de la foi et d’interdire certaines expressions de la doctrine catholique, en s’abritant de manière mensongère derrière les « droits » des handicapés.

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Deux commentateurs québécois suggèrent publiquement l’euthanasie des handicapés

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec a ouvert une enquête après qu’une femme de 24 ans souffrant d’une déficience intellectuelle et ayant les capacités mentales d’un enfant ait été emprisonnée en isolement à l’Établissement de détention Leclerc, une prison pour femmes, pendant huit jours. Le scandale a été révélé par La Presse ; le gouvernement se déclare « profondément choqué ».

Mais la réaction de Luc Ferrandez, ancien maire du Plateau-Mont-Royal, et de Nathalie Normandeau, ancienne vice-première ministre du Québec, est plus grave encore. Selon le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec, dans une missive furieuse publiée le 18 mai, les deux anciens politiciens ont suggéré, lors d’une conversation radiophonique, que l’euthanasie pourrait être la meilleure « solution » à la situation de cette femme [Le cas de « Florence » a été l’occasion pour les commentateurs de parler du manque de moyens du système de santé et de suggérer l’euthanasie des personnes handicapées prises dans ce système — et non tellement de suggérer l’euthanasie de « Florence » elle-même. Ce qui demeure honteux quand même !]*

« Nous sommes ébranlés. Nous sommes indignés. Et surtout, nous refusons de nous taire », écrit le RAPLIQ dans un communiqué de presse intitulé « Complices d'une pensée eugéniste – La honte sur nos ondes – Écœurés. Dégoûtés. En colère. »

« Cette semaine, au 98,5 FM, Luc Ferrandez et Nathalie Normandeau ont franchi une ligne rouge. Devant la situation tragique de Florence [nom fictif], une jeune femme présentant une déficience intellectuelle et emprisonnée faute de ressources adéquates, ces deux ex-politiciens devenus commentateurs ont sérieusement envisagé — à voix haute — que la “solution” pourrait être... la mort. »

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Les médias déchaînent encore leur malice contre les lois pro-vie


Photo : Microgen/Adobe Stock

Vous avez peut-être lu ces derniers temps des titres étranges comme celui que TVA Nouvelles a produit dernièrement : « Même morte, une femme enceinte doit rester branchée en raison des lois sur l’avortement en Géorgie ». Il s’agit d’une femme enceinte qui a été déclarée en état de « mort cérébrale » et dont on maintiendrait, s’il fallait en croire ce titre, les fonctions corporelles afin que puisse naître le bébé que son corps porte, et ce, en vertu d’une loi sur l’avortement. Je reviendrai sur cette idée absurde de « cadavre vivant » un peu plus loin.

Pourquoi est-ce que je parle de cette affaire ? C’est parce qu’elle comporte plusieurs facettes de l’anticulture de mort dans laquelle nous vivons.

La première chose est la malice des médias qui parlent de ce cas. En effet, si la femme en question, Adriana Smith, est vraiment morte, en quoi lui fait-on tort en gardant en fonction son corps jusqu’à ce qu’une nouvelle vie naisse ? Il est vrai que les médias abordent surtout l’affaire sous l’angle du point de vue de la grand-mère qui exprime son inconfort face au fait que la décision ne revienne pas à la famille en qui concerne le corps de sa fille, mais qui affirme néanmoins, comme cela est rapporté ailleurs, qu’elle désire que le bébé naisse. Cette attitude médiatique incompréhensible ne s’explique que par la volonté des grands médias de casser du sucre sur le dos des lois pro-vie sous le moindre prétexte.

Mais leur impertinence ne s’arrête pas là, car il s’avère que ce n’est pas en raison de la loi sur les « battements de cœur » qui interdit la plupart des avortements à partir de 6 semaines en Géorgie que Mme Smith reste branchée sur les supports vitaux, mais en raison de la Loi sur les directives anticipées en matière de soins de santé, adoptée en 2007, c’est-à-dire quand Roe v. Wade était encore en place, loi donc qui prescrit qu’une femme enceinte dans un tel cas doive rester sur les soutiens vitaux, à moins que le bébé qu’elle porte ne soit pas encore considéré comme « viable » et qu’elle ait rédigé une directive anticipée — ce qui n’est pas le cas.

Le problème avec le concept de « mort cérébrale », c’est qu’il fait considérer une personne dont toutes les fonctions cérébrales ont cessé, mais dont le corps est autrement bien vivant, comme « morte ». Ce qui est absurde, puisque comme on le voit ici une femme peut porter son enfant à naître — chose impossible avec un cadavre... Or, vous le savez sans doute, on prélève les organes des personnes en état de « mort cérébrale » si celles-ci ont précédemment accepté d’être « donneuses » — dans certains pays, les personnes sont automatiquement considérées comme « donneuses », à moins qu’elles n’aient expressément indiqué qu’elles ne voulaient pas l’être... L’autre problème est que la dernière directive de l’American Academy of Neurology sur la « mort cérébrale » en permet la déclaration, même si on peut encore détecter des ondes cérébrales chez la personne ou que la partie de son cerveau appelée hypothalamus est encore fonctionnelle — ce qui enfreint dans les faits la Loi sur la détermination uniforme de la mort !

Parmi les partisans du don d’organes, certains vont même jusqu’à proposer le « don complet du corps » afin que l’on puisse utiliser les femmes déclarées en état de « mort cérébrale » comme incubateurs... Dans le camp de la mort, Adriana Smith n’est plus qu’un incubateur et pourtant il s’indigne ! Mais cette incohérence apparente a pour seul but d’attaquer les lois pro-vie. Dans le camp de la vie, Adriana Smith est toujours vivante et son enfant à naître est déjà vivant, et sont traités comme tels.

L’ironie de la chose, c’est que le fait que l’on garde Mme Smith branchée sur les supports vitaux en raison de sa grossesse lui sauvera peut-être la vie, il existe plusieurs cas de personnes déclarées en état de « mort cérébrale » qui se sont réveillées.

Si seulement les médias voulaient bien admettre que Mme Smith n’est pas morte, ils auraient un argument (fallacieux, il est vrai) de plus à leur attirail. En effet, garder branchée une femme enceinte dans le coma contre sa volonté auparavant exprimée reviendrait à brader son « choix ». Cela n’est cependant pas prêt d’arriver, car il faudrait pour cela qu’ils rejettent la notion de « mort cérébrale » qui veut qu’une personne n’est plus une personne quand elle perd ses fonctions rationnelles, idée corollaire de celle qui veut qu’une personne ne commence à exister que quand elle commence à avoir des capacités rationnelles fonctionnelles. Vous l’aurez compris, rejeter l’un reviendrait à abjurer l’autre ; reconnaître l’humanité des personnes en état de « mort cérébrale » reviendrait à admettre celle des enfants à naître dès ses stades les plus précoces.

Les deux extrémités de la vie sont menacées par l’anticulture de mort. C’est pourquoi je vous invite à nous rejoindre le samedi 31 mai, pour ceux de vous qui habitez assez proche, devant l’Assemblée nationale du Québec pour la 2e Marche pour la vie de Québec. Venez nombreux défendre avec nous la vie des enfants à naître et des personnes vulnérables !

Pour la Vie,
Augustin Hamilton

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Les médecins avaient dit à ce couple qu’une grossesse était « médicalement impossible »


La famille Carter.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Liberty Church/YouTube

Hope Carter avait « toujours voulu être mère », alors quand elle et son mari Josh ont appris qu’ils n’auraient jamais d’enfants biologiques, elle en a eu le cœur brisé. Mais parfois, des miracles se produisent.

Selon WMAZ, le couple a appris en 2017 qu’il ne pouvait pas avoir d’enfants. Ils avaient passé des années à suivre des traitements de fertilité, y compris la fécondation in vitro (FIV)*, sans obtenir la grossesse tant désirée.

« Nous avons essayé pendant plusieurs années et avons finalement été orientés vers une clinique de fertilité où ils ont fait tout ce qui était connu de l’homme pour essayer de nous aider à avoir des enfants — et après de nombreux médicaments, de nombreuses procédures et la FIV, ils nous ont dit que nous ne pourrions jamais avoir d’enfants biologiques », a déclaré Hope. Grâce à la FIV, sept embryons avaient été produits, mais au bout d’une semaine — et avant qu’ils aient pu être implantés — tous les embryons étaient morts.

« Ils nous ont dit qu’il me serait médicalement impossible de devenir enceinte », a-t-elle déclaré, ajoutant : « J’ai toujours voulu être mère et j’ai été dévastée, vraiment dévastée d’entendre que je ne pourrais pas l’être ».

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Les avortements aboutissant à des bébés nés vivants et mort-nés ont de nouveau augmenté au Canada en 2023 et 2024

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik

6 mai 2025 (LifeSiteNews) — Je dois avouer que lorsque Pat Maloney — la blogueuse pro-vie canadienne responsable d’inlassables exposés sur le régime d’avortement de ce pays — envoie un nouveau rapport, j’hésite presque à cliquer dessus. Depuis plus de dix ans, Pat Maloney révèle que, chaque année, des bébés naissent vivants au Canada à la suite d’avortements et sont laissés à l’abandon. Et chaque année, les journalistes et les politiciens ignorent soigneusement son rapport.

Lorsque Mme Maloney a révélé pour la première fois en 2013 qu’au moins 491 bébés étaient nés vivants, il y a eu un tollé. Trois députés canadiens ont envoyé une lettre à la GRC pour demander une enquête sur ces révélations. La presse s’en est également fait l’écho. Le sinistre titre du National Post résume bien la situation : « Naissance d’un dilemme juridique : Les avortements par naissance vivante, une zone grise périlleuse dans le Code criminel canadien ». « Périlleuse », bien sûr, parce que le Canada autorise l’avortement jusqu’à la naissance. Les partisans de l’avortement se sont toutefois empressés de défendre cette pratique. Comme l’a dit le Post : « Les médecins affirment qu’il est exagéré de supposer que 491 avortements de bébés nés vivants représentent le meurtre de bébés par ailleurs en bonne santé ».

Depuis lors, le reportage de Maloney a été largement ignoré. La révélation que des bébés périssent hors de l’utérus a provoqué un bref sursaut de la conscience collective ; les partisans de l’avortement se sont empressés de balayer l’histoire du revers de la main et d’assurer à tout le monde que cela est « moralement défendable » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter ; le premier ministre Stephen Harper a répondu allègrement en réaffirmant que l’avortement est légal au Canada ; et presque tout le monde est passé à autre chose. Mme Maloney, cependant, continue de détailler la facture du boucher.

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