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Témoignage d’un ancien contre-manifestant à la Chaîne de la Vie, maintenant pro-vie !


La Chaîne de la Vie sur le boulevard Décarie à Montréal.

Ceci est le témoignage d’un lecteur de Campagne Québec-Vie :

J’ai été un fervent communiste dans ma jeunesse, notamment quand j’étais étudiant universitaire et je l’ai été aussi par la suite. J’ai défendu vigoureusement, entre autres choses. Le droit à l’avortement et la dissolution de la famille traditionnelle (concubinage, divorce, contraception, mariage de même sexe) en dépit de mon éducation catholique. J’ai même participé à des manifestations dans les années 90 contre Campagne Québec-Vie, c’était un dimanche d’octobre devant la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes au centre-ville de Montréal. J’y suis allé trois fois et la troisième fois, en 1998 si je ne me trompe j’ai ressenti un malaise assez grand à cause de l’attitude belliqueuse des contre-manifestants de la gauche radicale. Je remettais de plus en plus en question ce genre d’actions, même si j’étais encore « pro-choix ». J’ai décidé d’entrer en contact avec CQV par la suite et je me suis abonné au bulletin.

Ceci m’a aidé à revenir au catholicisme de mon enfance. J’ai regretté et je regrette d’avoir participé au mouvement soi-disant « pro-choix » qui est en fait un promoteur radical de l’avortement et de la destruction de la famille traditionnelle. Je déplore la fermeture d’esprit radicale de ces gens qui ne cherchent même pas à connaître ce qu’est le point de vue réel des défenseurs de la vie. Ils font preuve de haine et de violence et certains peuvent être dangereux, Dieu nous en préserve ! Encore aujourd’hui, les « pro-choix » sont souvent, même s’il ne faut pas généraliser, animés d’une haine tenace et féroce envers ceux et celles qui ne partagent pas leurs points de vue. Les militants et militantes pro-vie que j’ai eu l’occasion de rencontrer et de fréquenter sont en général des gens remplis d’amour et aussi profondément spirituels et pieux. Rien à voir avec les hystériques si nombreux dans l’extrême-gauche.

Je regrette aussi d’avoir défendu aussi fortement le communisme qui a causé des dizaines et des dizaines millions de morts dans le monde. Les communistes ont persécuté brutalement l’Église catholique dans un grand nombre de pays et ont engendré bien des martyrs. En Russie, l’Église orthodoxe a beaucoup souffert du joug bolchéviste et sa direction a dû collaborer avec le régime pour survivre. Dans les pays de l’Europe de l’Est et en Chine, l’Église catholique a été une des premières cibles de la tyrannie communiste. Une bonne partie de ceux et celles qui militent pour l’avortement sont des communistes endurcis et c’est une raison majeure de leur haine à l’égard des défenseurs de la vie.

Aujourd’hui, il y a des militants et des militantes qui ont créé le Parti communiste révolutionnaire et qui cherchent à dévoyer la jeunesse du Québec et du Canada. Ils veulent prendre le pouvoir au nom de la lutte contre le capitalisme et leur succès serait un véritable désastre. Ces gens veulent nous faire croire que le communisme nous mènera au paradis terrestre et que nous nagerons dans le bonheur. En réalité notre pays sera plongé dans la terreur et le sang comme le furent l’ex-URSS et ses satellites. Nous devons nous unir et prier fort pour que Dieu leur barre la route. Je connais très bien les communistes et derrière leurs beaux discours ce sont des fanatiques et bien souvent sans aucune morale. Ce sont des ennemis acharnés du règne du Christ.

H.P

Union de prières en Jésus et Marie

La Chaîne de la Vie est un événement de prière et de manifestation silencieuses d'une heure pour l'enfant à naître. Elle a lieu chaque année dans plusieurs pays à travers le monde et à plusieurs endroits à travers le Québec et le Canada. Pour plus de renseignements : cqv.qc.ca/chaine2024

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Le parti républicain a abandonné les pro-vie et les conservateurs sociaux. Comment devons-nous réagir ?


Donald Trump.

Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Wikimedia Commons/Flickr

24 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Dans l’épisode de cette semaine du Van Maren Show, Jonathon discute des positions « adoucies » du programme 2024 du Parti républicain sur l’avortement et le « mariage » homosexuel, ainsi que de certaines des manigances qui ont fait taire les voix pro-vie lors de son adoption.

Jonathon commence l’émission en expliquant comment le programme républicain de 2024 s’écarte des positions précédentes sur l’avortement et il dévoile la suppression de lignes qui remontent à des décennies.

« Pour la première fois en 40 ans, le programme ne contient pas de soutien à une interdiction nationale de l’avortement ni une phrase qui figure dans le programme républicain depuis 1984 : “L’enfant à naître a un droit fondamental et individuel à la vie qui ne peut être enfreint” ». Jonathan a ajouté : « C’est la phrase clé pour laquelle Phyllis Schlafly et d’autres chefs pro-vie se sont battus avec acharnement afin qu’elle figure dans le programme ».

Le programme républicain de 2024 stipule plutôt ce qui suit : « Le pouvoir d’adopter des lois sur l’avortement est du ressort de chaque État ». Il a noté que si le programme s’oppose à l’avortement tardif, il soutient le contrôle des naissances et la fécondation in vitro dans la même phrase.

Jonathon a ensuite expliqué en détail les manigances qui ont eu lieu pour réduire au silence les délégués pro-vie et socialement conservateurs lorsqu’ils se sont réunis pour approuver le programme lors de la Convention nationale républicaine à Milwaukee, dans le Wisconsin. Il a reçu ces informations de l’une des déléguées, Gayle Ruzicka, présidente de l’Utah Eagle Forum.

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Melissa Ohden, militante pro-vie, raconte comment elle a survécu à un horrible avortement tardif


Melissa Ohden.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube

25 juillet 2024 (LifeSiteNews) — La militante pro-vie Melissa Ohden a raconté comment elle a survécu à un avortement alors qu’elle était bébé, encourageant d’autres personnes à partager leurs histoires d’avortement.

Dans une vidéo diffusée le 19 juillet par Students for Life, Ohden, une militante pro-vie bien connue aux États-Unis, a raconté comment elle a retrouvé sa mère biologique des années après avoir été séparée d’elle à la naissance à la suite d’un avortement raté.

« En août 1977, j’ai survécu à un avortement par perfusion saline », a commencé Melissa. « Ma mère biologique était étudiante et s’est fait avorter contre son gré par sa mère, ma grand-mère ».

Sa grand-mère étant infirmière, elle a contourné les procédures normales d’avortement et a forcé sa fille de 19 ans à subir une procédure secrète « avec l’aide de son ami et collègue, l’avorteur local ».

L’avorteur a tenté de tuer Melissa en injectant une solution saline toxique dans le liquide amniotique qui l’entourait dans l’utérus. La solution était conçue pour empoisonner et brûler Melissa jusqu’à ce qu’elle en meure, car elle était entourée de ce liquide toxique dans l’utérus de sa mère.

Après que Melissa ait trempé dans la solution saline toxique pendant cinq jours, l’accouchement de sa mère a été provoqué et elle devait mettre au monde un bébé mort. À la surprise de l’avorteur, Melissa n’était pas morte et elle est née vivante.

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La loi canadienne sur l’euthanasie favorise-t-elle les meurtres en série dans le domaine de la santé ?

Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit pas Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Le professeur Christopher Lyon, qui enseigne à l’université de York au Royaume-Uni, a mené des recherches et conclu que la loi canadienne sur l’euthanasie (Aide médicale à mourir ou AMM) favorise les tueurs en série dans le domaine de la santé (Healthcare Serial Killers ou HSK).

La recherche de M. Lyon a été publiée par HEC Forum le 2 août 2024 sous le titre : Canada's Medical Assistance in Dying System can Enable Healthcare Serial Killing [Le système canadien d’aide médicale à mourir peut permettre aux tueurs en série d’agir dans le domaine de la santé].

(Lire l’article de recherche avec les références et les notes de bas de page.)

Le phénomène des tueurs en série dans le domaine de la santé n’est pas nouveau. Lyon écrit sur plusieurs HSK bien connus et examine ce qui leur permet de rester inaperçus pendant de longues périodes de temps tout en tuant leurs patients.

Lyon résume son article en déclarant :

Le HSK criminel apparaît à l’échelle mondiale. Les délinquants peuvent tuer de moins de dix patients jusqu’à des centaines de personnes. Il est souvent difficile de les détecter et de les arrêter en raison de l’accès aux moyens de tuer lié au travail, de la responsabilité de la tenue des registres, du rôle de confiance, de l’insularité et du protectionnisme professionnels, du manque de surveillance et des victimes dont le décès est moins susceptible d’attirer les soupçons en raison de l’âge, de la maladie ou de la probabilité existante de mourir. Des concepts et pratiques juridiques et médicaux ambigus ou divergents peuvent compliquer les poursuites contre les HSK.

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« Arracher une jambe ou deux » : une vidéo d’infiltration révèle comment Planned Parenthood prélève les organes des bébés


Un centre de Planned Parenthood à Houston au Texas.

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons

8 août 2024 (LifeSiteNews) — Les enquêteurs pro-vie du Center for Medical Progress (CMP) ont publié des séquences inédites de leur enquête initiale de 2015 dans lesquelles les responsables de Planned Parenthood révèlent comment ils mutilent les corps des bébés avortés pour dissimuler les méthodes d’avortement illégales employées pour les tuer.

Mardi, CMP a publié une vidéo — que Planned Parenthood s’était efforcée de bloquer au cours des huit dernières années — de deux conversations lors du salon commercial 2015 de la National Abortion Federation (NAF) entre le Dr Ann Schutt-Aine, médecin en chef de Planned Parenthood Gulf Coast (Texas), le vice-président de l’accès à l’avortement Tram Nguyen, RN, et des journalistes infiltrés de CMP que les initiés de l’avortement pensaient être des grossistes de laboratoire.

La séquence contient d’autres exemples de fonctionnaires qui se moquent de la nature barbare de leur activité, comme Nguyen qui dit à un moment donné : « Je suis comme, “Ouais, j’ai comme une jambe pour vous ! ” Je me suis dit, oh m****, si d’autres personnes m’entendaient, elles diraient “vous êtes vraiment diabolique” ».

Mais la révélation la plus importante est la discussion de Schutt-Aine sur le fait qu’elle doive parfois faire plusieurs « essais » pour démembrer un bébé dans l’utérus « pour éviter l’avortement par naissance partielle », qui est illégal en vertu de la loi fédérale depuis 2003.

« Si je fais une intervention et que je crains que [la sortie du] bébé n’atteigne l’ombilic, je peux demander un deuxième jeu de pinces pour maintenir le corps au niveau du col de l’utérus et arracher une jambe ou deux, afin d’éviter l’avortement par naissance partielle », explique-t-elle.

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L’euthanasie est la cinquième cause de décès au Canada

Par Wesley J Smith, d’abord publié sur le National Review, puis repris par la Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

L’euthanasie est un homicide. Ces meurtres (légaux) commis par des médecins et des infirmières constituent désormais la cinquième cause de décès au nord du 49e parallèle. Extraits d’une étude menée par Cardus, un groupe de réflexion chrétien canadien :

  • Le nombre de Canadiens qui meurent prématurément grâce à l’« aide médicale à mourir » (AMM) a été multiplié par treize depuis sa légalisation.
  • En 2016, le nombre de personnes décédées de cette manière était de 1 018. En 2022, dernière année pour laquelle des données sont disponibles, ce nombre était de 13 241.
  • Le programme d’aide à la mort canadien est celui qui connaît la croissance la plus rapide au monde.
  • L’AMM est désormais, à égalité avec les maladies cérébrovasculaires, la cinquième cause de décès au Canada. Seuls les décès dus au cancer, aux maladies cardiaques, au Covid-19 et aux accidents dépassent le nombre de décès dus à l’AMM.
  • L’aide à mourir n’était pas destinée à devenir un mode de décès courant. Les arrêts de la Cour ont souligné qu’il s’agissait d’un « système d’exceptions rigoureusement limité et soigneusement contrôlé ». Jody Wilson-Raybould, alors ministre de la Justice et procureur général, en a convenu : « Nous ne souhaitons pas promouvoir la mort prématurée comme solution à toutes les souffrances médicales ». L’Association médicale canadienne a également déclaré que l’AMM était destinée à des situations rares.
  • Les évaluateurs et les prestataires de l’AMM ne la considèrent pas comme un dernier recours. Le pourcentage de demandes d’AMM qui sont refusées continue de diminuer (il est actuellement de 3,5 %). Les demandes d’AMM peuvent être approuvées et exécutées en une seule journée.
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Femme au foyer et mère de 8 enfants, elle s’oppose à l’idée selon laquelle elle serait opprimée


Daniel et Hannah Neeleman et leurs enfants.

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Instagram

2 août 2024 (LifeSiteNews) — Une mère de huit enfants, agricultrice et femme d’affaires connue en ligne pour sa « Ferme Ballerina » a défendu son style de vie comme quelque chose qu’elle embrasse pleinement, contrairement à la suggestion d’un journaliste selon laquelle serait opprimée par son mari.

Hannah Neeleman, mormone et ancienne ballerine mariée à l’héritier d’une fortune aérienne, a partagé dans une vidéo Instagram publiée le 1er août qu’elle avait été « déconcertée » par un article qui visait son mari tout en peignant une image ambiguë de son style de vie de femme au foyer.

La journaliste Megan Agnew, du quotidien britannique The Times, a récemment rendu visite à Mme Neeleman et à sa famille dans leur ranch de l’Utah, afin de découvrir de près la vie de la « figure de proue » de la femme au foyer traditionnelle. L’ex-ballerine jouit d’une grande popularité en ligne, grâce à son image « parfaite » : c’est une reine de concours de beauté qui prépare des repas appétissants, trait ses propres vaches et est entourée d’enfants adorables et souriants.

Alors que Mme Neeleman attendait avec impatience l’entrevue de Mme Agnew, dont elle pensait qu’elle donnerait une image positive de sa vie chérie, elle s’est aperçue que l’article publié contenait des suggestions peu subtiles selon lesquelles le mari de Mme Neeleman la dominait de manière indésirable.

Premier accroc : Lorsque Neeleman a fait remarquer à Agnew que le couple avait sacrifié des désirs afin de vivre leur mode de vie actuel, son mari Daniel ayant renoncé à ses « ambitions professionnelles », Agnew a suggéré qu’au contraire, Hannah s’était soumise de manière écrasante aux désirs de son mari :

Je regarde l’immensité et je ne suis pas tout à fait d’accord. Daniel voulait vivre dans les grands espaces de l’Ouest, c’est ce qu’ils ont fait ; il voulait cultiver la terre, c’est ce qu’ils font ; il aime les soirées en amoureux une fois par semaine, c’est ce qu’ils font (ils ont une gardienne d’enfants ces soirs-là) ; il ne voulait pas de nounous à la maison, il n’y en a pas. Le seul espace réservé à Mme Neeleman — une petite grange qu’elle voulait transformer en studio de ballet — est devenu la salle de classe des enfants.

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Le Pèlerinage Marie Reine du Canada


Les pèlerins au bord de la route avec la statue de la Vierge pèlerine en tête.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : Bénédicte Soulard

Depuis que le Québec et le Canada ont rejeté leur foi, ils n’ont cessé de tomber de fléau en fléau : contraception, avortement, « mariage gay », euthanasie, transgenrisme, etc. Pour que notre nation connaisse un renouveau moral, il lui faut également un renouveau spirituel. La société peut bien se munir de béquilles pour clopiner et vivoter encore quelque temps, si elle ne reconnaît pas à Dieu la place qui Lui est due, elle court à sa perte.

C’est pourquoi il est important d’encourager les événements et les mouvements promouvant la foi chrétienne, ainsi que d’y participer. Je veux vous parler ici de l’un de ces événements qui promeuvent la foi chrétienne, tout en fortifiant la foi de ses participants : le pèlerinage.

Connaissez-vous le Pèlerinage Marie Reine du Canada ? C’est un pèlerinage qui a lieu chaque année entre Saint-Joseph-de-Lanoraie et le Cap-de-la-Madeleine, lors de la fin de semaine de la fête du Travail. D’une durée de trois jours et s’étendant sur 100 km (environ), le pèlerinage vous emmène à pied à travers la campagne, à travers Sainte-Geneviève-de-Berthierville, Saint-Joseph-de-Maskinongé, Louiseville, Sainte-Anne-de-Yamachiche, Pointe-du-Lac, Trois-Rivières et le Cap-de-la-Madeleine, où finalement, les pèlerins se rendent au sanctuaire Notre-Dame-du-Cap.

Ce pèlerinage, qui s’inspire du grand Pèlerinage Notre-Dame-de-Chrétienté à Chartres, est organisé depuis 2003 par des paroissiens de Saint-Clément d’Ottawa.

Mais qu’est-ce qu’un pèlerinage ?

Le pèlerinage est une ancienne pratique dans l’Église catholique. Le but d’un pèlerinage est toujours un lieu de dévotion, un lieu qui a été marqué par la vie d’un saint (en Terre Sainte, il ne s’agit pas moins que des lieux où a vécu le Christ Lui-même), un lieu de miracles ou d’apparitions. Un pèlerinage peut être réalisé pour implorer une grâce du ciel, ou en remerciement des prières exaucées ou pour remplir un vœu (Jacques Cartier en 1535 fit vœu de se rendre à Notre-Dame de Rocamadour si lui et son équipage étaient guéris du scorbut). Un pèlerinage est également une pénitence pour expier ses péchés, pour obtenir sa propre conversion ou celle d’un autre. Il s’agit, enfin, d’une dévotion au saint dont le sanctuaire est le but du pèlerinage.

Le sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, qui a vu de grandes foules de pèlerins, a été le lieu du miracle du pont de glace ou « pont des chapelets », d’une apparition de la Vierge (le « prodige des yeux ») et de plusieurs guérisons. Il s’agit également du lieu où a si souvent prêché le bon Père Frédéric Jansoone.

Le pèlerinage de 2024, 31 août au 2 septembre, a pour thème Notre-Dame des Sept Douleurs. Chaque journée du pèlerinage porte également sur un saint. Le 31 août : saint Gabriel de l’Addolorata. Le 1er septembre : sainte Brigitte de Suède. Le 2 septembre : bienheureuse Émilie Tavernier.

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Margo Naranjo et Jack Dolan sont la preuve de la nécessité d’une aide bienveillante, et non du suicide assisté


Jack Dolan (à gauche) et Margo Naranjo (à droite).

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

31 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Le dimanche 23 juin, Jack Dolan, 15 ans, a fait un saut périlleux arrière depuis la jetée de Stone Pier à Margate, dans le Kent, alors qu’il se trouvait à la plage avec ses amis. Élève à l’école Howard de Medway, en Angleterre, Jack voulait épater plusieurs amis et sa petite amie — c’était la première fois qu’il se rendait à la plage sans ses parents en raison de son trouble déficitaire de l’attention. L’adolescent a été assommé lorsqu’il a touché l’eau, et même s’il flottait le visage dans l’eau avec des bulles sortant de sa bouche, ses amis ont d’abord pensé qu’il plaisantait. Puis il a coulé.

Jack est resté huit minutes sous l’eau avant d’être secouru par un kayakiste. Ses amis ont appelé les services d’urgence, sa petite amie a appelé sa mère. Jack a été pris en charge par des ambulanciers, puis transporté par avion au King’s College Hospital, où les examens IRM ont révélé que la majeure partie de son cerveau était endommagée. Il a également eu un affaissement du poumon et a commencé à souffrir d’une infection. Les médecins ont annoncé à la famille qu’il était dans un état végétatif et leur ont dit de faire leurs adieux. Mais lorsqu’ils l’ont débranché du respirateur artificiel, une chose étonnante s’est produite, qui a stupéfié les médecins.

Jack a commencé à respirer seul.

Au début, l’optimisme des médecins était prudent : bien qu’il s’agisse d’un signe positif, cela signifiait seulement avec certitude que le tronc cérébral de Jack fonctionnait encore. Mais au cours des semaines qui ont suivi, d’autres signes de rétablissement sont apparus. Jack s’est tourné vers sa mère Lisa et a prononcé son premier mot depuis l’accident fatidique : « Au secours ». Il a même souri lorsque le chien de la famille Dolan, Chewbacca, est monté sur son lit et l’a léché.

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Une étude québécoise révèle que plus de 10 % des bébés avortés au cours du deuxième trimestre naissent vivants

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock

6 août 2024 (LifeSiteNews) — Une étude québécoise a révélé que plus d’un bébé sur dix avortés au cours du deuxième trimestre naît vivant, mais que seulement 10 % d’entre eux vivent plus de trois heures.

En juin, l’American Journal of Obstetrics and Gynecology a publié « Second-Trimester Abortion and Risk of Live Birth », une étude québécoise qui a révélé que 11,2 % des avortements pratiqués au cours du deuxième trimestre ont donné lieu à des naissances vivantes.

« Il est plus fréquent que l’on ne croit que des enfants naissent vivants à la suite d’un avortement », a écrit Melissa Ohden, militante pro-vie, dans sa lettre d’information hebdomadaire. « Malheureusement, la plupart des gens ne savent même pas que des bébés survivent à des avortements, ou bien ils sont amenés à croire que nous ne sommes qu’un petit nombre ».

« Les termes “survivant d’un avortement” et “enfant né vivant” sont souvents des termes polarisants, assimilés à des histoires fictives fabriquées pour restreindre les “droits reproductifs”, » poursuit-elle, « Pourtant, ces circonstances sont simplement une réalité relativement bien comprise, peu rapportée et peu étudiée ».

En effet, l’étude québécoise a révélé qu’un nombre stupéfiant de bébés naissent vivants après que l’on ait tenté de les avorter. L’étude a analysé 13 777 avortements pratiqués sur des bébés au cours du deuxième trimestre, entre 15 et 29 semaines de gestation, dans les hôpitaux du Québec entre le 1er avril 1989 et le 31 mars 2021.

« L’avortement du deuxième trimestre comporte un risque de naissance vivante, en particulier entre la 20e et la 24e semaine de gestation, bien que l’injection de produits fœticides puisse empêcher ce résultat », conclut l’étude.

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