Un professeur pro-vie gagne un procès contre une université australienne
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Joanna Howe, professeur à l'université d'Adélaïde, en Australie, a gagné un procès contre l'université qui, selon elle, a tenté de la faire taire sur ses points de vue pro-vie et de mettre fin à ses recherches pro-vie.
Mme Howe est professeur agrégé de droit et ancienne boursière Rhodes de la Nouvelle-Galles du Sud. Bien qu'elle ait exprimé ses convictions pro-vie en ligne, elle a déclaré qu'elle n'abordait pas la question de l'avortement en classe. « Je n'ai jamais parlé de l'avortement dans mes cours, car je n'enseigne pas une matière dans laquelle cela serait pertinent », a-t-elle déclaré lors d'une précédente entrevue avec Live Action News.
Un étudiant anonyme a attaqué Mme Howe, affirmant que ses opinions pro-vie étaient « extrémistes » et qu'elles le mettaient « mal à l'aise et en danger », dans The Advertiser. Après que Mme Howe se soit défendue contre ces affirmations, qu'elle a qualifiées de diffamatoires, un autre étudiant s'est manifesté avec des allégations similaires. D'autres étudiants ont pris sa défense, mais le pire est venu de l'université elle-même.
1 réaction Lire la suiteUne étude révèle que 25 % des patients « inconscients » ont une « conscience cachée »
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock
Une étude publiée le 14 août dans le New England Journal of Medicine et intitulée « Cognitive Motor Dissociation in Disorders of Consciousness » (Dissociation cognitive et motrice dans les troubles de la conscience) révèle que 25 % des personnes diagnostiquées comme étant inconscientes sont en réalité conscientes. L’étude parle d’un état de « conscience cachée ».
Michael Irving a fourni une explication de l’étude qui a été publiée par le New Atlas le 16 août. Voici ce qu’il déclare :
Après une lésion cérébrale grave, telle qu’un traumatisme ou un accident vasculaire cérébral, les patients peuvent entrer dans un état où ils cessent de répondre aux stimuli de leur environnement, tels que le son, la lumière, la douleur et les instructions. Il peut s’agir d’un état comateux, qui ressemble à un sommeil profond persistant ; d’un état végétatif, où le patient peut sembler éveillé et même avoir les yeux ouverts, mais ne réagit toujours pas ; ou d’un état de conscience minimale, où les patients peuvent même suivre les mouvements avec leurs yeux, mais ne peuvent pas répondre aux ordres.
Mais cela ne signifie pas nécessairement que ces patients ne sont pas au moins partiellement conscients de ce qui se passe. Au cours des dernières décennies, des scientifiques ont détecté des signes de « conscience cachée » chez certains patients qui ne réagissaient pas. Lors des tests, des instructions telles qu’« imaginez que vous ouvrez et fermez votre main » ont été données aux patients pendant que leur activité cérébrale était surveillée grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) ou l’électroencéphalographie (EEG).
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Un militant LGBT s’attaque à la morale catholique au Yukon
Drapeau du Yukon.
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Un activiste LGBT qui, chose choquante, travaille comme enseignant dans le système scolaire catholique du Yukon, s’attaque aux droits à la liberté religieuse des écoles catholiques.
Plus précisément, cet enseignant dissident tente de faire radier un membre du conseil de l’Association d’éducation catholique du Yukon (CEAY) pour avoir invoqué l’enseignement doctrinal catholique sur le péché, la sexualité et la définition chrétienne du mariage.
CBC — le radiodiffuseur public canadien, pro-LGBT — rapporte que Tamara Boiteau, enseignante à l’école primaire catholique Holy Family de Whitehorse, a été provoquée lors d’une réunion du conseil en juin, lorsqu’elle a entendu des propos sur l’enseignement moral catholique.
Il est choquant, n’est-ce pas, qu’une réunion d’une école catholique puisse faire état d’un enseignement catholique ?
En fait, non. Pas pour les personnes tout à fait normales et tolérantes. Mais apparemment pour les militants LGBT qui détestent les croyances de l’Église et s’offusquent de ses enseignements.
Selon la CBC, Mme Boiteau a souhaité participer à cette réunion en raison de « discussions animées sur le déploiement de drapeaux de la Fierté dans les écoles catholiques de la ville » qui avaient eu lieu auparavant.
Soit dit en passant, aucune école catholique ne devrait jamais être autorisée à hisser un drapeau de la « Fierté » homosexuelle ou transgenre. C’est un symbole de péché grave qui ne peut jamais être accepté ou promu par une institution catholique.
1 réaction Lire la suiteLa vie humaine commence dès la conception — il s’agit d’un fait, et non d’une finasserie partisane
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock
16 août 2024 Phœnix (LifeSiteNews) — Le 14 août, la Cour suprême de l’Arizona a statué qu’une brochure d’information, qui sera distribuée aux électeurs de l’Arizona à l’automne avant un référendum sur la question d’un droit constitutionnel à l’avortement, peut faire référence à des « êtres humains non encore nés ». Les militants de l’avortement s’étaient battus pour empêcher l’utilisation de ces termes, car la déshumanisation des enfants à naître est essentielle pour persuader les électeurs de soutenir le fœticide.
Arizona for Abortion Access (Arizona pour l’accès à l’avortement) avait poursuivi le conseil législatif à majorité républicaine pour l’utilisation de l’expression « être humain non encore né », insistant sur le fait que cette description était un « langage politisé » ; la Cour supérieure de l’Arizona avait abondé dans ce sens, déclarant que l’expression était « chargée d’émotion et de signification partisane ». La Cour suprême de l’Arizona a annulé la décision de la Cour supérieure, ce qui signifie que l’expression « être humain non encore né » figurera dans la brochure d’information destinée aux électeurs. Malheureusement, le bureau du secrétaire d’État a déclaré que la phrase ne figurera pas sur le bulletin de vote lui-même.
« Nous sommes profondément déçus par cette décision, mais nous ne nous laisserons pas décourager de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour communiquer aux électeurs la vérité de la loi sur l’accès à l’avortement en Arizona et la raison pour laquelle il est essentiel de voter OUI pour rétablir et protéger l’accès aux soins en matière d’avortement cet automne », a déclaré Arizona for Abortion Access (Arizona pour l’accès à l’avortement). Le président de la Chambre des représentants de l’Arizona, Ben Toma, qui copréside le conseil législatif qui a rédigé le texte et inclus l’expression « être humain non né », n’est pas d’accord. « La décision de la Cour suprême de l’Arizona est bonne », a-t-il déclaré.
1 réaction Lire la suiteQuébec veut permettre les demandes anticipées d'euthanasie
Le gouvernement du Québec prévoit d’autoriser les demandes anticipées d’euthanasie pour les personnes atteintes de maladies graves, comme l’Alzheimer, dès cet automne, même si le gouvernement canadien n’a pas modifié le Code criminel pour permettre une telle chose.
Le 7 juin 2023, Québec s’est doté d’une loi autorisant les demandes anticipées d’euthanasie, mais la loi n’est pas encore entrée en vigueur. Maintenant Québec parle d’« aller de l’avant », invoquant un large « consensus » au sein de la population québécoise face à l’inertie d’Ottawa sur la question.
Il est à craindre que si Ottawa (trop heureux sans doute de s’abstenir d’interdire dans un domaine où il a dû lui-même temporairement reculer) laisse faire Québec (comme en 2015), que d’autres provinces ne suivent l’exemple et ne passe outre le Code criminel, au grand détriment des personnes vulnérables.
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Nous avons tenu samedi dernier notre annuelle épluchette de blé d’Inde, malgré une pluie passagère. Nous avons été heureux de rencontrer comme chaque année nos supporteurs et de discuter avec eux sur divers sujets.
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Nous œuvrons au Québec pour l’essor d’une Culture de Vie, voici plusieurs de nos services, actions et événements :
1 réaction Lire la suite« Enceinte et inquiète ? » Un service d'aide concrète aux femmes
Par Brian Jenkins (Campagne Québec-Vie) — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
Plusieurs d’entre vous ne savent peut-être pas que Campagne Québec-Vie offre un « service de soutien à la grossesse ».
Les guillemets sont ajoutés pour attirer l’attention sur le fait que nous ne nous contentons pas d’aider les jeunes femmes qui connaissent des difficultés pendant leur grossesse. Oui, nous le faisons, mais au fil des ans, ce service s’est élargi pour inclure les mères de nouveau-nés ainsi que pour aider les femmes post-avortement à vivre avec leurs décisions irréversibles. Voici quelques exemples.
Nous avons rencontré Danielle en mai 2024. Elle nous a appelés après avoir vu notre annonce sur Internet, nous demandant si nous pouvions lui acheter un lit. Elle dormait sur le plancher dans son appartement et, au fur et à mesure que sa grossesse avançait, cela devenait de plus en plus inconfortable. Donc, un bon samedi après-midi, nous nous sommes donc rencontrés et avons marché jusqu’à un magasin situé non loin de son appartement. Elle y a acheté un matelas de grande taille, mais aussi le sommier pour le soutenir et le nécessaire de literie.
Nous sommes restés en contact. Par la suite, elle nous parla des difficultés qu’elle avait avec le père de son enfant, d’une injustice qu’elle a subie dans notre système de santé, et finalement elle nous présenta son conjoint, travailleur à l’étranger. Aussi, en juillet, nous l’aidâmes à acheter deux chaises longues afin que la travailleuse sociale qui venait régulièrement la visiter puisse s’asseoir et ne pas rester debout lors de ses visites.
Protéger la vie de la conception à la mort naturelle : telle est la devise de Campagne Québec-Vie. Elle inclut l’aide aux mères de nouveau-nés. Nous avons accompagné Marise pendant sa grossesse, et lorsqu’elle a accouché en avril 2024, notre soutien ne s’est pas arrêté là. Vivant dans une région rurale du Québec, elle éprouve des moments de solitude et d’isolement depuis son accouchement. Nous sommes entrés en contact avec deux sympathisantes de CQV de la région qui ont proposé de lui rendre visite régulièrement et de la soutenir, elle et son enfant, par une aide matérielle, améliorant ainsi la vie de cette mère célibataire, victime d’un conjoint violent.
Enfin, mettre fin à l’injustice de l’avortement dans notre société signifie également aider les femmes après un avortement à faire face à la tragédie dans laquelle elles ont joué un rôle. Campagne Québec-Vie travaille à ouvrir un centre de retraite où les femmes pourraient se rendre pour guérir, seules ou dans le cadre d’une retraite de la Vigne de Rachel.
1 réactionCommentaire sur la lettre ouverte de Mgr Leo
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) -- Photo : Cathédrale Saint-Michael de Toronto, sur Wikipedia par Montrealais
Mgr Francis Leo, dans sa lettre ouverte à tous les membres de notre parlement fédéral, les a exhortés à voter en faveur d’un projet de loi qui imposerait des restrictions supplémentaires sur le matériel sexuellement explicite (pornographie) afin de protéger les mineurs. Cette lettre ouverte sur le projet de loi S-210 n’est pas sans conséquence. Elle peut fournir un cadre sur la manière dont les églises peuvent non seulement coexister avec notre système politique actuel, mais aussi l’influencer.
Pour lire la lettre de Mgr Leo, cliquez ici.
Dans cette situation, un haut prélat de l’Église catholique a exprimé son opinion sur la politique publique. Il a fait part de son opinion, fondée sur l’enseignement de l’Église catholique, et l’a exposée clairement à tous les membres de la société, en s’adressant en particulier aux législateurs de notre pays. Il a exprimé son opinion sur un projet de loi en cours d’examen à la Chambre des communes — et en fait, non seulement il a fait part de ses réflexions, mais il a clairement approuvé le projet de loi.
Dans sa lettre ouverte, il y a certaines choses que Mgr Leo a faites et d’autres qu’il n’a pas faites :
- il ne s’est pas adressé aux membres d’un seul parti politique ;
- il n’a pas dit aux gens pour qui voter ;
- il n’a pas soutenu un parti politique ou un candidat ;
- mais il a abordé une question qui relève de sa compétence ;
- il s’est exprimé pour protéger le bien-être des personnes dont il s’occupe sur le plan spirituel ;
- il s’est exprimé pour promouvoir le bien commun de la société ;
- il a soutenu un texte de loi spécifique en rapport avec les enseignements de l’Église.
Alors que tant de prêtres et de pasteurs hésitent à aborder les questions morales en public, et souvent même à l’intérieur des murs de leur propre église, il est très encourageant de voir un tel témoignage public. Merci Mgr Leo !
1 réaction Lire la suiteLe gouvernement québécois veut instaurer les demandes anticipée d'euthanasie pour les personnes atteintes d'Alzheimer
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : aijiro/Adobe Stock
Le gouvernement du Québec va permettre les demandes anticipées d’euthanasie pour les personnes atteintes de maladies graves, comme l’Alzheimer, dès cet automne, et ce, bien qu’Ottawa n’ait pas changé le Code criminel à ce sujet.
Le Québec s’est doté le 7 juin 2023 d’une loi autorisant demandes anticipées. Il a depuis demandé à plusieurs reprises à Ottawa de changer le Code criminel, ce que ce dernier n’a toujours pas fait et ne fait pas mine de le faire. En dépit de quoi, le gouvernement québécois s’apprête à autoriser quand même les médecins à appliquer les demandes anticipées. Léa Fortin, attachée de presse du ministre des Aînés Sonia Bélanger, a déclaré : « On va être prêt, on va aller de l’avant. Nous ce qu’on souhaite, c’est que [le fédéral] change son Code criminel, mais s’il ne le change pas, on travaille en parallèle nos options », rapporte La Presse.
Selon Léa Fortin, les demandes anticipées d’euthanasie feraient l’objet d’un large consensus au Québec : « C’est un consensus au Québec. C’est une démarche transpartisane, les usagers, les parlementaires, les professionnels ; tout le monde est d’accord pour aller de l’avant avec l’AMM ». Pas moi, en tout cas. Le gouvernement québécois fera des annonces cet automne.
Selon Patrick Taillon, constitutionnaliste et professeur de droit à l’Université de Laval, Québec peut aller de l’avant avec la question des demandes anticipées, rapporte La Presse :
« Qui dépose les accusations ? C’est l’État québécois. Et si l’État québécois dit, par le biais d’une directive, […] quand ça respecte nos lois, on ne dépose jamais d’accusation, eh bien il n’y en aura pas de problème », explique-t-il.
Le constitutionnaliste affirme qu’« Ottawa ne pourrait pas poursuivre les médecins » québécois qui administreraient l’AMM dans le cadre d’une demande anticipée.
Ruba Ghazal et Christine Labrie, députés de Québec solidaire, ont même écrit une lettre dans laquelle elles affirment que le Québec pouvait passer outre Ottawa, comme il l’a fait en 2015 avec sa première loi sur l’euthanasie.
Comme en 2015 ? À cette époque la décision Carter dépénalisant l’euthanasie venait d’être rendue et Ottawa ne s’était pas encore doté de loi. La Cour suprême du Canada avait donné un an à Ottawa pour ce faire, suspendant l’application de son jugement. Aussi, le Québec enfreignait-il le Code criminel quand il adopta sa loi sur l’euthanasie. Et Ottawa n’a rien fait, laissant le Québec piquer ses citoyens avant même qu’il ne l’y eût autorisé, déplorable précédent d’inaction de la part du gouvernement fédéral. Car je ne pense pas qu’Ottawa soit totalement dépourvue de moyen face à une province qui ne respecterait pas son Code criminel. Ce sur quoi le gouvernement du Québec compte en fait, c’est sans doute, encore une fois, l’inaction d’Ottawa, sur un sujet sur lequel ce dernier lui-même est plus que désireux d’avancer.
On peut être sûr que d’autres provinces prendront exemple sur le Québec si Ottawa n’intervient pas.
1 réactionLe système de santé britannique demandera désormais aux hommes s’ils sont « enceints » avant les radiographies
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : Freepik/Canva
13 août 2024 (LifeSiteNews) — Le Service national de santé britannique (NHS) a demandé aux opérateurs de radiologie de demander aux hommes s’ils sont « enceints » avant d’effectuer des radiographies, ce qui aurait incité les patients à « quitter » leurs rendez-vous en colère face à l’absurdité de la question.
Cette directive dite « inclusive » a été inspirée par un incident au cours duquel une femme qui se présentait comme un homme a passé une radiographie alors qu’elle était enceinte sans le savoir, exposant ainsi son bébé à des radiations dangereuses, a rapporté The Telegraph.
Toutefois, le personnel du NHS a souligné que les nouvelles lignes directrices posaient un risque pour la sécurité des patients en décourageant les rendez-vous en raison de la détresse suscitée chez les hommes et les femmes par les nouvelles questions de rendez-vous, qui demandent leur « sexe à la naissance » et leurs « nom et pronoms préférés » et font des affirmations « ridicules » sur les « personnes qui sont nées avec des variations dans les caractéristiques sexuelles », selon The Telegraph.
Un homme bénéficiant d’un « parcours urgent de cancérologie » « a été tellement agacé par les questions du formulaire qu’il a crié, a quitté le service et n’a pas passé de radiographie », a déclaré un radiographe au Telegraph.
« Il y a un risque inutile pour ces patients s’ils sont tellement ennuyés qu’ils ne passent pas la radiographie », a déclaré le radiographe.
Des femmes auraient également pleuré à cause des questions « invasives » sur la fertilité, qui les invitent désormais à préciser les raisons de leur infertilité, ce qui leur rappelle des souvenirs traumatisants de fausses couches et de grossesses extra-utérines, qu’elles sont tenues de mentionner dans les formulaires de demande d’information.
Le personnel affirme que des patients des deux sexes ont été insultés ou gênés par la suggestion que leur sexe n’est pas nécessairement évident et que les formulaires « endoctrinent » les mineurs en leur demandant leurs noms et pronoms préférés, tandis que les parents sont « furieux » à ce sujet.
1 réaction Lire la suiteArrêtés par la police à Paris pour le message : « Arrêtez l’attaque contre les chrétiens ! »
Communiqué de presse de CitizenGO — 8 août 2024 — Photos : CitizenGO
Six membres de CitizenGO ont été contraints de passer la nuit en garde à vue pour avoir « manifesté sans l’accord du gouvernement français » contre la cérémonie des JO qui se moquaient de la chrétienté.
Lundi à Paris, le bus de campagne de CitizenGO dénonçant les moqueries à l’encontre des chrétiens dans le cadre des Jeux olympiques et faisant la promotion du site StopAttacksOnChristians.org a été intercepté par des policiers. Des policiers armés ont encerclé le bus et l’ont arrêté sous la menace des armes, et les membres de l’équipe de CitizenGO ont été emmenés dans un commissariat de police avant d’être transférés, menottés, vers un second commissariat. Ils ont été traités injustement, comme des criminels ; certains d’entre eux se sont même vu refuser toute communication avec le monde extérieur.
La campagne de CitizenGO, soutenue par des milliers de donateurs, visait à protester contre la cérémonie d’ouverture antichrétienne et haineuse des Jeux olympiques de Paris. Depuis les derniers Jeux olympiques de 2021, plus de 5 millions de chrétiens ont été déplacés de leurs foyers et ont subi des persécutions. Pourtant, le Comité international olympique a prévu un spectacle offensant mettant en scène des drag-queens nues se moquant de la Cène.
Le bus circulait depuis 9 heures du matin, circulant dans Paris, croisant des centaines de policiers pendant la journée sans aucun problème. Lorsqu’elles ont réalisé l’immense attention qu’il suscitait parmi les passants et les participants aux Jeux olympiques, craignant de tacher l’image de la France dans le monde, les élites politiques ont soudainement et brutalement censuré CitizenGO d’une manière qui s’apparente à celle d’un régime autoritaire. La police française, sous les ordres des hautes autorités politiques, a arrêté six membres de CitizenGO et le chauffeur de bus à 19 heures. Tous leurs biens ont été confisqués, ils ont été déshabillés et fouillés, et il leur a été illégalement refusé d’appeler leurs avocats, et certains n’ont même pas été autorisés à appeler les membres de leur famille, détenus sur la base d’accusations inexistantes.
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