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Grâce à la loi du Texas, des femmes n'ont pu avorter leurs bébés — elles ne le regrettent pas

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Marira Korneeva/Adobe Stock

Cela fait près de dix mois que le Texas a réussi à mettre en vigueur une loi protégeant l’enfant à naître dès que leurs battements de cœur sont détectables. Malgré toutes les poursuites dont elle a fait l’objet elle est toujours en place, sauvant des bébés de l’avortement. Mais qu’en disent les femmes qui, pour certaines, ne peuvent se rendre à l’avortoir le plus proche ou trouvent que cela présente trop d’inconvénients ? Certaines ont décidé de ne pas mettre fin à leur grossesse devant la longueur du voyage à faire, des centaines de dollars à dépenser, ou tout simplement qu’elles ne pussent pas s’absenter de leur travail.

L’une d’elles, Brooke Alexander, voulait un avortement, mais voyant son bébé sur l’échographe, ou plutôt ses bébés puisqu’il s’agissait de jumelles ! elle changea tout à fait d'avis. Elle ne peut qu’être effrayée maintenant à la pensée qu’elle aurait pu perdre les deux trésors qu’elle chérit, si la loi ne l’en avait empêchée. Selon Le Salon Beige :

Brooke a eu une paire de jumelles. En regardant ses filles, Brooke a du mal à exprimer ses sentiments sur l’avortement. D’un côté, dit-elle, elle croit absolument que les femmes devraient avoir le droit de choisir ce qui est le mieux pour leur propre vie. D’autre part, elle savait que, sans la loi texane, ses bébés ne seraient peut-être pas là.

« Qui peut dire ce que j’aurais fait si la loi n’avait pas été en vigueur ? Je ne veux pas y penser. » « C’est vraiment effrayant de penser que je ne les aurais pas ».

La directrice générale du Pregnancy Center of the Coastal Bend, un centre pro-vie où Brooke s’est présentée lorsqu’elle était enceinte, raconte que Brooke, accompagnée de sa mère, était en colère. Mais dès qu’elles ont vu l’échographie, tout a changé.

« Le moment où nous avons posé la baguette sur son joli ventre et où deux bébés sont apparus… ça les a fait fondre. »

L’année dernière, 583 femmes désireuses d’avorter ou vulnérables à l’avortement ont choisi de poursuivre leur grossesse après avoir visité leur établissement.

Brooke ne regrette pas : elle a deux bébés qu’elle aime plus que tout au monde.

Et cela parce que des législateurs pro-vie ont cru en l’humanité de l’enfant à naître et de son droit à la vie.

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