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États-Unis : Projet de loi « H.R.6666 » pour dépister, tracer et confiner

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : HwangManjoo/Rawpixel

Le numéro du projet de loi déposé le 1er mai 2020 par le démocrate Bobby Lee Rush à la Chambre des représentants des États-Unis est pour le moins étrange, surtout appliqué à un projet de loi censé traiter de dépistage, de traçage et de confinement contre le coronavirus. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez toujours vérifier sur le site du Congrès américain.

Coïncidence ? Le H.R.6666 - COVID-19 Testing, Reaching, And Contacting Everyone (TRACE) Act n’est pas le seul projet de loi à commencer par « 666 », le H.R.6665 et le H.R.6667 (par exemple) ayant été présentés le même jour. Ce projet de loi aurait-il pu être présenté plus tôt ? Ce qui est sûr c’est qu’il aurait pu être déposé plus tard, recevant ainsi un autre numéro.

Ce « 6666 » n’est pas sans rappeler le signe de la bête « 666 » mentionné dans l’Apocalypse de saint Jean :

Elle fera encore que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre, s’il n’a la marque ou le nom de la bête, ou le chiffre de son nom.

C’est ici qu’est la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête ; car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. (Apoc. 13 : 16-18)

Bien sûr, le projet de loi en question ne parle pas de marquer les gens d’une façon ou d’une autre, mais l’auteur de la loi (qui serait baptiste) n’ignore évidemment pas ce nombre, ni sa signification, du moins, littérale.

Le H.R.6666 demande la somme astronomique de 100 milliards de dollars pour l’année fiscale 2020, et la même somme pour chaque année subséquente durant lesquelles la « période d’urgence » continuerait (ce qui est improbable). 100 milliards de dollars représente un vaste ensemble de mesures qui s’étendront à tous les États-Unis.

Ceux qui mettraient en place un tel déploiement se contenteraient-ils de la participation volontaire de la population (sauf en matière de confinement s’entend), participation qui risque d’être limitée comme en Alberta, où le gouvernement insiste auprès du peuple pour que davantage de personnes téléchargeassent l’application destinée à les pister et à déterminer avec qui ils sont entrés en contact par le biais de leur téléphone cellulaire. Comme le fait remarquer John-Henry Westen sur LifeSiteNews, tout ce déploiement n’est internement logique que si on l’applique à tous, et sans qu’aucun ne puisse y échapper :

Cela n’est pertinent que s’ils sont sérieux dans le repérage des contacts et d’insister pour l’emploi de l’application comme ils le font en Chine. Et cela serait également logique de faire en sorte que les gens ne puissent pas laisser le dispositif de traçage à la maison lorsqu’ils quittent leur domicile, d’où l’idée de puces de traçage implantables.

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L’OMS prône la masturbation pour les enfants entre 0 et 4 ans…

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pickpik

Un document du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe recommande d’enseigner la masturbation aux enfants âgés de zéro et quatre ans, selon Breitbart :

Le document du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe et du Centre fédéral d’éducation pour la santé (BZgA), intitulé « Standards pour l’éducation à la sexualité en Europe », contient une « grille d’éducation à la sexualité » qui recommande, entre autres, que les enfants de 0 à 4 ans reçoivent des informations sur « le plaisir et la jouissance de toucher son propre corps, la masturbation dans la petite enfance » et « le droit d’explorer les identités de genres ».

Le document recommande en outre que les enfants âgés de 4 à 6 ans reçoivent des informations sur les « relations homosexuelles » et les « aptitudes » pour « consolider leur identité sexuelle » ; que les enfants âgés de 6 à 9 ans reçoivent des informations sur « l’influence positive de la sexualité sur la santé et le bien-être » ; et que les enfants âgés de 9 à 12 ans reçoivent des informations sur la « première expérience sexuelle » et l’« orientation de genre » ainsi que les « aptitudes » pour « permettre aux enfants de... prendre une décision consciente d’entrer ou non dans des expériences sexuelles ».

Mais comment donc renseignera-t-on un enfant de deux ans sur le « le plaisir et la jouissance de toucher son propre corps », et qui en sera chargé ? La maternelle je gage. Et pourquoi donc enseigner une chose pareille à des enfants qui n’en auront autrement pas l’idée ? Sans compter l’aspect immoral de la chose. Songez aussi qu'un tel programme, s'il est appliqué, sera enseigné dans les écoles publiques, et où il sera souvent obligatoire. 

Les « relations homosexuelles » à quatre ou six ans (comment concevront-ils sainement l’amitié après çà ?) ! On détruit la notion de sexualité avant même que les enfants aient pu s'en faire une de l'amitié. Quant à « l’influence positive de la sexualité sur la santé et le bien-être », cela laisse entendre que l’abstinence pourrait être préjudiciable, et je doute que la « sexualité » proposée soit très saine, comme les « relations homosexuelles ». En outre, je doute que les enfants puissent « prendre une décision consciente d’entrer ou non dans des expériences sexuelles » alors qu’ils sont immatures, que cela n’est visiblement pas pertinent pour des enfants de neuf à douze ans et qu’on leur farcit la tête avec des théories pseudo-scientifiques d’« orientation de genre ». Tout cela se moque éperdument de la période de latence et représente tout au plus une « éducation » à la perversité. Évidemment, si l’on apprend à des enfants dès le plus jeune âge les plaisirs de la chair, comment voulez-vous qu’ils comprennent lucidement les dangers de se livrer à celui qui les sollicite si on leur a donné l’habitude de la sensualité ? Pour finir, ce putride enseignement rejette implicitement le but objectif de la sexualité, ou la procréation, et tout ce qu’elle entraîne : innocence, pudeur, abstinence et mariage.

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La « thérapie de conversion » destinée aux mineurs interdite en Allemagne

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : jcomp/Freepik

Le Parlement allemand a interdit ce qu’il appelle la « thérapie de conversion » destinée aux mineurs, ou toute tentative visant à les aider à rejeter une attirance pour les personnes de même sexe, que l’aide provienne de leurs parents ou de professionnels de la santé. Et les activistes LGBT veulent déjà étendre aux adultes cette loi qui devrait entrer en vigueur vers le milieu de l’année, selon International Family News :

Une nouvelle loi adoptée par le Bundestag allemand a interdit les conseils aux mineurs (de moins de 18 ans) ayant des sentiments non désirés d’attraction pour les personnes de même sexe, qualifiant toutes ces tentatives de « thérapie de conversion ».

[…] Elle limite les choix des jeunes eux-mêmes en matière de conseil et soumet également les parents à des sanctions. Tout parent qui aide un enfant à chercher à atténuer les attraits sexuels non désirés serait considéré comme manquant à son « devoir d’élever un enfant ».

Précisons que les détracteurs de ladite « thérapie de conversion » l’interdisent bien sûr sous prétexte qu’elle serait préjudiciable à ceux qui en seraient l’objet.

Parents, psychologues et psychothérapeutes condamnés :

Les lobbyistes ont travaillé dur pour élargir le terme « thérapie de conversion », considéré juridiquement pour être aussi large que possible. Même une éducation appropriée pourrait être considérée comme punissable — des psychologues ou psychothérapeutes confessionnels qui pourraient mettre en garde contre les qualités morales et les dangers des actes homosexuels, par exemple, seraient punis.

[…] cette loi cible les droits parentaux même pour les parents qui prennent bien soin de leurs enfants. Cela donne aux parents peu de recours pour combattre la propagande enseignée dans les écoles, à la demande des lobbyistes, à propos de l’inhibition sexuelle et de l’incitation à céder à toute envie sexuelle, même si les parents ont des croyances religieuses profondément ancrées qui exigent une éthique sexuelle différente.

Ils veulent déjà élargir la loi :

[…] Mais la LSVD (Association des lesbiennes et des gays d’Allemagne) a déjà annoncé qu’elle allait travailler à étendre la loi. Ils veulent que les « thérapies de conversion » soient déclarées illégales sans exception, à tout âge ; et ils sont soutenus par le Parti vert. Ulle Schauws — porte-parole de la « politique queer » — a déjà exprimé sa demande d’élargir la loi.

Visiblement, la sorte de « liberté » que ces gens autrefois revendiquaient ne peut selon eux s’appliquer aux autres, ils veulent tout simplement renverser la société et la morale.

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L’avortement source d’« angoisse », mais pourquoi au fait ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Needpix

Pendant ce temps de confinement forcé on essaie de nous apitoyer sur le sort des femmes qui veulent se faire avorter, mais d’une façon qui me paraît curieuse. Le Tabloïd nous décrit, dans un de ses articles, l’angoisse que traversent les femmes qui se rendent à l’avortoir ; l’angoisse en question ne relève donc pas d’une restriction de l’accès à l’avortement.

Le Tabloïd nous affirme que les directives sanitaires mises en place pour cause de coronavirus n’« épargnent pas les services d’avortement » (quelle emphase !), car depuis le commencement du confinement les Québécoises doivent vivre seules « l’épreuve » de leur avortement. Ainsi il reconnaît au moins que l’avortement est une épreuve.

Le fait est que les avortoirs n’autorisent pas les accompagnateurs à suivre les femmes à l’intérieur comme d’habitude ce qui augmente le traumatisme enduré par les femmes, d’après le Tabloïd :

« J’ai rendez-vous demain matin à 10 h. D’aller au rendez-vous, seule, et de devoir faire l’opération seule est très inquiétant. Je suis très angoissée, je n’en dors pas la nuit. Je cogite tout le temps, à me demander comment ça va se passer », confie Marie.

Tandis qu’une certaine Sandra, qui s’est déjà fait avorter une fois, raconte :

« Y’avait une certaine tristesse dit-elle. L’avortement c’est émotif, on vit un traumatisme à chaque fois. C’est sûr qu’avoir un accompagnateur, ça aide. »

Un sentiment de difficulté se rajoute à l’avortement :

« On voyait que c’était quand même bizarre parce que les femmes disaient : je trouve ça difficile de pas être là avec mon conjoint », poursuit Sandra.

« C’est pas le fun d’aller là seule, s’inquiète pour sa part Karine. Mon conjoint, faut qu’il attende dans l’auto. Il peut pas rentrer dans la clinique. Je sais pas à quoi m’attendre. C’est l’inconnu. Je fais beaucoup d’anxiété. »

Et cette situation provoque un sentiment d’insécurité chez ces femmes :

Cette règlementation, bien que nécessaire, provoque de l’insécurité supplémentaire chez plusieurs femmes.

Être seule pendant l’intervention pourrait même jouer sur la perception de la douleur physique, selon Marie-Eve Blanchard, accompagnante professionnelle à l’interruption de grossesse.

Donc, rapporte le Tabloïd, l’avortement est une épreuve, « c’est émotif », il est source d’angoisse et d’anxiété, de sentiments d’insécurité, c’est un traumatisme qui provoque même de la douleur physique… Est-ce la seule douleur que redoutent toutes ces femmes ou le danger que représente cette opération ? Mais on a martelé partout que c’était une procédure « sécuritaire ». Si ce n’est donc ça, qu’est-ce donc ? Est-ce parce qu’elles vont se faire ôter un « amas de cellules », une « tumeur » ou une « excroissance » ? Si c’était le cas, elles n’en seraient pas si émues. C’est donc quelque chose de plus important et de plus cher qui est définitivement supprimé, et non interrompu…

Dans tout l’article on n’emploie pas une seule fois le terme « bébé », ni le banal mot « fœtus », ni même le méprisant « amas de cellules », rien. On tourne autour du pot, du centre même du sujet, l’enfant à naître qui se fait tuer.

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« Personne ne peut empêcher un prêtre de confesser et de donner la communion »


Cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, le cardinal Robert Sarah, donc une haute autorité ecclésiastique dans la matière des sacrements, affirmait, dans une entrevue accordée à La Nuova Bussola Quotidiana que rapporte Le Salon Beige :

« Personne ne peut empêcher un prêtre de confesser et de donner la communion, personne n’a le droit de l’arrêter. Le sacrement doit être respecté. Ainsi, même s’il n’est pas possible d’assister aux messes, les fidèles peuvent demander à se confesser et à recevoir la communion. »

Les gouvernements ne doivent pas empêcher les prêtres d'administrer les derniers sacrements aux malades du coronavirus.

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Le Vatican ordonne à un réseau d’hôpitaux belges pratiquant l’euthanasie de ne plus s’appeler « catholique »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AdobeStock

On ne peut s’appeler « catholique » et pratiquer l’euthanasie. Selon LifeSiteNews :

La congrégation pour la doctrine de la foi du Vatican a ordonné à une douzaine d’hôpitaux psychiatriques en Belgique, appartenant aux Frères de la Charité, de ne plus porter le nom « catholique », ces institutions ayant défendu la pratique de l’euthanasie de leurs patients.

L’ordre émanant de la Congrégation pour la doctrine de la foi est le résultat de trois années de discussions infructueuses entre Rome et le conseil d’administration de l’institution, majoritairement non religieux, qui a constamment refusé de modifier ses directives autorisant l’euthanasie légale des malades mentaux. La congrégation des Frères de la Charité devra également couper tous liens existants avec son réseau d’hôpitaux psychiatriques en Belgique.

Des nouvelles ont paru lundi d’une lettre envoyée le 30 mars par le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Luis Ladaria, annonçant la décision selon laquelle le Vatican ne considérait plus les 12 centres comme étant catholiques, avec effet immédiat.

L’hebdomadaire chrétien belge Tertio a publié quelques citations de la lettre qui annonce la décision de la Congrégation. « Les centres psychiatriques de l’organisation ne seront plus considérés comme des institutions catholiques. Les liens entre les centres et la congrégation des Frères de la Charité seront rompus », dit la lettre.

La Congrégation pour la doctrine de la foi écrivait que « l’enseignement de l’Église catholique affirme la valeur sacrée de la vie humaine », « l’importance de soigner et d’accompagner les malades et les handicapés », ainsi que « la valeur chrétienne de la souffrance, l’inacceptabilité morale de l’euthanasie » et « l’impossibilité d’introduire cette pratique dans les hôpitaux catholiques, même dans les cas extrêmes, ainsi que de collaborer à cet égard avec les institutions civiles », selon la Catholic News Agency.

La lettre déplore également que les lignes directrices publiées en mars 2017 ne contiennent « aucune référence à Dieu, aux Ecritures ou à la vision chrétienne de l’homme ».

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Le président du conseil municipal de New York ne veut plus l’aide d’un groupe soignant les malades du coronavirus, il est anti-LGBT

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere

Que l’on considère le coronavirus d'une gravissime importance ou non, cette affaire est intéressante. La ville de New York avait accepté l’aide d’un groupe d’aide entre autres médicale, le Samaritan’s Purse, pour aider l’hôpital Mount Sinai à s’occuper des malades du coronavirus, l’autorisant donc à dresser un hôpital de campagne pour ce faire. Quelques agités ont protesté de ce qu’on acceptât l’aide d’un groupe (et sans doute qu’on lui trouvât quelque utilité) qui ne reconnaît de mariage que le normal et qui rejette l’idéologie LGBT. Maintenant, c’est Corey Johnson, président du conseil municipal, qui veut le départ du groupe.

Si l’on se penche sur l’attitude de ces activistes LGBT et celle de Corey Johnson on ne manquera pas d’y voir une certaine incohérence, accompagnée d’une superbe ingratitude, ou tout simplement le fait qu’ils considèrent que le coronavirus n’est pas si dangereux que ça, ou alors qu’ils placent l’idéologie LGBT au-dessus du tout (surtout les manifestants)… Selon LifeSiteNews :

Ma cousine qui est infirmière travaille à l’hôpital de campagne, et elle m’a dit que des policiers y avaient été affectés pour éviter que des manifestants LGBT (oui, il y avait des gens qui protestaient contre un hôpital de campagne pendant une pandémie parce que l’organisation qui finance l’hôpital de campagne a une vision différente de l’éthique sexuelle) ne devinssent pas turbulents. À un moment donné, me rapporta-t-elle, un militant LGBT sauta la clôture pour aller planter un drapeau. Ces activistes, qui travaillent avec un groupe appelé Reclaim Pride Coalition, agitaient, sans ironie, des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Aider pas haïr ».

« Comment ce groupe a-t-il pu apporter sa haine et son vitriol dans notre ville en ce temps de crise, alors que nos gens luttent contre une pandémie ? » s’indignait Jay. W. Walker de Reclaim Pride. Il n’a pas daigné expliquer en quoi une organisation médicale qui sauve littéralement des vies, alors que les hôpitaux sont submergés, apportait « sa haine et son vitriol » ni en quoi les professionnels de la santé qui risquent leur vie pour sauver des inconnus étaient « haineux », alors que lui, protestant contre l’aide apportée aux malades et aux mourants, serait en quelque sorte « bienveillant ». C’est une personne tellement aveuglée par la haine qu’elle ne peut même pas comprendre à quel point elle a l’air ridicule.

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Canada : libéré de l’injonction au silence, un père dénonce ces juges qui placent l’idéologie LGBT entre lui et sa fille

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik

Le père de Colombie-Britannique qui avait lutté pour empêcher la « transition » de sa fille devant les tribunaux, qui lui donnèrent tort et lui imposèrent même une injonction au silence, est maintenant capable de s’exprimer légalement, l’injonction n’ayant pas été renouvelée pour cause de confinement (la bonne blague ! ― s’il y avait de quoi rire…), selon MassResistance :

Depuis plus de deux ans, des membres du personnel scolaire, des psychologues et des militants LGBT en Colombie-Britannique amenèrent la fille de Rob à croire que la raison de sa lutte contre la dépression, et autres problèmes, est qu’elle est vraiment un garçon. Ils encouragèrent et affermirent maintes fois sa nouvelle identité « masculine ». Ils travaillèrent avec des médecins pro-LGBT qui lui donnèrent des bloqueurs de puberté et des hormones masculines afin de la « changer » en garçon.

Rob n’en apprit rien avant qu’un an fût écoulé depuis le début de toute l’affaire. Il intenta une action en justice contre le district scolaire, le personnel, les médecins et d’autres personnes. On attribua un avocat militant LGBT à sa fille pour soutenir ses illusions et s’opposer à son propre père. Les tribunaux se sont prononcés contre lui et lui ont dit qu’il devait accepter cette folie transgenre, lui ordonnant même d’employer des pronoms masculins pour désigner sa fille.

Les tribunaux imposèrent également une injonction au silence à Rob. Il ne pouvait pas parler à la presse ou au public de ce que vivait sa fille, ni même discuter de la question avec sa fille. Il y a quelques mois, l’injonction au silence a été remaniée, lui permettant d’en parler avec sa fille et même de tenter de la dissuader, mais il ne pouvait toujours pas en parler à la presse. Le 15 avril, l’injonction au silence expira. Comme les tribunaux sont fermés en raison du virus COVID-19, l’ordonnance ne put être renouvelée.

Avant même la fin de l’injonction, ce courageux père tenta de s’exprimer publiquement, encourant donc la probable peine de 30 à 45 jours d’emprisonnement (RH c’est Rob Hoogland, le père, et MR, MassResistance, le journal à qui il a accordé une entrevue) :

RH : Peu après la publication de l’entrevue passée avec MassResistance j’ai été au tribunal pendant quatre jours, devant le juge Tammen. À un moment donné, j’ai utilisé un pronom féminin en référence à ma fille, et il m’a réprimandé en disant « Comment osez-vous ! » En fait, il s’est levé et m’a crié dessus dans la salle d’audience pour avoir parlé de la sorte. Il me dit : « Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et j’ai répondu : « Je l’ai fait parce que je suis le seul à agir dans l’intérêt de ma fille. » Il n’a vraiment pas aimé que je dise ça. C’est l’état épouvantable du système judiciaire actuel du Canada.

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Grande-Bretagne : Poursuite contre l’accès des « transgenres » aux toilettes de l’autre sexe dans les écoles

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Permettre à des garçons se disant filles d’employer les espaces réservés à celles-ci, pour des opérations intimes, est plus que sulfureux, d’autant plus que la gent masculine « transgenre » peut avoir encore les caractères qui lui sont propres.

Toujours est-il qu’une adolescente a entamé une action en justice contre un guide LGBT (n’oublions pas le « + ») destiné aux écoles et qui préconise notamment cet usage malsain des lieux réservés, selon LifeSiteNews :

Une adolescente a entamé une action en justice contre le « LGBT+ hate crime guidance » (Indications sur les crimes contre les personnes LGBT+) destiné aux écoles, car il recommande que les garçons qui se disent filles aient accès aux espaces réservés aux filles, comme les salles de bain, les vestiaires et les douches.

« Les filles ne devraient pas être obligées de garder le silence lorsqu’elles sont mal à l’aise face à la présence de garçons aux mêmes toilettes », a déclaré l’anonyme adolescente, selon la Safe Schools Alliance UK, le cabinet d’avocats représentant la jeune fille.

Le guide incriminé a été mis à jour et publié en janvier par le Crown Prosecution Service (CPS), principal service de poursuites pénales en Angleterre et au Pays de Galles. Le guide a été écrit en collaboration avec un certain nombre de groupes de militants LGBT, dont Stonewall, un groupe britannique à peu près équivalent au Human Rights Campaign (HRC) des États-Unis.

Le guide incite également élèves et professeurs à la délation des individus qui oseraient exprimer leur désaccord face à l’idéologie transgenre, ce qui en pratique peut être le sentiment d’inconfort de devoir partager son vestiaire avec des personnes qui sont de toutes évidences de l’autre sexe… c’est de la « transphobie ».

Heureusement pour les Britanniques, le gouvernement songerait à réserver à nouveau l'usage des lieux publics, normalement non mixte, aux personnes congrues.

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« Redonnez-nous la Sainte Messe ! » demandent de jeunes catholiques aux évêques, partout dans le monde

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :

De jeunes catholiques de divers pays demandent respectueusement aux évêques, par le biais de vidéos, de pouvoir à nouveau assister en personne à la Sainte Messe. Jusqu’à maintenant, sept vidéos ont été produites par ces catholiques d’Autriche, de France, d’Espagne, d’Allemagne, de Grande-Bretagne, des États-Unis et d’Argentine. Ce mouvement a été lancé par l’exemple d’un groupe de jeunes autrichiens qui a agi à la suggestion d’une étudiante de 22 ans, Theresa, selon LifeSiteNews :

Theresa, l’organisatrice de 22 ans, a déclaré à LifeSite : « J’ai eu l’idée de cette vidéo après que les petites entreprises eussent été autorisées à rouvrir et j’ai réalisé qu’on pouvait aussi appliquer les mêmes normes de sécurité dans les églises, et peut-être même de façon bien meilleure ». Elle raconte qu’elle en a alors parlé avec des amis « et tous ont immédiatement dit qu’ils étaient prêts à se porter volontaires pour un tel service ».

D’une part, cette vidéo de la jeunesse catholique en Autriche se voulait « une offre sérieuse de la part des jeunes catholiques pour aider les évêques et les prêtres à réintroduire la Sainte Messe le plus rapidement et de la façon la plus sécuritaire possible ». En outre, explique Theresa, la vidéo se veut également être « un signe pour tous ceux qui perdent parfois espoir en voyant les églises vides (même avant le début du coronavirus) ou quand ils pensent que les jeunes ne sont pas intéressés par la foi ».

Dans ces vidéos, les fidèles (pas tous si jeunes que ça) montrent leur attachement à la messe et aux sacrements, ainsi que l’importance de ceux-ci, ils assurent les évêques de leur aide pour rendre les messes sécuritaires pour l’assistance.

« mais que peut-il y avoir de plus essentiel pour nous que la messe ? » :

Un jeune Allemand dit : « Chers évêques, vous êtes nos bergers », et une jeune femme poursuit la phrase : « pourquoi ne faites-vous pas quelque chose pour que nous puissions retourner à la messe ? » [... dans la vidéo française] Ils citent Saint Padre Pio, qui dit un jour « Il serait plus facile pour la terre d’exister sans le soleil que sans la Sainte Messe ».

Dans leur vidéo, les jeunes Américains disent que « les entreprises essentielles sont ouvertes », ajoutant « mais que peut-il y avoir de plus essentiel pour nous que la messe ? » [...] Ici aussi, les petits enfants demandent : « S’il vous plaît, redonnez-nous la Sainte Messe ! »

La vidéo autrichienne :

La vidéo Française :

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