Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : drobotdean/Freepik
Le gouvernement britannique a annoncé, par la personne du ministre des Femmes et des Égalités, qu’il comptait prendre des mesures afin d’interdire les opérations et procédures de « transitions » destinées aux mineurs. C’est une annonce pour le moins étonnante dans ce pays où la police peut arrêter des personnes qui émettent des critiques du « transgenrisme » sur Twitter, ou d'y avoir appelé « homme » un homme qui voudrait qu'on le considérât comme femme. Quand on pense qu’au Canada un père qui veut empêcher la « transition » de sa fille se fait museler par des juges idéologues... Selon LifeSiteNews :
Selon The Telegraph, le ministre britannique des Femmes et des Égalités, Liz Truss, a annoncé que le gouvernement britannique allait prendre des mesures pour interdire les opérations de changement sexe pratiquées sur les mineurs (moins de 18 ans). Il s’agit d’une mesure vraiment étonnante [...] Le Royaume-Uni a connu une hausse vertigineuse du nombre d’enfants s’identifiant comme transgenres au cours des dernières années. Le gouvernement britannique a promis d’enquêter sur les raisons de cette augmentation de 4 000 % du nombre d’enfants cherchant à « changer de sexe », survenue en moins d’une décennie depuis 2018. La presse britannique a attiré l’attention sur le fait que beaucoup de ceux qui avaient choisi de changer de sexe ont ensuite regretté leur décision.
[...] Outre la proposition d’interdire la transition, Mme Truss a également déclaré que le gouvernement allait agir pour protéger les « espaces non mixtes », ce qui semble indiquer une volonté de garantir que le simple fait de s’identifier comme femme ne suffira pas pour accéder aux espaces réservés aux femmes.
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