La Cour suprême du Texas permet les enquêtes sur les « transitions » de mineurs
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fotofabrika/Adobe Stock
16 mai 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) ─ Le Texas peut enquêter sur les interventions transgenres sur les mineurs ─ opérations et médicaments ─ en tant que « maltraitance d’enfants », selon une décision rendue vendredi par la plus haute Cour de l’État.
La Cour suprême du Texas (SCOTX) a levé l’injonction d’un tribunal inférieur empêchant le Département des services familiaux et de protection (DFPS) d’enquêter sur les parents pour « abus d’enfant » si leurs enfants prennent des médicaments transgenres ou subissent des mutilations génitales ou d’autres chirurgies transgenres.
Le tribunal a statué que, puisque ni le gouverneur Greg Abbott ni le procureur général Ken Paxton ne pouvaient exiger du DFPS qu’il enquête sur les cas de maltraitance d’enfants, les plaignants ne pouvaient pas faire valoir que l’ordonnance de février du gouverneur Abbott ordonnant au DFPS de lancer les enquêtes était un règlement créé de manière inappropriée. Au Texas, les secrétaires des départements ne sont pas tenus de suivre les directives du gouverneur ou du procureur général.
« Le DFPS n’a pas besoin de la permission des tribunaux pour enquêter, mais il a besoin de la permission des tribunaux pour prendre des mesures sur la base d’une enquête », a déclaré l’opinion majoritaire. « À ce stade, avant de rendre des ordonnances, un tribunal devrait décider si la maltraitance de l’enfant examinée et alléguée par le DFPS, est considérée comme telle en vertu de la loi texane. »
Une enquête spécifique sur une personne de 16 ans souffrant de dysphorie de genre reste bloquée dans l’attente d’une action en justice distincte visant à mettre fin à l’enquête, selon l’Austin-American Statesman.
Lire la suite4 trottoirs arc-en-ciel à Québec pour la «Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie»
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Vladvictoria/Pixabay
Hier, le Québec s’est revêtu de couleurs arc-en-ciel pour la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie.
Établie le 17 mai 1990, cette journée a pour but de « commémorer la décision de l’OMS le 17 mai 1990 de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale », selon Wikipédia.
Malheureusement, notre province « est un leader mondial » de l’action envers les communautés LGBT+ comme l’affirme Manon Massé, députée et porte-parole de Québec solidaire.
Un article de Radio-Canada mettant en lumière le 17 mai rapporte qu’« À l’occasion du 17 mai, le drapeau arc-en-ciel sera hissé pour la première fois à l’hôtel de ville de Québec et il y restera accroché toute la journée. »
De plus, « Les quatre tronçons de trottoirs peints aux couleurs de l’arc-en-ciel ont... pour but de mettre les communautés LGBTQ+ en lumière. »
Évidemment, les mots phares pour la journée étaient l’inclusion, la lutte contre la discrimination, l’accueil envers la communauté LGBTQ+. Le message répété par les médias portait sur le respect des personnes LGBTQ+, victimes de « discrimination, de violences, d’intimidation » comme l’explique la directrice générale de l’organisme québécois Alliance Arc-en-ciel.
Sans aucun doute, toute personne humaine mérite le respect, et toute personne humaine possède une dignité inhérente. Mais encourager les personnes LGBT à nier la réalité sur eux-mêmes, à agir à l’encontre de leur nature, à vivre dans le désordre moral va-t-il vraiment leur apporter le respect qu’ils méritent ? Encourager les personnes à suivre le chemin dérapant qu’est le chemin LGBT, c’est les encourager à rester aveugles à la réalité.
Et comment peut-on être heureux dans l’irréalité ?
Vouloir réellement aider les personnes LGBTQ+, c’est vouloir les ramener à la réalité, et les respecter, non pas comme esclaves du désordre, mais comme des personnes humaines dignes de ce nom.
Canada: des hommes se prétendant «femmes» peuvent désormais être transférés dans des prisons pour femmes
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Serhill/Adobe Stock
12 mai 2022, Ottawa (LifeSiteNews) — Les hommes biologiques canadiens qui « s’identifient » comme des « femmes » sont maintenant officiellement autorisés à être transférés d’une prison pour hommes à une prison pour femmes s’ils le demandent et que leur demande est approuvée.
Selon une récente directive du Service correctionnel du Canada (SCC), la nouvelle politique publiée mercredi indique que les transferts de détenus seront autorisés indépendamment de « l’identité ou de l’expression sexuelle ».
« Après avoir terminé le processus d’évaluation initiale, les délinquants seront placés selon leur identité ou leur expression sexuelle dans un établissement pour hommes ou pour femmes, si telle est leur préférence, quel que soit leur sexe (c’est-à-dire leur anatomie) ou le marqueur de genre/sexe figurant sur leurs documents d’identité », indique la directive.
La directive, intitulée « Directive du commissaire 100 — Délinquants de sexe différent », indique clairement comment le processus de transfert doit se dérouler. Elle exige également que le personnel correctionnel suive une formation sur la « diversité des sexes ».
La nouvelle directive du commissaire précise que les détenus de sexe masculin qui souhaitent être logés dans une prison pour femmes devront se soumettre à un processus d’évaluation avant que le transfert ne soit approuvé.
Le dernier mot sur l’autorisation du transfert d’un détenu reviendra au commissaire adjoint aux opérations et aux programmes correctionnels ainsi qu’au commissaire adjoint pour les femmes.
Depuis son arrivée au pouvoir en 2015, le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau a fortement poussé à la fois les initiatives pro-avortement et celles en faveur de l’idéologie LGBTQ radicale.
En effet, en 2017, Trudeau a déclaré que son gouvernement s’engagerait à reconnaître que « les droits des trans sont des droits humains et nous devons nous assurer que nous défendons la dignité et les droits de chacun de toutes les manières possibles. »
Lire la suiteUne jeune fille suédoise voulait être un garçon, mais les bloqueurs de puberté l’ont fait souffrir en permanence
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kittipong/Adobe Stock
2 mai 2022, Stockholm (LifeSiteNews) — Les os d’une jeune adolescente ont été tellement affaiblis par les bloqueurs de puberté qu’elle a maintenant du mal à marcher.
Une chaîne de télévision suédoise, Uppdrag Granskning, a récemment produit un documentaire d’enquête révélant les abus commis sur les enfants par la thérapie transgenre. Le film montre la souffrance d’une fillette, qui a pris le nom de Leo, qui a subi de graves préjudices en subissant une transition.
La mère de la fille, Natalie, se souvient que « Leo était petite quand elle a voulu devenir un “il”. J’ai pensé que puisque c’était son souhait, je devais l’accepter. Tout le monde a dit que Leo était courageux de faire son coming-out [en tant que transsexuel], et que je devais être fière de lui. »
En conséquence, Natalie a emmené sa fille à l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm pour la procédure. Selon le Daily Mail, Leo a commencé à tenter de changer de sexe à l’âge de onze ans.
Dans le cadre du traitement, on lui a administré des bloqueurs de puberté afin de stopper son développement normal en tant que femme. Malheureusement, ces produits ont eu des effets secondaires graves et inattendus. Après son traitement, Leo a commencé à souffrir de lésions du squelette et de retards de croissance. Elle a également souffert de fractures vertébrales et d’ostéopénie, un état dans lequel les os sont affaiblis et plus enclins à se briser.
Deux des vertèbres de Leo ont changé de forme, et ses os sont devenus poreux. Les tests de densité osseuse et des radiographies de Leo ont été montrés à Ola Nilsson, le principal spécialiste suédois des hormones infantiles.
« Il semble que ce patient ait des fractures vertébrales, et c’est grave », a rapporté Ola Nilsson. « Il y a des raisons de s’inquiéter. Si vous êtes sous bloqueurs de puberté pendant une longue période, il y a un risque de lésions osseuses. »
Lire la suite« Je suis intersexué, et je rejette la folie des pronoms LGBT »
Par Jeremy Williamson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jamesteohart/Adobe Stock
9 avril 2022 (LifeSiteNews) — Avec toute l’hystérie dans la culture, la loi et la foi autour des identités sexuelles et de ce qui est ou n’est pas une femme ou un homme, j’ai pensé qu’il serait prudent de faire connaître une histoire qui est extrêmement rare et dont on ne parle pas vraiment, ni d’un côté ni de l’autre. Mais avant de vous raconter mon histoire et de vous expliquer comment j’ai vécu avec cette condition et comment je me suis battu dans la culture à ce sujet, je dois vous expliquer ce qu’est l’intersexualité.
S’il y a quelque chose que j’ai appris au cours des sept dernières années, c’est qu’il n’y a pas un seul expert qui en parle, où que ce soit en Occident. Les commentateurs, les politiciens et les soi-disant « experts » ont tous menti, se sont vendus, ont été réduits au silence ou ont parlé par ignorance. Je n’en veux pas à ceux qui ont été réduits au silence ou qui ont parlé par ignorance. On ne sait pas ce qu’on ne sait pas. Et pendant les deux premiers tiers de ma vie, je ne le savais pas non plus.
Vous voyez, l’intersexualité est une condition médicale qui affecte vos chromosomes sexuels pendant votre développement dans l’utérus de votre mère. La condition, ou le défaut comme on l’appelle à juste titre, peut commencer dès la conception avec un chromosome défectueux dans l’ovule ou le sperme, mais elle se développe parfois peu après la conception, lorsqu’un chromosome mute pour une myriade de raisons.
Chaque être humain qui naît possède une combinaison binaire de deux chromosomes sexuels. Ceux-ci sont appelés chromosomes X et Y en raison de leur apparence au microscope. En général, dans plus de 99 % des cas, ces deux chromosomes se combinent pour déterminer votre sexe ou votre genre, car avant 2015 environ, personne ne comprenait que sexe et genre [en biologie] ne signifiaient pas la même chose.
Les personnes intersexuées présentent une anomalie dans la combinaison des chromosomes sexuels qui peut entraîner des malformations congénitales ou des problèmes de santé, mineurs ou graves. Dans le développement humain normal, l’ovule de la mère fournit le premier chromosome X, et le sperme du père fournit soit un autre X, soit un Y. La combinaison XX signifie que vous êtes une femme, et XY que vous êtes un homme. C’est tout. C’est binaire. Homme ou femme, rien d’autre. S’il n’y a pas d’Y, alors il n’y a pas de petit garçon plein de vie.
Lire la suiteDisney finance les opérations de « transition » mutilantes et les bloqueurs d’hormones pour son personnel et leurs enfants
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik/Rawpixel.com
8 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que Disney fait face à une pression croissante de la part des conservateurs et des parents concernant sa promotion publique de l’agenda LGBTQ+ auprès des enfants, un nouvel article indique que la société aide ses employés et leurs enfants mineurs à obtenir des chirurgies mutilantes de « changement de sexe ».
Chris Rufo, membre senior de l’Institut Manhattan, qui a réalisé un travail important pour dénoncer la théorie de la race critique enseignée dans les salles de classe américaines, a souligné les efforts massifs de l’entreprise pour aider son personnel à accéder à des opérations de changement de sexe et à des médicaments dans un tweet du 7 avril contenant une vidéo qui proviendrait d’une réunion interne de l’entreprise.
Dans la vidéo, un homme qui apparaît sur une toile de fond portant les phrases « The Walt Disney Company » et « reimagine tomorrow », parle du « travail » que la société effectue pour promouvoir l’expression transgenre et les procédures de changement de sexe pour ses employés.
« L’autre grand domaine est l’identité et l’expression de genre, donc faire tout ce travail pour s’assurer que nos employés et nos acteurs peuvent exprimer leur genre ici de manière authentique et fière au sein de l’entreprise », a déclaré l’homme.
« Nous avons donc élaboré des guides sur la façon de changer sa photo, des informations sur les pronoms, et nous avons travaillé avec notre équipe chargée des avantages sociaux pour fournir des informations sur les procédures d’affirmation du genre à nos employés en transition et transgenres, mais aussi à nos employés dont les enfants sont en transition », a-t-il ajouté.
NEW: Disney has adopted a benefits program to assist employees and their minor children with "gender affirmation procedures." This type of treatment typically includes puberty blockers, breast removal, and genital surgeries for "kids who are transitioning." pic.twitter.com/a2zSSboe0S
— Christopher F. Rufo ⚔️ (@realchrisrufo) April 7, 2022
On ne sait pas qui est l’homme ni quand la vidéo originale a été enregistrée.
Lire la suiteGouverneur d’Alabama : « Je crois très fermement que si le Bon Dieu vous a fait garçon, vous êtes un garçon »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : JackF/Adobe Stock
Le gouverneur de l’Alabama, Kay Ivey, a signé vendredi un projet de loi interdisant des procédures de « transition de genre » pour les enfants rapporte LifeSiteNews.
« Nous devons particulièrement protéger nos enfants de ces médicaments et chirurgies radicales qui changent la vie, alors qu’ils sont à un stade si vulnérable de leur vie. Au lieu de cela, concentrons-nous tous pour les aider à se développer correctement pour devenir les adultes que Dieu a voulu qu’ils soient », a-t-elle déclaré.
Selon le site pro-vie, la loi sur la protection de l’enfant vulnérable, qui entrera en vigueur trente jours après la signature de Kay Ivey, n’a pas bien été reçu par l’administration de Biden et par les groupes LGBT. Le gouverneur de l’Alabama reste néanmoins ferme dans sa décision, « Notre État est prêt à défendre nos valeurs. »
Il faut du courage pour aller ainsi à contre-courant, pour défendre des valeurs intrinsèques qui ne sont plus acceptées ; mais ces valeurs valent la peine d’être défendues.
Mme Kay Ivey a affirmé que « Nos jeunes sont confrontés à des défis très réels, en particulier avec les pressions sociétales et la culture moderne d’aujourd’hui. Je crois très fermement que si le Bon Dieu vous a fait garçon, vous êtes un garçon, et s’il vous a fait fille, vous êtes une fille. »
Ces mots du gouverneur de l’Alabama reflètent tout simplement la réalité, et pourtant ils ne se font plus entendre très souvent...
Cardinal Müller : l’idéologie transgenre consiste en l’« automutilation », la promouvoir est un « péché grave »
Le cardinal Gerhard Müller.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
8 avril 2022 (LifeSiteNews) — Le cardinal Gerhard Müller a fustiger le mouvement LGBT lors de récentes remarques, décrivant l’idéologie transgenre comme une « automutilation de l’esprit, de l’âme et du corps », à laquelle ses partisans ont donné une « position totalitaire » dans la société, au détriment des jeunes et de la liberté religieuse et scientifique.
Le cardinal allemand et ancien préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi du Vatican (anciennement la Congrégation pour la doctrine de la foi) a fait ces commentaires dans une déclaration faite le 30 mars 2022 au magazine allemand Tichys Einblick.
Le cardinal Müller répondait à la controverse suscitée par un épisode d’un programme télévisé allemand pour enfants qui a soulevé l’indignation des parents parce qu’il glorifiait le « changement de sexe ». L’épisode, diffusé juste avant la « Journée de visibilité des transgenres » la semaine dernière, mettait en scène un personnage nommé Erik qui réapparaissait dans l’émission sous la forme d’une « femme trans » travestie nommée « Katja ».
« Une personne transgenre est une personne qui est née fille, mais qui est en fait un garçon, ou l’inverse », a déclaré au public enfantin un présentateur qui a ouvert l’épisode avec des drapeaux de « fierté » LGBT.
Interrogé sur son point de vue au sujet de la controverse, le cardinal Müller n’a pas mâché ses mots, dénonçant la promotion du transgenrisme comme un « péché grave » contre les enfants et les jeunes.
« Lorsque l’automutilation de l’esprit, de l’âme et du corps est colportée idéologiquement et politiquement comme une prétendue “autodétermination”, alors ce n’est rien de moins qu’un péché grave contre le bien-être et le salut des enfants et des jeunes qui sont en train de mûrir et de trouver leur identité », a-t-il affirmé. « Espérons qu’ils ont de bons parents et amis qui les encouragent à s’accepter comme être humain en tant qu’homme ou femme. »
Lire la suiteUne étudiante remercie sa paroisse catholique et sa famille de l’avoir sauvée de devenir transgenre
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michael Knowles
12 avril 2022, Topeka, Kansas (LifeSiteNews) — Une étudiante de l’Université Washburn au Kansas a récemment partagé lors d’un événement sur le campus comment sa paroisse catholique et sa mère l’ont aidée à échapper au transgenrisme.
L’étudiante, nommée Jayda, a demandé au commentateur conservateur Michael Knowles lors de son événement du 31 mars s’il avait entendu parler d’un lien entre l’autisme et la dysphorie de genre et a mentionné qu’elle avait lutté contre le transgenrisme.
Knowles a prononcé un discours à l’université intitulé « Ban Transgenderism », organisé par la Young America’s Foundation.
« Enfant... j’aimais à la fois les choses de filles et de garçons... et dès que j’ai atteint la puberté, c’est comme si je ne pouvais pas gérer les changements dans mon corps », a témoigné l’étudiante. Elle a dit qu’[à l’époque] elle « n’avait pas encore de mot pour désigner [ce malaise], comme transgenrisme », mais qu’elle « liait [sa] poitrine en secret » et portait des vêtements [amples] pour cacher ses hanches.
L’étudiante a expliqué qu’elle aurait « pris des hormones » si sa famille et son église n’avaient pas « réaffirmé qu’elle était une fille ».
« Si j’étais encore sous l’influence de la gauche et des LGBT... j’aurais pris des hormones », a déclaré l’étudiante. Elle a précisé qu’elle ne souffrait pas de « dysphorie de genre réelle », mais que ses difficultés étaient liées à l’autisme.
« Vous avez eu beaucoup de chance », lui a dit Knowles. « Vous avez eu tellement de chance que votre famille et votre communauté n’aient pas cédé à ce délire », a déclaré le commentateur conservateur.
Lire la suiteAnnulation d’une conférence internationale LGBT en Angleterre
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevych/Adobe Stock
Selon BBC News « Le Royaume-Uni a annulé sa toute première conférence internationale LGBT + après un boycottage de plus de 100 organisations... L’événement n’aura pas lieu après que les organisations caritatives LGBT + et d’autres groupes se soient retirés de la position du gouvernement sur la thérapie de conversion. »
En effet, l’interdiction des thérapies de conversion du gouvernement britannique ne porterait pas sur les « thérapies de conversions » pour transgenres, ce qui a fait enrager plusieurs groupes LGBT qui voudraient qu’il ne fût pas possible de prétendre que l’on peut changer d’« identité du genre », ou qu’un homme se retrouvât dans son identité d’homme.
L’événement « “Sûr d’être moi” devait avoir lieu à Londres en juin pour promouvoir les droits des LGBT au Royaume-Uni et dans le monde », rapporte BBC. Mais voilà que le désaccord total d’un si grand nombre de pro-transgenre avec « l’exclusion des transgenres » a fait reculer le gouvernement et a renversé le projet.
I'm told that the Prime Minister was shifted by the strength of reaction from Conservative MPs and ministers when they saw the story break.
— Paul Brand (@PaulBrandITV) March 31, 2022
But he has removed trans conversion therapy from the equation and is insisting any bill must not have 'unintended consequences'.
Boris Johnson, le premier ministre du Royaume-Uni, explique les raisons pour lesquelles il a décidé d’exclure les transgenres de l’interdiction.
« Je ne pense pas qu’il soit raisonnable pour les enfants d’être considérés comme soi-disant compétent Gillick pour prendre des décisions concernant leur sexe ou les traitements irréversibles qu’ils pourraient avoir... »
(« Gillick competant », du nom d’un jugement ayant instauré un critère de « compétence » ou de « maturité » selon lequel un mineur pourrait ou non suivre un traitement sans le consentement de ses parents.)
"We will have a ban on gay conversion therapy, which to me is utterly abhorrent. But there are complexities."
— Channel 4 News (@Channel4News) April 6, 2022
Boris Johnson speaks about government plans to ban so-called conversion therapy after campaigners criticised the exclusion of transgender people. pic.twitter.com/j5cP9XqfGg
Le gouvernement et les organisations pro-LGBT, des alliés dans un même combat contre les lois naturelles, s’affrontent eux-mêmes et se font la guerre. Est-ce surprenant alors que la division est la stratégie par excellence « du père de tous les vices » ?