Le triste sort du garçon « transgenre » qui a fait la couverture du National Geographic
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Eric Ward/Unsplash
10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Depuis une décennie, les médias et l’industrie du divertissement ont travaillé main dans la main avec le mouvement transgenre pour créer le phénomène de l’enfant vedette « transgenre ». Cependant, nous avons rarement l’occasion d’entendre comment ces histoires se sont terminées.
Nous avons droit à des histoires en haute définition, soigneusement élaborées, sur des enfants nés dans le mauvais corps. Et la conclusion inévitable de ces histoires est que la société doit adopter des « soins d’affirmation du genre » pour s’assurer que ces enfants reçoivent les médicaments et les chirurgies dont ils ont besoin pour être équipés d’un nouveau corps qui correspond au « vrai eux » qui se cache à l’intérieur, prêt à être libéré par des chirurgiens compatissants qui pratiquent des castrations et des mastectomies sur des enfants en bonne santé.
L’enfant vedette « transgenre » le plus célèbre est peut-être Jazz Jennings, qui a participé à sa propre émission de téléréalité « I Am Jazz », ainsi qu’à un livre pour enfants à succès soutenu par les activistes transgenres du monde entier. Son histoire a toutefois pris une tournure sinistre et tragique : les opérations chirurgicales et les opérations de suivi ont échoué, il souffre de dépression et, dans un moment d’honnêteté brutale (que je suis sincèrement choqué que les producteurs n’aient pas coupé), il a admis qu’il se sentait complètement perdu.
Une presse grand public responsable demanderait à des journalistes de suivre l’histoire de ces « transgenres » pour savoir où ils en sont aujourd’hui, d’autant plus que le nombre de « détransitionneurs » monte en flèche et qu’il ne se passe pas un mois sans qu’une nouvelle étude ne fasse exploser le consensus fabriqué selon lequel les « soins d’affirmation du genre » sauvent des vies. 2025 est très différent de 2015, et les prémisses de l’idéologie du genre sont rejetées par de nombreuses institutions médicales d’élite, y compris le Service national de santé du Royaume-Uni.
Lire la suiteUne étude d’Oxford indique que l’opération de transition augmente les taux de dépression et d’idées suicidaires
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
3 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude publiée dans l’Oxford Journal of Sexual Medicine a révélé que le fait de subir une chirurgie dite de « changement de sexe », loin de réduire les taux de dépression chez les personnes dysphoriques, augmentait considérablement les taux non seulement de dépression, mais aussi d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues.
Les hommes ayant subi une opération transgenre présentaient un taux de dépression de 25,4 %, contre 11,5 % pour ceux qui n’avaient pas subi d’opération. De même, les femmes ayant subi une intervention chirurgicale présentaient un taux de dépression de 22,9 %, contre 14,6 % pour celles qui n’avaient pas subi d’intervention.
L’étude note que les hommes qui subissent des interventions chirurgicales « féminisantes » présentent un risque particulièrement élevé de dépression et de troubles liés à l’utilisation de substances [psychoactives].
« Sur 107 583 patients, des cohortes appariées ont démontré que ceux qui subissaient une intervention chirurgicale présentaient un risque significativement plus élevé de dépression, d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à l’utilisation de substances que ceux qui ne subissaient pas d’intervention chirurgicale », ont constaté les chercheurs.
Plutôt que de conclure que la chirurgie dite « d’affirmation du genre » est une pratique dangereuse et inutile qui devrait être abandonnée parce qu’elle met la vie des patients en danger, les chercheurs suggèrent plutôt que leurs résultats montrent la nécessité « après une chirurgie d’affirmation du genre, d’un soutien à la santé mentale qui soit attentif aux particularités de genre, pour traiter les risques psychologiques post-chirurgicaux ».
Lire la suiteLes employés de Meta protestent contre le retrait des tampons des toilettes pour hommes
Par Sarah Holliday (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
4 février 2025 (The Washington Stand) — Meta, la société mère de Facebook, est récemment devenue l’une des nombreuses organisations qui mettent au rebut leurs politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI).
Selon Breitbart, la décision du PDG Mark Zuckerberg de retirer les tampons des toilettes pour hommes dans les bureaux de Silicon Valley, du Texas et de New York fait partie de ce mouvement de « retour sur la voie de la raison ». Le média ajoute que ces tampons étaient « auparavant fournis [...] aux employés non binaires et transgenres qui (utilisaient) les toilettes pour hommes, mais (avaient) besoin de serviettes hygiéniques parce qu’ils étaient des femmes ».
Selon certaines informations, des employées trans ont décidé de protester en apportant leurs propres produits d’hygiène féminine dans les toilettes pour hommes. Le New York Times écrit : « Pour protester contre les actions de M. Zuckerberg, certaines employées de Meta ont bien vite apporté leurs propres tampons et serviettes hygiéniques dans les toilettes pour hommes, ont déclaré cinq personnes au fait de cette initiative. Un groupe d’employés a également fait circuler une pétition pour sauver les tampons ».
Apparemment, cela fait partie d’une série plus large de « rébellions discrètes que les travailleurs de la Silicon Valley ont mises en place alors qu’ils sont aux prises avec le virage à droite de leurs patrons ». Mais comme le souligne le Times, outre Zuckerberg, plusieurs autres figures de la Big Tech, comme le PDG de X « Elon Musk, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, le directeur général de Google Sundar Pichai, le directeur d’Apple Tim Cook et le cofondateur de Google Sergey Brin ont accueilli » le président Donald Trump et adopté son éloignement des agendas de gauche.
Lire la suiteUn gynécologue suspendu par l’Ordre des médecins de France pour avoir refusé d’examiner un transgenre
Par Rastignac (Médias-Presse-Info) — Photo : Freepik
Le gynécologue accusé de transphobie a été sanctionné par six mois d’interdiction d’exercer, dont un ferme !
Cela se passe à Pau, la ville de François Bayrou actuel premier ministre d’une France qui marche sur la tête.
Parce qu’en août 2023 le docteur Victor Acharian s’était déclaré incompétent sur le cas d’un homme devenu femme, il avait déclenché les foudres des associations LGBT et a été traîné devant les tribunaux chargés de protéger les « victimes de discrimination » (sic).
SOS homophobie et SOS transphobie avaient déposé chacune une plainte directement auprès du procureur de la République.
En attendant l’éventuel procès au correctionnel, le gynécologue palois vient d’être sanctionné par le conseil régional de l’Ordre des médecins parce qu’il avait refusé d’examiner « gynécologiquement » le cas d’un homme devenu femme, venu en consultation avec son compagnon.
Passé par Doctolib, le couple s’était présenté au secrétariat qui a relaté « l’incident » :
« La dame m’a expliqué qu’elle était en transition. J’ai aussitôt prévenu le docteur par messagerie interne. Il m’a répondu: “Je ne m’occupe pas de ça ; il y a des spécialistes à Bordeaux ou à Toulouse”, message que je leur ai transmis. Mais ils sont devenus très agressifs, et m’ont traitée de transphobe. »
En outre, le gynécologue avait osé déclarer :
« Je n’ai aucune compétence pour m’occuper des hommes, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes ».
Horresco referens ! Oser dire, oser même ne serait-ce que penser, qu’un homme n’est pas une femme : comment ce médecin a-t-il pu ?
Oui, vraiment, on marche sur la tête !
Rastignac
Trump signe un décret protégeant les enfants contre les transitions de genre
Par Doug Mainwaring (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : gpointstudio/Freepik
Le décret exécutif stipule que « la politique des États-Unis est de ne pas financer, parrainer, promouvoir, assister ou soutenir la soi-disant “transition” d’un enfant d’un sexe à un autre, et d’appliquer rigoureusement toutes les lois qui interdisent ou limitent ces procédures destructrices et qui changent la vie. »
Protéger les enfants de l’idéologie du genre
Le président Donald Trump a signé un décret interdisant la mutilation chimique et chirurgicale des enfants et protégeant les enfants des mesures les plus extrêmes de l’idéologie du genre, qui a longtemps fait miroiter à des jeunes vulnérables une promesse creuse de transition de genre grâce à ce que l’on appelle des « soins affirmant le genre ».
« Aujourd’hui, dans tout le pays, des professionnels de la santé mutilent et stérilisent un nombre croissant d’enfants influençables sous prétexte que les adultes peuvent changer le sexe d’un enfant par une série d’interventions médicales irréversibles. Cette tendance dangereuse va ternir l’histoire de notre nation et elle doit cesser », précise le décret.
Lire la suiteUne ex-transgenre qualifie les interventions de « transition » de « pseudoscience » et de « charlatanisme »
Prisha Mosley.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a été persuadée de subir des interventions hormonales et chirurgicales pour « devenir » un « homme » et qui a, depuis, détransitionné, s’élève contre ce processus transgenre qui repose sur du « charlatanisme » et de la « pseudo-science ».
Prisha Mosley, maintenant âgée de 26 ans, luttait, à l’âge de 17 ans et à la suite d’un viol, contre l’anorexie et des idées suicidaires. Des conversations en ligne avec des activistes transgenres l’ont convaincue que sa détresse était due au fait que son « corps se battait pour être un garçon », comme elle l’a déclaré à Fox News.
Lorsqu’elle a fait part de ses idées aux professionnels de la santé qui tentaient de résoudre son anorexie, on lui a « presque immédiatement » donné des pilules hormonales qui ont perturbé son cycle menstruel.
Mme Mosley a mis en évidence l’irrationalité et le double standard absurde auxquels la profession médicale a recours lorsqu’elle aborde la dysphorie de genre.
« J’ai été traitée pour des croyances délirantes pendant un certain temps », a expliqué Mme Mosley à Fox News Digital. Mais lorsque j’ai exprimé un délire différent, à savoir « je suis né dans le mauvais corps » au lieu de « je suis grosse », alors que j’étais en train de mourir d’anorexie, j’ai été traitée médicalement pour cela.
Lire la suiteUn média canadien financé par le gouvernement affirme que les transgenres n’ont aucun avantage sur les femmes dans le domaine du sport
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nomad Soul/Adobe Stock
10 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un média canadien financé par le gouvernement prétend qu’affirmer que les hommes ont un avantage dans les sports lorsqu’ils concourent contre des femmes est un « mythe ».
Dans un article du 2 décembre, The Conversation, un média pro-LGBT qui reçoit des fonds fédéraux du gouvernement Trudeau, a dénoncé la loi Fairness and Safety in Sport Act (FASISA) de l’Alberta — qui vise à garder hors des sports féminins les hommes confus en matière de genre — alléguant que les hommes n’ont pas d’avantage physique sur les femmes.
« Ces législations, comme le projet de loi 29, sont basées sur un mythe répandu selon lequel les femmes transgenres ont un avantage biologique inhérent qui menace l’intégrité et l’équité des compétitions athlétiques féminines », affirme l’article. « Ce mythe n’est pas fondé sur des preuves scientifiques et socioculturelles complètes ».
Lire la suiteL’Alberta adopte un projet de loi interdisant les « transitions de genre » de mineurs
Danielle Smith.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Danielle Smith/X
5 décembre 2024, Edmonton, Alberta (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur unifié (UCP) de l’Alberta sous la direction de son premier ministre Danielle Smith a officiellement adopté une loi interdisant les chirurgies dites « du haut et du bas » pour les mineurs.
Mardi, les députés de l’Assemblée législative de l’Alberta ont voté par 47 voix contre 33 en faveur de l’adoption de la loi Health Statutes Amendment Act (HSAA). Tous les députés d’extrême gauche du Nouveau Parti démocratique ont voté contre le projet de loi, qui doit maintenant recevoir la sanction royale, attendue dans les prochains jours.
La nouvelle loi, appelée Loi 26, reflète « l’engagement du gouvernement à construire un système de santé qui réponde aux besoins changeants des Albertains ».
La Loi 26 modifiera la Loi sur la santé pour « interdire aux professionnels de la santé réglementés de pratiquer des opérations de changement de sexe sur des mineurs ».
Lire la suiteUne étude révèle que les hommes en transition de genre ont un taux de cancer des testicules 27 fois plus élevé après la prise d'hormones
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pcess609/Adobe Stock
26 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Une étude récente a révélé que les hommes ayant pris sur une période prolongée des hormones féminines ou des bloqueurs de puberté dans le cadre de ce que l’on appelle les « transitions de genre » étaient près de 27 fois plus susceptibles de développer un cancer des testicules.
Comme le notent les auteurs de l’étude évaluée par des pairs, « cette étude remet en question les affirmations précédentes selon lesquelles il n’y a pas de lien entre le cancer des testicules et l’utilisation d’hormones », soulignant les insuffisances des méthodologies de recherche antérieures.
En termes simples, les hommes ayant reçu des hormones féminisantes de sexe opposé pendant plus de deux ans présentaient un risque nettement plus élevé de cancer du testicule.
Bien que la corrélation n’indique pas nécessairement la causalité, les auteurs du rapport suggèrent que cette augmentation de l’incidence « peut être due à un prétraitement à long terme avec des hormones ou des bloqueurs ».
Les interventions de « transition », telles que les bloqueurs de puberté, les hormones et les opérations chirurgicales, ne sont jamais des traitements médicaux authentiques, car le sexe immuable d’une personne, donné par Dieu, [et inscrit dans le code génétique de chaque cellule du corps], n’est pas une maladie.
Lire la suiteAu Royaume-Uni, les « transgenres » et les lesbiennes ont priorité pour la fécondation in vitro par rapport aux couples normaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andriy Bezuglov/Adobe Stock
23 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Si les conservateurs sociaux s’étaient assis, il y a 25 ans, avaient réfléchi et avaient tenté de trouver un titre qui résume le chaos moral et social provoqué par la révolution sexuelle, je doute qu’ils eussent pu faire mieux que celui-ci, publié par le Daily Mail le 16 novembre : « Les hommes trans et les lesbiennes seraient prioritaires pour la FIV deux ans avant les couples hétérosexuels dans le cadre du plan du NHS ».
Selon le rapport, le Service national de santé britannique a présenté des plans qui « donneront aux hommes trans et aux lesbiennes l’accès à la FIV — financée par le NHS — deux ans avant les couples hétérosexuels ». Les « hommes trans » sont bien sûr des femmes qui s’identifient comme des hommes et qui peuvent donc théoriquement devenir enceintes (à condition que des hormones transsexuelles ou d’autres médicaments ne les aient pas rendues stériles). Pour couronner le tout, le plan du NHS donne également la priorité aux femmes célibataires par rapport aux couples mariés, bien qu’il ne soit pas expliqué pourquoi la maternité célibataire devrait être une aspiration sociale de l’État.
Soyons clairs : la fécondation in vitro, qui consiste à créer des enfants dans des boîtes de Petri pour les implanter manuellement dans des patientes, est intrinsèquement immorale. Du point de vue des partisans de la vie, le coût en vies humaines est à lui seul ahurissant, et la séparation de la procréation et de l’intimité humaine constitue également une violation de l’ordre naturel. Pour ceux que cela intéresse, j’ai récemment eu une longue discussion avec Stephanie Gray-Connors sur cette question, dans laquelle nous avons examiné en profondeur la moralité de la FIV.
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