Une détransitionneuse polonaise obtient à nouveau son statut légal de femme
Publié sur LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
26 juin 2025 (Ordo Iuris) — Le tribunal régional de Świdnica a rendu une décision sur le rétablissement du sexe biologique dans les documents d’identité d’une femme qui avait précédemment subi une « transition » juridique et médicale. La femme a demandé la « détransition » après des années de souffrance et de graves conséquences pour sa santé mentale et physique.
Magdalena, qui a subi des violences sexuelles dès son plus jeune âge, était aux prises avec des traumatismes et des problèmes relationnels familiaux, elle a cherché du soutien en ligne et s’est retrouvée sur un forum consacré au soi-disant transgenrisme. Là, elle a été convaincue que sa souffrance était due à une inadéquation entre son identité de genre et son sexe biologique. Il lui a été conseillé de mentir lors de son évaluation psychologique, en prétendant éprouver du dégoût pour ses organes sexuels, et de se rendre au rendez-vous avec une amie qu’elle présenterait comme sa « partenaire de vie ». Peu après, elle a entamé et achevé le processus complet de « transition » : elle a pris des hormones masculines, s’est fait retirer ses organes reproducteurs féminins et a obtenu une décision de justice autorisant la modification de ses données personnelles dans les registres gouvernementaux et sur ses documents d’identité.
Cependant, au fil du temps, Magdalena a commencé à ressentir les effets très graves de la prise d’hormones masculines et des opérations chirurgicales : douleurs chroniques, dépression et un sentiment croissant d’isolement. Lorsqu’elle a exprimé des doutes sur sa décision en ligne, elle n’a reçu aucun soutien et a été exclue de la communauté.
Lire la suiteUne joueuse de rugby gravement blessée par un adversaire « trans »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
15 mai 2025 (LifeSiteNews) — Chaque fois qu’une autre jeune femme est gravement blessée par un joueur masculin qui n’aurait pas dû être autorisé à concourir contre elle, je pense aux animateurs effrayants de fin de soirée comme John Oliver, qui ont passé les dernières années à se moquer de l’idée selon laquelle les filles ont le droit d’avoir leurs propres sports et leurs propres espaces privés.
Peut-être Oliver, qui s’est encore déchaîné pendant près d’une heure en faveur des « athlètes trans » il y a un mois, ne voit-il pas d’inconvénient à ce que des filles perdent des prix qui leur reviennent de droit — comme quand l’homme transidentifié qui a battu des filles lors d’une rencontre sportive dans un collège de Pennsylvanie au début de la semaine. Pour Oliver, ces filles ne sont évidemment que des perdantes.
Mais je me demande si même son sourire n’est pas maintenant entamé par cet article récent du Daily Mail, qui décrit comment « une jeune joueuse de rugby s’est retrouvée à hurler de douleur après qu’un rival transgenre lui ait déchiré les ligaments du genou » et doit maintenant faire face à « la douleur pour le reste de sa vie et à six mois de physiothérapie juste pour pouvoir courir à nouveau ». La joueuse, Elena King, 20 ans, souffre d’une déchirure du ligament croisé antérieur et du ligament croisé postérieur et « a accusé les dirigeants sportifs de l’avoir laissé tomber ».
Lire la suiteL’acteur Liev Schreiber ne prend pas au sérieux la confusion sexuelle de son fils, disant que « ce n’est pas grave »
L'acteur Liev Schreiber.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Image : Martin Kraft (photo.martinkraft.com), license : CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons
12 mai 2025 (LifeSiteNews) — Quelques semaines après que l’acteur oscarisé Robert De Niro ait fait les gros titres pour avoir exprimé son soutien public à son fils transidentifié en l’appelant sa « fille transgenre », une autre vedette d’Hollywood a déclaré qu’il élevait lui aussi une « fille transgenre » — mais que ce n’était pas « si grave que ça ».
Selon Liev Schreiber, célèbre pour des rôles allant d’épopées historiques comme Defiance à des films de superhéros comme Wolverine, son fils de 16 ans — qui est aussi le fils de son ancienne petite amie Naomi Watts — s’identifie comme une fille nommée Kai.
Schreiber a déclaré à Variety, avant un grand gala auquel il devait assister avec Kai, qu’élever un adolescent qui s’identifie comme transgenre n’est pas très différent d’élever n’importe quel autre adolescent. Selon The Cut :
Lire la suiteEn fait, Kai, 16 ans, n’a jamais officiellement fait de révélation de soi auprès de ses parents, a déclaré Schreiber à Variety. Elle n’a pas eu à le faire. « Kai a toujours été ce qu’elle est », a déclaré Schreiber. Le « moment le plus profond » a été celui où elle a demandé à ses parents de commencer à utiliser des pronoms différents pour elle, mais cela ne les a pas dérangés non plus. « Pour être honnête avec vous, je n’ai pas eu l’impression que c’était une grosse affaire, uniquement parce que Kai avait été si féminine pendant si longtemps », a déclaré M. Schreiber. Schreiber a donné des conseils à d’autres parents dans sa situation. « Je pense que si je devais dire quelque chose à quelqu’un qui a des problèmes avec son adolescent ou son jeune transgenre, ce serait : “Les adolescents sont un casse-tête. Ils sont difficiles”, a-t-il déclaré. “Peu importe qu’ils soient trans ou non, vous vous en sortirez” ».
Un rapport confirme les dommages « irréversibles » causés par la « transition » de genre chez les enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
1er mai 2025 (LifeSiteNews) — Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a publié le 1er mai un « Examen complet des interventions médicales pour les enfants et les adolescents atteints de dysphorie de genre », il s’agit d’une mise en accusation dévastatrice du soi-disant modèle de « soins d’affirmation du genre » qui a nui à des milliers de mineurs au cours de la dernière décennie.
Selon le résumé, l’étude « met en évidence un nombre croissant de preuves indiquant des risques importants — y compris des préjudices irréversibles tels que l’infertilité — tout en trouvant de très faibles preuves de bénéfices », et que cette « faiblesse a été une constatation constante des examens systématiques des preuves dans le monde entier ». Le président Donald Trump avait déclaré que l’examen serait à venir lorsqu’il a signé le décret « Protéger les enfants des mutilations chimiques et chirurgicales » le 28 janvier.
« Notre devoir est de protéger les enfants de notre pays — et non de les exposer à des interventions médicales non prouvées et irréversibles », a déclaré le Dr Jay Bhattacharya, directeur des NIH. « Nous devons suivre l’étalon-or de la science, et non les agendas des activistes ». Les contributeurs à l’étude représentaient « un large éventail de points de vue politiques » et comprenaient des médecins, des éthiciens médicaux et un méthodologiste.
Lire la suiteUne femme confie ses regrets d’avoir été transgenre et dit avoir pleuré après avoir été opérée à l’âge de 14 ans
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
30 avril 2025 (LifeSiteNews) — Selon un nouveau documentaire, des professionnels de la santé auraient poussé une jeune fille de 14 ans à subir une double mastectomie et à se présenter comme un garçon.
IW Features (IWF) présente une série, intitulée « Identity Crisis », qui explore les erreurs médicales du complexe de « soins de santé » pro-transgenre, qui pousse les enfants confus en matière de genre à subir des opérations chirurgicales qui les endommagent de façon permanente et à prendre des « médicaments » [dont l’effet est] irréversible. Il est à noter que c’est un fait biologique que personne ne peut changer de sexe.
Les « médicaments » et les interventions chirurgicales ont été associés au suicide, à la perte de densité osseuse, aux maladies cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux, au cancer et à de nombreux autres problèmes médicaux. Les bloqueurs de puberté provoquent également la stérilité, comme on peut s’y attendre avec des produits destinés à stopper le développement normal du système reproducteur.
La série a récemment présenté l’histoire terrifiante de Claire Abernathy, une jeune fille qui se décrit elle-même comme un « garçon manqué » et que les thérapeutes et les médecins ont poussée à se faire enlever les deux seins à l’âge de 14 ans — une histoire étrangement similaire à celle d’une autre « détransitionneuse », Chloe Cole. « Je me sens lésée », déclare Claire dans le documentaire.
Lire la suiteUn père australien obtient la garde de son fils de 12 ans pour mettre fin à la « transition de genre » imposée par sa mère
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andrea Izzotti/Adobe Stock
11 avril 2025 (LifeSiteNews) — Un juge australien a rendu une décision « explosive » qui porte un coup sans précédent au modèle « d’affirmation du genre » de l’industrie d'enfants transgenres.
Dans sa décision historique, le juge Andrew Strum a accordé la garde exclusive d’un garçon de 12 ans à son père afin de mettre un terme aux efforts incessants de la mère de l’enfant — avec l’aide d’une importante « clinique du genre » — pour « transformer » son fils en utilisant des bloqueurs de puberté nocifs.
Les efforts de la mère durent depuis six ans.
Strum a déclaré que la décision d’« affirmer sans réserve » tout enfant qui s’inquiète de son genre est « étrangement binaire », selon un rapport d’Ellie Dudley du The Australian, qui a révélé l’histoire.
« Il s’agit d’une affaire concernant un enfant, relativement jeune de surcroît, et non d’une affaire concernant la cause des personnes transgenres », a écrit Strum dans sa décision de 58 000 mots. « Au fur et à mesure que cet enfant grandit, se développe et mûrit, et qu’il explore et expérimente la vie, il pourrait, avec les avantages liés au passage du temps et à l’acquisition d’une compréhension équilibrée, en venir à s’identifier comme une femme transgenre et pourrait choisir de subir une forme de traitement médical, pour affirmer ou s’aligner sur cette identité. Mais, de la même manière, malgré ces avantages, l’enfant pourrait ne pas le faire, et ce pour diverses raisons ».
Lire la suiteLa Société canadienne de pédiatrie recommande aux médecins d’encourager la lubie transgenre chez les enfants dès l’âge de 6 ans
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rimmdream/Adobe Stock
26 mars 2025 (LifeSiteNews) — Les médecins canadiens sont incités à encourager les enfants dès l’âge de six ans dans leur dysphorie de genre.
Un bref article publié dans le journal phare de la Société canadienne de pédiatrie conseille aux pédiatres d’« affirmer » la confusion de genre des enfants, jusqu’à leur prescrire des bloqueurs de puberté irréversibles.
Le journal demande aux pédiatres de « soutenir la suppression menstruelle et les bloqueurs d’hormones, si cela est approprié et souhaité par le patient ».
Les menstruations peuvent être une source de dysphorie de genre importante pour certains jeunes TGD (« transgenres »), poursuit l’article.
La suppression des règles chez les filles « peut être obtenue en utilisant diverses formes de contraception, telles que les systèmes intra-utérins hormonaux, les injections de depo [-provera], l’utilisation continue de pilules contraceptives orales, de patchs et d’anneaux contraceptifs, ou de bloqueurs hormonaux », ajoute l’article.
Lire la suiteUn ex-transgenre rend gloire au Christ de l’avoir sauvé de l’opération de mutilation sexuelle
Joshua McParland.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : @joshuamcparland/TikTok
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un autre détransitionneur de premier plan s’est présenté pour expliquer pourquoi il regrette profondément d’avoir eu recours à des « soins d’affirmation du genre » pour obtenir un changement de sexe.
Joshua McParland, de Belfast, a commencé à lutter contre la dysphorie de genre à un très jeune âge. « À l’école primaire, les gens me prenaient pour une fille parce que j’avais une voix aiguë et des cheveux longs », a-t-il expliqué à Good Morning Ulster. « C’est comme ça que la confusion de mon identité s’est installée... parce que j’avais l’air si féminin. Quand on est enfant, on absorbe les opinions des autres comme une éponge ».
McParland a donc décidé de tenter une « transition » vers le sexe féminin et a commencé à prendre des hormones du sexe opposé à l’âge de 17 ans. Selon lui, il a dû faire pression sur sa mère pour obtenir l’autorisation de « transitionner », mais elle l’a finalement soutenu. « En tant que mère, elle voulait simplement m’aimer », a-t-il déclaré. « Je pense qu’à l’adolescence, on croit tout savoir, mais ce n’est pas le cas. Je faisais la fête, je me droguais, je faisais des choses folles ». En janvier 2024, il s’est rendu en Turquie pour se faire poser des implants mammaires afin de mieux « se présenter » en tant que femme.
La mère de McParland le soutient également dans ses efforts pour inverser les changements qu’il a entrepris à l’âge de 17 ans. En février, à peine un an après son voyage en Turquie, il a été opéré pour retirer les implants mammaires qu’il avait achetés. Il a également cessé de prendre des hormones transsexuelles. McParland affirme qu’il reconnaît aujourd’hui qu’il « fuyait » ses problèmes et qu’il n’aurait pas dû essayer de changer de sexe.
Lire la suiteLe triste sort du garçon « transgenre » qui a fait la couverture du National Geographic
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Eric Ward/Unsplash
10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Depuis une décennie, les médias et l’industrie du divertissement ont travaillé main dans la main avec le mouvement transgenre pour créer le phénomène de l’enfant vedette « transgenre ». Cependant, nous avons rarement l’occasion d’entendre comment ces histoires se sont terminées.
Nous avons droit à des histoires en haute définition, soigneusement élaborées, sur des enfants nés dans le mauvais corps. Et la conclusion inévitable de ces histoires est que la société doit adopter des « soins d’affirmation du genre » pour s’assurer que ces enfants reçoivent les médicaments et les chirurgies dont ils ont besoin pour être équipés d’un nouveau corps qui correspond au « vrai eux » qui se cache à l’intérieur, prêt à être libéré par des chirurgiens compatissants qui pratiquent des castrations et des mastectomies sur des enfants en bonne santé.
L’enfant vedette « transgenre » le plus célèbre est peut-être Jazz Jennings, qui a participé à sa propre émission de téléréalité « I Am Jazz », ainsi qu’à un livre pour enfants à succès soutenu par les activistes transgenres du monde entier. Son histoire a toutefois pris une tournure sinistre et tragique : les opérations chirurgicales et les opérations de suivi ont échoué, il souffre de dépression et, dans un moment d’honnêteté brutale (que je suis sincèrement choqué que les producteurs n’aient pas coupé), il a admis qu’il se sentait complètement perdu.
Une presse grand public responsable demanderait à des journalistes de suivre l’histoire de ces « transgenres » pour savoir où ils en sont aujourd’hui, d’autant plus que le nombre de « détransitionneurs » monte en flèche et qu’il ne se passe pas un mois sans qu’une nouvelle étude ne fasse exploser le consensus fabriqué selon lequel les « soins d’affirmation du genre » sauvent des vies. 2025 est très différent de 2015, et les prémisses de l’idéologie du genre sont rejetées par de nombreuses institutions médicales d’élite, y compris le Service national de santé du Royaume-Uni.
Lire la suiteUne étude d’Oxford indique que l’opération de transition augmente les taux de dépression et d’idées suicidaires
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
3 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude publiée dans l’Oxford Journal of Sexual Medicine a révélé que le fait de subir une chirurgie dite de « changement de sexe », loin de réduire les taux de dépression chez les personnes dysphoriques, augmentait considérablement les taux non seulement de dépression, mais aussi d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues.
Les hommes ayant subi une opération transgenre présentaient un taux de dépression de 25,4 %, contre 11,5 % pour ceux qui n’avaient pas subi d’opération. De même, les femmes ayant subi une intervention chirurgicale présentaient un taux de dépression de 22,9 %, contre 14,6 % pour celles qui n’avaient pas subi d’intervention.
L’étude note que les hommes qui subissent des interventions chirurgicales « féminisantes » présentent un risque particulièrement élevé de dépression et de troubles liés à l’utilisation de substances [psychoactives].
« Sur 107 583 patients, des cohortes appariées ont démontré que ceux qui subissaient une intervention chirurgicale présentaient un risque significativement plus élevé de dépression, d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à l’utilisation de substances que ceux qui ne subissaient pas d’intervention chirurgicale », ont constaté les chercheurs.
Plutôt que de conclure que la chirurgie dite « d’affirmation du genre » est une pratique dangereuse et inutile qui devrait être abandonnée parce qu’elle met la vie des patients en danger, les chercheurs suggèrent plutôt que leurs résultats montrent la nécessité « après une chirurgie d’affirmation du genre, d’un soutien à la santé mentale qui soit attentif aux particularités de genre, pour traiter les risques psychologiques post-chirurgicaux ».
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