L’ONU veut imposer l’éducation sexuelle obligatoire pour tous les enfants, et aussi leur droit de refuser l’éducation religieuse
Par reinformation.tv — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Le comité des droits de l’enfant de l’ONU a enjoint vendredi dernier au Royaume-Uni d’intégrer à tous les niveaux des cours d’éducation sexuelle « adaptés à l’âge », y compris « sur la diversité sexuelle », sans laisser « la possibilité pour les écoles religieuses ou les parents de se soustraire par choix à une telle éducation ». L’ONU impose donc sa version arc-en-ciel de l’éducation sexuelle à tous les établissements, parents et enfants, sans faire droit à l’objection de conscience. En même temps, le comité des droits de l’enfant invite enseignants et responsables à « s’assurer des droits de tous les enfants, y compris au-dessous de 16 ans, de se retirer des classes de religion sans le consentement des parents ». Voilà qui est triplement clair : sous couleur de « droits de l’enfant » l’ONU entend soustraire les enfants à l’autorité parentale, les soumettre à sa vision de l’homme, les inciter à s’éloigner de Dieu. Rien d’absolument nouveau, mais un discours et une action assumés contre la religion chrétienne et pour l’instauration d’un totalitarisme « laïc » et « humaniste ».
Comment des responsables catholiques aident les promoteurs de l’avortement
Par John Smeaton (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lors de la tentative, heureusement ratée, des ennemis de la vie et de la famille de promulguer une loi sur l’éducation sexuelle obligatoire en 2010, M. Ed Balls, secrétaire d’État du gouvernement travailliste pour les enfants, les écoles et les familles, a déclaré :
« Le soutien de l’Église catholique et de l’archevêque Nichols dans ces changements est, je pense, très, très important... un énorme pas en avant ». [1]
Malheureusement, sept ans plus tard, sous un gouvernement conservateur, une législation similaire est entrée en vigueur — avec le soutien des évêques catholiques d’Angleterre et du Pays de Galles.
La politique de soutien des évêques catholiques aux lignes directrices du gouvernement en matière d’éducation sexuelle et relationnelle (ESR) a également revêtu une grande importance politique. Leur soutien a été souligné dans une déclaration de Nick Gibb, ministre des normes scolaires du gouvernement conservateur, qui a déclaré :
« Les directives ont été soigneusement élaborées pour obtenir le consensus le plus large possible en faveur de cette politique, ce qui explique qu’elles aient été adoptées par cette Chambre à une écrasante majorité et par l’autre Chambre sans aucune division ». [2]
M. Nick Gibb a poursuivi :
« Les personnes qui s’y opposent se situent à l’autre extrémité de ce consensus. Je crains qu’il soit peu probable que nous amenions ces extrémités du débat à ce consensus, mais je suis très satisfait que nous ayons obtenu le soutien de l’Église catholique... pour les orientations que nous avons créées ».
Lire la suiteUn enseignant chrétien se voit interdit parce qu’il n’a pas utilisé le bon pronom
Joshua Sutcliffe.
Par Clémentine Jallais (reinformation)
C’est le premier cas du genre — et il faudra s’en souvenir. Au Royaume-Uni, un enseignant, professeur de mathématiques chrétien, a été viré par la secrétaire d’Etat à l’Éducation pour avoir « discrédité la profession », en n’utilisant pas le « pronom préféré » d’une collégienne qui s’était identifiée comme un garçon. La Teaching Regulation Authority (TRA) interdit à Joshua Sutcliffe d’exercer à quelque titre que ce soit pendant au moins deux ans et potentiellement indéfiniment.
Alors qu’études et dossiers lourds commencent à sortir sur les dégâts considérables qu’induit la promotion du genre chez les enfants à l’école, les couperets tombent, dans la plus grande hypocrisie.
Un pronom trop féminin
Six ans que dure cette affaire. 6 ans que Joshua Sutcliffe se bat pour faire reconnaître son droit et surtout le droit des enfants, ses élèves, d’être protégés des ravages causés par la valorisation extrême de la théorie du genre au sein des établissements scolaires. En 2017, il avait fait la une des journaux après avoir fait l’objet d’une audience disciplinaire à The Cherwell School parce que le parent d’un élève qui se disait transgenre s’était plaint de maltraitance. Il avait été suspendu et finalement licencié pour avoir prétendument « mal genré » une collégienne qui s’était identifiée comme garçon. Au cours d’une leçon de mathématiques, Joshua avait salué le succès d’un groupe d’élèves dans lequel elle se trouvait, en disant, sans malice, « bravo les filles »… Les excuses du professeur ne servirent à rien.
Il faut préciser qu’à aucun moment, l’école n’avait donné d’instructions formelles quant à l’attitude à avoir avec cette élève. L’affaire en resta finalement là. Tout comme l’affaire suivante, en novembre 2019 : dans un autre établissement, l’enseignant s’est vu suspendre une semaine parce qu’un parent d’élève s’était plaint de sa chaîne Youtube personnelle ; Joshua, chrétien convaincu et convaincant, déclarait dans une de ses vidéos que « Mohammed est un faux prophète ». L’enseignant préféra alors démissionner.
Lire la suiteTrois tactiques majeures du mouvement pro-avortement
Par John Smeaton (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock
Deux des principales tactiques des groupes de pression pro-avortement dans la dernière partie du vingtième siècle ont été la promotion de politiques visant à détruire l’innocence des enfants par le biais de l’éducation sexuelle et relationnelle (ESR) et le retrait des parents en tant que premiers éducateurs de leurs enfants. Ces deux tactiques sont intimement liées à une troisième, à savoir l’établissement d’alliances avec l’Église catholique afin d’atteindre ces objectifs.
L’ESR inclut la fourniture de contraception et d’avortement aux enfants sans le consentement des parents. Par ce biais, les groupes de pression pro-avortement cherchent à rendre permanente la révolution de l’avortement, en ancrant la culture de l’avortement dans l’âme des générations futures.
Dès 1945, C.P. Blacker, secrétaire de la Société eugénique de Grande-Bretagne (1931-1952), préconisait l’éducation sexuelle à l’école, la planification familiale imposée, l’avortement, la stérilisation et le divorce facilité, comme l’indique Ann Farmer dans son ouvrage érudit intitulé By Their Fruits (Par leurs fruits). [1] Son objectif était de décourager la parentalité chez les personnes « socialement irresponsables ou eugéniquement indésirables ».
En 1967, le Parlement britannique a adopté la loi sur la planification familiale, qui a rendu la contraception facilement accessible par le biais du service national de santé, et la loi sur l’avortement, qui a rapidement conduit à l’avortement virtuel sur demande. En 1967 également, les Brook Advisory Centres du Royaume-Uni ont enfreint la loi en donnant des conseils en matière de contraception à des mineures.
En 1974, la note d’orientation du ministère britannique de la Santé et des services sociaux a indiqué aux médecins qu’ils pouvaient fournir des contraceptifs aux jeunes filles, « quel que soit leur âge » sans que leurs parents en aient connaissance ni y consentent.
Lire la suiteLa tromperie du couronnement
Par Alan Fimister (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (côtés flous rajoutés) : Nathan Hugues hamilton/Flickr
« Recevez l’anneau de la dignité royale,
et le sceau de la foi catholique :
et comme vous êtes aujourd’hui
consacré pour être notre chef et notre prince,
que vous puissiez continuer avec constance
en tant que défenseur de la religion du Christ ;
qu’étant riche en foi
et béni par toutes les bonnes œuvres,
vous puissiez régner avec celui qui est le Roi des Rois,
à qui revient la gloire pour les siècles des siècles. Amen. »
— Rite du couronnement de la reine Élisabeth II
Le déclin de la civilisation occidentale vers l’état actuel d’anarchie intellectuelle et d’hédonisme nihiliste a commencé au XIVe siècle avec certaines aberrations philosophiques, mais le premier coup direct contre les organes vitaux de notre culture a été porté par la Réforme. En déclarant que l’interprétation des Écritures est une question de jugement privé, les « Réformateurs » ont rendu absurde l’idée même de révélation divine. À quoi servirait-il que Dieu instruise la race humaine des vérités nécessaires au salut par le biais d’un ensemble de textes sacrés, inspirés et inaltérables, et qu’il laisse ensuite l’interprétation de ces textes à la fantaisie totalement arbitraire de chaque individu ? S’il faut une intervention spéciale du Saint-Esprit chaque fois pour lire correctement la Bible, la Bible elle-même devient superflue ; on pourrait tout aussi bien recevoir des révélations spéciales en permanence si c’est essentiellement ce qui se passe de toute façon chaque fois que quelqu’un lit les Écritures. Naturellement, n’étant pas en fait issu du Saint-Esprit, le mouvement protestant s’est immédiatement effondré en d’innombrables sectes, chacune devant prétendre que son petit groupe était la véritable Église du Christ ou que cette Église était en fait un ensemble invisible de rassemblements opposés et mutuellement contradictoires, totalement incapables d’accomplir le commandement du Seigneur d’enseigner aux nations « tout ce que je vous ai prescrit ».
Lire la suiteUne mère de famille se bat contre l’école qui voulait obliger son fils à participer à une « marche des fiertés »
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo :
Une mère de famille chrétienne britannique qui a intenté un procès après avoir affirmé que son fils de 4 ans avait été fait l’objet de pressions indues pour le contraindre à participer à une marche des fiertés « LGBT » organisée dans son école primaire sans qu’elle ait donné son accord, vient de faire appel après avoir été déboutée par un tribunal lundi dernier.
Reinformation.tv a évoqué cette affaire au moment des faits.
Izoduwa Montague avait porté plainte avec son mari Shane en 2019, affirmant que le directeur de l’école primaire Heavers Farm à Croydon, dans le sud de Londres, l’avait brutalement informée en 2018 que son fils ne serait pas autorisé à ne pas participer à la marche malgré les convictions religieuses de sa famille, selon un communiqué de presse de l’association Christian Concern, dont le siège est à Londres.
Lire la suiteLe Parlement et la police de la prière silencieuse
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixnio
Le samedi 6 mai 2023, lors d’une cérémonie élaborée remontant au Moyen-Âge, Charles III sera couronné dans l’abbaye de Westminster en tant que roi de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord. Le lendemain, la Loi sur les services d’avortement (zones d’accès sécurisé) (Irlande du Nord) entrera en vigueur, ce qui n’est pas de bon augure pour cette nouvelle ère. Cette loi criminalise toute activité pro-vie, y compris la prière silencieuse, dans un rayon de 150 mètres autour des centres d’avortement de la province. Pour la première fois de son histoire, le crime de pensée sera un délit dans le code juridique du Royaume-Uni.
L’année dernière, la Cour suprême de Londres a examiné cette législation et a décidé qu’elle était compatible avec la législation nationale sur les droits de l’homme et la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Elle a conclu que les clients et le personnel des établissements pratiquant l’avortement ont le droit de ne pas « assister à une prière silencieuse non désirée, importune et intrusive ». [1] Il est difficile d’imaginer comment une prière silencieuse pourrait être intrusive, mais cette déclaration démontre que ce sont les convictions des militants pro-vie qui sont considérées comme offensantes, et non leur comportement.
Après l’approbation de la loi par la Cour, celle-ci est devenue le modèle des mesures relatives aux zones tampons dans le projet de loi sur l’ordre public (Public Order Bill), qui attend actuellement la sanction royale. Lorsqu’elle a demandé à la Cour suprême de confirmer la législation d’Irlande du Nord, Dorothy Bain, KC, Lord Advocate écossais, a insisté sur le fait que la prière silencieuse était plus préjudiciable aux femmes souhaitant avorter que les manifestations bruyantes. Le Lord Advocate est le principal conseiller juridique du gouvernement écossais et un projet de loi similaire devrait être présenté au Parlement de Holyrood dans le courant de l’année. Bien qu’il n’ait pas encore été publié, le projet de loi a déjà obtenu le soutien du nouveau premier ministre.
Lire la suiteUn enseignant homosexuel s’en prend aux enfants : Vous serez « sévèrement punis » si vous rejetez l’idéologie LGBT
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook
12 avril 2023 (LifeSiteNews) — Depuis des décennies, les progressistes nous informent agressivement qu’ils sont de fervents partisans de la « diversité » et du « multiculturalisme ». Ces mots ont pris une signification presque totémique, « la diversité est notre force » étant devenu un mantra pour les gauchistes canadiens. Je ne suis pas d’accord avec ces mots à la mode — la diversité est une description, pas une valeur — mais je me suis souvent surpris à souhaiter, au cours des dernières années, que ceux qui les brandissent y croient vraiment.
Ce que nous avons découvert au fur et à mesure que le mouvement LGBT s’imposait dans la culture, c’est que pour les progressistes, la « diversité » consiste à faire en sorte que les gens aient l’air différents, mais pensent de la même façon. Ainsi, les nations occidentales (principalement les pays de l’« anglosphère ») peuvent accueillir un nombre considérable d’immigrants en provenance des pays en développement, tant que les nombreux enfants de ces immigrants sont déversés dans l’entonnoir du système éducatif public et qu’ils en ressortent avec les mêmes valeurs que les enfants post-chrétiens. Au Canada, les communautés immigrées ont protesté contre l’éducation sexuelle radicale des écoles publiques ; au Royaume-Uni, ce sont surtout les musulmans qui luttent contre l’endoctrinement.
Quiconque souhaite avoir un aperçu nauséabond de ce que sont devenues les écoles publiques n’a qu’à suivre des journalistes comme Christopher Rufo ou Chaya Raichik (plus connue sous le nom de « Libs of TikTok »). Mais pour un microcosme parfait de la façon dont les éducateurs post-chrétiens se sentent autorisés à endoctriner leurs élèves, ce clip vidéo d’un enseignant lisant la loi sur l’émeute à ses élèves de sixième à Stationers' Crown Woods Academy, une école secondaire dans la région de Greenwich près de Londres, en Angleterre, résume vraiment l’attitude des éducateurs à l’égard de la diversité (de pensée).
« Permettez-moi d’être très clair », dit le professeur à ses élèves. « Vous n’avez pas le choix d’apprendre ou non ce que sont les LGBT+ dans cette école. Vous n’avez pas le choix. C’est l’une de nos valeurs, et si vous refusez de le faire, vous serez sévèrement sanctionnés. Pourquoi ne le ferais-je pas ? Pourquoi me soucierais-je que quelqu’un dans cette salle veuille aimer quelqu’un, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme ? Pourquoi me soucierais-je si quelqu’un veut dire : “Vous savez quoi ? Je ne sais pas si je suis plus homme ou plus femme. Je suis en train d’explorer.” En quoi cela me concerne-t-il ? »
Lire la suiteUne petite fille micro-prématurée, née à 23 semaines, fête son premier anniversaire
La petite Dali-Grey Woodgates.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une petite fille née à seulement 23 semaines de grossesse a récemment célébré une étape importante : son premier anniversaire.
Dali-Grey Woodgates, originaire de West Bridgford, au Royaume-Uni, ne pesait qu’une livre et demie à la naissance — une taille si petite que les médecins l’ont placée dans un sac à sandwich pour l’aider à rester au chaud, car sa peau translucide était trop fragile pour le tissu. Sa première couche avait à peu près la taille d’un paquet de ketchup.
Malgré son départ très précoce dans la vie, Dali s’épanouit aujourd’hui. « Elle a 13 mois, mais son âge corrigé est de neuf mois et elle n’a aucun problème de développement, elle est juste plus petite », explique Bryony, la mère de Dali. « C’est un petit ange. Elle dort comme un rêve, elle mange bien, c’est un bébé vraiment heureux, elle est tellement détendue. Elle ne grogne jamais vraiment et ne fait jamais d’histoires ».
Bryony a également noté que Dali fait tout ce que l’on attend des bébés de son âge. « Elle marche presque à quatre pattes. Elle fait tout ce qu’un bébé de neuf mois devrait faire. Elle est incroyable. En la regardant, on ne se doute pas qu’elle a vécu tout cela », a-t-elle déclaré.
Alors que Dali est une petite fille heureuse et en bonne santé, les médecins ont fait craindre le pire à Bryony et à son mari Mike, en leur disant que si le nouveau-né survivait à son arrivée précoce, il serait probablement gravement handicapé et nécessiterait des soins constants. En fait, lorsque Bryony a commencé à montrer des signes de travail précoce en janvier 2022, les médecins lui ont suggéré d’avorter. Bryony et Mike ont refusé et, quatre jours plus tard, leur fille est née.
Lire la suiteLa mort par déshydratation est « inhumaine, horrible et barbare »
Sarene Taylor.
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un article de Steve Bagnall publié par le North Wales News le 21 mars concerne la mort de Sarene Taylor (88 ans) du nord du Pays de Galles (Royaume-Uni) qui a été affamée et déshydratée jusqu’à la mort pendant 28 jours.
Bagnall a eu une entrevue avec Rob Taylor, le fils de Sarane, et a ensuite rédigé cet article :
Lire la suiteLes lecteurs ont été choqués et consternés par la façon dont les soins de fin de vie sont gérés dans certains cas, après qu’une femme de 88 ans a été privée de nourriture et d’eau pendant 28 jours avant de mourir. L’histoire dévastatrice de Sarene Taylor a été portée à la connaissance du public par son fils Rob Taylor, un ancien officier de la police rurale du nord du Pays de Galles, décoré et très respecté.
Il a raconté comment sa mère a été victime d’une attaque cérébrale et a été transportée dans un hôpital du nord du Pays de Galles il y a plus de quatre semaines. Les médecins ont déclaré qu’il n’y avait plus rien à faire pour elle et elle a été renvoyée dans une maison de soins pour y mourir après qu’on lui ait retiré toute nourriture et tout liquide.
Cependant, il a fallu 28 jours à sa mère bien-aimée pour s’éteindre hier (lundi). M. Taylor a déclaré que l’approche des soins de fin de vie était « inhumaine » et « déchirante » pour la famille et qu’elle devait changer.