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Floride : Les mineures devront obtenir l’autorisation des parents pour un avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Ake/rawpixel

Le veto parental sur l’avortement des mineures peut être facteur qui sauvera plusieurs enfants à naître, quoique ce sont parfois les parents qui poussent leur fille à avorter. D’après Gènéthique :

Désormais, le consentement écrit d’au moins un parent sera obligatoire lorsqu’une fille de moins de 18 ans demandera un avortement en Floride. C’est ce qu’exige le projet de loi qui vient d’être adopté par le gouvernement de Floride. La loi devrait prendre effet le 1er juillet prochain.

La Floride est le vingt-septième état américain à rendre obligatoire le consentement parental pour l’avortement des mineures.

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Conférence sur l’histoire de l’âme en Occident

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : David Brossard/FLickr

En quoi les deux humanismes qui se disputent le présent et l’avenir de l’Occident sont-ils incompatibles ? Depuis plus de deux siècles notre civilisation est le théâtre d’un combat acharné entre l’humanisme chrétien centré sur Dieu et l’humanisme athée fixé sur l’Homme.

L’un repose sur les fondements philosophiques et théologiques qui reconnaissent « Providence divine, destinée surnaturelle de l’homme, loi naturelle, caractère sacré du mariage et de la famille », explique l’annonce de Richard Bastien qui donnera la conférence ; l’autre s’attache à une antithéologie libertarienne prônant « déni de la Providence divine, autonomie de la volonté, matérialisme scientifique, relativisme moral ».

Cette conférence « a également pour objet de montrer que ces deux humanismes ne peuvent coexister au sein d’une même société sans provoquer de graves conflits culturels et politiques qu’il est impossible de résoudre en raison de l’incompatibilité de leurs principes respectifs. »

La conférence aura lieu le vendredi 6 mars à 19h, au local des Presses Philosophiques, 407 rue Guilbault, Longueuil (téléphone : 450-677-3648). 

La présentation de Richard Bastien sur « La Guerre des Humanismes » sera suivie d’une discussion, et d’un vin d’honneur à l’orateur.

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Le taux de natalité en Italie tombe à son niveau historique le plus bas

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pxfuel

Voilà le résultat de l’avortement, de la contraception, du divorce, etc. Selon LifeSiteNews

L'Italie a enregistré son plus petit nombre de nouveau-nés en 2019, ce fait amenant son président à augurer du malheur du pays.

« C'est un problème qui concerne l'existence même de notre pays », a déclaré Sergio Mattarella, âgé de soixante-dix-huit ans.

« L'étoffe de notre pays s'affaiblit, et tout doit être mis en œuvre pour contrer ce phénomène ».

Selon l'Istituto Nazionale di Statistic (Istat), il n'y a eu que 435 000 naissances en Italie l'année dernière, le nombre le plus bas jamais enregistré dans le pays, contre 647 000 décès.

Le nombre de naissances a diminué de 5 000 par rapport à 2018, et le nombre de décès a augmenté de 14 000.

Selon Reuters, la population totale d'Italie a diminué de 116 000 personnes, pour atteindre 60,3 millions d'habitants, malgré le nombre croissant de naissances chez les « migrants »* dans le pays. L'agence de presse a également noté que « la population italienne avait augmenté pratiquement chaque année depuis la Première Guerre mondiale, atteignant un pic en 2015 avec 60,8 millions, mais depuis a commencé à diminuer ».

L'espérance de vie est passée à 85,3 ans pour les italiennes et à 81 ans pour les italiens. La diminution des naissances et l'augmentation de l'espérance de vie ont fait que l'âge moyen est de 45,7 ans.

Lorsque le faible nombre de naissances en Italie en 2018 fut annoncé, le ministre de l'intérieur à l'époque, Matteo Salvini, avait déclaré : « Nous sommes dans un état catastrophique ».


*Guillemets rajoutés. — A. H.

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Euthanasie : Le gouvernement canadien demande une prorogation de 4 mois à la Cour supérieure du Québec

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : master1305/freepik

Le gouvernement canadien nous concocte une belle petite loi sur l’« aide médicale à mourir » (traduction de la langue de bois au français : euthanasie), et cela doit prendre du temps, du moins si ses auteurs espèrent qu’elle soit un tant soit peu prise au sérieux. Aussi demande-t-il à la Cour supérieure du Québec de lui accorder quatre mois de plus afin de modifier la loi sur l’euthanasie pour tout le Canada.

Rappelons que la Cour supérieure du Québec avait invalidé en septembre dernier le critère de « prévisibilité raisonnable de la mort naturelle » des conditions requises pour une euthanasie légale, c’est pourquoi, la fin du délai donné par la cour pour la mise en application de sa décision approchant rapidement, le gouvernement canadien demande à la cour de lui donner quatre mois de plus.

On se demande bien pourquoi le gouvernement n’interjette pas de la décision de la Cour supérieure du Québec en Cour suprême, si ce n’est qu’il adhère au point de vue de cette cour.

D’après Euthanasia Prevention Coalition:

Dans un communiqué de presse du ministère de la Justice, les ministres Lametti et Hajdu ont déclaré :

« Aujourd’hui, le procureur général du Canada a déposé une requête demandant une prorogation de quatre mois de la décision Truchon rendue par la Cour supérieure du Québec en septembre 2019.

Sans cette prorogation, le critère de “prévisibilité raisonnable de la mort naturelle” de la loi fédérale ne s’appliquera plus au Québec à compter du 12 mars, mais restera en vigueur dans d’autres provinces et territoires.

Après avoir mené à bien ses consultations sur cette importante question, le gouvernement a pleinement l’intention de présenter une nouvelle loi sur l’aide médicale à mourir dans un avenir rapproché. Une prorogation donnerait au Parlement le temps d’examiner et d’adopter les modifications proposées.

Nous reconnaissons que l’aide médicale à mourir est une question complexe et profondément personnelle. Le haut niveau de participation à la consultation publique en ligne de janvier 2020, à laquelle environ 300 000 personnes ont répondu, démontre bien l’importance de cet enjeu pour les Canadiens et les Canadiennes.

Nous maintenons notre engagement à répondre à la décision de la Cour le plus rapidement possible. »

Une grosse farce (si seulement c’était drôle…) :

Le questionnaire de consultation en ligne que le gouvernement fédéral avait lancé a été une véritable imposture, et les données qui en ont résulté n’étaient pas fiables. La consultation employait des questions qui impliquaient un soutien à l’euthanasie et le système informatique qui la sous-tendait n’a pas empêché les gens de répondre au questionnaire un nombre considérable de fois. Une prolongation donnerait au Parlement le temps d’examiner et de promulguer les amendements proposés.

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Canada : un père enfreint l’injonction au silence imposée au sujet de la « transition » de son enfant

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Quand le père d’une fille de treize ans apprit que celle-ci voulait « transiter » en garçon il s’y opposa. Hélas, derrière sa fille se rangeaient ceux qui lui avaient conseillé de « changer » de sexe, des promoteurs du transgenrisme, dont un psychologue, et sa mère qui l’a soutien dans ce délire. L’affaire fut amenée devant les tribunaux, et se rendit jusqu’en Cour suprême de Colombie-Britannique.

Ce qui résulte de ce litige c’est que non seulement le père ne peut empêcher la « transition » de sa fille, qui a maintenant quinze ans, mais il doit s’adresser à sa fille comme à un garçon en employant le prénom masculin qu’elle s’est choisi (s’il utilisait par exemple son véritable prénom cela serait de la « violence familiale »), et il n’a pas le droit de divulguer, par rapport à cette affaire, son nom, celui de sa fille, celui de la mère, du psychologue et des médecins qui procèdent à la « transition ». Il doit aussi ne pas parler des détails de cette affaire avec les médias ni parler de sa fille comme d’une fille.

Il passa outre, s’exprimant deux fois en entrevues qui furent publiées très récemment sur internet, encourant, ainsi que deux autres personnes, le courroux du tribunal. D’après LifeSiteNews :

Un juge de Colombie-Britannique a averti un père, se battant pour empêcher les médecins et les tribunaux de faire « transiter » son enfant de 15 ans de fille en garçon, de ce qu’il devait respecter une injonction au silence ou faire face à une accusation d’outrage au tribunal.

Le juge de la Cour suprême de Colombie-Britannique Michael Tammen a également mis en garde la blogueuse chrétienne Laura-Lynn Tyler Thompson, qui a été convoquée au tribunal le 12 février avec le père pour avoir enfreint une interdiction de publication en ayant mis en ligne, la semaine précédente, une entrevue du père.

Le militant transgenre Jenn Smith a également été traduit en justice pour violation présumée de l’interdiction de publication, dans le cadre d’une action intentée contre le trio par les avocats de la fille, rapporte le Vancouver Sun.

Tammen a ordonné à Smith d’annuler son entretien en ligne avec le père prévu pour ce soir-là, et a ordonné à Thompson de retirer sa vidéo d’internet.

Tammen les a avertis tous trois que s’ils enfreignaient de nouveau les ordonnances du tribunal, les avocats de la fille — dont fait partie l’activiste « queer » Barbara Findlay — pourraient intenter une action pour outrage au tribunal contre eux.

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Étude : forte corrélation entre libertinages et risques de cancer

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : pressfoto/freepik

Une autre étude qui vient souligner l’importance et la nécessité de la famille traditionnelle.

Une étude, dirigée par l’Université Anglia Ruskin et des experts de plusieurs pays, a révélé une association statistiquement significative entre le nombre de personnes avec lesquelles un individu a entretenu des relations sexuelles durant sa vie et les risques de cancer ; l’étude n’explique pas cette forte corrélation, mais elle fait référence à des recherches antérieures qui ont établi un lien entre certaines infections sexuellement transmissibles et le cancer.

Les chercheurs ont étudié un échantillon de 7522 personnes, 2537 hommes et 3185 femmes, de plus de 50 ans et d’une moyenne d’âge de 64 ans. Tous habitent en Angleterre et près des trois quarts ont été mariés.

Les 7522 participants ont été interrogés sur le nombre de personnes avec lesquelles ils ont entretenu des relations sexuelles : de 0 à 1, 5 à 9 ou 10 et plus ; on leur a aussi posé des questions sur divers aspects de leur vie et de leur santé. Selon Gènéthique :

Ainsi, pour les hommes ayant déclaré avoir eu 2 à 4 partenaires sexuels, le nombre de diagnostics de cancer était plus élevé de 57 % que chez ceux ayant déclaré au plus 1 partenaire. Et pour ceux ayant déclaré au moins 10 partenaires, le pourcentage s’élève à 69 %.

Pour les femmes ayant eu au moins 10 partenaires, le risque de cancer observé est de 91 % plus élevé que chez les femmes qui rapportent n’avoir eu aucun partenaire sexuel ou n’en avoir eu qu’un seul. Chez les femmes, l’augmentation du nombre de partenaires sexuels entraînerait également un risque accru de maladies chroniques. La même relation n’a pas été observée chez les hommes.

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Une actrice hollywoodienne pro-vie fustige les démocrates pour leur «plateforme barbare qui loue l’avortement»


Patricia Heaton (2008).

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Patricia Heaton/FLickr/Matt/Wikimedia Commons

Il faut dire que le Parti démocrate américain est parti à fond de train dans la promotion, la défense même, sinon l’éloge de l’avortement. Selon LifeSiteNews :

L’actrice américaine Patricia Heaton, étoile de la série de CBS Everybody Loves Raymond, a reproché au Parti démocrate ses prises de position proavortement, et elle s’est demandé en quoi un pro-vie serait intéressé de savoir s’il est le bienvenu au sein du parti.

Heaton écrivait sur Twitter le 15 février : « Je ne comprends pas pourquoi les pro-vie veulent savoir s’ils sont “les bienvenus” dans le Parti démocrate. Pourquoi une personne civilisée voudrait-elle soutenir une plateforme barbare qui loue l’avortement effectué pour n’importe quelle raison durant les neuf mois de la grossesse, et ce, financés par les contribuables ? »

Ses commentaires font suite au rejet, formulé le mois dernier par ce maire d’Indiana et candidat démocrate à la présidence Pete Buttigieg, d’un appel du président de Democrats for Life pour un vocabulaire qui représenterait les démocrates pro-vie dans le programme du parti.

Kristen Day demanda à Buttigieg, lors d’une réunion de candidats à la mairie, s’il souhaitait recevoir le soutien des démocrates pro-vie et s’il « soutiendrait un langage plus modéré dans la plateforme du Parti démocrate afin de s’assurer que le parti de la diversité et de l’inclusion inclue réellement tout le monde ».

« Je ne vais pas essayer de gagner votre vote en vous trompant. Je suis pro-choix, et je crois qu’une femme devrait pouvoir prendre cette décision », répondit Buttigieg.

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Un projet de loi sur l’euthanasie progresse au Parlement espagnol

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock

Ce qui est fatiguant avec tous ces partisans de l’euthanasie, ou les « progressistes » en général, c’est qu’ils nous disent qu’on ne légalisera telle ou telle chose que jusqu’à un certain point, et que, au grand jamais, l’on n’ira plus loin en la matière. Quelques années plus tard, ils ont déjà changé de discours et veulent étendre à d’autres cas ce qui ne devait jamais aller plus loin. LifeSiteNews :

La majorité de la Chambre basse du Parlement espagnol a voté en faveur d’un projet de loi qui légaliserait l’euthanasie et le suicide assisté en cas de « maladies clairement débilitantes sans remède, sans solution et qui causent des souffrances importantes ».

Le quotidien espagnol El País rapporte que la Chambre basse, composée de 350 membres, a adopté mardi une mesure par 201 voix contre 140 et 2 abstentions. Après avoir été débattu en commission, le projet de loi sera soumis au Sénat pour le vote final. Dans sa forme actuelle, si elle était adoptée, la loi autoriserait l’euthanasie ainsi que le suicide assisté. C’est la troisième fois que ce projet de loi est présenté au Parlement, où ses partisans espèrent qu’il sera approuvé en juin.

Demi-objection de conscience :

Les deux formes de mises à mort seraient légalisées par la législation espagnole, qui permettrait aux médecins de s’y opposer sur la base de leur conscience, mais les obligerait à adresser les patients à des médecins disposés à procéder à leur mort. Le projet de loi exige également que les patients n’aient pas à attendre plus d’un mois après avoir fait une demande de suicide assisté ou d’euthanasie. Après que deux médecins aient examiné cette première demande, les patients produiraient alors une seconde demande pour obtenir l’approbation d’un comité gouvernemental.

Transmettre une demande d’euthanasie ou de suicide assisté, ce qui revient au même, rend aussi complice le médecin qui veut éviter d’accomplir lui-même la basse besogne de tuer un patient.

L'Église catholique et le Parti Vox s'y opposent :

L’Église catholique, ainsi que le Parti populaire et le Parti Vox, a exprimé son opposition véhémente à ce projet de loi. Au Parlement mardi, le député José Ignacio Echániz du Parti populaire a accusé le gouvernement socialiste de chercher à « économiser de l’argent » sur les soins, car les personnes qui en bénéficient coûtent cher à la fin de leur vie. Il a déclaré : « Pour le Parti socialiste, l’euthanasie est une mesure d’économie ».

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Un violeur qui se dit transgenre peut être transféré dans une prison pour femmes

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : diegoattorney/Pixabay

Une des preuves démontrant à quel point l’idéologie du genre à une forte emprise sur les divers paliers gouvernementaux, c’est de voir avec quel aveuglement les principes de celle-ci sont appliqués sans souci de vérité ou de de sécurité. Un tueur-violeur se déclare « transgenre » ? Pas de problème ! On vous le transfèrera dans une prison pour femme…

Dans le cas particulier de Michael Williams, surnommé « Pyro », selon LifeSiteNews :

Pour situer le contexte, Williams est l'un des meurtriers qui violèrent Nina Courtepatte, alors âgée de 13 ans, sur un terrain de golf près d'Edmonton, quand celui-ci avait 17 ans. Après le viol, la jeune fille fut étranglée, poignardée, puis massacrer avec un marteau. C'est alors que Williams a gagné son surnom en essayant de la brûler.

Ses crimes étaient si odieux que même le système de justice pénale canadien, si molasson, prononça contre lui une peine de prison à vie pour majeur, et le juge Franklin fit remarquer : « Elle est morte dans les ténèbres de la nuit en un lieu froid et hostile, sans aucun réconfort, mais plutôt en compagnie de Michael Williams et d'autres individus qui l'ont tourmentée, battue et violée dans un acte de violence vicieuse et insensée... Michael Williams ne semblait rien ressentir. »

Et le juge, lors de son jugement en 2007, ne l’a pas trouvé très repenti :

Lors du procès pour meurtre de Williams en 2007, le juge Janet Franklin fit remarquer qu'il ne ressentirait peut-être pas de remords avant des décennies.

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Selon un nouveau sondage la majorité des Canadiens veut interdire les avortements tardifs et sélectifs

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : bearfotos/freepik

Précisons pour le contexte qu’il n’y a pas de loi au Canada pour interdire ou réglementer l’avortement, cela depuis la décision R. c. Morgentaler de la Cour suprême en 1988, et que donc rien n’empêche une femme de se faire avorter jusqu’au moment de la naissance, aussi débile ceci fût-il, à moins que les médecins refusent de le pratiquer. Selon LifeSiteNews :

Un récent sondage montre qu’une majorité de Canadiens est opposée à l’avortement tardif, et sélectif en fonction du sexe, et serait favorable à l’interdiction de ces pratiques. Le pays ne dispose actuellement d’aucune loi régissant l’avortement, permettant à une mère d’avorter [non il]légalement* pendant les 9 mois de sa grossesse, quelle qu’en soit la raison.

En ce qui concerne l’avortement sélectif, le sondage montre qu’une « vaste majorité (84 %) s’oppose à la légalisation de l’avortement si cela vise les bébés d’un certain sexe ».

Et sept sur dix (70 %) « Les Canadiens pensent que l’avortement devrait être généralement illégal au cours des trois derniers mois de la grossesse ».

Les gros médias disent que les sondages montrent que les Canadiens donnent très peu dans les opinions favorables à la vie, mais ce n’est pas ce qu’indiquent les résultats réels des sondages.

Pro-choix, mais… :

Alors que le sondage a révélé que 70 % des Canadiens « trouvent l’avortement acceptable », que 62 % « s’identifient comme étant pro-choix » et que 71 % pensent qu’une femme « devrait pouvoir obtenir un avortement si elle décide qu’elle en veut un, quelle qu’en soit la raison ». Mais lorsqu’on les amène sur le terrain de l’avortement tardif et de l’avortement sélectif, les chiffres se métamorphosent notamment.

[...]

Mené par le groupe de sondage DART & Maru/Blue, le sondage a sélectionné au hasard 1 515 adultes canadiens de chaque province, à l’exception de l’Île-du-Prince-Édouard et de tous les territoires canadiens.

[...]

Les données du sondage suggèrent un fort soutien à l’avortement des bébés en début de grossesse, avec seulement 14 % estimant que l’avortement devrait être illégal pendant le premier trimestre, mais 34 % estimant que la vie commence dès la conception.

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