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Coronavirus, vaccin et stérilisation

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Savez-vous quelle panacée universelle Bill Gates nous propose, quand il l’aura fait concocter ? Un vaccin contre le coronavirus.

Ce milliardaire prétend que la vie ne pourra pas retourner à la « normale », c’est-à-dire à ce qu’elle était avant les bouleversements causés par le coronavirus, ou ce qu’on en fait, sans cet incontournable préventif.

Et ce fameux vaccin ne sera pas « prêt » avant dix-huit mois au minimum, ce qui laisse pas mal de temps pour de nombreux gouvernements de mettre leur pays sens dessus dessous et leur économie tout à fait en l’air. Selon LifeSiteNews :

« Notre fondation travaille beaucoup sur les diagnostics et les vaccins », déclare Gates. Les producteurs de vaccins sont ceux « qui peuvent vraiment remettre les choses en place sans que nous ayons à nous soucier des grands rassemblements publics ».

Selon M. Gates, « il y a beaucoup de dialogue entre les experts de notre fondation et le gouvernement », au sujet du retour à la vie et aux activités normales après que la pandémie fût mise sous contrôle.

« Quelles activités, comme les écoles, présentent un grand avantage et peuvent être menées de manière à ce que le risque de transmission soit très faible ? Et quelles activités, comme les rassemblements de masse, peuvent être — dans un certain sens — plus facultatives ? Et ainsi de suite tant que tous ne sont pas largement vaccinés, elles peuvent ne pas revenir du tout ».

Si tel était le cas, ce qui ne l’est sûrement pas, plusieurs gouvernements n’instaureront-ils pas une obligation de se faire vacciner, d’abord pour le coronavirus, puis pour d’autres maladies ?

Non seulement l’utilité des vaccins est-elle discutable, surtout quand on considère toutes les cochonneries que l’on met dedans, comme l’aluminium pour affaiblir le système immunitaire afin que celui-ci accepte plus facilement le vaccin, mais parce que le but des fabricants de vaccins n’est pas forcément de combattre la seule maladie, mais de poursuivre d’autres objectifs… comme la réduction de la population :

Gates, partisan de l’avortement et du contrôle de la population, a parlé de l’utilisation de vaccins dans le passé pour réduire la population mondiale.

« Aujourd’hui, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous la réduisons [la population] de 10 ou 15 % », a-t-il déclaré lors d’une conférence TED (Technology, Entertainment, Design) en 2010.

Évidemment on pourrait se demander quel est le rapport direct entre les vaccins et la réduction de la population, si ce n’est justement à cause de ce que l’on met dedans, comme dans ce vaccin contre le tétanos néonatal, fourni par l’OMS et injecté à la population féminine du Kenya par le ministère de la Santé du Kenya en 2014, qui contenait l’hormone chorionique gonadotrope humaine ou hCG (de l’anglais : human chorionic gonadotropin). Or, ouvrons une large parenthèse, l’hCG est une « hormone féminine produite pendant la grossesse, qui, si elle est injectée avec des traces de tétanos, fera produire au corps des anticorps. De la même façon que ces anticorps réagiront à une véritable infection au tétanos, ils réagiront à une grossesse, provoquant une fausse couche », rapporte un deuxième article de LifeSiteNews, autrement dit un avortement voulu si le but recherché était de provoquer la fausse-couche.

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Mais la présence de cette hormone dans un vaccin ne peut être que voulue puisque, comme l’explique le Dr Stephen Karanja directeur de l’Association des médecins catholiques du Kenya, « l’hormone, le Beta hCG, n’est ni un sous-produit ni une composante nécessaire à la fabrication du vaccin antitétanique. Le fait qu’elle fasse partie du vaccin n’est rien d’autre qu’un plan visant à rendre de force nos femmes incapables de porter des enfants ».

C’est l’Association des médecins catholique du Kenya qui a fait tester des échantillons de ce vaccin, y découvrant ainsi la présence de l’hCG. Et ce vaccin a été « administré à 2,3 millions de filles et de femmes par l’Organisation mondiale de la santé et l’UNICEF », d’après un troisième article de LifeSiteNews.

Chose curieuse, qui a mis la puce à l’oreille des médecins catholiques, c’est le nombre d’injections de ce vaccin, typique de certaines campagnes de vaccinations, ces vaccins contenant justement « l’hormone chorionique gonadotrope humaine (hCG), synthétisée par l’OMS en 1992 », affirme le Dr Muhame Ngare du Mercy Medical Centre de Nairobi, selon LifeSiteNews :

Le Dr Ngare a déclaré à LifeSiteNews que plusieurs choses ont alerté les médecins du vaste système médical de l’Église, composé de 54 hôpitaux, 83 centres de santé et 17 écoles de médecine et d’infirmerie, sur la possibilité que la campagne antitétanique soit en même temps secrètement une campagne antifertilité.

Pourquoi, se demandent-ils, cette campagne comporte-t-elle cinq piqûres sur plus de deux ans, pourquoi n’est-elle appliquée qu’aux femmes en âge de procréer, et pourquoi n’est-elle pas menée sans la fanfare publicitaire habituelle du gouvernement ?

« Habituellement, nous donnons une série de trois injections sur deux ou trois ans, et nous la donnons à toute personne qui se présente à la clinique avec une plaie ouverte, hommes, femmes ou enfants », déclare le Dr Ngare. « Si cette série est destinée à inoculer des enfants dans l’utérus, pourquoi la donner à des filles à partir de 15 ans ? On ne peut pas se marier avant 18 ans. La façon habituelle de vacciner les enfants est d’attendre qu’ils aient six semaines ».

Il précise en outre : « Nous savions que la dernière fois que cette vaccination de cinq injections a été employée, c’était au Mexique en 1993 et au Nicaragua et aux Philippines en 1994 », a déclaré le Dr Ngare. « Il n’a provoqué des fausses couches que trois ans plus tard ». Mais c’était plutôt le FNUAP et l’USAID qui étaient impliqués dans ces campagnes de vaccinations-ci.

Évidemment, le gouvernement kényan et l’OMS nient la présence de hCG dans lesdits vaccins. « Ce à quoi répond le Dr Ngare : “Soit nous mentons, soit le gouvernement ment. Mais demandez-vous : ‘Quelle raison les médecins catholiques ont-ils de mentir ?’” Le Dr Ngare ajoute : “L’Église catholique est ici au Kenya fournissant des soins et vaccinant depuis 100 ans, soit depuis plus longtemps que le Kenya n’existe en tant que pays” », rapporte LifeSiteNews.

Les évêques catholiques du Kenya qui ont un vaste système médical composé de 54 hôpitaux, 83 centres de santé et 17 écoles de médecine et d’infirmerie, et qui soutiennent l’Association des médecins catholiques du Kenya, n’ont évidemment pas intérêt à mentir, surtout s’ils croient (hélas) dans l’utilité des vaccins en général.

Par la suite, le gouvernement du Kenya a lancé une « enquête » sur la teneur de ce vaccin, formant un comité composé d’experts médicaux catholiques, du gouvernement et indépendants. Seulement, quand le ministère de la Santé apporta les résultats de ses tests, ils différaient totalement de ceux apportés par les médecins des évêques catholiques, les premiers ne rapportant aucune trace d’hCG et les seconds en montrant tous des traces. Le Dr Tabu, du Groupe technique de l’immunisation du ministère de la Santé, remit donc en cause (entre autres) la validité des tests, se demandant à quelles sortes d’essais avaient été subis les échantillons. Selon le deuxième article de LifeSiteNews :

Mais les médecins catholiques kényans ont déclaré par courriel à LifeSiteNews que le gouvernement ne laisse personne obtenir des échantillons du vaccin pour réaliser des tests — ceux utilisés ont été obtenus subrepticement par des catholiques dévoués. Depuis le début, les médecins voulaient effectuer des tests conjointement avec le gouvernement, mais n’ont pas pu obtenir de coopération.

Le Dr Karanja a également déclaré au comité que les tests étaient simples et pouvaient être effectués dans n’importe quel laboratoire. Le Dr Pukose a encore sapé l’argument de Tabu, en faisant remarquer que le ministère de la Santé et les catholiques avaient soumis les résultats du laboratoire du Lancet Kenya, et ce, avec des résultats contradictoires.

Fermons donc cette trop large parenthèse et revenons à nos choux, ou plutôt à Bill Gates et ses petits vaccins. Selon le premier article de LifeSiteNews :

Gates a déclaré lors de l’entretien avec CBS qu’il existe actuellement « sept potentiels vaccins ou plus » qui semblent prometteurs pour lutter contre la pandémie de COVID-19. Afin d’avoir des milliards de doses du vaccin prêtes à être utilisées dès que possible, M. Gates propose de construire des usines produisant en masse chacun des vaccins potentiels pendant que les tests sont effectués.

En fin de compte, « seuls deux des vaccins seront probablement serons utilisés », admet-il, en soulignant les risques énormes qu’implique la réalisation de son plan.

Seulement, en plus du danger que l’on rajoute quelques molécules douteuses dans ces vaccins suspects, certains d’entre eux emploient des lignées de cellules de bébés avortés dans le processus de leur fabrication, non forcément qu’ils en contiennent eux-mêmes. Selon LifeSiteNews :

En ce qui concerne la création de vaccins, LifeSiteNews a rapporté qu’un des principaux vaccins contre le coronavirus en cours de développement utilise des lignées cellulaires de fœtus avortées.



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