Voici comment le darwinisme athée a conduit l’Occident à l’âge sombre de l’eugénisme
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
6 novembre 2023 (LifeSiteNews) — En août, Tristin Hopper du National Post a publié un essai informatif intitulé The time when Canada’s elite wanted to sterilize "insane" and disabled people [L’époque où l’élite canadienne voulait stériliser les « fous » et les handicapés], un récit qui met en garde contre la tendance à suivre les modes du moment. L’histoire de l’eugénisme, que j’ai décrite en détail dans mon livre de 2016 The Culture War, est un chapitre largement oublié de l’histoire de l’Occident — mais comme l'eugénisme revient sous le couvert de l’avortement et de l’euthanasie, cette histoire mérite une fois de plus un examen plus approfondi.
Même si les humanistes aimeraient protester contre ce fait, c’est l’essor de la théorie évolutionniste de la sélection naturelle, propagée par Charles Darwin et ses acolytes, qui a commencé à éroder la croyance fondamentale selon laquelle toute vie humaine a une valeur intrinsèque. Après tout, si Dieu n’existe pas, personne n’a été créé à son image. Si Dieu n’existe pas, certaines personnes sont, par définition, des accidents évolutionnaires défectueux. S’il n’y a pas de Dieu, il n’y a aucune raison de supposer que tous les êtres humains ont de la valeur et sont égaux. En fait, la théorie même de la sélection naturelle évolutive exclut l’idée d’égalité. Dans la vision darwinienne de la race humaine, l’égalité ne peut être autre chose qu’une faible construction sociale.
Lire la suiteUn nouveau film soutient que l’OMS s’est livrée à une « expérience de contrôle de la population » sous couvert d’un programme de vaccination
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 juin 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) — Children’s Health Defense (CHD) a collaboré avec le cinéaste et activiste britannique Dr Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. pour produire un nouveau film qui vise à prouver que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée dans une « expérience de contrôle de la population » « menée sous le couvert d’un programme de vaccination » et qui a abouti « à la stérilisation de femmes africaines à leur insu et sans leur consentement ».
Selon un communiqué de presse publié par CHD, le film de 30 minutes intitulé « Infertility : A Diabolical Agenda » sera diffusé en avant-première le vendredi 10 juin à 14 heures sur CHD.TV, suivi d’une table ronde spéciale avec Dr Wakefield, Dr Christiane Northrup, Dr Jim Thorp, Dr Brian Hooker et Dr Liz Mumper.
Les invités sont censés « discuter de l’augmentation spectaculaire des problèmes d’infertilité dans le monde entier ».
« C’est avec une ironie opportune que l’Organisation mondiale de la santé révèle ses vraies couleurs alors qu’elle tente désespérément de prendre le contrôle de la santé mondiale », a déclaré Wakefield, le réalisateur du film, dans le communiqué de presse partagé avec LifeSiteNews.
« Cette histoire est un vrai “WHO” dunnit », a-t-il plaisanté [« Qui l’a fait » « L’OMS l’a fait », double jeu de mots avec WHO (qui) = OMS].
Selon CHD, le nouveau film « révélera la vérité derrière la collaboration infâme de l’OMS avec le gouvernement kényan, dans le cadre de laquelle un vaccin expérimental contre le tétanos, qui s’est avéré par la suite contenir l’hormone de grossesse βhCG, a été administré à des millions de femmes africaines en âge de procréer sans qu’elles le sachent ».
Les groupes pro-vie et les dirigeants catholiques s’inquiètent depuis longtemps du fait que les programmes de vaccination antitétanique parrainés par l’OMS, en particulier ceux qui ciblent spécifiquement les femmes en âge de procréer, pourraient être utilisés comme un moyen de stérilisation.
Au début des années 1990, les soupçons concernant les programmes mondiaux de vaccination contre le tétanos avaient conduit l’organisation pro-vie américaine Human Life International à demander une enquête du Congrès sur le programme de vaccination contre le tétanos en cours au Mexique, disant que ces médicaments pouvaient rendre les femmes vaccinées infertiles.
Lire la suiteUn démocrate parraine un projet de loi obligeant les garçons à subir une vasectomie à la puberté
Mickey Dollens.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Pour protester contre la législation qui protège les bébés à naître contre l’avortement, un chef démocrate de l’Oklahoma a proposé la semaine dernière un projet de loi visant à forcer les garçons à subir une vasectomie.
Townhall rapporte que le chef de la minorité de la Chambre des représentants de l’Oklahoma, Mickey Dollens, représentant démocrate d’Oklahoma City, a déclaré qu’il avait suggéré ce projet de loi « fou » sur la vasectomie pour montrer à quel point il est « ridicule » d’interdire les avortements.
« Je vous invite à corédiger un projet de loi que j’envisage pour l’année prochaine et qui obligerait chaque homme, dès la puberté, à subir une vasectomie obligatoire qui ne serait réversible que lorsqu’il aurait atteint une certaine stabilité financière et émotionnelle », a déclaré M. Dollens la semaine dernière après l’adoption par l’Assemblée législative de l’Oklahoma d’un projet de loi interdisant les avortements dans l’État.
Le gouverneur Kevin Stitt, un républicain pro-vie, devrait signer le projet de loi. Si les tribunaux ne la bloquent pas, la législation sauverait chaque année près de 4 000 bébés à naître de l’avortement.
Toutefois, M. Dollens a ignoré le véritable objectif du projet de loi, affirmant au contraire qu’il s’agit de « s’immiscer » dans le corps des femmes dans une interview accordée à MSNBC. Il a déclaré qu’il n’était pas sérieux dans sa proposition de vasectomie forcée, mais qu’il voulait faire un point sur l’autonomie corporelle.
« Pour combattre le feu par le feu, j’ai fait une proposition ironique de vasectomie obligatoire pour montrer à quel point il est absurde et ridicule de réglementer l’autonomie corporelle d’une personne », a-t-il déclaré à Katie Phang, animatrice de MSNBC. « Je tiens à dire publiquement que je ne crois pas que le gouvernement doive réglementer le système reproductif de quiconque, mais dans ce cas, il semble que cela ait vraiment trouvé un écho... ».
Lire la suiteL’impact des dangereux Objectifs de développement durable des Nations unies sur les enfants et la famille, et leur déplorable approbation par le Vatican
Par Matthew McCusker (Society for the Protection of Unborn Children) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Kostia/AdobeStock
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, approuvés par les États membres le 25 septembre 2015, comprennent des points précis qui appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » d’ici 2030. Ce terme est entendu par les organes de l’ONU, de nombreux gouvernements internationaux et des agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception. Ces objectifs favoriseront également l’imposition de « programmes complets d’éducation sexuelle » nuisibles. Dans ce document d’information, nous expliquerons comment l’approbation des ODD par le pape François en septembre 2016 et le soutien antérieur offert à ces derniers par d’autres organes du Saint-Siège ont intensifié la menace que représentent les ODD pour les membres les plus vulnérables de la famille humaine.
1. Les Objectifs de développement durable des Nations unies appellent à un « accès universel à la santé sexuelle et reproductive »
Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies consistent en 17 objectifs et 169 points qui doivent être atteints d’ici 2030.
L’objectif 3 des ODD est d’« Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tout âge ».
Le point 7 de cet objectif appelle les États-nations à :
« assurer l’accès universel aux services de soins de santé sexuelle et reproductive, notamment pour la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux ».
L’objectif 5 des ODD consiste à « Réaliser l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles. »
Le point 6 de cet objectif indique que les nations doivent :
« Assurer l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation, comme convenu conformément au Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Beijing, ainsi qu’aux documents issus de leurs conférences de révision. » [1]
2. L’expression « accès universel à la santé sexuelle et reproductive » inclut l’accès universel à l’avortement et à la contraception.
L’expression ci-après, « santé sexuelle et reproductive et droits reproductifs » et d’autres formulations similaires sont couramment utilisées par les organes des Nations Unies et par de nombreux gouvernements nationaux et agences internationales pour désigner, entre autres, l’accès à l’avortement et à la contraception, y compris la contraception dont le mode d’action peut être abortif. Les mouvements de contrôle de la population et de « droits reproductifs » ont toujours voulu que ces termes incluent l’avortement, ainsi que la contraception, et ils les utilisent systématiquement dans ce sens ; il est toutefois important de noter que ces mouvements n’ont jamais réussi à établir un « droit à l’avortement » en droit international. [2]
Lire la suiteLa Chine a mené la politique de l’enfant unique durant des décennies, à présent les couples hésitent à avoir plus d’enfants
Par Mary Szoch et Arielle del Turco (LifeSiteNews) — Photo : PxHere
2 juin 2021 (Family Research Council) — Lundi dernier, dans le but d’inverser le taux de natalité en baisse rapide de la Chine, les autorités chinoises ont annoncé l’extension de la politique nationale des deux enfants à trois. La politique des trois enfants est la troisième itération de la politique chinoise de l’enfant unique, instituée en 1979, dans le but de ralentir la croissance démographique. La politique de l’enfant unique a été menée avec une brutalité effrénée et s’est avérée trop efficace.
Dans le cadre du mandat de l’enfant unique, les femmes chinoises étaient autorisées à avoir seulement un enfant. Les femmes enceintes d’un second bébé ont été forcées d’avorter et ont ensuite été stérilisées. Celles qui ont réussi à se cacher jusqu’à la naissance du deuxième enfant ont été condamnées à une amende, rétrogradées au travail et rejetées socialement. Les deuxièmes enfants des familles ont été exclus des coupons de rationnement, laissant les familles qui ont défié la politique en danger de famine. Dans certaines régions du pays, des responsables gouvernementaux ont séparé les seconds enfants de leurs familles peu de temps après leur naissance. Sans surprise, la politique a empêché 400 millions de naissances et a provoqué une baisse drastique de la population chinoise.
Aujourd’hui, les dirigeants chinois observent une population vieillissante et une jeune main-d’œuvre en diminution, résultat direct de la campagne visant à limiter les naissances. Prévoyant la catastrophe économique imminente et espérant grandement maintenir l’avantage démographique du pays, les décideurs espèrent redresser la barre avec le dernier assouplissement des restrictions à la naissance. Le gouvernement chinois pense qu’il peut changer de politique et que la réalité des tendances démographiques changera de la même façon du jour au lendemain. Cela sous-estime grossièrement les dommages causés par la politique de l’enfant unique au cours de plus de trois décennies.
Lire la suiteLa Chine, après une forte chute de natalité due à sa politique malthusienne, autorise maintenant 3 enfants par famille
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dragon Pan/Unsplash
Beijing, 31 mai 2021 (LifeSiteNews) — Les dirigeants communistes de Chine ont déclaré à leur population qu’elle pouvait désormais avoir trois enfants, renversant ainsi la politique de l’enfant unique en vigueur depuis bien longtemps, devenue ensuite il y a quelques années une politique des deux enfants. Le Parti communiste chinois, qui est synonyme de gouvernement chinois, a fait cette annonce après que les données du recensement ont révélé que le taux de natalité continue de chuter.
Préoccupée par le grisonnement de sa population à majorité ethnique, la Chine avait assoupli en 2016 sa tristement célèbre politique de l’enfant unique pour autoriser deux enfants. Cependant, malgré une petite hausse immédiate, cela n’a pas conduit à une tendance durable.
Selon la BBC, un recensement publié au début du mois a montré qu’« environ 12 millions » de bébés sont nés en Chine l’année dernière, soit le plus faible nombre de naissances enregistré depuis les années 1960. Ce chiffre est en forte baisse par rapport aux 18 millions de bébés nés en Chine en 2016.
David Mulroney, ancien ambassadeur canadien en Chine, a déclaré à LifeSiteNews qu’il n’y a « aucun gagnant » après la tentative malthusienne de la Chine, à partir de 1978, d’arrêter la croissance de sa population.
« La guerre de quatre décennies de la Chine contre la famille se termine sans aucun bénéfice », a déclaré Mulroney. « Pendant quarante ans, l’État a fait violence à son peuple, né et à naître, au nom du contrôle de la population, pour en arriver maintenant à un désastre démographique croissant. »
Lire la suiteLa Chine recourt-elle à l’avortement et à la stérilisation forcés pour exterminer une minorité ethnique ?
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pikist
En tant que seul témoin occidental de la brutale politique de l’enfant unique du parti communiste chinois (PCC), j’applaudis lorsqu’elle prit fin en 2016.
Mais ce que fait le PCC maintenant pour réduire la natalité des minorités ouïghoure et kazakhe dans la partie occidentale de la Chine est sans doute pire. Bien que l’application de cette politique sociale soit identique à celle de 1979, dont les mesures comprenaient l’avortement et la stérilisation forcés, pratiques horrifiantes que je décrivis pour la première fois en 1980 (pratiques que le Tribunal de Nuremberg avait qualifiées de crimes contre l’humanité), il y a ici une différence saisissante : ces pratiques ne sont imposées qu’aux minorités ethniques, à savoir les Ouïghours turcophones de la province du Xinjiang.
Oui, vous avez bien lu. Ces dernières années, alors que les dirigeants chinois encouragent les femmes chinoises de l’ethnie majoritaire han à avoir plus d’enfants, ils ordonnent aux femmes ouïghoures d’en avoir moins. Des centaines de milliers de femmes ouïghoures ont été contraintes à avorter, à se faire stériliser, ou à porter un stérilet, afin de réduire la natalité ouïghoure. Celles qui résistent sont stérilisées de force et condamnées à des camps de concentration.
Cette nouvelle politique du parti communiste chinois est en fait un génocide, bien que d’une façon plus lente : la Chine n’extermine pas le peuple ouïghour du jour au lendemain, par exemple en l’enfermant dans des chambres à gaz. Mais, en empêchant la prochaine génération de naître, elle parviendra à la même fin : une réduction considérable de cette population ancienne, qui pourra être alors plus facilement dispersée et assimilée.
Jusqu’à récemment, nous n’avions que des comptes rendus anecdotiques de cette nouvelle campagne de régulation des naissances. Par exemple, une femme ouïghoure nommée Mihrigul Tursun témoigna en 2018 qu’elle et d’autres femmes dans un camp de concentration chinois furent chimiquement stérilisées. Une autre ancienne détenue, Rakhima Senbay, déclara s’être fait poser un stérilet contre sa volonté (Washington Post, 5 octobre 2019). Une troisième, Zumrat Dawut, dut payer une lourde amende et se faire stériliser après avoir eu un troisième enfant (Washington Post, 17 novembre 2019).
Jusqu’à présent, nous ne connaissions pas avec certitude l’étendue et l’ampleur de l’application de cette nouvelle politique menée par le gouvernement central — le chercheur Adrian Zenz vient de publier une enquête qui répond à ces questions.
Maintenant, nous savons maintenant que la campagne de régulation des naissances en cours dans le Xinjiang est encore plus coercitive que celle imposée depuis des décennies à la majorité de la population chinoise han. Les documents du gouvernement chinois obtenus par Dr Zenz indiquent que la sanction pour infraction au règlement sur la régulation des naissances est l’internement dans l’archipel des camps de concentration du Xinjiang. Aussi sévère que fût la campagne précédente, les contrevenants étaient soumis à de fortes amendes voire à la stérilisation, mais pas à de longues peines de prison. Les femmes ouïghoures le sont.
Lire la suiteCoronavirus, vaccin et stérilisation
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Savez-vous quelle panacée universelle Bill Gates nous propose, quand il l’aura fait concocter ? Un vaccin contre le coronavirus.
Ce milliardaire prétend que la vie ne pourra pas retourner à la « normale », c’est-à-dire à ce qu’elle était avant les bouleversements causés par le coronavirus, ou ce qu’on en fait, sans cet incontournable préventif.
Et ce fameux vaccin ne sera pas « prêt » avant dix-huit mois au minimum, ce qui laisse pas mal de temps pour de nombreux gouvernements de mettre leur pays sens dessus dessous et leur économie tout à fait en l’air. Selon LifeSiteNews :
« Notre fondation travaille beaucoup sur les diagnostics et les vaccins », déclare Gates. Les producteurs de vaccins sont ceux « qui peuvent vraiment remettre les choses en place sans que nous ayons à nous soucier des grands rassemblements publics ».
Selon M. Gates, « il y a beaucoup de dialogue entre les experts de notre fondation et le gouvernement », au sujet du retour à la vie et aux activités normales après que la pandémie fût mise sous contrôle.
« Quelles activités, comme les écoles, présentent un grand avantage et peuvent être menées de manière à ce que le risque de transmission soit très faible ? Et quelles activités, comme les rassemblements de masse, peuvent être — dans un certain sens — plus facultatives ? Et ainsi de suite tant que tous ne sont pas largement vaccinés, elles peuvent ne pas revenir du tout ».
Si tel était le cas, ce qui ne l’est sûrement pas, plusieurs gouvernements n’instaureront-ils pas une obligation de se faire vacciner, d’abord pour le coronavirus, puis pour d’autres maladies ?
Non seulement l’utilité des vaccins est-elle discutable, surtout quand on considère toutes les cochonneries que l’on met dedans, comme l’aluminium pour affaiblir le système immunitaire afin que celui-ci accepte plus facilement le vaccin, mais parce que le but des fabricants de vaccins n’est pas forcément de combattre la seule maladie, mais de poursuivre d’autres objectifs… comme la réduction de la population :
Gates, partisan de l’avortement et du contrôle de la population, a parlé de l’utilisation de vaccins dans le passé pour réduire la population mondiale.
« Aujourd’hui, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous la réduisons [la population] de 10 ou 15 % », a-t-il déclaré lors d’une conférence TED (Technology, Entertainment, Design) en 2010.
Évidemment on pourrait se demander quel est le rapport direct entre les vaccins et la réduction de la population, si ce n’est justement à cause de ce que l’on met dedans, comme dans ce vaccin contre le tétanos néonatal, fourni par l’OMS et injecté à la population féminine du Kenya par le ministère de la Santé du Kenya en 2014, qui contenait l’hormone chorionique gonadotrope humaine ou hCG (de l’anglais : human chorionic gonadotropin). Or, ouvrons une large parenthèse, l’hCG est une « hormone féminine produite pendant la grossesse, qui, si elle est injectée avec des traces de tétanos, fera produire au corps des anticorps. De la même façon que ces anticorps réagiront à une véritable infection au tétanos, ils réagiront à une grossesse, provoquant une fausse couche », rapporte un deuxième article de LifeSiteNews, autrement dit un avortement voulu si le but recherché était de provoquer la fausse-couche.
Lire la suiteLa Chine communiste ment-elle sur son nombre de naissances ? Elle a toutes les raisons de le faire…
Par Steven Mosher ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 22 janvier 2020 (LifeSiteNews) ― Le Bureau national des statistiques de Chine vient d’annoncer que 14, 65 millions de bébés sont nés en Chine l’année dernière. Il a également affirmé que la population de la Chine a continué de s’accroître, atteignant 1,4 milliard en fin de l’année 2019, depuis les 1, 39 milliards de l’année précédente.
Les deux affirmations sont probablement fausses. Le nombre réel de naissances est plus bas, probablement beaucoup plus. Quant à la population du pays le plus peuplé de la planète, elle n’a pas non plus seulement cessé de croître, mais elle peut en fait être en train de diminuer.
Alors, pourquoi le Parti communiste insiste-t-il pour gonfler les chiffres ?
Parce que faire autrement reviendrait à admettre que l’une de ses politiques économiques emblématiques des quarante dernières années, la politique de l’enfant unique, pourrait avoir compromis fatalement l’avenir de la Chine. Pendant des décennies, le Parti a justifié ses politiques brutales de limitation des naissances, qui comprenait l’arrestation, l’emprisonnement et l’avortement forcé de dizaines de millions de femmes, comme condition préalablement nécessaire à la croissance économique. « La réglementation stricte des naissances est le seul moyen de sortir de la pauvreté », été plus ou moins la déclaration du Parti.
Mais alors que le Parti célébrait l’élimination de 400 millions d’êtres humains, un hiver démographique descendit lentement sur le pays qu’il a mal gouverné. La population chinoise vieillit maintenant plus rapidement que n’importe quelle population de l’histoire de l’humanité, son taux de natalité est en chute libre et sa croissance économique future est en péril.
L’augmentation artificielle des chiffres de naissances et de la population n’est rien de plus que l’acharnement du Parti à cacher ses échecs et échapper à sa responsabilité.
Bien sûr, même si la revendication officielle de 14, 65 millions de naissances en 2019 était vraie, ce serait encore le plus faible nombre de naissances depuis 1961, une époque où la Chine était en proie à la pire famine de l’histoire de l’humanité. Les communes populaires étaient anéanties, les récoltes avaient été très mauvaises et des centaines de millions de Chinois moururent de faim. De 1960 à 1962, période que le Parti appelle aujourd’hui les « trois années difficiles », on estime que 42, 5 millions de personnes sont mortes de faim. Difficile, en effet.
Lire la suite11 000 scientifiques exigent un contrôle de la population pour «urgence climatique»
Par Claire Chretien ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Capture d'écran d'une vidéo du CELJ
5 novembre 2019 (LifeSiteNews) ― 11 000 scientifiques ont signé un article déclarant que « la population mondiale doit être stabilisée et, idéalement, progressivement réduite », car une « urgence climatique » menace « le destin de l'humanité ».
Rédigé par l'Alliance of World Scientists et rempli d'un langage alarmiste et apocalyptique, l'article a été publié aujourd'hui dans BioScience.
« Toujours augmentant d'environ 80 millions de personnes par an, soit plus de 200 000 personnes par jour... la population mondiale doit être stabilisée, et, idéalement, progressivement réduite, dans un cadre qui assure l'intégrité sociale », ont écrit les auteurs.
« Il existe des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l'homme tout en abaissant les taux de fécondité et en atténuant l'impact de la croissance démographique sur les émissions de gaz à effet de serre et la perte de biodiversité. Ces politiques rendent les services de planification familiale accessibles à tous, éliminent les obstacles à leur accès et accomplissent une pleine équité entre les sexes, y compris l'éducation primaire et secondaire comme norme mondiale pour tous, en particulier les filles et les jeunes femmes », poursuivaient-ils, citant une étude réalisée par John Bongaarts, un activiste en faveur du contrôle démographique qui a pris la parole au Vatican en 2017.
Le PDG et milliardaire de Tesla, Elon Musk, a cependant publiquement déclaré que le « plus grand problème » auquel le monde est confronté n'est pas l'explosion démographique, mais l'« effondrement de la population » dû à la chute libre des taux de natalité.
« La plupart des gens pensent que nous sommes trop sur la planète, mais en fait c'est une vision dépassée », déclarait M. Musk lors d'un débat en direct en direct le 19 août avec Jack Ma, président d'Alibaba Group Holding Ltd à la World Artificial Intelligence Conference de Shanghai.
Depuis des années déjà, les démographes mettent en garde les pays occidentaux, dont le taux de natalité est inférieur au taux de remplacement, contre ce que certains appellent « l'hiver démographique ». Dans un tel effondrement, les personnes âgées sont plus nombreuses que les jeunes, ce qui crée de graves déséquilibres. Les économies en souffrent. Certaines pourraient même s'écrouler. Le résultat pourrait avoir un impact négatif sur certaines des principales infrastructures — comme les systèmes financier et de soins de santé — qui contribuent à la vie de la démocratie occidentale.
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