La Tanzanie ne veut pas des vaccins covid (et ne confine d’ailleurs absolument pas)
Par Nsango ya Bisu (Médias Presse Info)
C’est passé quasiment inaperçu en Europe mais la ministre tanzanienne de la Santé Dorothy Gwajima a annoncé le 1er février que le pays n’a pas besoin de vaccins et « ne prévoit pas d’en recevoir », au grand dam de Bill et Melinda Gates et de l’ensemble de leurs organismes satellites.
Mme Gwajima a expliqué que la Tanzanie est un pays sûr. La ministre de la Santé a simplement rappelé à la population l’importance de l’hygiène de base, notamment de fréquemment se laver les mains*, de manger des aliments sains, et d’utiliser des remèdes naturels comme le pays peut facilement en procurer.
Quelques jours auparavant, le président catholique John Magufuli avait qualifié les vaccins de dangereux et d’inutiles en disant que « Dieu protégera » la nation.
En mars, le président Magufuli avait décidé de maintenir les églises ouvertes et encourageait les Tanzaniens à fréquenter les lieux de culte et à travailler normalement.
La Tanzanie (60 millions d’habitants) est l’un des rares pays au monde qui ne participent pas à l’hystérie du covid-19 et qui ne publient pas de « données sur les infections ».
*C'est ce que disait l'inénarrable Horacio Arruda quand il parlait de l'inutilité des masques, si ce n'est de leur dangerosité, au début de l'année 2020... — A. H.
Une étude dévoile les possibles risques d’infertilité liés aux vaccins covid
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Boris Gonzales/Pixabay
Des voix scientifiques s’élèvent contre les vaccins anti-covid pas suffisamment testés et aux conséquences à moyen et long termes inconnues. Sont pointés du doigt également des probables risques d’infertilité. Une nouvelle étude argentine jette des ombres et des doutes sur cette question. La protéine spike est similaire la protéine syncytine, qui est produite pour le développement du placenta.
Depuis la première annonce des vaccins anti Covid, des voix se sont fait entendre dans la communauté scientifique appelant à prêter attention aux éventuels problèmes concernant la fertilité que les vaccinés pourraient subir. Bien sûr, ces voix ont été immédiatement étouffées par la propagande pro-vaccin habituelle qui ne peut même pas admettre à distance que les vaccins ne sont pas la panacée face à la covid comme à d’autres maux.
Et même si de nombreuses personnes pensent qu’en fait il est un peu curieux qu’un vaccin puisse avoir pour effet de rendre les hommes ou les femmes stériles, ce ne serait pourtant pas la première fois qu’à travers la pratique de la vaccination de masse de vraies mesures malthusiennes sont mises en place pour contrôler les naissances.
Lire la suite« Le cas le plus célèbre, pour ceux qui ont la mémoire courte, a eu lieu en Afrique et a été déterré en février 2015, rappelle un journaliste qui s’intéresse de cette question, Paolo Gulisano. La Conférence épiscopale du Kenya a dénoncé que 30 % des flacons de vaccin antitétanique utilisés lors d’une campagne parrainée et promue par l’OMS et l’Unicef, l’année précédente, contenait du Hcg, l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, une hormone qui peut empêcher la grossesse [lorsqu'administrée sous la forme d'un vaccin*]. Les faits ont été mis au jour par une commission scientifique, mandatée par l’Église du Kenya et le ministère kényan de la Santé pour vérifier si dans les vaccins contre le tétanos maternel et néonatal utilisés durant la campagne était présente cette hormone capable de faire de ces vaccins un outil clandestin de régulation des naissances. La commission d’enquête a confirmé les faits, mais l’OMS et l’Unicef n’ont jamais répondu de ces responsabilités. »
Biden relancera le financement de l’avortement à l’étranger ― les évêques africains inquiets
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Phil Roeder/Flickr
Joe Biden, nouveau président élu frauduleusement, a nommé Samantha Power administratrice de l’USAID, agence gouvernementale gérant l’aide des États-Unis aux pays en développement. Mme Power s’était distinguée par le passé par son activisme pro-LGBT. Devant ce président pro-avortement et la nouvelle administratrice, les évêques africains expriment leurs inquiétudes, selon International Family News :
Lire la suiteNouvel administrateur à l’USAID.
Les préoccupations portent sur l’USAID, l’agence gouvernementale américaine qui gère l’aide aux pays en développement. Le 13 janvier, Biden a annoncé la nomination de Samantha Power au sein de l’administration de cette agence. Elle est une journaliste et diplomate lauréate du prix Pulitzer qui, pendant la présidence de Barack Obama, a joué un rôle au sein du Conseil National de Sécurité où elle s’est distinguée entre autres activités, par son soutien à la cause LGBT+.
Un président pro-avortement, pro-LGBT+
Selon certains dirigeants de l’Église catholique africaine, contactés par AciAfrica, la nomination de Power va déclencher « une attaque culturelle et idéologique » sur le continent noir « par la promotion de programmes contraires à la culture africaine, tels que l’avortement et l’homosexualité ». Mgr Emmanuel Badejo, du diocèse d’Oyo au Nigéria, estime que Power complique une situation déjà défavorable, considérant que Biden, bien qu’il se dise catholique, est sur le point de devenir « le président le plus radicalement pro-avortement et pro-LGBT+ de l’histoire des Etats-Unis ».
Le prélat est donc convaincu que les quatre prochaines années seront très difficiles pour l’Église. « Nous devons renforcer la foi afin de survivre au conflit » qui va inévitablement surgir avec la nouvelle politique américaine, témoigne Mgr Badejo. Un jugement quasiment identique à celui exprimé il y a quelque temps par le président des évêques catholiques américains, Mgr José Horacio Gómez.
Avortement : les entités de l’ONU font pression sur le Malawi
Par Rebecca Oas (C-Fam) — Photo : Pxfuel
Les législateurs du Malawi sont confrontés à de fortes pressions pour libéraliser les lois sur l’avortement du pays pendant la session parlementaire en cours. Les chefs religieux demandent que le projet de loi sur l’interruption de grossesse [avortement*] soit abandonné. Pendant ce temps, les organisations bénéficiant de sources de financements internationaux, ainsi que les entités des Nations Unies, se coordonnent pour s’assurer que le projet de loi soit adopté.
À l’heure actuelle, le Malawi n’autorise l’avortement que pour sauver la vie de la mère [l’avortement n’est jamais « nécessaire » (dans le sens machiavélique) pour la vie de la mère*]. Le projet de loi permettrait des avortements « sûrs » et « légaux » en cas d’anomalies fœtales, de viol ou d’inceste, et si la grossesse est censée menacer la santé physique ou mentale de la mère. La Fraternité chrétienne de médecine et de médecine dentaire du Malawi a souligné que des exceptions similaires en matière de santé ont « conduit d’autres pays à pratiquer réellement l’avortement à la demande ». Il est également à noter que si l’exception pour viol et inceste a une limite de gestation de 16 semaines, il n’y a pas de telle restriction sur l’exception liée à la santé.
Un projet de loi similaire fut présenté en 2017, un an après qu’une Commission spéciale du droit eut publié un rapport appelant à des modifications des lois nationales sur l’avortement. La Commission du droit a cité l’organisation internationale pro-avortement Ipas, basée aux États-Unis, comme assurant le financement du projet.
L’un des partisans les plus ardents du projet de loi proposé est Emma Kaliya, présidente de la Coalition pour la prévention des avortements à risque (COPUA). Le COPUA a été créé en 2010 avec le soutien d’Ipas, après qu’Ipas, avec le ministère de la Santé du Malawi et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), eut mené une évaluation stratégique nationale sur l’avortement.
Un autre groupe de soutien clé du projet de loi est le Center for Solutions Journalism, également basé au Malawi, qui reçoit un financement d’Ipas, du COPUA et d’Amplify Change, une organisation qui promeut l’avortement et d’autres projets de « santé et droits sexuels et reproductifs » dans les pays en voie de développement, financée par le Danemark, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et d’autres fondations basées dans les pays occidentaux.
Lire la suite85 % des Kenyans sont contre l’avortement face aux organismes internationaux pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
J’imagine que les organismes qui militent pour la propagation de l’avortement s’affichent en général comme démocratistes (c’est-à-dire croient que le système démocratique est le seul légitime), pourtant, ils respectent très peu la volonté des peuples africains avec leurs manœuvres et les pressions qu’ils exercent sur les gouvernements africains, afin que ces derniers légalisassent l’avortement. Selon la Society for the Protection of Unborn Children :
85 % des Kenyans affirment que « l’avortement ne devrait jamais être autorisé », alors que le géant international de l’avortement IPAS révise actuellement une campagne visant à dépénaliser l’avortement en Afrique. IPAS se consacre à l’expansion mondiale de l’avortement et au contrôle de la population.
Des groupes internationaux pro-avortement poussent la libéralisation de l’avortement en Namibie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : PxHere
La Namibie, pays africain, est sur le point d’envisager la légalisation de l’avortement, sous la pression d’organismes étrangers. Selon Right to Life UK, la Namibie dispose actuellement de lois parmi les plus permissives d’Afrique, autorisant les avortements pour cause de viol, d’inceste ou de risque pour la santé de la mère ou du bébé. Suite à la démarche d’organismes étrangers visant à étendre les mesures de santé sexuelle et reproductive [avortement, contraception, etc.] dans les pays africains comme la Namibie, certains membres du Parlement indiquent maintenant vouloir lever les restrictions et autoriser l’avortement sur demande.
Fin juin, le ministre de la Santé Kalumbi Shangula déclara aux Namibiens qu’il ferait pression pour légaliser l’avortement, à condition qu’il reçût un soutien suffisant des femmes. « La question de l’interruption de grossesse ne doit pas être influencée par la politique ou la religion. Toute loi qui a dépassé son but peut être abrogée », déclara-t-il. Suite à cette déclaration, une femme du pays a fait circuler une pétition pro-avortement, recueillant rapidement plus de 6 000 signatures.
Peu après la déclaration de Shangula, le vice-ministre de la Santé de Namibie, Esther Muinjangue, déposa une motion pour que le Parlement envisageât de légaliser l’avortement. Elle fit part de son inquiétude quant au fait que les femmes sont souvent impliquées dans des avortements illégaux d’« arrière-cour ». « Ma crainte porte plutôt sur l’effet psychologique que les femmes subissent. C’est un fait bien connu que les femmes vont dans les pays voisins, où l’avortement a été légalisé », déclara-t-elle.
Lire la suiteEurope : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Le confinement cause 10 000 décès d’enfants chaque mois par malnutrition dans les pays pauvres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Le confinement qui nous est imposé, prétendument pour combattre le covid-19, a de tragiques répercussions dans les pays moins bien nantis, si l’on se fie à une étude publiée dans The Lancet, environ 10 000 enfants meurent de malnutrition par mois, maintenant, en conséquence des mesures « sanitaires » qui paralysent des pays entiers. Selon LifeSiteNews :
Plus de 10 000 enfants meurent maintenant chaque mois à cause des perturbations économiques que les restrictions contre le Covid-19 ont imposées en Amérique latine, en Asie du Sud et dans les communautés d’Afrique subsaharienne.
Dans ces régions, les familles sont confrontées à un avenir sombre sans suffisamment de nourriture, selon une étude publiée dans The Lancet.
« La crise sociale et économique mondiale sans précédent, déclenchée par la pandémie COVID-19, pose de graves risques pour le niveau nutritionnel et la survie des jeunes enfants dans les pays à faible et moyen revenu », rapporte la revue médicale. « L’augmentation prévue de la malnutrition des enfants, l’émaciation, est particulièrement préoccupante, en raison de la forte baisse des revenus des ménages, des changements dans la disponibilité et l’accessibilité financière des aliments nutritifs, et des interruptions des services de santé, de nutrition et de protection sociale ».
« Cela fait sept mois que les premiers cas de Covid-19 ont été signalés et il est de plus en plus évident que les répercussions de la pandémie causent plus de tort aux enfants que la maladie elle-même », déclare la directrice générale de l’UNICEF, Henrietta Fore, dans un communiqué de presse.
Vous remarquerez que ni l’étude ni la directrice générale de l’UNICEF n’attribuent directement ce chiffre monstrueux de décès au confinement, mais aux « répercussions de la pandémie », alors qu’il est évidemment causé par le confinement et la panique, engendrée par les médias et les gouvernements, qui asphyxient la société.
Lire la suiteLes organismes Internationaux en avortement poussent la légalisation de l’avortement jusqu’à la naissance au Kenya
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel
Les organismes internationaux en avortement comme Planned Parenthood ou Ipas intriguent au Kenya afin de légaliser l’avortement jusqu’à la naissance. Ils sont déjà parvenus à se faire reconnaître en tant qu’experts-conseillers en la matière auprès du gouvernement, ils ont même concouru à la production de lignes directrices devant servir à interpréter une future loi qui devrait, en pratique, permettre l’avortement jusqu’à la naissance, selon LiveActionNews :
Right to Life UK rapporte qu’un projet de loi introduisant l’avortement jusqu’à la naissance fait son chemin au sein du Sénat kenyan. Selon RTL UK, le projet de loi est « soutenu par les principales organisations internationales d’avortement, dont Ipas et Planned Parenthood Global ».
Le projet de loi sur les soins de santé reproductive légaliserait l’avortement dans les cas où « la grossesse mettrait en danger la vie ou la santé de la mère ». Tout comme dans la formulation de Doe v. Bolton, le jugement complétant Roe v. Wade qui a légalisé l’avortement aux États-Unis, l’exception « santé » est si large que, écrit RTL UK, « en pratique, elle permettra probablement que l’avortement sur demande soit disponible jusqu’à la naissance au Kenya ».
Trois ans de prison pour les médecins récalcitrants :
Plus choquant, le projet de loi supprimerait le droit de conscience du médecin, en imposant une peine de trois ans de prison aux médecins qui refuseraient de s’impliquer dans l’avortement ou de référer les patientes pour l’avortement.
Trudeau voulait donner 900 millions de dollars à un organisme promouvant l’avortement et l’homosexualité
Justin Trudeau, (hélas) premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouvernement canadien avait formé le projet de confier la gestion d’un programme destiné aux étudiants et nouveaux diplômés, ainsi que son coquet budget de 900 millions de dollars, et ce sans appel d’offre, à l’organisme WE Charity aussi appelé UNIS. Cependant, pour une raison que le gouvernement Trudeau n’a pas donnée, le contrat n’ira finalement pas à l’organisme, selon Le Journal de Montréal :
Le gouvernement et l’organisme WE Charity ou UNIS, qui avait obtenu le contrat sans appel d’offre, indiquent avoir convenu « mutuellement » que l’organisation proche de la famille Trudeau ne gérerait finalement pas le programme.
Destiné aux étudiants, d’après Le Journal de Montréal :
Le programme de 900 millions $ prévoit un versement de 1000 à 5000 $ aux étudiants qui feront du bénévolat au cours des quatre prochains mois.
Apparemment UNIS ferait l’objet d’accusations de racisme, rapporte Le Journal de Montréal :
WE Charity fait face à des allégations de racisme et de malversation qui ont visiblement résonné au sein du gouvernement.
Je ne sais trop quoi penser de ces accusations, vu qu’à notre époque on applique pour tout et rien cette étiquette. D’un autre côté, je ne serais pas surpris d’apprendre qu’un organisme gauchiste fût la proie à ce problème, tant il est vrai que ceux parmi les plus intolérants se trouvent parmi les promoteurs de la « tolérance », et qu’il y a souvent des racistes chez les « antiracistes ». Mais passons…
La méthode de recrutement qu’aurait suivi UNIS consistait à passer par les professeurs afin que ceux-ci recrutassent chacun 75 à 100 étudiants, 55 dans les régions rurales, pour la modique somme de 12 000 dollars ! Selon Radio-Canada :
Selon l’annonce du poste de « gestionnaire de volontaires » sur le site internet d’UNIS, les éducateurs devront recruter et gérer un nombre différent d’étudiants, selon qu’ils sont situés en zones rurales ou urbaines.
« Nous avons besoin d’éducateurs engagés comme vous pour recruter, diriger et encadrer un groupe de 75 à 100 étudiants admissibles de votre communauté dans le cadre de ce programme. En tant que responsable de groupe, vous recevrez une rémunération de 12 000 dollars », précise l’annonce.
Argent pour le recrutement
Les éducateurs en régions rurales doivent recruter et encadrer au moins 55 étudiants pour recevoir la même rémunération.
Ils doivent notamment être disponibles pour « recruter activement » des étudiants et aider à superviser la participation bénévole au programme pendant les mois de juillet et août.
Les étudiants eux-mêmes ont la possibilité de gagner entre 1 000 et 5 000 dollars, selon le nombre d’heures qu’ils effectuent auprès d’un organisme à but non lucratif.
D’après ce que je peux comprendre, des professeurs devaient être payés 12 000 dollars pour recruter 55 à 100 élèves afin de les envoyer travailler bénévolement dans des organismes à but non lucratif. Combien pariez-vous qu’UNIS aurait fait le tri parmi les organisations auxquelles les étudiants eussent été aller pour remplir leur tâche bénévole et recevoir le subside promis ? Certes, un certain tri est toujours nécessaire, mais UNIS est un organisme international qui propage l’idéologie pro-avortement et LGBT. Cela serait un peu revenu à envoyer de la main-d’œuvre à toutes sortes d’alliés de Trudeau.
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