Les mondialistes s’attaquent aux familles africaines, mais cet homme catholique est dans leur passage
Emil Hagamu.
Publié sur LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Human Life International
9 juillet 2024, Front Virginia (Human Life International) — Pendant trois décennies, Emil Hagamu s’est efforcé de défendre les valeurs communes de la foi et de la famille parmi les quelque 70 millions d’habitants de la Tanzanie. En tant que directeur régional de Human Life International pour l’Afrique anglophone, M. Hagamu a dirigé les activités de ce ministère catholique pro-vie mondial dans 19 des 26 régions de cette nation d’Afrique de l’Est où 30 groupes ethniques différents vivent pacifiquement les uns à côté des autres.
Human Life International Tanzania travaille avec les écoles, les églises, les individus et les familles pour promouvoir une culture de vie. Hagamu supervise la formation des prêtres, des séminaristes, des infirmières, des sages-femmes, des éducateurs et des laïcs. Ces programmes leur inculquent une compréhension de ce que la parole de Dieu et l’Église catholique enseignent sur la vie et la famille et leur donnent les moyens de transmettre ce message dans leurs communautés.
Hagamu a commencé ce ministère sous le nom de Pro-Life Tanzania en juillet 1994. Rapidement placé sous l’égide de l’organisation Human Life International, basée aux États-Unis, Pro-Life Tanzania a commencé à contrer et à réparer les dommages causés aux familles par les centres communautaires d’avortement et de contraception. Ces centres, gérés par Marie Stopes (aujourd’hui connue sous le nom de MSI Reproductive Choices) et UMATI — organisation affiliée à International Planned Parenthood en Tanzanie — exerçaient une influence négative sur les communautés.
La Tanzanie, comme le reste de l’Afrique subsaharienne, est souvent la cible d’efforts de contrôle de la population, ce qui, selon Human Life International, porte atteinte à l’amour et au respect traditionnels des Africains pour la famille.
Hagamu a raconté de nombreuses histoires de familles ravagées par la culture de mort qui promeut l’avortement et la contraception comme « la solution » à la pauvreté. Il raconte que dans toute l’Afrique, les enfants sont toujours très bien accueillis.
Lire la suiteLe cardinal Sarah appelle les théologiens africains à résister à l’idéologie woke occidentale
Le cardinal Robert Sarah.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : John-Henry Westen/LifeSiteNews
5 juin 2024, Obala, Cameroun (LifeSiteNews) — Le cardinal Robert Sarah a dénoncé le rejet de la vérité objective en Occident qui, selon lui, a conduit au relativisme moral manifesté dans les idéologies « woke » d’aujourd’hui, louant l’opposition du pape Benoît XVI à la haine ouverte de l’Europe pour ses racines chrétiennes.
Ancien chef de la Congrégation du Vatican pour le culte divin et les sacrements, le cardinal Sarah a fait ces remarques dans un discours prononcé en avril devant les étudiants de l’école théologique Saint-Cyprien, dans le diocèse d’Obala, au Cameroun. Le thème de son discours était « La vocation d’une université catholique à la lumière de l’enseignement de Benoît XVI ».
Citant l’ancien pape comme guide dans la vie intellectuelle, le cardinal Sarah a souligné la critique de Benoît XVI à l’égard du relativisme moral en Occident : « Sans être orientée vers la vérité, sans une attitude de recherche humble et courageuse de la vérité, toute culture se désintègre, tombe dans le relativisme et se perd dans l’éphémère ».
Expliquant les immenses conséquences sociales du rejet de la vérité objective, le cardinal a poursuivi : « Le sens de la Vérité est le roc qui doit être le fondement de toute culture solide. Sans la recherche de la vérité, nous ne pouvons nous fier à rien. Tout devient liquide ».
Lire la suite« Nous ne sommes pas des marionnettes de l’Occident » — un député ghanéen défend la loi interdisant la sodomie et la promotion LGBTQ
Sam George, député ghanéen.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
5 avril 2024, Accra, Ghana (LifeSiteNews) — Le député ghanéen Sam George a récemment défendu un projet de loi qui criminaliserait le comportement homosexuel — et sa promotion — contre la pression de l’Occident pour annuler la législation.
« Le Ghana n’est pas le 51e État des États-Unis. Le Ghana est un État souverain à part entière », a déclaré M. George sur la chaîne New Dawn Africa lorsqu’on lui a demandé de commenter la dénonciation par le porte-parole du Département d’État américain, Matthew Miller, du projet de loi parrainé par M. George.
« Je m’attends à ce que Matthew Miller respecte les principes de la démocratie », a déclaré M. George, soulignant que le Ghana est « opposé à l’impérialisme culturel » et ajoutant que M. Miller « devrait s’intéresser davantage à la perte de vies d’enfants dans les écoles américaines en raison de la violence des armes à feu ».
Cette législation, qui n’a pas encore été promulguée, punit le comportement homosexuel d’une peine de six mois à trois ans d’emprisonnement, ainsi que le soutien ou la promotion d’un tel comportement d’une peine de trois à cinq ans d’emprisonnement.
Le projet de loi prévoit une interdiction totale du « mariage » homosexuel, de l’adoption par des personnes de même sexe et de toute autre manifestation publique d’un comportement homosexuel ou transgenre. Le projet de loi cherche également à réprimer l’idéologie transgenre en interdisant les procédures de mutilation pour les personnes confuses quant au genre.
Lire la suiteLa légalisation de l’avortement rend les Africaines plus vulnérables. Les statistiques sur la mortalité maternelle le prouvent
Par Everhart LSN Africa — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Meshack Enock Mwakibuja/Pexels
24 novembre 2023 (LifeSiteNews) — Un argument courant en faveur de la légalisation de l’avortement est que les femmes se feront avorter de toute façon, et si l’avortement est illégal, il ne sera pas sécuritaire et des femmes en mourront. Par conséquent, il est préférable de légaliser l’avortement même si l’on s’y oppose moralement. Cet argument est censé être puissant parce qu’il ne repose sur aucune position controversée concernant les droits de l’enfant ou la permissivité morale de l’avortement.
L’une des fonctions essentielles de la loi étant d’assurer la sécurité des citoyens, il est avancé que la loi devrait protéger les femmes en leur permettant d’avorter légalement (et donc, suppose-t-on, « en toute sécurité »). L’argument du « droit à la vie » a même été inversé pour s’appliquer aux femmes : si des femmes meurent à la suite d’un avortement pratiqué dans des conditions dangereuses, leur droit à la vie a été violé par l’interdiction de l’avortement par l’État — et, par conséquent, cette interdiction ne devrait plus être maintenue. On prétend que la légalisation de l’avortement réduira les décès (maternels) dus à l’avortement et, puisque l’avortement est comptabilisé parmi les décès maternels, réduira la mortalité maternelle dans son ensemble.
Lire la suite10 000 séminaristes africains ont été formés pour contrer les campagnes d’avortement soutenues par l’Occident
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Seventyfour/Adobe Stock
15 novembre 2023, Front Royal, Virginie (HLl) — L’avenir est prometteur pour les catholiques pro-vie d’Afrique, grâce à la formation spéciale des séminaristes assurée par Human Life International, une organisation catholique pro-vie basée aux États-Unis. L’Afrique est une lueur d’espoir pour ceux qui défendent une culture de vie. Alors que Human Life International poursuit sa contre-offensive contre les campagnes occidentales de promotion de l’avortement, les programmes de formation de l’organisation, qui ont touché plus de 10 000 séminaristes africains au cours des 20 dernières années, constituent l’un des nombreux champs fertiles qui portent leurs fruits en Afrique.
Le taux d’avortement en Afrique subsaharienne est en augmentation, même dans les pays où la loi n’autorise l’avortement que pour sauver la vie de la mère. Le nombre annuel d’avortements en Afrique subsaharienne a presque doublé entre 1995 et 2020, passant de 4,3 millions à 8 millions. Sur près d’un million de grossesses surprises signalées rien qu’au Bénin, au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire, près de 40 % se sont terminées par un avortement. Human Life International s’efforce de réduire ce taux dans ces trois pays et dans 12 autres pays subsahariens par le biais de programmes de promotion, d’éducation et d’aide à la grossesse.
George Wirnkar, directeur régional de Human Life International pour l’Afrique francophone, a formé des milliers de jeunes hommes appelés à la prêtrise au cours des 25 années qu’il a passées au sein de l’organisation catholique mondiale pro-vie. Chaque année, Human Life International forme 4 500 prêtres et séminaristes dans le monde entier.
Lire la suiteLes gauchistes poussent la révolution sexuelle en Afrique et accusent hypocritement la droite de « néocolonialisme »
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel
11 octobre 2023 — Dans l’épisode du Van Maren Show de cette semaine, Jonathon explique comment la gauche — en poussant la révolution sexuelle dans les pays africains — est coupable de néocolonialisme, alors que les médias accusent faussement la droite politique de la même chose.
Jonathon commence l’émission en explorant la relation des grands médias avec l’idéologie de gauche.
Il affirme que « pratiquement toutes les branches des médias » ont désormais pris parti dans la guerre culturelle et que, de ce fait, les gens ne peuvent plus tenir compte de la partialité que les médias auraient pu avoir autrement, citant en exemple la couverture médiatique des questions LGBT et de la guerre en Ukraine. Selon lui, lorsque les gens se rendent compte que les médias ont un agenda à travers leur couverture de certains sujets, ils commencent à le voir dans toute leur couverture.
Les médias, selon Jonathon, agissent comme le bras armé de la propagande pour la révolution sexuelle, tentant toujours d’expliquer la réalité, renforçant une position et utilisant une rhétorique exacerbée, même si la confiance dans les médias s’est effondrée.
C’est dans ce contexte que Jonathon explore la question du néocolonialisme de la gauche dans la révolution sexuelle, en citant deux articles — l’un de CNN, l’autre du Guardian — sur les lois anti-sodomie en Afrique.
Lire la suiteLe président ougandais reproche à la Banque mondiale d’avoir gelé ses prêts en raison de la loi anti-sodomie de son pays
Yoweri Musevini, président de l'Ouganda.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 août 2023, Kampala, Ouganda (LifeSiteNews) — Le président de l’Ouganda, le général Yoweri Museveni, a assuré à ses citoyens que l’économie du pays n’a pas besoin de l’aide de l’Occident si cette aide est liée à l’acceptation de l’homosexualité.
Dans une déclaration officielle faite en réponse au gel des prêts accordés à l’Ouganda par la Banque mondiale, le président a déclaré qu’il voulait « informer tout le monde, à commencer par les Ougandais, que l’Ouganda se développera avec ou sans prêts ».
« Avec discipline, patriotisme et en luttant contre la corruption, nous prospérerons, car notre agriculture est là, nos industries se développent et notre secteur de services est en expansion. Il est donc regrettable que la Banque mondiale et d’autres acteurs osent vouloir nous contraindre à abandonner notre foi, notre culture, nos principes et notre souveraineté, en utilisant l’argent. Ils sous-estiment vraiment tous les Africains », a déclaré M. Museveni.
La déclaration a d’abord été rendue publique dans une lettre manuscrite du président, qu’il a postée sur X, anciennement appelé Twitter. Elle a ensuite été publiée dans un communiqué de presse officiel le jeudi 10 août.
Cette déclaration intervient après que la Banque mondiale ait décidé cette semaine de refuser à l’Ouganda toute demande de prêt en raison de sa récente loi anti-homosexualité, qui vise à protéger le mariage et les enfants en imposant des sanctions pénales pour les actes de sodomie et les viols homosexuels d’enfants et de personnes vulnérables.
Lire la suiteSteven Mosher, du Population Research Institute, annonce une dénatalité inédite dans le monde entier, Afrique comprise
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Joachim Huber/Flickr
Fondateur et président du Population Research Institute qui combat le mythe de la surpopulation, Steven Mosher vient de publier une tribune pour expliquer que The Population Bomb, le livre par lequel Paul Ehrlich annonçait l’apocalypse démographique au début des années 1970, est totalement contredit par les faits : c’est la bombe de la dénatalité et de la dépopulation qui menace aujourd’hui le monde entier, y compris l’Afrique. Pour le plus grand plaisir de certains… D’autres faisaient déjà un constat analogue en 2018. Voici la traduction intégrale de l’article de Steven Mosher.
J.S.
Steven Mosher annonce l’effondrement démographique mondial
La bombe démographique a fait pschitt.
Nous savons depuis des décennies que l’Europe et l’Amérique du Nord se mouraient et que la Chine commettait un suicide démographique en s’engageant dans une politique de l’enfant unique. Au cours du dernier quart de siècle, la plupart des pays du reste du monde, y compris l’Amérique latine et le reste de l’Asie, leur ont rapidement emboîté le pas.
Toutefois, les taux de natalité en Afrique subsaharienne sont restés élevés, et les adeptes du Population Bomb se sont emparés de ce fait pour justifier la poursuite de leur guerre contre les êtres humains. Ce rassemblement hétéroclite de partisans du contrôle des populations avides d’argent, d’écologistes radicaux et de féministes antinatalistes s’est appuyé sur les taux de natalité élevés dans des pays comme le Nigeria pour affirmer qu’il fallait continuer à faire avorter, à stériliser et à répandre la contraception dans le monde entier.
Leur argumentaire de levée de fonds était très simple : à moins de vouloir deux milliards d’Africains de plus sur la planète, il fallait continuer à injecter des milliards dans leurs programmes. Le racisme implicite était palpable.
Le seul problème que pose leur discours est celui-ci : le taux de natalité, même sur le continent africain, est en train de chuter plus fortement et plus vite qu’on ne l’aurait jamais imaginé. Même le plus excessif des prophètes de la surpopulation commence aujourd’hui à tempérer son discours.
Prenez le Club de Rome. Il n’y a pas si longtemps, ce groupe maçonnique, basé dans la capitale italienne, avertissait que la fin était proche. La croissance démographique et la consommation des ressources incontrôlées allaient conduire à un effondrement économique en l’espace de quelques décennies, prédisait le Club dans son best-seller de 1972, The Limits to Growth (Les limites de la croissance).
Lire la suiteLes évêques demandent à la Cour suprême du Kenya d’annuler une décision en faveur des organisations LGBT
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 mars 2023, Nairobi, Kenya (LifeSiteNews) — La Conférence des évêques catholiques du Kenya a lancé un appel à la Cour suprême du pays pour qu’elle annule une décision prise le mois dernier autorisant les groupes LGBT à s’associer, qualifiant le jugement d’« inconstitutionnel », de « malvenu » et d’attaque contre le bien de la famille, la vie humaine et le bon ordre de la société.
La décision de la Cour a été prise en dépit du fait que les actions et les relations homosexuelles restent illégales dans ce pays socialement conservateur qu’est le Kenya. La décision a été rendue le 24 février par 3 juges contre 2. Deux membres du tribunal étaient absents.
Cette décision a suscité l’indignation des législateurs kenyans, des chefs religieux et d’autres personnes, qui soutiennent que cette décision contribuera à normaliser l’homosexualité dans le pays et permettra la création d’ONG pro-LGBT, érodant ainsi la culture kenyane.
Dans leur appel, les évêques rappellent à la Haute Cour que le pays est profondément religieux. « Le Kenya est une nation qui craint Dieu », écrivent les évêques. « C’est sur cette base que nous reconnaissons que Dieu a créé l’humanité en tant qu’homme et femme ».
Les évêques ont ensuite cité les textes bibliques dans lesquels l’homosexualité est condamnée comme immorale, un jugement qui se reflète dans la culture et la législation kenyanes.
« L’homosexualité (masculine et féminine) et les unions entre personnes du même sexe sont contre nature, elles sont fautives, néfastes et intrinsèquement immorales. Elles sont contraires à la loi naturelle. Selon l’Écriture Sainte, les actes homosexuels relèvent d’une grave dépravation (cf. Genèse 19, 1-29 ; Romains 1, 24-27 ; 1 Corinthiens 6, 10 ; 1 Timothée 1, 10). Les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés ».
Les évêques ont ensuite fait référence à l’article 45 de la Constitution du Kenya, qui traite du rôle fondamental de la famille dans la société. Dans cet article, la Constitution déclare que « la famille est l’unité naturelle et fondamentale de la société et la base nécessaire de l’ordre social, et qu’elle doit bénéficier de la reconnaissance et de la protection de l’État ».
Lire la suiteUne députée ougandaise demande au gouvernement canadien de ne pas diffuser de propagande pro-avortement en Afrique
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ParlVu
7 mars 2023, Ottawa (LifeSiteNews) — La députée ougandaise Lucy Akello s’est adressée au Comité permanent des affaires étrangères et du développement international mardi, disant au gouvernement canadien que sa nation n’est pas intéressée à ce que l’avortement soit lié à l’aide internationale de pays développés comme le Canada.
Lucy Akello a commencé par une déclaration ferme sur les efforts du gouvernement canadien pour imposer aux Africains une mentalité favorable à l’avortement : « En ce qui concerne l’avortement, nos peuples sont toujours fidèles à la vérité religieuse et aux cultures … il semble que peu importe la quantité d’argent dépensée pour donner une bonne image de l’avortement, nos peuples voient toujours à travers l’argent, le marketing et l’éducation de masse… »
« L’Afrique a une longue histoire de colonisation, tout comme le Canada, avec des gouvernements étrangers qui nous disent ce qui est bon pour nous ou quelles devraient être nos priorités », a-t-elle déclaré.
Elle a ajouté que les femmes, qu’elle représente en tant que députée, sont « capables de voir clair » dans les efforts déployés pour répandre une mentalité abortive et contraceptive en Afrique. « Nous pensons que la vie commence dès la conception », a-t-elle déclaré. « Là d’où je viens, une fois que la conception a eu lieu, c’est la vie. »
Mme Akello a expliqué qu’en Ouganda, même les bébés ayant subi une fausse couche sont « enterrés décemment, quel que soit leur sexe ».
Pour étayer sa position en faveur de la vie en Afrique, elle a cité de nombreuses études réalisées sur le continent qui démontrent que « l’écrasante majorité des Africains » sont favorables à la vie.
Elle a déclaré que les activités pro-vie l’emportaient largement sur tout sentiment pro-avortement sur le continent et qu’il n’existait « pratiquement pas » d’actions anti-vie. « Les enfants à naître ont le droit de vivre et méritent d’être protégés par la loi », a-t-elle poursuivi.
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