Menace de déclin dramatique de la natalité mondiale — une chute inédite de la population depuis la Grande Peste
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : michel/Adobe Stock
Un « déclin dramatique ». C’est avec ces mots que la revue scientifique The Lancet décrit la chute prévisible, et inédite, de la population mondiale, annoncée aux termes d’une étude réalisée par l’Institute of Health Metrics de l’université de Washington. Pour l’IHME, c’est plié : d’ici à 2050, les trois quarts des pays du monde n’auront pas un taux de fécondité suffisant pour assurer le remplacement de leurs propres générations. Et cinquante ans plus tard, en 2100, il en ira de même pour 97 % des pays, tandis que le taux de fécondité global passera de 2,23 enfants par femme en 2021 à 1,8 en 2050 et à 1,6 en 2100, selon les projections réalisées selon des méthodes innovantes. Ne dites plus : « nation » !
Il faut 2,1 enfants par femme en âge de procréer pour assurer le simple renouvellement des générations dans les pays développés (et davantage dans les pays pauvres). Avec un taux de 1,6, le monde perdra un quart de sa population dans la génération suivante.
La chute de population s’accompagnera d’un vieillissement inédit
L’effondrement des naissances aura ainsi pour conséquence l’augmentation moins rapide qu’estimé jusqu’ici de la population mondiale, qui dépasse actuellement de peu les 8 milliards. Le pic de population est prévu pour 2080 environ, à 10,5 milliards, avec un rétrécissement dès avant la fin du siècle. Les prévisions de l’IHME ne dépassent pas l’an 2100. Mais il faut bien imaginer que la chute pourra s’accélérer alors que les générations plus anciennes disparaîtront parmi les populations les plus vieillies.
Lire la suiteElon Musk : « Les enfants à naître n’ont pas de voix »
Elon Musk.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Elon Musk a déclaré que « les enfants à naître n’ont pas de voix » en réponse à une vidéo de Jane Goodall, contributrice au Forum économique mondial (WEF) et partisane du contrôle de la population.
« Elle a tout faux », écrit Elon Musk sur X, l’ex-Twitter. « Argumenter en faveur de la réduction de l’humanité, c’est argumenter en faveur du génocide. Les enfants à naître n’ont pas de voix. »
Les commentaires de Musk ont été faits en réponse à un extrait vidéo d’une ancienne entrevue publié par « Wide Awake Media », dans laquelle Goodall plaide en faveur de la réduction de la population humaine.
« Si j’étais autorisée à changer certaines choses, si j’avais ce pouvoir magique, j’aimerais, sans causer de douleur ou de souffrance, réduire le nombre de personnes sur la planète parce que nous sommes trop nombreux », a déclaré Mme Goodall. « C’est une planète dont les ressources sont limitées, et nous les épuisons. »
Lire la suiteLe cardinal Müller affirme que les élites commettent un « génocide » en encourageant l’avortement et l’euthanasie
Le cardinal Gerhard Müller.
Par Andreas Wailzer et Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews
4 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que les mondialistes « autoproclamés » utilisent la migration de masse pour détruire l’identité nationale des pays.
Dans une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, le cardinal a parlé des idéologies qui se cachent derrière le mondialisme et de leurs conséquences désastreuses.
« L’immigration de masse n’a pas pour but d’aider les gens, mais de détruire l’identité nationale », a déclaré le cardinal Müller. « Ils disent que l’identité nationale est le nationalisme, que celui-ci aurait causé toutes les guerres, alors ils disent qu’ils sont contre le nationalisme, mais en réalité, ils sont contre la nation ».
« Si le nationalisme est la raison des guerres, nous devons nous demander qui finance les guerres et quels sont les intérêts qui se cachent derrière ».
« Ils veulent que tout le monde soit complètement isolé et ne soit lié ni par la langue, ni par la culture, ni par les liens familiaux, ni par une terre natale où l’on se sent chez soi », a poursuivi le cardinal.
Lire la suiteL’antinatalisme : la fin des problèmes humains par l’extinction de l’humain
Par Pauline Mille (reinformation.tv) — Photo : Alexey Pelikh/Adobe Stock
Deux spécialistes finlandais de la bioéthique ont écrit une tribune dans Bioethics, l’une des revues de bioéthique les plus prisées dans le monde, où ils préconisent tranquillement la fin de l’humanité : « En adoptant l’antinatalisme jusqu’à l’extinction de l’humain, tous les problèmes de l’humanité pourraient être résolus. » Un moyen radical qui n’est hélas pas un canular, et qui est même logique : quand l’euthanasie est recommandée pour l’individu, pourquoi ne pas appliquer le suicide assisté à toute l’espèce ?
Plus d’enfants, plus de problème !
L’argumentation de Joona Ränäsen et Matti Häyry est simple : plus d’enfants, plus de problèmes ! « Des problèmes graves comme le changement de climat trouveraient leur solution si les humains cessaient d’exister, ce qui éliminerait les destructions de l’environnement. Il paraît clair aussi que les nombreux problèmes qui sont la plaie de l’humanité — guerres, famines, crimes, discriminations, maltraitance des animaux — disparaîtraient si les humains n’existaient pas. L’adoption de l’antinatalisme résoudrait ainsi vraiment “tout”. »
Lire la suiteUn franc-maçon notoire était présent à la conférence environnementale du Vatican pour promouvoir la dépopulation et le gouvernement mondial
Carlos Alvarez-Pereira.
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Le sixième forum des « Communautés Laudato Si' » s’est tenu à Vérone, en Italie, au début du mois. Il s’agit d’une série de réunions consacrées à la propagation des opinions du pape François sur ce que l’on appelle « l’urgence climatique ».
Cette dernière rencontre était intitulée « Doubler l’engagement ». Il s’agit d’une référence à la nouvelle exhortation de François, Laudate Deum, dans laquelle il nous avertit que la fin est proche, à la fois pour « notre planète qui souffre » et, par extension, pour nous.
Dans son message vidéo d’ouverture de la réunion de Vérone, le pape avertit qu’il s’agit d’une « période très difficile » et que « d’ici 30 ans, le monde ne sera plus vivable ».
Ce message de « l’apocalypse maintenant » est désormais tristement familier, mais j’ai tout de même été surpris par le zèle messianique avec lequel il est proposé par des dirigeants de l’Église catholique.
Lire la suiteAu Japon, Nagi, la ville pleine d’enfants
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv)
De tout le pays, les touristes affluent pour voir l’inattendu, ce qu’on pensait ne plus pouvoir advenir de manière aussi flagrante : des enfants. Ce tableau fait d’ailleurs presque peur, tant l’on croit voir une scène de dystopie futuriste… Dans la ville de Nagi, petite bourgade de 6 000 âmes, près de la moitié des ménages ont trois enfants ou plus. Son taux de fécondité est plus de deux fois supérieur au taux national.
Quel est son secret, dans ce Japon qui sombre ? Il est le fruit d’un long travail : vingt ans ont été nécessaires pour contrer le sens du vent ou de l’histoire. Nagi est le témoignage que tout peut s’inverser, et non pas seulement à coups de financements mais aussi et surtout avec un réel changement d’état d’esprit, loin de tout wokisme.
Triste démographie du Japon
En 2022, le Japon a connu son taux de natalité le plus bas depuis 1899, avec un total de 800 000 naissances, soit seulement la moitié du nombre de décès enregistrés au cours de la même période. La même année, son taux de fécondité était de 1,26 enfant par femme, contre 1,8 en France (seul le taux minimal de 2,1 garantissant une population stable). La grande puissance industrielle a déjà vu diminuer sa population de 4 % depuis 2009 et tout laisse à penser que le rythme va inéluctablement s’accélérer.
Le Premier Ministre japonais lui-même a averti de cette épée de Damoclès. « C’est maintenant ou jamais pour les politiques relatives aux naissances et à l’éducation des enfants – c’est une question qui ne peut tout simplement pas attendre plus longtemps », a-t-il déclaré dans un discours politique en janvier. C’est toute la société, toute la nation qui pourrait disparaître, car la main-d’œuvre en diminution constante ne sera pas en mesure de subvenir aux besoins des personnes âgées, à mesure que leur nombre augmente.
Le mois suivant, il s’est déplacé lui-même dans cette petite ville qui montre aux Japonais que tout n’est pas perdu : Nagi.
Lire la suiteProfesseur à Oxford et conseillère du Forum économique mondial, Sarah Harper qualifie la baisse des naissances en Angleterre de « bonne chose »
Sarah Bernard.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Le monde occidental connaît aujourd’hui une dénatalité de plus en plus grave, mais aux yeux de certains, c’est une excellente nouvelle. Professeur de gérontologie dans une des plus prestigieuses universités britanniques, Sarah Harper, directrice de l’Oxford Institute of Population Ageing (Institut d’Oxford du Vieillissement de la population), a récemment fait part de sa satisfaction devant la baisse du nombre de bébés naissant en Angleterre. C’est une « bonne chose », a déclaré cette conseillère du Forum économique mondial.
Elle réagissait aux statistiques des naissances en Angleterre et au Pays de Galles, qui n’ont pas été aussi mauvaises depuis deux décennies. En 2002, le total atteignait 596.122 ; en 2023, on a compté 605 479 naissances vivantes, soit 3,1 % de moins que l’année précédente. Les chiffres de 2022 affichent également la plus forte proportion de naissances chez des femmes nées en dehors du Royaume-Uni depuis que l’on tient ce type de statistiques, soit près d’un tiers. L’Inde est en tête des pays représentés pour les mères d’origine étrangère, le Pakistan pour les pères d’origine étrangère.
Lire la suiteLe Dr Robert Malone et le dépeuplement mondial
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie
31 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Dans un discours prononcé lors du 2023 White Coat Summit, le Dr Robert Malone a posé la question cruciale à propos des soi-disant vaccins COVID :
« Pourquoi un gouvernement souhaiterait-il faire avancer cette technologie ? »
Il a conclu, à contrecœur, que les nouvelles injections d’ARNm ont été mises au point par la CIA pour contribuer à un programme de dépopulation mondiale — qui existe aux États-Unis depuis les années 1970.
Suivez le scientifique
Le Dr Malone a été l’un des pionniers de la technologie qui a conduit à la mise au point des injections d’ARNm. Sa compréhension quasi unique du mécanisme d’action de ces injections a été qualifiée de « désinformation » par les médias grand public lorsqu’il a commencé à mettre en garde le monde contre les dangers de ces nouvelles interventions.
Compte tenu de son expérience dans le développement de ce qu’il appelle les « vaccins génétiques », le Dr Malone semble personnifier la science même que nous devrions suivre. Toutefois, ce ne sont pas ses références ni son expertise avérée qui ont conduit aux attaques contre sa réputation. C’est le fait que la science qu’il a suivie a amené un sinistre programme mondial de nuisance délibérée.
Qui sont les maîtres des marionnettes ? Le gouvernement américain, les scientifiques nazis
Le Dr Malone déclare :
Lire la suiteLorsque nous nous demandons qui sont les marionnettistes qui se cachent derrière tout cela, nous devons regarder la vérité en face. C’est le gouvernement américain qui est à l’origine de beaucoup de choses... en termes de financement, de politique et d’actions.
Le rapport de l’ONU pour la Journée mondiale de la population exhorte les femmes des pays vieillissants à ne pas avoir d’autres enfants
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
12 juillet 2023 (LifeSiteNews) — L’Organisation des Nations Unies (ONU) a publié un nouveau rapport sur l’état de la population mondiale qui préconise l’avortement et la contraception pour résoudre les « problèmes démographiques » du monde et affirme que les pays ne devraient pas essayer d’augmenter les taux de natalité bien qu’ils soient inférieurs au niveau de remplacement.
« La promotion de l’égalité des genres est une solution transversale à de nombreuses questions démographiques », a affirmé le Fonds des Nations unies pour la population dans un communiqué concernant la « Journée mondiale de la population 2023 ».
« La réalisation de la santé et des droits sexuels et reproductifs pour tous est le fondement de l’égalité des sexes, de la dignité et des opportunités », poursuit le communiqué.
Comme l’ONU l’a indiqué à plusieurs reprises dans ses documents, la principale solution pour parvenir à l’« égalité des sexes » consiste à renforcer les « droits et la santé en matière de sexualité et de procréation », c’est-à-dire l’avortement et la contraception.
Dans le rapport « État de la population mondiale 2023 » du Fonds des Nations unies pour la population, les auteurs affirment que « l’égalité des sexes », c’est-à-dire l’accès à l’avortement et à la contraception, est bénéfique pour tous les pays, et que même les nations dont les taux de fécondité sont inférieurs au seuil de remplacement ne devraient pas essayer d’augmenter les taux de natalité.
Lire la suiteDénatalité mondiale : le drame des sociétés qui poussent à ne pas avoir d’enfants
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : spyrakot/Adobe Stock
Le taux de natalité est en baisse partout dans le monde, et constitue selon Stephen S. Shaw, auteur du documentaire The Birthgap (le fossé des naissances), l’un des plus gros problèmes sociétaux et existentiels auxquels le monde contemporain est confronté. Dans une démarche de spécialiste des datas, il identifie une réalité inattendue : au cœur de l’hiver démographique bien installé dans la majeure partie de la planète on constate un facteur universel : le nombre de naissances baisse en raison du drame de l’infécondité involontaire.
La remarque est d’autant plus intéressante qu’on nous explique à longueur d’émissions et de réflexions politiques que le « dérèglement climatique » (les expressions « changement » et « réchauffement » climatique semblent avoir fait leur temps !) est le problème numéro de notre « maison commune ». Cette grande peur est même celle qui pointe la démographie, le nombre d’êtres humains sur terre, ainsi que l’activité économique et industrielle que requiert cette population en forte croissance, sont à la racine d’un avenir climatique « insoutenable ».
Que la planète se réchauffe dangereusement à cause de l’activité humaine, c’est une hypothèse, ou plutôt un faux dogme justifiant toutes sortes de sacrifices qui se révèlent tous ordonnés au recul, à divers niveaux, de la présence de l’espèce humaine sur cette terre. Mais la réalité que dessine une natalité en deçà du taux de remplacement des générations est cruelle et, s’il faut en croire Stephen Shaw, inéluctable à vues humaines.
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