Un médecin kényan accuse l'Organisation mondiale de la santé et l'UNICEF de stériliser des jeunes femmes
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 février 2023 (LifeSiteNews) — Un médecin kényan révèle plus d’informations sur une campagne de vaccination contre le tétanos de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dont il dit, avec d’autres, qu’elle faisait partie d’une campagne de stérilisation massive des jeunes femmes pour contrôler la croissance démographique [dans son pays].
Le Dr Wahome Ngare, obstétricien et gynécologue basé à Nairobi, a eu l’amabilité de discuter de cette question dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show. Il a accusé l’OMS et même l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) de stériliser intentionnellement les jeunes femmes kényanes sous prétexte d’éradiquer le tétanos, et a également accusé ses collègues de tenter de discréditer ses recherches sur la question.
Selon lui, les investigations menées par un comité d’experts sur les flacons de [vaccin contre le] tétanos ont montré qu’ils contenaient de la βhCG (bêta HCG, c’est-à-dire de la gonadotrophine chorionique humaine bêta), une hormone qui imite l’hormone HCG naturelle qui indique aux femmes qu’elles sont enceintes.
« Or, ce vaccin particulier que [l’OMS] avait produit combinait le vaccin contre le tétanos et la βhCG. Et ce qui se passait, c’est que si une femme se faisait injecter ce vaccin, elle produisait des anticorps antitétaniques », explique le Dr Ngare. « Mais, malheureusement, elle produisait aussi des anticorps anti-HCG. Et par la suite, chaque fois qu’elle concevrait, les anticorps feraient muter l’HCG de son sang à un point tel [que son organisme] ne saurait jamais qu’elle est enceinte. »
On estime que 2,3 millions de filles et de femmes kényanes en âge de procréer ont reçu les vaccins contre le tétanos, réalisés dans le cadre d’un effort conjoint entre l’Organisation mondiale de la santé et le gouvernement kényan entre 2013 et 2015.
Lire la suiteLe plan de dépopulation des pays en développement
Photo : Zach Vessels/Unsplash
Les puissances occidentales et de nombreuses entités internationales promeuvent depuis des années la réduction de la population mondiale, ou du moins les moyens qui y mènent, comme l’avortement et la contraception. Divers prétextes sont donnés : le climat, la pauvreté, le chômage, le « droit » de la femme (à tuer son bébé). Mais ces raisons susmentionnées sont-elles les vraies ? Un document produit par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis le 10 décembre 1974, et approuvé le 20 novembre 1975 par le président Ford, le NSSM 200, soulignait la concurrence émergente que représentaient pour les États-Unis les pays en développement à croissance démographique rapide. Le NSSM 200 proposait également les solutions pour contenir ces concurrents autrement inéluctables : réduire la croissance de leur population…
Depuis lors, les États-Unis ont appliqué pendant des décennies le programme du NSSM 200, donnant lieu à d’autres rapports tels que le First Progress Report - 1976, faisant état des progrès des efforts des États-Unis et des subtilités à apporter aux méthodes employées.
L’une des recommandations du NSSM 200 était de recourir à des instances internationales pour promouvoir la réduction de la population, d’où, semble-t-il, les incessants efforts des organismes onusiens à promouvoir l’avortement et la contraception auprès des pays en développement.
Un exemple récent nous rappelle l’actualité de ces manœuvres politiques et de leurs « fruits », la Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) qui a été tenue en Thaïlande du 14 au 17 novembre, et dont l’un des commanditaires était l’OMS, suggérait des méthodes de propagandes auprès des populations africaines afin de leur faire accepter la contraception et l’avortement. Lors de cette conférence, le ministre de la Santé publique de Thaïlande, le Dr Sathit Pitutecha, s’est vanté des « réalisations » de son pays, où la réduction de l’indice de fertilité est tombée de 6,1 en 1970 à 1,5 en 2019…
Encore récemment, les Philippines refusaient de légaliser l’avortement, face aux pressions de l’ONU en sens.
Gilles Grondin, fondateur de Campagne Québec et ancien diplomate canadien, a écrit en 1999 un résumé du document NSSM 200, de sa philosophie, de ses implications et de ses quelques applications concrètes, notamment au sein de l’ONU et de ses diverses branches.
Notez que lorsque M. Grondin emploie des guillemets, ce n’est pas forcément pour faire une citation exacte, cela peut être pour paraphraser ou résumer la pensée d’un individu ou d’un organisme. — A.H.
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Montréal, le 4 mars 1999
LE « BIRTH-CONTROL » DANS LES PAYS DU TIERS MONDE — NSSM 200
En 1991, certains amis ont porté à mon attention un document très étonnant.
On appelle ce document NSSM 200 (c’est-à-dire « National Security Study Memorandum 200 » qui pourrait être traduit en français par « Mémoire du Ministère de la sécurité nationale 200 »). Il fut élaboré par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique il y a plus de vingt-cinq ans alors que monsieur Henry Kissinger était président de cet organisme, sous l’autorité du Président Nixon.
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteUn nouveau film soutient que l’OMS s’est livrée à une « expérience de contrôle de la population » sous couvert d’un programme de vaccination
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 juin 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) — Children’s Health Defense (CHD) a collaboré avec le cinéaste et activiste britannique Dr Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. pour produire un nouveau film qui vise à prouver que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée dans une « expérience de contrôle de la population » « menée sous le couvert d’un programme de vaccination » et qui a abouti « à la stérilisation de femmes africaines à leur insu et sans leur consentement ».
Selon un communiqué de presse publié par CHD, le film de 30 minutes intitulé « Infertility : A Diabolical Agenda » sera diffusé en avant-première le vendredi 10 juin à 14 heures sur CHD.TV, suivi d’une table ronde spéciale avec Dr Wakefield, Dr Christiane Northrup, Dr Jim Thorp, Dr Brian Hooker et Dr Liz Mumper.
Les invités sont censés « discuter de l’augmentation spectaculaire des problèmes d’infertilité dans le monde entier ».
« C’est avec une ironie opportune que l’Organisation mondiale de la santé révèle ses vraies couleurs alors qu’elle tente désespérément de prendre le contrôle de la santé mondiale », a déclaré Wakefield, le réalisateur du film, dans le communiqué de presse partagé avec LifeSiteNews.
« Cette histoire est un vrai “WHO” dunnit », a-t-il plaisanté [« Qui l’a fait » « L’OMS l’a fait », double jeu de mots avec WHO (qui) = OMS].
Selon CHD, le nouveau film « révélera la vérité derrière la collaboration infâme de l’OMS avec le gouvernement kényan, dans le cadre de laquelle un vaccin expérimental contre le tétanos, qui s’est avéré par la suite contenir l’hormone de grossesse βhCG, a été administré à des millions de femmes africaines en âge de procréer sans qu’elles le sachent ».
Les groupes pro-vie et les dirigeants catholiques s’inquiètent depuis longtemps du fait que les programmes de vaccination antitétanique parrainés par l’OMS, en particulier ceux qui ciblent spécifiquement les femmes en âge de procréer, pourraient être utilisés comme un moyen de stérilisation.
Au début des années 1990, les soupçons concernant les programmes mondiaux de vaccination contre le tétanos avaient conduit l’organisation pro-vie américaine Human Life International à demander une enquête du Congrès sur le programme de vaccination contre le tétanos en cours au Mexique, disant que ces médicaments pouvaient rendre les femmes vaccinées infertiles.
Lire la suiteUn démocrate parraine un projet de loi obligeant les garçons à subir une vasectomie à la puberté
Mickey Dollens.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Pour protester contre la législation qui protège les bébés à naître contre l’avortement, un chef démocrate de l’Oklahoma a proposé la semaine dernière un projet de loi visant à forcer les garçons à subir une vasectomie.
Townhall rapporte que le chef de la minorité de la Chambre des représentants de l’Oklahoma, Mickey Dollens, représentant démocrate d’Oklahoma City, a déclaré qu’il avait suggéré ce projet de loi « fou » sur la vasectomie pour montrer à quel point il est « ridicule » d’interdire les avortements.
« Je vous invite à corédiger un projet de loi que j’envisage pour l’année prochaine et qui obligerait chaque homme, dès la puberté, à subir une vasectomie obligatoire qui ne serait réversible que lorsqu’il aurait atteint une certaine stabilité financière et émotionnelle », a déclaré M. Dollens la semaine dernière après l’adoption par l’Assemblée législative de l’Oklahoma d’un projet de loi interdisant les avortements dans l’État.
Le gouverneur Kevin Stitt, un républicain pro-vie, devrait signer le projet de loi. Si les tribunaux ne la bloquent pas, la législation sauverait chaque année près de 4 000 bébés à naître de l’avortement.
Toutefois, M. Dollens a ignoré le véritable objectif du projet de loi, affirmant au contraire qu’il s’agit de « s’immiscer » dans le corps des femmes dans une interview accordée à MSNBC. Il a déclaré qu’il n’était pas sérieux dans sa proposition de vasectomie forcée, mais qu’il voulait faire un point sur l’autonomie corporelle.
« Pour combattre le feu par le feu, j’ai fait une proposition ironique de vasectomie obligatoire pour montrer à quel point il est absurde et ridicule de réglementer l’autonomie corporelle d’une personne », a-t-il déclaré à Katie Phang, animatrice de MSNBC. « Je tiens à dire publiquement que je ne crois pas que le gouvernement doive réglementer le système reproductif de quiconque, mais dans ce cas, il semble que cela ait vraiment trouvé un écho... ».
Lire la suiteElon Musk vs Bill Gates sur le déclin de la population
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : maho/Adobe Stock
Un commentaire de l’éventuel nouveau propriétaire de Twitter*, Elon Musk, a récemment déclenché un débat sur le déclin de la population, un sujet qui reste capital.
En réponse à une étude démontrant le déclin de la population au Japon en 2021, il a écrit sur Twitter qu’« Au risque d’énoncer une évidence, à moins que quelque chose ne change pour que le taux de natalité dépasse le taux de mortalité, le Japon finira par cesser d’exister. Ce serait une grande perte pour le monde ».
Dans la même lignée, le président-directeur de SpaceX avait déjà dit « Je pense que l’un des plus grands risques pour la civilisation est le faible taux de natalité et le taux de natalité en déclin rapide... Si les gens n’ont plus d’enfants, la civilisation va s’effondrer. »
Cet effondrement de la civilisation ne sera certainement pas évité si l’élimination de millions d’êtres humains par le moyen de l’avortement continue à être promue à grande échelle.
Mais Bill Gates, l’entrepreneur milliardaire qui finance Planned Parenthood, n’est pas du même avis que Musk sur le déclin de la population. Pour le grand promoteur de la contraception et de l’avortement comme solutions à la surpopulation, le contrôle de la population est nécessaire.
Selon LifeSiteNews, il avait dit en 2003 que « les initiatives mondiales de santé signifiaient que les parents se rendaient souvent compte qu’ils n’avaient pas besoin d’avoir autant d’enfants. »
Comme l’affirme le site de nouvelles pro-vie, « La vérité est que Bill et Melinda Gates ont une vision de la santé mondiale qui inclut — et promeut — l’avortement, la réduction de la fertilité et la stérilisation. »
Sommes-nous alors surpris qu’il ait déclaré « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Cela se dirige vers environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire cela de peut-être 10 ou 15 %. (vidéo Bill Gates : Innovating to zero!)» ?
Plutôt que de diriger leurs ressources vers le contrôle de la « surpopulation », un contrôle anti-vie et anti-famille, les dirigeants et les élites ne devraient-ils pas promouvoir la croissance des familles et surtout l’éliminations non pas des vies humaines mais des avortements ?
*Elon Musk a récemment annoncé qu’il avait suspendu le processus d’achat de Twitter. — A.H.
Un médecin refuse à une femme un médicament pour le sevrage des opioïdes parce qu’elle rejette la contraception invasive ou la stérilisation
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
Moncton, Canada, 16 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Au Canada, une femme se voit refuser un traitement pour sa dépendance aux opioïdes parce qu’elle a refusé de se soumettre à des méthodes de contrôle des naissances « invasives ».
Selon un rapport d’enquête de CBC News, Rebecca Billiard, 32 ans, a été informée qu’elle ne pourrait pas poursuivre ses traitements au Sublocade, un médicament qui aide à gérer les symptômes de sevrage sévères, à moins qu’elle n’accepte d’abord l’une des options de contrôle des naissances parmi une sélection limitée, c’est-à-dire un implant hormonal, un dispositif intra-utérin (DIU), ou la stérilisation permanente.
Administré sous forme d’injection mensuelle, Sublocade ─ nom commercial de la buprénorphine — procure un soulagement plus pratique et plus durable des symptômes que de nombreuses options pharmaceutiques typiques administrées lors de visites plus fréquentes en pharmacie.
M. Billiard a déclaré dans une interview accordée au journal que l’absence de « routine ou de rituel de prise quotidienne de médicaments » aide les bénéficiaires à « presque oublier la contrainte de la dépendance ».
« Cela vous donne plus de temps pour réfléchir à ce que vous pouvez faire pour améliorer vos perspectives, votre bonheur et votre routine afin de retrouver le rythme », a-t-elle ajouté.
Cependant, le médecin de Mme Billiard lui a dit qu’elle ne pourrait pas continuer à prendre ce traitement crucial à moins qu’elle ne se soumette à une forme de contraception « invasive ».
Lire la suiteSe faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Par la Revue En Route — Photo : stokkete/AdobeStock
Les aspects religieux et moraux de cette réponse ont été vérifiés et approuvés par l’abbé J.-Réal Bleau, docteur en théologie.
Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Question : Jusqu’à maintenant, j’ai refusé le vaccin anti-Covid. Mais on parle de plus en plus de l’obligation d’être vacciné pour pouvoir accéder aux églises, à la Messe, aux sacrements. Dans ce cas, ne serait-il pas permis de me faire vacciner, même si je sais que ce vaccin est mauvais ? Si j’en meurs ou que j’ai des séquelles graves, ne serait-ce pas considéré par Dieu comme un martyre, puisque je me serai fait vacciner pour pouvoir continuer à pratiquer ma religion ?
Réponse : La situation semble ne nous laisser le choix qu’entre deux maux : nous faire vacciner sachant que cela est immoral, ou ne plus avoir accès aux sacrements.
Cependant, pour qu’il y ait péché, il faut que la volonté participe au geste. Donc, à moins que l’on ne me force physiquement à recevoir la piqûre, si j’accepte de me faire vacciner j’engage ma volonté.
Par contre, si on me prive injustement de l’accès aux sacrements parce que je refuse de poser un geste qui va contre ma conscience (me faire vacciner), sachant très bien que s’il n’en dépendait que de moi j’irais à la Messe, me confesser… : dans ce cas, il n’y a pas de péché de ma part puisque cette situation se produit contre ma volonté. Dieu le sait et Il n’est pas offensé du fait que je ne reçoive pas les sacrements ni ne participe à la Sainte Messe.
Dans ce cas, Il passe par d’autres voies pour m’octroyer ses grâces.
Il faut distinguer entre martyre et suicide ! Le martyre est agréable à Dieu, pas le suicide. Ici, c’est la privation injuste des sacrements qui constitue le martyre des fidèles et non pas le fait d’accepter un « vaccin » immoral et nocif.
Il faut garder à l’esprit que l’on ne peut pas honorer Dieu — le Bien suprême — en commettant le mal.
Dans l’Ancien Testament, et chez les Aztèques, des gens immolaient leurs propres enfants aux idoles, pour obtenir leurs faveurs. Plus tard, les cathares ont prétendu plaire à Dieu en pratiquant le suicide par la faim… Lors de la Révolution française, des prêtres ont prêté un serment schismatique pour pouvoir continuer leur ministère… L’histoire regorge de déviations similaires.
« Il n’est pas permis
de faire le mal
pour qu’il en résulte
un bien. »
(CEC n°1756)
Les médecins de la conférence Stop the Shot : les femmes enceintes ne devraient jamais se faire vacciner au covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Vendredi 20 août 2021 (LifeSiteNews) — Depuis près d’une décennie, les scientifiques savent que les vaccins à ARNm mettent en danger la fertilité.
Des recherches menées dès 2012 montrent que la technologie qui sous-tend les injections expérimentales de COVID-19 peut entraîner des problèmes critiques de fertilité et de grossesse, a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet lors de la deuxième conférence « Stop the Shot ». La réunion en ligne a été diffusée en continu le 19 août par LifeSiteNews.
Vliet, la présidente de Truth for Health Foundation [Fondation vérité pour la santé], et d’autres médecins et experts médicaux se sont réunis à nouveau hier pour discuter de recherches scientifiques datant de 2012 et 2018, redécouvertes et évaluées par les pairs. Ils ont également présenté de nouvelles preuves, provenant de lanceurs d’alerte, qui montrent que la technologie sous-jacente aux injections expérimentales de COVID-19 nuit à la fertilité et à la grossesse. Personne d’autre ne l’a signalé au public.
Lors de son discours d’ouverture, Mme Vliet a mis en avant une étude évaluée par des pairs datant de 2018, selon laquelle les nanoparticules, utilisées dans la technologie des piqûres d’ARNm, « peuvent perturber les niveaux d’hormones sécrétées, entraînant des changements dans le comportement sexuel », car les nanoparticules « peuvent traverser la barrière sang-testicule, la barrière placentaire et la barrière épithéliale, qui protègent les tissus reproducteurs ».
Voici l’un des nombreux effets possibles [du vaccin] : les cellules immunitaires humaines se retrouveront « entraînées à attaquer » une protéine absolument vitale pour une grossesse réussie, a averti Mme Vliet, « ce qui pourrait causer des fausses couches, des malformations congénitales et de l’infertilité » après la vaccination anti-covid.
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et fervent critique des vaccins expérimentaux actuellement disponibles, a souligné que, pour de bonnes raisons scientifiques et médicales, « nous ne donnons jamais de traitements médicaux expérimentaux aux femmes enceintes ».
Lire la suiteUn ancien vice-président de Pfizer : les vaccins covid présentent un « risque grave » d’infertilité pour les femmes
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : shotprime studio/AdobeStock
(LifeSiteNews) — Les scientifiques savent depuis près de dix ans que les nanoparticules lipidiques, comme celles actuellement utilisées dans les tout nouveaux vaccins COVID à ARNm, s’accumulent dans les ovaires et sont potentiellement toxiques pour la santé reproductive, a déclaré un ancien vice-président et chercheur principal chez Pfizer lors d’une conférence organisée jeudi par LifeSiteNews sur les dangers des vaccins COVID pour la fertilité.
« On ne vous dit pas la vérité », a déclaré Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et directeur scientifique au niveau mondial pour la pharmacologie et la toxicologie respiratoires, qui est maintenant le conseiller scientifique en chef de la Fondation Truth for Health. « En y réfléchissant, j’essaie d’imaginer que je m’adresse à mes propres filles, qui sont de jeunes adultes, pour lesquelles je serais très inquiet si elles recevaient ces vaccins. »
Yeadon a cité des études datant de 2012 qui mettent en garde contre les dangers potentiels pour la reproduction des nanoparticules lipidiques qui sont utilisées dans les injections COVID.
Les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer utilisent tous deux des nanoparticules lipidiques ou des lipoprotéines spécialisées pour transporter leur principal ingrédient ─ une protéine ARNm instable qui amène les cellules à produire la fameuse protéine de pointe du coronavirus et à déclencher une réponse immunitaire. Ce sont ces molécules qui ont eu besoin de températures extrêmement basses pour préserver la stabilité du lipide enveloppant le fragile ARNm.
Accumulation dans les organes reproducteurs
Des chercheurs allemands ont signalé dans leur article publié il y a neuf ans, « Accumulation of nanocarriers in the ovary: A neglected toxicity risk ? », qu’il existe un « risque potentiel de toxicité de tous les systèmes d’administration de médicaments à l’échelle nanométrique » et une accumulation de différentes molécules porteuses microscopiques dans les ovaires des rongeurs. Les chercheurs ont injecté des lipides « nanoporteurs », dont certains contenaient un ingrédient que l’on trouve aussi dans les vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna : le polyéthylène glycol.
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