Le petit garçon israélien mis en vedette dans la campagne de vaccination covid meurt à la suite d’une crise cardiaque à l’âge de 8 ans
Yonathan Moshe.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 octobre 2023, Jérusalem, Israël (LifeSiteNews) — Un garçon israélien, figurant dans une vidéo utilisée pour promouvoir la vaccination COVID des enfants dans le cadre d’une campagne nationale, est décédé tragiquement d’une crise cardiaque soudaine à la fin du mois de septembre. Le garçon n’avait que 8 ans.
Selon les articles, Yonatan Moshe Erlichman, petit-fils d’un éminent médecin de Beit El, le Dr Mati Erlichman, « est décédé inopinément d’un arrêt cardiaque alors qu’il prenait un bain ».
Le garçon de 8 ans aurait « glissé sous l’eau après que son cœur se soit soudainement arrêté de battre, provoquant sa noyade ». Transporté d’urgence à l’hôpital Hadassah du Mont Scopus, Yonatan est décédé quelques jours plus tard, le 28 septembre.
En 2020, à l’âge de 5 ans, l’enfant était apparu dans une vidéo produite par le conseil régional de Mateh Binyamin. Cette vidéo faisait partie d’un programme gouvernemental visant à promouvoir la vaccination COVID des enfants, malgré l’immunité quasi universelle des enfants contre le COVID-19.
La vidéo a fait de Yonatan un « enfant-affiche » de la campagne de vaccination en Israël, qui est devenu l’un des pays les plus draconiens au monde en matière de mesures vaccinales. La vidéo a été diffusée juste avant le début de la campagne nationale de vaccination.
Lire la suiteNaomi Wolf : les documents de Pfizer montrent que le vaccin COVID « tue les bébés dans l’utérus »
Naomi Wolf.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 août 2023 (LifeSiteNews) — L’auteure et journaliste féministe Naomi Wolf a renouvelé l’affirmation selon laquelle l’injection d’ARNm contre le COVID de Pfizer était connue pour être mortelle pour les bébés à naître avant d’être déployée, déclarant que les propres documents de la compagnie Pfizer montrent que l’injection « assassine des bébés dans l’utérus ».
Mme Wolf, une démocrate qui, il y a plusieurs décennies, a affirmé de manière controversée que l’avortement était un « mal nécessaire », a fait part de ses sombres conclusions sur l’injection dans l’émission War Room de Steve Bannon au début du mois. Lorsque M. Bannon lui a demandé de justifier son utilisation du mot « meurtre », qui, selon lui, suggère l’existence d’« éléments criminels » impliqués dans la diffusion de l’injection COVID, Mme Wolf a affirmé que les preuves étayaient ce terme.
« Oui, nous avons apporté les preuves », a déclaré Mme Wolf, indiquant aux auditeurs l’analyse des rapports Pfizer qu’elle a partagée sur son site internet, y compris le rapport Pfizer 69, publié en avril 2023 par la Food and Drug Administration (FDA) sur ordre du tribunal.
Amy Kelly, directrice du projet d’analyse des documents Pfizer de War Room/DailyClout, a qualifié les informations contenues dans ce lot de documents cliniques de Pfizer, qui comprenaient un « examen cumulatif de la grossesse et de l’allaitement », de « parmi les plus horribles » à avoir été rendues publiques.
Le document de Pfizer révèle que dans ses essais cliniques, des « effets indésirables » se sont produits dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin (y compris lors de rapports sexuels, par inhalation et par contact cutané) ; 53 femmes (21 %) ont subi des avortements spontanés « à la suite de la vaccination par le BNT162b2 (ARNm de Pfizer) » ; et six cas d’accouchement prématuré ont entraîné la mort de deux nouveau-nés.
Lire la suiteLe Dr Robert Malone et le dépeuplement mondial
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie
31 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Dans un discours prononcé lors du 2023 White Coat Summit, le Dr Robert Malone a posé la question cruciale à propos des soi-disant vaccins COVID :
« Pourquoi un gouvernement souhaiterait-il faire avancer cette technologie ? »
Il a conclu, à contrecœur, que les nouvelles injections d’ARNm ont été mises au point par la CIA pour contribuer à un programme de dépopulation mondiale — qui existe aux États-Unis depuis les années 1970.
Suivez le scientifique
Le Dr Malone a été l’un des pionniers de la technologie qui a conduit à la mise au point des injections d’ARNm. Sa compréhension quasi unique du mécanisme d’action de ces injections a été qualifiée de « désinformation » par les médias grand public lorsqu’il a commencé à mettre en garde le monde contre les dangers de ces nouvelles interventions.
Compte tenu de son expérience dans le développement de ce qu’il appelle les « vaccins génétiques », le Dr Malone semble personnifier la science même que nous devrions suivre. Toutefois, ce ne sont pas ses références ni son expertise avérée qui ont conduit aux attaques contre sa réputation. C’est le fait que la science qu’il a suivie a amené un sinistre programme mondial de nuisance délibérée.
Qui sont les maîtres des marionnettes ? Le gouvernement américain, les scientifiques nazis
Le Dr Malone déclare :
Lire la suiteLorsque nous nous demandons qui sont les marionnettistes qui se cachent derrière tout cela, nous devons regarder la vérité en face. C’est le gouvernement américain qui est à l’origine de beaucoup de choses... en termes de financement, de politique et d’actions.
Dr Konstantin Beck : L’augmentation du nombre de fausses-couches et d’enfants mort-nés est directement liée aux vaccins COVID, selon les données — les autorités sanitaires « auraient dû le savoir »
Présentée le 26 juillet 2023, la recherche révolutionnaire du Dr Konstantin Beck, statisticien et professeur à l’université de Lucerne, montre que les taux de fausses-couches et d’enfants mort-nés en 2022 correspondent directement à la vaccination COVID-19 des femmes enceintes en Suisse neuf mois plus tôt, et que les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique connaissaient ou auraient pu connaître cette information à l’époque.
Par Brenda Baletti, Ph.D., The Defender (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : milanmarkovic78/Adobe Stock
Note du président de LifeSiteNews, Steve Jalsevac : La question des injections COVID provoquant des fausses-couches et des mortinaissances a fait l’objet d’une controverse et d’un déni importants, même parmi les personnes pro-vie. La plupart d’entre elles refusent de croire que cela se produit.
La réalité est très différente, mais elle n’est peut-être pas uniforme partout, elle peut être principalement liée à certains lots, ou à une sous-déclaration massive, à de la honte ou à d’autres causes qui expliquent la réticence à établir un lien entre les injections et les fausses-couches et la mortinatalité. Le gouvernement, le corps médical, les médias et les fabricants de vaccins insistent lourdement sur le fait que les vaccins sont totalement sûrs pour les grossesses, ce qui a conditionné les masses à rejeter des rapports tels que celui-ci comme n’étant pas crédibles. Malheureusement, cela a conduit à la perte tragique, historique et statistiquement prouvable de nombreuses vies de bébés, sans que le public anesthésié et victime d’un lavage de cerveau ne proteste.
Les vaccins COVID sont irréfutablement associés à une augmentation historique des fausses-couches et des mortinaissances, et TOUS les pays, et pas seulement certains, devraient les interdire aux femmes en âge de procréer. Les médecins doivent fortement décourager toutes ces femmes de recevoir les vaccins COVID, qui présentent un risque évident. Ce rapport et bien d’autres du même genre doivent être pris au sérieux.
Il faut du courage pour prendre les bonnes décisions sur cette question en raison de l’intense propagande et des menaces qui pèsent sur ceux qui prendraient les bonnes mesures.
Cet article a été publié à l’origine par The Defender —Children's Health Defense's News & Views Website.
Lire la suiteUne femme de l'Ontario se fait demander de donner les organes de son mari mourant après qu'une greffe lui ait été refusée parce qu'il n'était pas vacciné
Garnet et Megan Harper.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 juillet 2023, Sudbury, Ontario (LifeSiteNews) — Les autorités sanitaires canadiennes ont demandé à une femme de l'Ontario de faire don des organes de son mari qui se mourait de n’avoir pu recevoir une greffe d’organe parce qu’il n’était pas vacciné contre le COVID-19.
En mai, le Réseau Trillium pour le don de vie (RTDV), l'agence de don d'organes de l'Ontario, a appelé Meghan Harper pour prélever les organes de son mari Garnet, alors que celui-ci était mourant parce que l'hôpital refuse de fournir des greffes d'organes aux Canadiens non vaccinés.
« Ils vous appellent alors que vous êtes assis à côté de votre proche mourant et vous demandent s'ils peuvent avoir ses organes », a déclaré Megan à la journaliste indépendante Monique Leal.
Les professionnels de la santé contactent RTDV s'ils pensent qu'un patient mourant pourrait être un bon candidat au don d'organes. Alors que Garnet passait ses derniers moments sur terre, Meghan a été informée par les infirmières qu'elle devait s'attendre à recevoir un appel de RTDV.
« Pendant ce temps, il n'était pas assez bon pour recevoir des organes de leur part... Je ne peux pas décrire ce que je ressens », poursuit-elle. « J'en ai mal au ventre ».
Selon Meghan, la collaboratrice de RTDV ignorait que Garnet était en train de mourir parce que l'hôpital avait refusé de procéder à une greffe de rein sur un Canadien non vacciné.
« Elle était surprise et n'avait manifestement aucune idée de ce qui se passait », se souvient Megan.
Lire la suiteLe long parcours de Steve Jalsevac, cofondateur de LifeSiteNews
Steve Jalsevac.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
1er juin 2023 — Le personnel de LifeSiteNews qui côtoie Steve Jalsevac régulièrement connaît celui-ci sous de nombreux aspects : le cofondateur de l’agence de presse, un Canadien sarcastique et amical qui aime converser et apprendre de nouvelles informations, un observateur passionné et joyeux de l’actualité qui garde toujours à l’esprit la « vue d’ensemble ».
Lors de l’édition canadienne du gala du 25e anniversaire de LifeSite, qui se tiendra le 18 juillet à Markham (Ontario), les lecteurs auront l’occasion de rencontrer et d’entendre Jalsevac qui, autrefois membre pro-avortement et détenteur d’une carte de « Zero Population Growth », est devenu cofondateur du premier site d’information pro-vie sur internet.
« Après ma conversion, le miracle de voir naître notre premier enfant, puis de voir des photos de bébés avortés, m’a ouvert les yeux sur l’horreur de l’avortement. J’ai alors réalisé que j’avais été complètement dupé par le mouvement en faveur de l’avortement », a déclaré M. Jalsevac.
L’un des résultats inattendus du travail de Jalsevac avec LifeSite est « une énorme satisfaction personnelle au travail et une vie de famille merveilleuse et bénie, avec huit enfants et jusqu’à présent 27 petits-enfants », a-t-il déclaré.
Mais, a-t-il fait remarquer, le travail pro-vie implique également « d’endurer une grande part d’irrationalité, des critiques fréquentes, le manque de soutien de la part de ceux dont on s’attendrait naturellement à recevoir du soutien, et l’influence négative de personnes et de dirigeants à l’esprit institutionnel qui sont aveuglés par les ambitions, l’orgueil intellectuel, le confort, la peur et qui ne sont pas disposés à endurer le moindre supposé préjudice à leur réputation ».
Lire la suiteDes pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteL’incohérence morale de Trump sur l’avortement pourrait causer sa perte
Donald Trump.
Par Steve Jalsevac — traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Après avoir mis tout mon cœur et toute mon âme, pendant près de 40 ans, à œuvrer pour mettre fin au massacre massif et mondial d’innocents par l’avortement, j’ai été vraiment bouleversé par la déclaration de l’ancien président Donald Trump, dimanche, sur cette question.
Celui qui était auparavant « le plus pro-vie de tous les présidents récents » a affirmé à tort que « la question de l’avortement a été mal gérée par de nombreux républicains, en particulier ceux qui ont fermement insisté sur le principe “Pas d’exception, même en cas de viol, d’inceste ou de [danger pour la] vie de la mère”, qui ont perdu un grand nombre d’électeurs. »
Il aurait été préférable qu’il ne dise rien sur cette question. En ce qui me concerne, il a tout à fait tort dans son affirmation, et j’utilise le mot « tout à fait » intentionnellement. En réalité, le contraire de ce qu’il a affirmé dans cette déclaration a souvent été la vérité. Comment peut-il se tromper autant après tout ce qu’il a appris au cours des dernières années ?
Ceux qui font ou acceptent constamment et délibérément ces exceptions sapent leur crédibilité et les prétentions de l’ensemble du mouvement pro-vie à être pro-vie. Ils affirment que toute vie humaine est sacrée et digne d’être protégée, puis, à des fins de pragmatisme politique, disent que certaines catégories d’humains peuvent être assassinées en raison des circonstances dans lesquelles elles ont été conçues.
Cela ne tient pas debout. L’incohérence est évidente et beaucoup la voient.
C’est une chose d’avoir des candidats qui, à titre personnel, comme Trump, insistent sur ces exceptions, généralement à cause des mauvais conseils de conseillers politiques de leur camp qui ne sont pas pro-vie. C’est bien pire pour Trump d’insister pour que tous les candidats « pro-vie » qu’il soutiendra aient ces exceptions dans leur position sur l’avortement.
Lire la suiteDes parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
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