P. Acker: plusieurs vaccins covid emploient une lignée cellulaire de bébés avortés, peut-être vivants lors de la récolte des tissus
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Freepik
A la suite de l’entretien accordé à la mi-janvier par Pamela Acker à John-Henry Westen pour LifeSite, Pamela Acker a vu certaines de ses affirmations sur l’inacceptabilité de l’utilisation de lignées cellulaires trouvant leur origine dans des fœtus avortés contestés par des lecteurs. D’autres ont demandé des éclaircissements et des précisions.
Je vous propose ci-dessous ma traduction intégrale de sa réponse publiée vendredi dernier par LifeSite, où figure la totalité des sources citées par Pamela Acker par le biais de liens actifs. Il est donc possible à chacun de vérifier le sérieux de ses dires. — J.S.
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Un certain nombre de questions ont été posées à LifeSiteNews à propos d’une interview que j’ai donnée à John-Henry Westen le 12 janvier 2021 [traduction française intégrale ici]. On m’a demandé de répondre à certaines de ces questions, en commençant par des interrogations sur l’origine de la lignée cellulaire HEK-293, qui a été utilisée dans le développement de nombreux vaccins COVID actuellement à l’essai.
Frank Graham, le chercheur qui a développé cette lignée, a tiré son nom de son origine (rein embryonnaire humain) et aussi de la méthode qu’il a utilisée pour numéroter ses expériences (c’était la 293e). Dans l’interview accordée à LifeSite, j’ai émis l’hypothèse que cette lignée cellulaire pourrait avoir été le fruit de centaines d’avortements. D’aucuns ont remis cette hypothèse en question, affirmant que Frank Graham lui-même a déclaré que ladite lignée cellulaire était basée sur un seul avortement et deux expériences. Il est allégué que par conséquent, c’est l’affirmation selon laquelle un seul avortement a été pratiqué qui est correcte, ce que cela a des répercussions sur la nature morale de la décision d’utiliser ou non ces vaccins entachés par l’avortement.
Plusieurs aspects de ce raisonnement doivent être abordés. Le premier est celui qui concerne le développement d’une lignée cellulaire.
Lorsqu’une lignée cellulaire est développée (qu’il s’agisse d’une lignée cellulaire humaine ou animale), elle est généralement produite à partir d’un échantillon de tissu provenant d’un seul individu (les lignées cellulaires hybrides font exception). Ainsi, d’une part, il est techniquement correct de dire que la lignée cellulaire a été développée en utilisant un seul bébé avorté. Cependant, cela ne donne pas une idée exacte du nombre de vies qui ont été réellement sacrifiées dans le processus de développement d’une lignée cellulaire de fœtus avorté.
Lire la suiteTexte d’opinion : le non-sens des mesures « sanitaires » promues par l’OMS
Par Charles Danten ― Photo : Freepik
Voici un texte d’opinion qui a été envoyé à Campagne Québec-Vie par Charles Danten au sujet de la « pandémie » et des mesures « sanitaires » censées la combattre. ― A. H.
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Bonjour,
Disons d’emblée que je ne parle pas sans connaissance de cause, j’ai un B.Sc. en agronomie et un doctorat de premier cycle en médecine vétérinaire. J’ai de plus une maîtrise en traduction orientée vers les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Je connais bien les principes de la médecine pour les avoir appliqués sur le terrain pendant 18 ans, dont dix à mon propre compte dans ma clinique vétérinaire située en banlieue de Montréal. Pour en avoir traduit bon nombre à titre professionnel, je connais également relativement bien les études cliniques, comment elles sont conçues et comment juger de leur validité. En d’autres mots, je suis suffisamment compétent pour faire la part des choses et donner un avis éclairé sur ce crime contre l’humanité dont nous sommes victimes depuis maintenant un an et dont les responsables vont bientôt devoir rendre des comptes.
Christian Drosten : l’heure des comptes ?
Je vous écris, donc, car je ne sais pas trop à qui je pourrais m’adresser, personne ne vous écoute, les médias ne publient aucune opinion contraire au dogme, le débat est clos, on vous tourne le dos dès que vous contestez le moindrement la gestion sanitaire de la Covid calquée en tout point sur les recommandations mensongères de l’OMS. On vous ostracise, on vous prend pour un désaxé, un conspirationniste, voire un fasciste si vous avez le malheur de vous opposer au consensus sur :
― les mesures sanitaires inutiles, voire contre-productives faisant bien plus de mal que de bien au niveau économique, sociale et psychologique en plus d’être incapables d’arrêter le moindre virus.
Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses
— l’escroquerie du test PCR qui n’est pas un test de dépistage du Covid-19 et qui peut donner jusqu’à 90 % de faux +. Selon le Dr Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, ce test est en effet « fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement ». Il est utilisé uniquement pour créer la peur et faire perdurer la fausse pandémie pour des raisons politiques et financières.
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays
Lire la suiteLa Chambre du Dakota du Nord vote l’interdiction du masque obligatoire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (côtés flous rajoutés) : Freepik
Hier lundi, la Chambre des représentants du Dakota du Nord a voté par 50 voix contre 44 un projet de loi rendant illégal tout décret qui rendrait le port du masque obligatoire dans l’État.
Le Dakota du Nord n’« est pas un camp de prisonniers », affirme le député Jeff Hoverson, rapporte The Gateway Pundit :
« Notre État n’est pas un camp de prisonniers », déclara le parrain du projet de loi, le député Jeff Hoverson.
Le gouverneur républicain Doug Burgum avait rendu le masque obligatoire par un décret il y a trois mois, mais avait auparavant exprimé des doutes quant à la pertinence de ce décret.
Le Grand Forks Herald rapporte que Hoverson a qualifié l’obligation du masque de « bêtise diabolique », les qualifiant de conspirations dirigées par « des bureaucrates nantis et non élus qui volent nos libertés et perpétuent des tromperies ».
Soit dit en passant, le représentant Jeff Hoverson est un député pro-vie qui avait présenté par le passé un projet de loi qui aurait tout simplement chargé du chef de meurtre les avorteurs. Le projet de loi n’a bien sûr jamais passé…
Ceci montre le lien qui existe entre une certaine rectitude morale et un sain scepticisme face à l’hystérie du covid actuelle ; le même courage que cela prend pour combattre l’avortement se retrouve à l’œuvre pour combattre un mensonge monstrueux. Oui, dès qu’il y a un amour pour la vérité, et le courage nécessaire pour la défendre, celui-ci cherche à voir clair à travers les nouvelles aberrations.
Les personnes comme Jeff Hoverson, qui par exemple défendent l’enfant à naître, sont à mon avis bien plus fiables que les partisans de l’avortement, surtout les gros médias qui promeuvent l’avortement, l’euthanasie, la contraception, le transgenrisme, l’idéologie LGBT, le libertinage, la pornographie (dite modérée), le laïcisme, le relativisme, l’athéisme, etc. Si à ces derniers vous ne confieriez pas votre âme, pourquoi donc leur confieriez-vous votre raison ?
Ceci dit, il y a évidemment des exceptions, aussi bien dans un sens que dans l’autre, certain pro-vie croiront à la dangerosité suprême du covid-19, tandis que d’autres qui sont peut-être pro-avortement n’y croient pas. Cependant ces derniers sont sur un chemin qui mène éventuellement à la Vérité, car ils combattent déjà un mensonge, et ne tarderont pas, je l’espère, à comprendre la malice des autres.
La Tanzanie ne veut pas des vaccins covid (et ne confine d’ailleurs absolument pas)
Par Nsango ya Bisu (Médias Presse Info)
C’est passé quasiment inaperçu en Europe mais la ministre tanzanienne de la Santé Dorothy Gwajima a annoncé le 1er février que le pays n’a pas besoin de vaccins et « ne prévoit pas d’en recevoir », au grand dam de Bill et Melinda Gates et de l’ensemble de leurs organismes satellites.
Mme Gwajima a expliqué que la Tanzanie est un pays sûr. La ministre de la Santé a simplement rappelé à la population l’importance de l’hygiène de base, notamment de fréquemment se laver les mains*, de manger des aliments sains, et d’utiliser des remèdes naturels comme le pays peut facilement en procurer.
Quelques jours auparavant, le président catholique John Magufuli avait qualifié les vaccins de dangereux et d’inutiles en disant que « Dieu protégera » la nation.
En mars, le président Magufuli avait décidé de maintenir les églises ouvertes et encourageait les Tanzaniens à fréquenter les lieux de culte et à travailler normalement.
La Tanzanie (60 millions d’habitants) est l’un des rares pays au monde qui ne participent pas à l’hystérie du covid-19 et qui ne publient pas de « données sur les infections ».
*C'est ce que disait l'inénarrable Horacio Arruda quand il parlait de l'inutilité des masques, si ce n'est de leur dangerosité, au début de l'année 2020... — A. H.
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, dans l’eau chaude pour dissimulation de « décès covid »
Andrew Cuomo.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Le gouverneur démocrate de l’État de New York, Andrew Cuomo, loué par les gros médias au début du confinement pour sa gestion de la « pandémie », est maintenant cloué au pilori jusque par les membres de son parti, par les républicains de l’État qui veulent lancer le processus de destitution à son encontre, et peut-être bientôt par le gouvernement fédéral qui a entamé une enquête sur ladite gestion. Le crime reproché à Cuomo ? Outre le pourcentage élevé de « décès covid » de son État par rapport aux autres, il a sciemment dissimulé environ 50 % des décès provenant des maisons de soins, les laissant confondus dans la masse du total de l’État.
Les républicains veulent partir une commission de destitution contre Cuomo, selon LifeNews :
Les membres républicains de l’Assemblée de l’État de New York ont annoncé jeudi qu’ils prévoyaient présenter la semaine prochaine une résolution visant à former une commission de destitution chargée d’enquêter sur le gouverneur démocrate Andrew Cuomo.
Le chef de la minorité républicaine, Will Barclay, a déclaré que la commission rassemblerait « des faits et des preuves » concernant la manière dont Cuomo a géré la pandémie de COVID-19 et la sous-déclaration présumée des décès dans les maisons de soins, selon Fox News.
[…]
Si la commission est autorisée par la législation, elle aurait le pouvoir de contraindre l’État à divulguer tous les documents relatifs à l’enquête. Elle aurait également le pouvoir d’assigner (subpoena) des fonctionnaires du gouvernement tels que le commissaire à la santé, le Dr Howard Zucker, et le principal collaborateur de Cuomo, Melissa Derosa, à témoigner devant les législateurs, selon le New York Post :
Comme si ce n’était pas assez, son propre parti s’est mis contre lui, plusieurs personnalités démocrates de l’État de New York demandant de retirer au gouverneur le pouvoir d’émettre des mesures d’urgence, tandis que le FBI et le gouvernement américain ont lancé une enquête de sur la gestion de Cuomo, rapporte The New York Times :
Lire la suiteLes dirigeants démocrates du Sénat de l’État de New York s’apprêtent à retirer au gouverneur Andrew Cuomo les pouvoirs d’urgence unilatéraux qui lui ont été accordés pendant la pandémie, mettant ainsi en place un remarquable blâme pour le gouverneur de la part des membres de son propre parti.
Les mesures du Sénat, qui pourraient être votées dès la semaine prochaine, soulignent l’aggravation de la division entre M. Cuomo et les législateurs de l’État depuis que le gouverneur a admis avoir intentionnellement caché à l’assemblée législative des données critiques sur les décès liés au virus.
Cette décision a été prise alors même qu’il est apparu que le FBI et le procureur fédéral du district Est de New York avaient ouvert une enquête sur la manière dont l’administration Cuomo avait géré les maisons de retraite pendant la pandémie. On ne sait si l’enquête, confirmée par trois personnes connaissant bien le dossier, portait sur M. Cuomo ou sur une autre personne, mais on sait seulement qu’elle en est à ses débuts.
Covid ― voici comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assuré le soutien des médias
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Info)
Voici une nouvelle analyse rédigée par Robert Kennedy Jr :
Le Washington Post, propriété de Jeff Bezos, a publié un article de l’Associated Press applaudissant la censure de ceux qui critiquent les politiques de restrictions sanitaires imposées au nom de lutte contre la pandémie.
Le confinement au nom du Covid-19 a rapporté à Bezos 70 milliards de dollars depuis son début. Si vous êtes Bezos, un confinement permanent est une mine d’or.
Bill Gates, quant à lui, a gagné 20 milliards de dollars grâce au confinement. Sa stratégie a consisté à émasculer les médias indépendants — les sources les plus probables du genre de journalisme vigoureux qui pourrait autrement examiner son intérêt personnel dans les politiques qu’il a aidé à concevoir avec succès pour le reste d’entre nous.
Gates a utilisé des millions en dons pour transformer The Guardian en son bulletin personnel. Avec 250 millions de dollars, il s’est assuré l’absence de critiques de la part de médias comme la BBC, NBC, Al Jazeera, ProPublica, National Journal, Univision, Medium, le Financial Times, The Atlantic, le Texas Tribune, Gannett, Washington Monthly, Le Monde et le Center for Investigative Reporting.
Gates a également fait d’importantes contributions à des organisations caritatives affiliées à des organes de presse, comme BBC Media Action et le New York Times, selon une enquête menée en août 2020 par Columbia Journalism Review. Il a également désarmé NPR et la télévision publique en les rendant dépendants de son soutien.
Gates est sans doute le plus grand fabricant de vaccins au monde. En tant que principal contributeur financier, Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé qui, selon Foreign Affairs, ne prend aucune décision significative sans consulter la Fondation Bill & Melinda Gates. Il exerce la même autorité dictatoriale sur une armée d’organismes quasi gouvernementaux : Path, GAVI CEPI, Unicef, etc.
Lire la suiteGrande-Bretagne : pratiques eugéniques contre les personnes handicapées « atteintes » du covid
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : wavebreakmedia-micro/Freepik
En Grande-Bretagne, un organisme d’aide aux personnes mentalement handicapées a noté un nombre inquiétant d’indications de non-réanimation attribuées à ces personnes, si elles attrapaient le covid (pour ce que ça veut dire…), sans qu’elles en eussent fait la demande, selon LifeSiteNews :
Au Royaume-Uni, les personnes souffrant de handicaps de l’apprentissage ont été informées qu’elles ne se feraient pas réanimer si elles contractaient le COVID-19, selon l’association Mencap, spécialisée dans les handicaps de l’apprentissage.
Corroborant ces dires, la Care Quality Commission du ministère de la Santé indique qu’au début du confinement il y a eu un nombre disproportionné de groupes particuliers, dont les personnes âgées et celles ayant un handicap mental, auxquels ont avaient attribué un avis de DNACPR (Do Not Attempt Cardiopulmonary Resuscitation : ne tentez pas la réanimation cardiorespiratoire), indiquant donc d’après la CQC un usage abusif de ce protocole dans le milieu hospitalier. LifeSiteNews continue :
L’organisme Mencap a reçu en janvier des plaintes de personnes handicapées qui s’étaient fait dire qu’elles ne seraient pas réanimées si elles tombaient malades du covid-19.
Bien que les indications de DNACPR fussent normalement destinées aux personnes fragiles ou gravement malades qui ne tireraient probablement aucun bénéfice d’une forte RCP (réanimation cardiopulmonaire) et fussent habituellement évaluées individuellement entre le médecin et le patient, Mencap déclare que certaines personnes se voyaient attribuer une indication de DNACPR pour avoir un simple handicap de l’apprentissage.
Le directeur général de Mencap, Edel Harris, a déclaré : « Tout au long de la pandémie [confinement, plutôt*], de nombreuses personnes souffrant d’un trouble d’apprentissage ont rencontré une discrimination choquante et des obstacles à l’accès aux soins de santé, les avis inappropriés “ne tentez pas la réanimation cardiorespiratoire” ajoutés à leurs dossiers, et des coupes dans leur aide sociale ».
Et d’après vous, que se passait-il quand une personne qui aurait eu le covid et ayant eu une attaque cardiaque ne se faisait pas réanimer grâce au protocole britannique ? On aura classé ça « décès covid »…
Au Québec, en juin, on avait parlé d’un protocole officiel qui, s’il venait à manquer de lits ou de respirateurs dans les hôpitaux, permettrait à un médecin de refuser les soins intensifs à une personne ayant des déficiences cognitives sévères, comme l’autisme ou la trisomie 21, dans le cadre de la « pandémie ».
*Commentaire d’A. H.
Avortement, euthanasie : questions à propos des nouveaux membres de l’Académie pontificale pour la vie nommés par le pape François
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Wikimedia Commons
Le pape François a nommé vendredi quatre nouveaux membres ordinaires de l’Académie pontificale pour la vie (APV), parmi lesquels au moins trois soulèvent de sérieuses questions quant à l’orientation future de cette institution créée par le pape Jean-Paul II en 1993 pour la mise en œuvre d’Evangelium vitæ et de la culture de la vie. Actifs dans les domaines de la bioéthique et de la théologie morale, de l’intelligence artificielle et de la robotique ainsi que de la santé publique et des vaccins, les quatre candidats ont été clairement choisis en tenant compte des questions contemporaines allant du contrôle des naissances et de l’idéologie du genre à la « quatrième révolution industrielle » et à la réponse à la crise COVID-19.
Sœur Margarita Bofarull i Buñuel, de la Société du Sacré-Cœur de Jésus, médecin et chirurgien, enseigne la théologie morale à la faculté de théologie de Catalogne et à l’Universidad Centroamericana José Simeón Cañas au Salvador. Elle est également présidente de l’Instituto Borja de Bioética de l’Université Ramon Llull à Barcelone, connu pour sa justification de certains avortements et de l’euthanasie.
Elle était déjà membre correspondant de l’APV, tout comme le deuxième membre ordinaire nommé vendredi, Paolo Benanti, religieux italien du Tiers Ordre Régulier des Franciscains, spécialisé en théologie morale, en bioéthique et en neurotechnologies. Il enseigne à l’Université grégorienne de Rome.
Le professeur Gualtiero « Walter » Ricciardi dirige le département des sciences de la santé de la femme et de l’enfant ainsi que de la santé publique à l’Université catholique du Sacré-Cœur, en Italie, mais il a également été un conseiller scientifique éminent du gouvernement italien au plus fort de la crise du COVID-19 au printemps 2020. De 2016 à 2020, il représentait l’Italie au sein du Comité exécutif de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En avril, il a fait la une des journaux italiens à cause d’un tweet agressif contre Donald Trump, illustré par une vidéo montrant un certain nombre de personnes frappant une marionnette du président américain.
Enfin, le professeur Maria Chiara Carrozza est professeur d’ingénierie industrielle à l’Institut de bio-robotique de l’École normale de Pise, en Italie. Elle est particulièrement active dans le domaine de la robotique de réadaptation pour les amputés, des exosquelettes portables et de la « symbiose homme-machine ». Elle est également une femme politique, membre du Parti démocrate (centre-gauche, affilié au Parti socialiste européen au Parlement européen) ; elle a été ministre de l’Instruction, des Universités et de la Recherche dans le gouvernement Letta en 2013-2014.
Lire la suiteMgr Viganò : la juste obéissance et la juste désobéissance
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Laurent Fabien (Médias Presse Info)
Dans une réponse à la lettre d’un prêtre l’interrogeant sur la question de l’autorité, Mgr Carlo Maria Viganò souligne l’importante distinction entre la désobéissance à un ordre immoral provenant de celui qui détient l’autorité, fut-il pape, et la reconnaissance d’une telle autorité. Quand celui qui détient l’autorité ordonne une chose immorale, sortant par conséquent du cadre de l’autorité qui lui est inférée, nul n’est tenu de lui obéir.
Le subalterne peut même contredire celui qui détient l’autorité dans ce qu’il déclare d’erroné, comme la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi sur la licéité des vaccins covid développés sur des lignées cellulaires de bébés avortés. ― A. H.
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Ce texte long et très étayé rappelle aux catholiques qu’obéissance ne veut pas dire soumission à tout ce que l’autorité édicte surtout quand elle s’éloigne de la vérité : la réponse nous vient de la doctrine catholique, qui fixe des limites d’action très claires à l’autorité des prélats et à l’autorité suprême du pape. On y comprend aussi, et ce n’est pas rien, que Mgr Viganò, malgré ses fortes « réserves » sur le Pape François, n’est pas un adepte du sédévacantisme. On pouvait le présupposer, mais il vaut mieux le lire.
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Révérend et cher prêtre du Christ,
J’ai reçu votre lettre, dans laquelle vous me soumettez des questions graves sur la crise d’autorité dans l’Église, crise qui s’est intensifiée ces dernières années et en particulier lors de « l’urgence pandémique », à l’occasion de laquelle la gloire de Dieu et le salut des âmes ont été mis de côté au profit d’une prétendue santé du corps. Si j’ai l’intention de rendre publique ma réponse détaillée à votre lettre, c’est parce qu’elle répond aux nombreux fidèles et prêtres qui m’écrivent de partout, m’exposant leurs interrogations et tourments de conscience sur ces mêmes questions graves.
Le problème d’une autorité pervertie — c’est-à-dire qui n’agit pas dans les limites qui sont les siennes ou qui s’est donnée de manière autonome une fin opposée à celle qui la légitime — est abordée par les Saintes Écritures pour nous rappeler que omnis potestas a Deo (Rm 13, 1) et qui resistit potestati, Dei ordinationi resistit (Rm 13, 2). Et si saint Paul nous dit d’obéir à l’autorité civile, à plus forte raison nous sommes tenus d’obéir à l’autorité ecclésiastique, en raison de la primauté des questions spirituelles sur les questions temporelles.
Vous observez que ce n’est pas à nous de juger l’autorité, car le Fils de l’homme reviendra pour faire justice à la fin des temps. Mais si nous devions attendre le jour du Jugement pour voir les méchants punis, dans quel but la Majesté divine aurait-elle établi une autorité temporelle et spirituelle sur terre ? N’est-ce pas leur travail, en tant que vicaires du Christ Roi et Grand Prêtre, de gouverner leurs sujets sur cette terre, d’administrer la justice et de punir les méchants ? Quel sens auraient les lois s’il n’y avait pas quelqu’un pour les faire respecter, sanctionnant ceux qui les violent ? Si l’arbitraire de ceux qui sont constitués en autorité n’était pas puni par ceux qui ont autorité sur eux, comment les sujets — civils et ecclésiastiques — pourraient-ils espérer obtenir justice sur terre ?
Lire la suiteLa CDC a gonflé les chiffres de mortalité du covid-19 par 1600 % !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist — Mise à jour : 24 février 2020
Vous avez peut-être vu la « vérification de faits » dont a fait l'objet le présent article, j'y réponds ici.
Le Center for Desease Control américain aurait gonflé les chiffres de mortalité du covid-19 aux États-Unis par 1600 %, notamment, rapporte The Gateway Pundit, grâce à la manipulation des règles d’enregistrement des décès, aux tests peu fiables, à l'enregistrement de cas de covid-19 non certifiés et autres absurdités :
- La CDC a admis que les tests PCR pouvaient donner un résultat positif quand la personne présentait les anticorps correspondant à une famille de virus causant le rhume commun… combien de gens n’ont-ils pas attrapé le rhume ?
- Notez également que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment indiqué (le jour même de l’investiture de Biden) que les tests PCR n’étaient pas fiables (à cause du nombre exagéré de cycles d’amplification).
- Des protocoles utilisés pendant des décades ont été changés sans explication le 24 mars 2020, la CDC publiant le document NVSS COVID-19 Alert No. 2 instruisant les examinateurs médicaux, les procureurs et les médecins d’indiquer dans la Partie I du rapport de décès le covid-19 en tant que cause principale, indifféremment des autres causes, au lieu de l’inscrire dans la Partie II comme cause concurrente en présence de causes préexistantes.
- D’autre part, le 14 avril 2020, la CDC a adopté un règlement exclusif au covid-19, en violation à la loi fédérale, confiant la réglementation de la collecte de données au Council of State and Territorial Epidemiologists (CSTE), organisme à but non lucratif, qui avait publié un document le 5 avril 2020 intitulé Standardized surveillance case definition and national notification for 2019 novel coronavirus disease (COVID-19), qui devint donc la base de nouvelles réglementations le 14 avril, faisant compter les cas probables de covid-19 comme cas réels sans preuve définitive d’infection. De plus, le document en question permis de nouvelles règles pour la recherche des contacts permettant aux chercheurs de contacts d’exercer la médecine sans permis… refusant de surcroît de créer de nouvelles règles pour éviter qu’une même personne fût compter plusieurs fois.
Par conséquent, les chiffres officiels de la CDC sur la mortalité liée au covid-19 ont enflé d’au moins 1600 %. Tous les points énumérés ne sont qu’un simple résumé d’une étude, revue par les pairs, de l’Institute for Pure and Applied Knowledge (IPAK) et du Public Health Policy Initiative (PHPI).
Et au Québec ? Qu’en est-il de notre belle province ? Nous avons déjà un vague aperçu de méthodes semblables ― comme le fameux lien épidémiologique d’Arruda…
Aussi, si cela n’indique pas une incompétence crasse, cela cache une volonté d’employer une « crise » fabriquée de toute pièce dans un but précis.