Des pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteL’incohérence morale de Trump sur l’avortement pourrait causer sa perte
Donald Trump.
Par Steve Jalsevac — traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Après avoir mis tout mon cœur et toute mon âme, pendant près de 40 ans, à œuvrer pour mettre fin au massacre massif et mondial d’innocents par l’avortement, j’ai été vraiment bouleversé par la déclaration de l’ancien président Donald Trump, dimanche, sur cette question.
Celui qui était auparavant « le plus pro-vie de tous les présidents récents » a affirmé à tort que « la question de l’avortement a été mal gérée par de nombreux républicains, en particulier ceux qui ont fermement insisté sur le principe “Pas d’exception, même en cas de viol, d’inceste ou de [danger pour la] vie de la mère”, qui ont perdu un grand nombre d’électeurs. »
Il aurait été préférable qu’il ne dise rien sur cette question. En ce qui me concerne, il a tout à fait tort dans son affirmation, et j’utilise le mot « tout à fait » intentionnellement. En réalité, le contraire de ce qu’il a affirmé dans cette déclaration a souvent été la vérité. Comment peut-il se tromper autant après tout ce qu’il a appris au cours des dernières années ?
Ceux qui font ou acceptent constamment et délibérément ces exceptions sapent leur crédibilité et les prétentions de l’ensemble du mouvement pro-vie à être pro-vie. Ils affirment que toute vie humaine est sacrée et digne d’être protégée, puis, à des fins de pragmatisme politique, disent que certaines catégories d’humains peuvent être assassinées en raison des circonstances dans lesquelles elles ont été conçues.
Cela ne tient pas debout. L’incohérence est évidente et beaucoup la voient.
C’est une chose d’avoir des candidats qui, à titre personnel, comme Trump, insistent sur ces exceptions, généralement à cause des mauvais conseils de conseillers politiques de leur camp qui ne sont pas pro-vie. C’est bien pire pour Trump d’insister pour que tous les candidats « pro-vie » qu’il soutiendra aient ces exceptions dans leur position sur l’avortement.
Lire la suiteDes parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
Lire la suiteUne infirmière dénonce l'augmentation alarmante du nombre de décès fœtaux après le lancement d’un certain produit injectable
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
6 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Lors d’une récente table ronde organisée par Children’s Health Defense (CHD), une infirmière a dénoncé une augmentation alarmante des décès fœtaux chez les mères qui avaient reçu un vaccin COVID-19.
Mme Michelle Gershman, infirmière, s’est jointe au Dr James Thorp et aux membres de l’équipe du CHD dans leur émission hebdomadaire pour discuter du lien entre les vaccins COVID et les morts fœtales, ainsi que du manque d’attention sérieuse accordée à ce problème croissant.
« Je ne comprends pas comment les gens peuvent se contenter de balayer la question du revers de la main et prétendre que ce n’est pas grave », a déclaré Mme Gershman au cours de la discussion. « C’est absolument un problème majeur. Je crois sincèrement que les bébés nous sont donnés par Dieu, qu’ils sont censés nous apporter amour et joie, et si quelque chose vient s’interposer, en essayant de vous enlever votre bébé, pour moi c’est absolument diabolique. »
Mme Gershman a commencé à travailler en tant qu’infirmière post-partum en novembre 2020, pendant la pandémie de COVID-19. Au début, elle a déclaré que le virus ne semblait pas avoir d’impacts majeurs sur les décès fœtaux et les problèmes de santé des femmes enceintes.
Mais au fil du temps, l’infirmière a constaté divers problèmes circulatoires chez les mères. Outre l’hypertension artérielle qui se poursuivait même après l’accouchement, les femmes présentaient davantage de caillots sanguins et d’éclatements de vaisseaux sanguins dans les yeux. Certains bébés nés de femmes vaccinées étaient anormalement fatigués, et leur visage semblait décoloré ou meurtri, mais ce n’était pas la jaunisse. Beaucoup de ces bébés ont également été envoyés à l’USIN [unité de soins intensifs néonatals] pour des problèmes respiratoires.
Lorsque les vaccins ont été mis sur le marché au printemps 2021, elle a commencé à remarquer des problèmes fréquents, notamment une pression artérielle élevée, chez les femmes enceintes et des accouchements précoces. Gershman a noté que beaucoup de femmes rencontrant ces problèmes avaient reçu le vaccin peu de temps avant le début de leurs symptômes. Peu de temps après celui-ci, les femmes se retrouvaient « tout d’un coup à l’hôpital pour accoucher et leurs bébés allaient à l’USIN ».
Lire la suiteLe film « Died Suddenly » (Mort soudainement) allègue qu'un programme de dépopulation se cache derrière les vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Blue Planet Studio/Adobe Stock
31 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Un documentaire novateur qui esquisse le lien entre la récente montée en flèche des morts subites, les vaccins COVID, et le programme de dépopulation qui se cache derrière tout cela, sortira le 21 novembre 2022.
La bande-annonce de « Died Suddenly », présentée par l'animateur radio Stew Peters, est maintenant disponible pour le public.
« Des adultes en bonne santé tombent morts partout dans le monde. Au cours des 18 derniers mois, le terme "Died Suddenly" (Mort soudainement) s'est hissé au sommet des termes les plus recherchés sur Google », indique la brève introduction du documentaire sur le site web du film.
Le film vise non seulement à « raconter les histoires de ceux qui sont morts subitement », mais aussi à « trouver des réponses » expliquant leur décès.
Des extraits de la bande-annonce du film donnent un aperçu de ce que l'équipe du documentaire a découvert : des caillots massifs et mystérieux ont été trouvés dans les corps des défunts vaccinés, un pic « apocalyptique » de décès en excès, et des indications, selon les réalisateurs, que les taux de mortalité élevés parmi les vaccinés sont finalement le résultat d'un plan de dépeuplement délibéré.
Une augmentation marquée du nombre de décès en excès a été enregistrée dans le monde entier, en particulier depuis le second semestre 2021, après que les vaccins COVID aient été mis à la disposition du public. L’un des commentateurs de film figurant dans la bande-annonce a affirmé que l'augmentation massive des décès équivaut à « 12 écarts types au-dessus de la moyenne », soit un événement qui ne se produit qu'une fois tous les 800 ans.
Lire la suiteToute la vérité sur les 6700 victimes des CHSLD avec Sylvain Laforest
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock
Avons-nous euthanasié nos aînées dans les CHSLD entre le printemps 2020 et 2021?
Le documentaire « CHSLD - Je me souviens », portant sur l’hécatombe de près de 6700 aînés des CHSLD, circule sur les réseaux sociaux depuis le 30 septembre 2022.
Le groupe des Macarons de la dignité a organisé une projection privée du film en septembre à laquelle j’ai assisté et où j’ai rencontré le réalisateur du documentaire, Sylvain Laforest. Nous avons eu un premier entretien lors de cette soirée.
Sylvain Laforest lors de la projection privée du documentaire « CHSLD - Je me souviens »
Sylvain a réalisé plus d’une centaine de documentaires pour des chaînes majeures de diffusion, puis a travaillé comme journaliste pour la chaîne d’information RT-France ainsi qu’en vidéojournalisme pour Nous-TV St-Hyacinthe. Présentement, il vit de la vente de ses livres et dédie son temps à des projets qui lui tiennent réellement à cœur, comme la réalisation de ce documentaire sur les aînées abandonnées dans les CHSLD du Québec.
L’entrevue qui suit est notre deuxième entretien, qui approfondit le sujet du drame qui s’est produit dans les CHSLD du Québec. Avant notre entretien, monsieur Laforest a insisté pour que je le tutoie.
Joanna : À quel moment t’es-tu rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond dans les CHSLD?
S.L: Dès mars 2020. D’ailleurs, j’ai écrit un livre en 2015 qui se nomme « La déprogrammation » dans lequel je parlais déjà d’une pandémie, donc quand ça a commencé, je savais que c’était ça qu’on lançait comme opération. Par contre, je ne pensais pas que ça allait durer longtemps. Quand j’ai vu l’hécatombe qu’on causait dans les CHSLD, je me suis informé pour savoir ce qui se passait et j’ai vu que c’était le gouvernement qui mettait des mesures en place qui étaient absolument grotesques et qui étaient certaines de faire des victimes, parce qu’on parlait en partant de manque de soin.
Un gouvernement qui encourage la panique plutôt que la résolution de problèmes, déjà en partant, tu vois qu’il est dans un mode de destruction du système.
Joanna : Comment as-tu trouvé les personnes pour les témoignages du documentaire « CHSLD - Je me souviens » ?
S.L: C’est le gang des Macarons de la dignité qui m’a approché. Au début, c’était pour faire de la promotion pour eux. Puis, ils proposaient d’interviewer des gens sur ce qui s’est passé et de monter une campagne de promotion à partir de ça. Alors, je leur ai dit « tant qu’à faire déplacer ces gens-là pour des entrevues, je peux faire des grosses entrevues et tirer un documentaire », donc, j’ai proposé des noms. J’ai approché Robert Béliveau et Lucie Mandeville. Alain Roy m’a été proposé et Claude Laferrière, c’est un avocat connu qui dénonçait beaucoup. L’infirmier anonyme s’est présenté quand j’ai fait un appel à tous pour avoir des histoires.
Je voulais toucher à plusieurs pans. Avec Lucie Mandeville, j’avais l’aspect psychologique, avec Dr Béliveau, j’avais l’aspect médical, etc. J’ai fait 115 documentaires jusqu’à présent et je suis très habitué à structurer ça. Les autres documentaires que j’ai faits, c’était pour les médias mainstream.
Joanna : Est-ce qu’on peut conclure aujourd’hui que la hausse subite des décès qui ont été dits « liés au coronavirus », comptés à ce jour dans les CHSLD au Québec, est complètement fausse ?
S.L: Ce qu’ils ont fait avec leurs mesures, c’est qu’ils ont accéléré les décès de personnes qui auraient toffé [survécu] un an ou deux de plus. Les CHSLD, les gens vont là en fin de vie, ils sont déjà très fragiles. Pour que la pandémie (qui est finalement la grippe) ait l’air d’une pandémie, ils devaient causer une espèce de pic de mortalité. Les faux cas, les fausses urgences, on peut les créer statistiquement, mais les décès, tu ne peux pas. Soit le monde meurt, soit le monde ne meurt pas. Quand le monde meurt, tu fais gonfler les statistiques.
Si on regarde au niveau des statistiques, les décès qui ont eu lieu le printemps 2020, c’est comme ça qu’on a créé la première vague. Mais le printemps 2020, avec l’année 2021 et 2022, ça se rééquilibre. Donc ce sont des gens pour qui on a accéléré leur mort. On peut observer le même stratagème un peu partout, en Italie, France, l’État de New York, etc.
On a créé cette première fausse vague-là avec un manque de soin.
Le documentaire nous fait réaliser que simplement de refuser l’accès à ces gens aux proches aidants, c’est la fin pour eux. À quoi bon continuer à vivre si tu ne vois même plus les gens que tu aimes ? Les gens qui sont ton dernier lien avec la vie… Tu ne peux pas juste mentir sur les statistiques et espérer de créer une vague à partir de la grippe ordinaire.
Lire la suiteLa Cour d’appel d’Alberta confirme le refus de transplantation d’organe à une femme non vaccinée
Sheila Annette Lewis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rebel News/Rumble
La Cour d’appel d’Alberta a confirmé le 8 novembre le refus de transplantation d’organe à Sheila Annette Lewis — qui souffre de fibrose pulmonaire idiopathique, une maladie progressive et débilitante, en phase terminale — en raison du fait qu’elle n’est pas vaccinée au covid. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a publié un communiqué sur cette affaire :
La Cour d’appel de l’Alberta a décidé que la Charte canadienne des droits et libertés ne s’applique pas à la politique de vaccination Covid-19 des Alberta Health Services et des médecins transplanteurs de l’Alberta, concernant les candidats à la transplantation. Sheila Annette Lewis a contesté la politique de vaccination Covid-19 de l’AHS et des médecins transplanteurs, qui exigeait qu’elle reçoive les vaccins Covid-19 avant de pouvoir bénéficier d’une transplantation salvatrice.
L’appel a été entendu le jeudi 20 octobre 2022, par vidéoconférence. Mme Lewis a fait valoir que la politique de vaccination Covid-19 portait atteinte à ses droits de conscience, à la vie, à la liberté et à la sécurité, ainsi qu’à ses droits à l’égalité, protégés par la Charte. Même si la Cour d’appel a convenu avec le tribunal inférieur que la Charte ne s’appliquait pas aux politiques, elle a émis des motifs selon lesquels les droits de Mme Lewis en vertu de la Charte n’avaient pas été violés.
Mme Lewis a également soutenu que le tribunal inférieur avait fait erreur en concluant que la Déclaration des droits de l’Alberta ne s’appliquait pas aux politiques de vaccination Covid-19 parce que la Charte ne s’y s’appliquait pas. La Cour d’appel n’a pas abordé ce motif d’appel ni n’a formulé de conclusion à cet égard.
En vain Mme Lewis a-t-elle fait valoir l’opinion de spécialistes dont elle a requis l’expertise, afin de démontrer le manque de preuves que le vaccin covid lui profiterait, la cour maintient l’application du règlement de l’AHS qui ne prévoit même pas d’exception pour l’immunité naturelle, bien qu’il reconnaisse les exemptions médicales.
Pourtant, il y aurait bien des raisons pour appuyer l’objection de Mme Lewis à ne pas se faire vacciner au covid. Par exemple, la plupart des vaccins covid disponibles au Canada ont employé dans leur élaboration, leur développement ou leur testage des lignées cellulaires issues de bébés avortés. En outre, il est surprenant que l’AHS ne propose pas une solution de remplacement au vaccin covid.
Lire la suitePlus de 770 groupes se réunissent à travers le Canada pour prier le chapelet pour le retour du pays à Dieu
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canada Needs Our Lady
18 octobre 2022 (LifeSiteNews) — La fin de semaine dernière, des centaines de rassemblements priant le rosaire ont eu lieu à travers le Canada, rassemblant des centaines de personnes pour implorer l’intercession de la Vierge pour leur pays.
Les organisateurs ont annoncé que plus de 770 groupes ont uni leurs forces samedi pour prier le Rosaire à travers le pays, y compris sur la colline du Parlement au centre-ville d’Ottawa.
L’objectif de Canada Needs Our Lady [Le Canada a besoin de Notre-Dame], une campagne menée par la Society for the Defense of Christian Civilization, est d’« obtenir le retour à Dieu du Canada par les moyens proposés par Notre-Dame de Fatima », et de « gagner les cœurs et les esprits à Notre-Dame ».
« Nous faisons cela chaque année, en essayant d’approcher plus de gens, de promouvoir notre foi catholique, et d’essayer de faire prier les gens », a déclaré une employée de la Société, judicieusement nommée Lourdes. « C’est ainsi que tout a commencé, avec l’idée d’essayer de promouvoir notre foi catholique, et ces rallyes du rosaire ne sont qu’un moyen de promouvoir notre foi ».
La Société, une organisation à but non lucratif qui a été constituée en 2013, vise à « faire progresser la religion par la promotion des enseignements religieux, des principes, des doctrines, de la morale et des observances de la foi catholique romaine et de leur application aux individus, aux familles et à la société dans la culture et la civilisation chrétiennes ».
Lourdes a déclaré que la dévotion à Marie est extrêmement importante dans la société d’aujourd’hui et qu’elle permet de montrer au monde la bonté du catholicisme.
« Il y a tellement de choses qui vont mal partout », a-t-elle dit. « Il est donc important d’essayer de montrer le bon côté du catholicisme, et c’est notre mission principale : essayer de promouvoir notre foi catholique d’une manière qui soit bonne, [montrer] la manière dont il faut faire. »
Lire la suiteEntrevue avec Dr Robert Béliveau, un expert du documentaire « CHSLD - Je me souviens »
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Documentaire « CHSLD - Je me souviens »/Joanne D’Arc/Adobe Stock
Le Dr Robert Béliveau est un médecin de famille à la retraite. Il est l’un des experts qui a participé au documentaire de Sylvain Laforest « CHSLD - Je me souviens ». Ce documentaire, qui circule sur les réseaux sociaux depuis le 30 septembre, a été réalisé pour rendre hommage aux 6 700 victimes en CHSLD et en RPA qui ont été affectées sérieusement du printemps 2020 au printemps 2021.
Le but de cette production est surtout de se rappeler qu’il est de notre devoir, autant collectif qu’individuel, de faire respecter la dignité et le caractère sacré de toute vie humaine. Un des sujets qui a été abordé dans le documentaire était la vaccination obligatoire des aînés des CHSLD, même à l'encontre de leur volonté.
Dans la communauté médicale, les opinions étaient et demeurent partagées à ce sujet. Par ailleurs, Dr Béliveau témoigne clairement de sa position dans le documentaire.
« La première chose qu’il faut réaliser, c’est qu’on est actuellement dans un système qui est complètement corrompu […] Ça ne veut pas dire que les médecins sont tous corrompus. Il faut prendre sa responsabilité et ne pas se laisser dicter [sa conduite] aveuglément par les autres qui ont des conflits d’intérêts. Le NIH, le CDC, Santé Canada, ils sont infiltrés par les Pharmas. Il faudrait qu’il y ait une indépendance totale et que les Pharmas ne soient pas du tout impliqués là-dedans. Il y a des médecins qui voient clair. »
Le Dr Béliveau a aussi accepté de parler avec Campagne Québec-Vie lors de la soirée privée de projection du documentaire qui a eu lieu à Montréal. Ce qui suit est notre entretien.
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