Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteDes parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
Lire la suiteUne infirmière dénonce l'augmentation alarmante du nombre de décès fœtaux après le lancement d’un certain produit injectable
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
6 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Lors d’une récente table ronde organisée par Children’s Health Defense (CHD), une infirmière a dénoncé une augmentation alarmante des décès fœtaux chez les mères qui avaient reçu un vaccin COVID-19.
Mme Michelle Gershman, infirmière, s’est jointe au Dr James Thorp et aux membres de l’équipe du CHD dans leur émission hebdomadaire pour discuter du lien entre les vaccins COVID et les morts fœtales, ainsi que du manque d’attention sérieuse accordée à ce problème croissant.
« Je ne comprends pas comment les gens peuvent se contenter de balayer la question du revers de la main et prétendre que ce n’est pas grave », a déclaré Mme Gershman au cours de la discussion. « C’est absolument un problème majeur. Je crois sincèrement que les bébés nous sont donnés par Dieu, qu’ils sont censés nous apporter amour et joie, et si quelque chose vient s’interposer, en essayant de vous enlever votre bébé, pour moi c’est absolument diabolique. »
Mme Gershman a commencé à travailler en tant qu’infirmière post-partum en novembre 2020, pendant la pandémie de COVID-19. Au début, elle a déclaré que le virus ne semblait pas avoir d’impacts majeurs sur les décès fœtaux et les problèmes de santé des femmes enceintes.
Mais au fil du temps, l’infirmière a constaté divers problèmes circulatoires chez les mères. Outre l’hypertension artérielle qui se poursuivait même après l’accouchement, les femmes présentaient davantage de caillots sanguins et d’éclatements de vaisseaux sanguins dans les yeux. Certains bébés nés de femmes vaccinées étaient anormalement fatigués, et leur visage semblait décoloré ou meurtri, mais ce n’était pas la jaunisse. Beaucoup de ces bébés ont également été envoyés à l’USIN [unité de soins intensifs néonatals] pour des problèmes respiratoires.
Lorsque les vaccins ont été mis sur le marché au printemps 2021, elle a commencé à remarquer des problèmes fréquents, notamment une pression artérielle élevée, chez les femmes enceintes et des accouchements précoces. Gershman a noté que beaucoup de femmes rencontrant ces problèmes avaient reçu le vaccin peu de temps avant le début de leurs symptômes. Peu de temps après celui-ci, les femmes se retrouvaient « tout d’un coup à l’hôpital pour accoucher et leurs bébés allaient à l’USIN ».
Lire la suiteLe film « Died Suddenly » (Mort soudainement) allègue qu'un programme de dépopulation se cache derrière les vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Blue Planet Studio/Adobe Stock
31 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Un documentaire novateur qui esquisse le lien entre la récente montée en flèche des morts subites, les vaccins COVID, et le programme de dépopulation qui se cache derrière tout cela, sortira le 21 novembre 2022.
La bande-annonce de « Died Suddenly », présentée par l'animateur radio Stew Peters, est maintenant disponible pour le public.
« Des adultes en bonne santé tombent morts partout dans le monde. Au cours des 18 derniers mois, le terme "Died Suddenly" (Mort soudainement) s'est hissé au sommet des termes les plus recherchés sur Google », indique la brève introduction du documentaire sur le site web du film.
Le film vise non seulement à « raconter les histoires de ceux qui sont morts subitement », mais aussi à « trouver des réponses » expliquant leur décès.
Des extraits de la bande-annonce du film donnent un aperçu de ce que l'équipe du documentaire a découvert : des caillots massifs et mystérieux ont été trouvés dans les corps des défunts vaccinés, un pic « apocalyptique » de décès en excès, et des indications, selon les réalisateurs, que les taux de mortalité élevés parmi les vaccinés sont finalement le résultat d'un plan de dépeuplement délibéré.
Une augmentation marquée du nombre de décès en excès a été enregistrée dans le monde entier, en particulier depuis le second semestre 2021, après que les vaccins COVID aient été mis à la disposition du public. L’un des commentateurs de film figurant dans la bande-annonce a affirmé que l'augmentation massive des décès équivaut à « 12 écarts types au-dessus de la moyenne », soit un événement qui ne se produit qu'une fois tous les 800 ans.
Lire la suiteLa Cour d’appel d’Alberta confirme le refus de transplantation d’organe à une femme non vaccinée
Sheila Annette Lewis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rebel News/Rumble
La Cour d’appel d’Alberta a confirmé le 8 novembre le refus de transplantation d’organe à Sheila Annette Lewis — qui souffre de fibrose pulmonaire idiopathique, une maladie progressive et débilitante, en phase terminale — en raison du fait qu’elle n’est pas vaccinée au covid. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a publié un communiqué sur cette affaire :
La Cour d’appel de l’Alberta a décidé que la Charte canadienne des droits et libertés ne s’applique pas à la politique de vaccination Covid-19 des Alberta Health Services et des médecins transplanteurs de l’Alberta, concernant les candidats à la transplantation. Sheila Annette Lewis a contesté la politique de vaccination Covid-19 de l’AHS et des médecins transplanteurs, qui exigeait qu’elle reçoive les vaccins Covid-19 avant de pouvoir bénéficier d’une transplantation salvatrice.
L’appel a été entendu le jeudi 20 octobre 2022, par vidéoconférence. Mme Lewis a fait valoir que la politique de vaccination Covid-19 portait atteinte à ses droits de conscience, à la vie, à la liberté et à la sécurité, ainsi qu’à ses droits à l’égalité, protégés par la Charte. Même si la Cour d’appel a convenu avec le tribunal inférieur que la Charte ne s’appliquait pas aux politiques, elle a émis des motifs selon lesquels les droits de Mme Lewis en vertu de la Charte n’avaient pas été violés.
Mme Lewis a également soutenu que le tribunal inférieur avait fait erreur en concluant que la Déclaration des droits de l’Alberta ne s’appliquait pas aux politiques de vaccination Covid-19 parce que la Charte ne s’y s’appliquait pas. La Cour d’appel n’a pas abordé ce motif d’appel ni n’a formulé de conclusion à cet égard.
En vain Mme Lewis a-t-elle fait valoir l’opinion de spécialistes dont elle a requis l’expertise, afin de démontrer le manque de preuves que le vaccin covid lui profiterait, la cour maintient l’application du règlement de l’AHS qui ne prévoit même pas d’exception pour l’immunité naturelle, bien qu’il reconnaisse les exemptions médicales.
Pourtant, il y aurait bien des raisons pour appuyer l’objection de Mme Lewis à ne pas se faire vacciner au covid. Par exemple, la plupart des vaccins covid disponibles au Canada ont employé dans leur élaboration, leur développement ou leur testage des lignées cellulaires issues de bébés avortés. En outre, il est surprenant que l’AHS ne propose pas une solution de remplacement au vaccin covid.
Lire la suiteEntrevue avec Dr Robert Béliveau, un expert du documentaire « CHSLD - Je me souviens »
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Documentaire « CHSLD - Je me souviens »/Joanne D’Arc/Adobe Stock
Le Dr Robert Béliveau est un médecin de famille à la retraite. Il est l’un des experts qui a participé au documentaire de Sylvain Laforest « CHSLD - Je me souviens ». Ce documentaire, qui circule sur les réseaux sociaux depuis le 30 septembre, a été réalisé pour rendre hommage aux 6 700 victimes en CHSLD et en RPA qui ont été affectées sérieusement du printemps 2020 au printemps 2021.
Le but de cette production est surtout de se rappeler qu’il est de notre devoir, autant collectif qu’individuel, de faire respecter la dignité et le caractère sacré de toute vie humaine. Un des sujets qui a été abordé dans le documentaire était la vaccination obligatoire des aînés des CHSLD, même à l'encontre de leur volonté.
Dans la communauté médicale, les opinions étaient et demeurent partagées à ce sujet. Par ailleurs, Dr Béliveau témoigne clairement de sa position dans le documentaire.
« La première chose qu’il faut réaliser, c’est qu’on est actuellement dans un système qui est complètement corrompu […] Ça ne veut pas dire que les médecins sont tous corrompus. Il faut prendre sa responsabilité et ne pas se laisser dicter [sa conduite] aveuglément par les autres qui ont des conflits d’intérêts. Le NIH, le CDC, Santé Canada, ils sont infiltrés par les Pharmas. Il faudrait qu’il y ait une indépendance totale et que les Pharmas ne soient pas du tout impliqués là-dedans. Il y a des médecins qui voient clair. »
Le Dr Béliveau a aussi accepté de parler avec Campagne Québec-Vie lors de la soirée privée de projection du documentaire qui a eu lieu à Montréal. Ce qui suit est notre entretien.
Lire la suiteUn obstétricien déplore les effets secondaires « très graves » et « sans précédent » de vaccins covid sur les femmes enceintes et les bébés
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rh2010/Adobe Stock
12 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Les vaccins COVID-19 à base d’ARNm de Pfizer et Moderna ont causé des effets secondaires « très graves » aux femmes enceintes, selon le Dr James Thorp, 42 ans, gynécologue-obstétricien.
Le Dr Thorp a participé à l’émission du Dr Drew Pinsky cette semaine pour discuter de ce qu’il a vu dans les études récentes sur la situation (lien sur le site Internet de Pinsky), à commencer par une « énorme » augmentation des fausses couches, ainsi qu’une augmentation des malformations fœtales, des anomalies cardiaques fœtales, des arythmies cardiaques fœtales, des arrêts cardiaques fœtaux et des problèmes placentaires graves entraînant des restrictions de la croissance intra-utérine, et même du syndrome d’immunodéficience acquise par vaccin (VAIDS). « C’est tout à fait hors-norme », a-t-il déclaré.
Selon lui, les taux de ces maladies vont bien au-delà de ceux corrélés avec les vaccins précédents et des critères des Centres américains de contrôle des maladies et de la Food & Drug Administration pour les « signaux de danger grave », selon les études.
« Je soupçonne que la cause [des cas de VAIDS] est la glande appelée thymus », a déclaré Thorp. Le thymus se trouve sous le sternum, et il est massif chez le fœtus — minuscule chez les [adultes]. Mais c’est l’organe qui est responsable de l’ensemencement de tous les clones de cellules T. Et si vous regardez les données japonaises sur la biodistribution [du vaccin dans le corps humain], elles montrent également que le produit se concentre dans le thymus.
« Je pense qu’il y a eu une concentration multipliée par quatre dans le thymus, mais ça, c’est chez un adulte [...] si vous regardez le thymus d’un nouveau-né, [la concentration] est probablement plus proche de 120 fois parce que c’est un organe très vascularisé et lipophile », a-t-il avancé, « et ces enfants pourraient avoir un VAIDS toute leur vie à cause de cette agression contre le thymus in utero ».
En avril dernier, Thorp a déclaré à The Epoch Times qu’il voyait 6000 à 7000 patientes enceintes à haut risque par an et qu’il avait été témoin de « beaucoup, beaucoup, beaucoup de complications chez les femmes enceintes, chez les mères et les fœtus, chez les enfants, la progéniture [...] ce que j’ai vu ces deux dernières années est sans précédent ».
Lire la suiteLes catholiques ont été trahis par l’allégeance du Vatican aux autorités laïques sur le covid
Par Alan B. Moy, MD — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Steve Jalsevac/LifeSiteNews
30 août 2022, Iowa City, Iowa (LifeSiteNews) — Les politiques laïques de santé publique pour le COVID-19 et l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin ont eu un impact désastreux sur la société, mais pour les catholiques, elles ont été particulièrement lourdes en raison de leur menace pour notre liberté religieuse et notre capacité à avoir accès aux sacrements. Tout au long de la pandémie, les autorités de l’Église, à tous les niveaux de la hiérarchie, ont cédé leur autorité à des entités laïques comme les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces trois entités reconnaissent aujourd’hui de graves erreurs scientifiques, et les dénonciateurs d’entreprises et de gouvernements rendent publique la corruption au sein de ces organisations (1,2). Cela n’a pas seulement conduit à une perte de confiance dans nos institutions de santé publique et notre système de soins de santé, mais aussi à la colère et à la perte de confiance des catholiques envers l’Église catholique pour avoir soutenu ce programme séculier. Cela soulève les questions suivantes : (a) L’échec du vaccin était-il prévisible ? (b) Existait-il une infrastructure scientifique et religieuse en place au Vatican pour conseiller correctement le pape sur les différentes politiques en matière de sciences et de religion ? Dans l’affirmative, y a-t-il eu une défaillance du système consultatif, et comment les autorités sanitaires laïques ont-elles convaincu le Vatican d’abandonner sa position historique sur les vaccins ? (c) Pourquoi l’Église catholique devrait-elle maintenir son autorité et son processus décisionnel séparés des autorités laïques pendant une pandémie ? (d) Le résultat médical aurait-il été différent si l’Église avait maintenu sa position médicale historique sur les vaccins dérivés de l’avortement ? Ce sont les questions auxquelles nous répondrons ci-dessous.
A. L’échec du vaccin était-il prévisible ?
La principale raison pour laquelle l’Église catholique et les autorités laïques ont fait pression en faveur de l’acceptation universelle du vaccin était l’idée que les vaccinations arrêteraient la transmission virale et, par conséquent, mettraient fin à la pandémie. Pourtant, de nombreuses preuves scientifiques publiées avant la pandémie soutenaient la notion selon laquelle les vaccins [contre des maladies] respiratoires, lorsqu’ils sont administrés par voie intramusculaire, ne parviennent pas à prévenir la transmission virale parce qu’ils ne renforcent pas ce qu’on appelle « l’immunité des muqueuses respiratoires ». Si l’on effectue une recherche de citations scientifiques sur PubMed, qui est le principal moteur de recherche du gouvernement en matière de soins de santé, on trouve 802 citations de 2000 à 2019 sur le thème des vaccins et de l’immunité des muqueuses respiratoires. Je n’ai cité qu’une petite partie de ces références (3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15,16). L’immunité naturelle est plus robuste et durable que l’immunité vaccinale car elle produit une immunité des muqueuses respiratoires. Cette immunité plus forte se développe parce que les voies respiratoires sont exposées à l’ensemble du virus, c’est-à-dire à tous ses composants, afin de susciter une réponse immunitaire redondante à plusieurs niveaux qui diminue ou arrête la réplication virale à un niveau qui prévient ou réduit le risque de transmission virale ultérieure. À l’inverse, les vaccins actuels COVID-19 contournent les voies respiratoires et ne contiennent que la protéine de pointe, ce qui entraîne une réponse immunitaire plus courte et plus faible et présente un plus grand risque de favoriser des mutations permettant au virus d’échapper à l’immunité, et donc de prolonger la pandémie (17,18,19,20,21,22). De plus, comme le vaccin n’active pas l’immunité de la muqueuse respiratoire, il ne peut pas prévenir la transmission virale. Cette observation est conforme aux données publiées par des pays autres que les États-Unis, qui ont montré l’avantage de l’immunité naturelle sur l’immunité vaccinale (23,24,25). Les vaccins contre les virus respiratoires ne réduisent les symptômes respiratoires qu’à court terme et doivent être revus périodiquement car des mutations virales apparaissent rapidement (26,27). Même le vaccin annuel contre la grippe ne prévient pas la transmission et les études n’ont pas démontré de façon constante qu’il réduisait les décès et les hospitalisations chez les personnes âgées (28) ou chez les adultes présentant des comorbidités graves (29). Par conséquent, les autorités laïques de santé publique et l’industrie pharmaceutique auraient dû être au courant de cette littérature médicale, mais elles ont préféré faire de fausses déclarations selon lesquelles l’immunité vaccinale était supérieure à l’immunité naturelle et empêchait la transmission.
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Conférence de Mgr Carlo Maria Vignò sur le Great Reset
Mgr Carlo Maria Viganò.
Conférence de Mgr Carlo Maria Viganò transcrite par Fabien Laurent (Médias Presse Info) — Photo : Civitas/YouTube
« Agere sequitur esse » : la vision « théologique » du Great Reset
Chers amis,
Je suis très heureux de cette opportunité qui m’a été accordée de participer à cette édition de votre Université d’Été. C’est pour moi un grand honneur de pouvoir offrir mes plus chaleureuses salutations aux militants de Civitas, en commençant par votre Président, M. Alain Escada, le Secrétaire général, M. Léon-Pierre Durin, votre cher Aumônier, le Père Joseph, ainsi que les Capucins de la Tradition.
Quand l’être humain agit, il agit en vue d’une fin. Son action, ce qu’il fait, représente un moyen ordonné à une fin, qui peut être moralement bonne ou mauvaise. L’action procède de la volonté, et elle naît de la pensée, qui est un acte de l’intelligence. Ce que nous faisons est déterminé par qui nous sommes (l’ensemble de nos facultés : mémoire, intelligence et volonté). La scolastique résume parfaitement ce concept en trois mots : agere sequitur esse.
Personne n’agit sans but. Et même ce qui se passe sous nos yeux depuis plus de deux ans maintenant est la conséquence d’un ensemble de causes concomitantes qui présupposent une pensée initiale, un principe informateur, pour ainsi dire. Et quand nous réalisons que les raisons qui nous sont données pour justifier les actions entreprises n’ont aucun caractère rationnel, cela signifie que ces raisons sont des prétextes, de fausses raisons, qui servent à cacher une vérité inavouable.
Telle est la façon de procéder du Malin. Quand il nous tente, il ment pour nous faire croire qu’il est notre ami, qu’il se soucie de notre bien. Tout comme un bonimenteur de foire, le diable nous propose ses trouvailles miraculeuses, ses élixirs de bonheur et de richesse, pour la somme modique de notre âme immortelle. Mais cela, comme un escroc, il omet de le dire, bien sûr, tout au plus il l’écrit en petits caractères dans les clauses du contrat.
Tout est mensonge quand il s’agit de Satan. Les prémisses sont fausses : Votre Dieu vous opprime avec de lourds préceptes. Les promesses sont fausses : vous pouvez décider et obtenir ce que vous voulez. Et tout est mensonge également quand les serviteurs de Satan s’organisent pour établir la dystopie du Nouvel Ordre Mondial.
Eh bien, puisque nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les conspirateurs du Great Reset nous disent clairement quel est leur objectif final — puisqu’il s’agit de quelque chose d’inavouable et de criminel — nous pouvons néanmoins reconstruire la mens, la pensée qui guide leurs actions en connaissant les principes qui inspirent leur agir et en les étayant avec leurs propres mots. Et nous sommes également capables de comprendre que les raisons données ne sont que des prétextes. Or, justement les prétextes, tels qu’ils sont présentés, démontrent la malice et la préméditation, car si leur projet était honnête et bon, ils n’auraient pas besoin de le déguiser avec des excuses illogiques et incohérentes.
Mais qu’est-ce que c’est, ce Great Reset ? C’est l’imposition forcée d’une quatrième révolution industrielle qui conduira le système économique et social actuel à l’implosion, et permettra, par un appauvrissement général et une réduction drastique de la population, la centralisation du pouvoir entre les mains d’une élite d’aspirants à l’immortalité et à la domination du monde. Ils voudraient nous réduire à une masse amorphe de clients/esclaves confinés dans des box et perpétuellement connectés au réseau.
À travers le Great Reset, ils veulent effacer la société chrétienne occidentale afin d’instaurer une synarchie libérale-communiste sur le modèle de la dictature chinoise, dans laquelle toute la population est contrôlée et manœuvrable à volonté. Dans une société inspirée même en partie seulement par les valeurs du catholicisme, les groupes de pouvoir financier et l’élite du Nouvel Ordre Mondial n’auraient pas leur place. Mais cela ne doit pas nous laisser croire que leur opposition à la société chrétienne a une motivation simplement économique et politique. En réalité, ce qui déclenche cette haine, c’est qu’il puisse exister, même dans le coin le plus reculé de la planète, une alternative possible à la dystopie mondialiste, un monde dans lequel l’employeur peut honnêtement payer ses employés, dans lequel l’État impose des impôts raisonnables aux citoyens, dans lequel les œuvres de charité rendent gratuitement et sans spéculation les services, dans lequel l’innocence des enfants est respectée et la propagande LGBTQ+ n’est pas autorisée. Un monde dans lequel le Règne social de Jésus Christ se montre non seulement comme possible, mais comme la meilleure forme de société, administrée pour le bien commun et pour la gloire de Dieu.
Lire la suiteJe suis pro-vie et j’ai pris le vaccin covid. Maintenant je le regrette
Patricia Maloney.
Par Patricia Maloney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Run with Life
Note de l’éditeur : CLC est heureux de vous présenter cet article exclusif de notre amie pro-vie Patricia Maloney, qui tient le blogue Run with Life. Patricia a écrit un article difficile mais important sur son parcours de militante pro-vie à travers les mandats de vaccination. Le parcours de chacun sur cette question est différent et CLC le sait et le respecte. Voici l’histoire de Patricia. Il se peut que certains d’entre nous puissent s’identifier à cette histoire. Et, pour cette raison, nous pensons qu’il vaut la peine de faire connaître l’histoire de Patricia à un public plus large.
24 août 2022 (Campaign Life Coalition) — Dès le début, j’ai eu du mal à prendre la décision de recevoir ou non le vaccin covid. Les gens que j’aime, et qui m’aiment, voulaient vraiment que je le fasse. J’ai fait des recherches. Les vaccins étaient entachés par l’avortement. Des lignées de cellules fœtales ont été utilisées dans leur production ou dans leurs tests. Et, fait troublant, les lignées cellulaires ont été créées à partir de tissus rénaux ou rétiniens prélevés sur des bébés délibérément avortés afin que leurs organes puissent être utilisés dans des expériences médicales.
En tant que catholique pro-vie, j’ai dû faire face à un énorme dilemme éthique. Je suis pro-vie de bout en bout. Que dois-je faire ?
J’ai prié à ce sujet. J’en ai parlé à mon directeur spirituel. J’ai écrit une lettre à Pfizer et une autre à Moderna pour protester contre l’utilisation de lignées cellulaires fœtales.
J’ai écrit : « Je voudrais exprimer ma forte objection morale à l’utilisation que fait Moderna de la lignée cellulaire HEK [-293] dans ses tests pour le vaccin covid. En tant que personne qui accorde de la valeur à toute vie humaine, de la conception à la mort naturelle, l’utilisation de fœtus avortés dans les vaccins est très très troublante pour moi. Moderna ne pourrait-il pas plutôt utiliser des lignées cellulaires d’autres types ? Je sais que d’autres fabricants ont été en mesure de le faire. Malheureusement, je suis maintenant dans la position (lorsque le vaccin sera disponible pour moi, ce qui n’est pas encore le cas) où Moderna et Pfizer sont les deux seuls vaccins covid disponibles au Canada. Je vais devoir prendre une décision très difficile : soit accepter un vaccin qui me paraît moralement répréhensible, soit refuser le vaccin et mettre ma vie et celle de mes proches en danger. Je vous demande de bien vouloir reconsidérer la position de votre société quant à l’utilisation de ces lignées cellulaires à l’avenir. »
Je n’ai jamais reçu de réponse, et je ne m’attendais pas à en recevoir.
Et puis j’ai dû prendre une décision concernant le vaccin. Je connais beaucoup de personnes qui l’ont refusé. Pour certains, cela signifiait être mis au ban de leur famille. Ils ne pouvaient pas manger au restaurant ou s’asseoir dans un café. Des gens ont perdu leur emploi pour ne pas avoir été vaccinés. Et ces âmes courageuses ont encore du mal à voyager en avion ou en train au Canada.
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