Elon Musk : « Les enfants à naître n’ont pas de voix »
Elon Musk.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Elon Musk a déclaré que « les enfants à naître n’ont pas de voix » en réponse à une vidéo de Jane Goodall, contributrice au Forum économique mondial (WEF) et partisane du contrôle de la population.
« Elle a tout faux », écrit Elon Musk sur X, l’ex-Twitter. « Argumenter en faveur de la réduction de l’humanité, c’est argumenter en faveur du génocide. Les enfants à naître n’ont pas de voix. »
Les commentaires de Musk ont été faits en réponse à un extrait vidéo d’une ancienne entrevue publié par « Wide Awake Media », dans laquelle Goodall plaide en faveur de la réduction de la population humaine.
« Si j’étais autorisée à changer certaines choses, si j’avais ce pouvoir magique, j’aimerais, sans causer de douleur ou de souffrance, réduire le nombre de personnes sur la planète parce que nous sommes trop nombreux », a déclaré Mme Goodall. « C’est une planète dont les ressources sont limitées, et nous les épuisons. »
Lire la suiteLa religion écologique exige le sacrifice humain : une constante du paganisme adorateur de la nature
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Melinda Nagy/Adobe Stock
On a souvent noté que l’écologisme actuel est une religion avec ses dieux, ses « dogmes », ses rites, ses commandements, ses fêtes, ses obligations et ses interdits. Et ses sacrifices ! Renoncer à consommer de la viande, faire l’ascèse des voyages en avion, prendre son vélo plutôt que la voiture, raccommoder ses vêtements plutôt que d’aller faire les boutiques, prendre la peine de trier ses déchets, tout cela, c’est « pour la planète », petite phrase qui est entrée dans notre langage quotidien. Il y a, on le comprend bien, une forme d’idolâtrie dans cette manière de consentir à des renoncements systématiques et universels imposés pour la matière inanimée — ce n’est pas comme arrêter de fumer pour retrouver la santé. Mais jusqu’où vont les sacrifices « pour la planète » ? Mercatornet publiait il y quelques jours une chronique du Pr Augusto Zimmerman, directeur de la faculté de droit du Sheridan Institute of Higher Education en Australie, sous le titre : « La secte écologique exige le sacrifice humain. »
Cela peut paraître fort de café. Comme le montre Zimmermann, cela passe, au nom de la fin des émissions de gaz à effet de serre, par la mise en place de conditions de vie de plus en plus difficiles, notamment pour les plus pauvres, mais tous souffriront (sauf la Nomenklatura du climat, sans doute…) du démantèlement des énergies facilement accessibles et peu chères. Cela passe par le refus de la vie : contraception, avortement en sont les aspects les plus visibles. C’est par centaines de millions que les tout-petits ont été… sacrifiés depuis que l’avortement est devenu légal, et la grande entreprise légalisation de l’avortement date dans le monde de l’époque où on a commencé à parler de « surpopulation » et du mal que constituerait « l’exploitation » de la planète (ou la profanation, c’est à peu près cela).
Lire la suiteUn franc-maçon notoire était présent à la conférence environnementale du Vatican pour promouvoir la dépopulation et le gouvernement mondial
Carlos Alvarez-Pereira.
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Le sixième forum des « Communautés Laudato Si' » s’est tenu à Vérone, en Italie, au début du mois. Il s’agit d’une série de réunions consacrées à la propagation des opinions du pape François sur ce que l’on appelle « l’urgence climatique ».
Cette dernière rencontre était intitulée « Doubler l’engagement ». Il s’agit d’une référence à la nouvelle exhortation de François, Laudate Deum, dans laquelle il nous avertit que la fin est proche, à la fois pour « notre planète qui souffre » et, par extension, pour nous.
Dans son message vidéo d’ouverture de la réunion de Vérone, le pape avertit qu’il s’agit d’une « période très difficile » et que « d’ici 30 ans, le monde ne sera plus vivable ».
Ce message de « l’apocalypse maintenant » est désormais tristement familier, mais j’ai tout de même été surpris par le zèle messianique avec lequel il est proposé par des dirigeants de l’Église catholique.
Lire la suiteLe Dr Robert Malone et le dépeuplement mondial
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie
31 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Dans un discours prononcé lors du 2023 White Coat Summit, le Dr Robert Malone a posé la question cruciale à propos des soi-disant vaccins COVID :
« Pourquoi un gouvernement souhaiterait-il faire avancer cette technologie ? »
Il a conclu, à contrecœur, que les nouvelles injections d’ARNm ont été mises au point par la CIA pour contribuer à un programme de dépopulation mondiale — qui existe aux États-Unis depuis les années 1970.
Suivez le scientifique
Le Dr Malone a été l’un des pionniers de la technologie qui a conduit à la mise au point des injections d’ARNm. Sa compréhension quasi unique du mécanisme d’action de ces injections a été qualifiée de « désinformation » par les médias grand public lorsqu’il a commencé à mettre en garde le monde contre les dangers de ces nouvelles interventions.
Compte tenu de son expérience dans le développement de ce qu’il appelle les « vaccins génétiques », le Dr Malone semble personnifier la science même que nous devrions suivre. Toutefois, ce ne sont pas ses références ni son expertise avérée qui ont conduit aux attaques contre sa réputation. C’est le fait que la science qu’il a suivie a amené un sinistre programme mondial de nuisance délibérée.
Qui sont les maîtres des marionnettes ? Le gouvernement américain, les scientifiques nazis
Le Dr Malone déclare :
Lire la suiteLorsque nous nous demandons qui sont les marionnettistes qui se cachent derrière tout cela, nous devons regarder la vérité en face. C’est le gouvernement américain qui est à l’origine de beaucoup de choses... en termes de financement, de politique et d’actions.
Un médecin kényan accuse l'Organisation mondiale de la santé et l'UNICEF de stériliser des jeunes femmes
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 février 2023 (LifeSiteNews) — Un médecin kényan révèle plus d’informations sur une campagne de vaccination contre le tétanos de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dont il dit, avec d’autres, qu’elle faisait partie d’une campagne de stérilisation massive des jeunes femmes pour contrôler la croissance démographique [dans son pays].
Le Dr Wahome Ngare, obstétricien et gynécologue basé à Nairobi, a eu l’amabilité de discuter de cette question dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show. Il a accusé l’OMS et même l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) de stériliser intentionnellement les jeunes femmes kényanes sous prétexte d’éradiquer le tétanos, et a également accusé ses collègues de tenter de discréditer ses recherches sur la question.
Selon lui, les investigations menées par un comité d’experts sur les flacons de [vaccin contre le] tétanos ont montré qu’ils contenaient de la βhCG (bêta HCG, c’est-à-dire de la gonadotrophine chorionique humaine bêta), une hormone qui imite l’hormone HCG naturelle qui indique aux femmes qu’elles sont enceintes.
« Or, ce vaccin particulier que [l’OMS] avait produit combinait le vaccin contre le tétanos et la βhCG. Et ce qui se passait, c’est que si une femme se faisait injecter ce vaccin, elle produisait des anticorps antitétaniques », explique le Dr Ngare. « Mais, malheureusement, elle produisait aussi des anticorps anti-HCG. Et par la suite, chaque fois qu’elle concevrait, les anticorps feraient muter l’HCG de son sang à un point tel [que son organisme] ne saurait jamais qu’elle est enceinte. »
On estime que 2,3 millions de filles et de femmes kényanes en âge de procréer ont reçu les vaccins contre le tétanos, réalisés dans le cadre d’un effort conjoint entre l’Organisation mondiale de la santé et le gouvernement kényan entre 2013 et 2015.
Lire la suiteLe plan de dépopulation des pays en développement
Photo : Zach Vessels/Unsplash
Les puissances occidentales et de nombreuses entités internationales promeuvent depuis des années la réduction de la population mondiale, ou du moins les moyens qui y mènent, comme l’avortement et la contraception. Divers prétextes sont donnés : le climat, la pauvreté, le chômage, le « droit » de la femme (à tuer son bébé). Mais ces raisons susmentionnées sont-elles les vraies ? Un document produit par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis le 10 décembre 1974, et approuvé le 20 novembre 1975 par le président Ford, le NSSM 200, soulignait la concurrence émergente que représentaient pour les États-Unis les pays en développement à croissance démographique rapide. Le NSSM 200 proposait également les solutions pour contenir ces concurrents autrement inéluctables : réduire la croissance de leur population…
Depuis lors, les États-Unis ont appliqué pendant des décennies le programme du NSSM 200, donnant lieu à d’autres rapports tels que le First Progress Report - 1976, faisant état des progrès des efforts des États-Unis et des subtilités à apporter aux méthodes employées.
L’une des recommandations du NSSM 200 était de recourir à des instances internationales pour promouvoir la réduction de la population, d’où, semble-t-il, les incessants efforts des organismes onusiens à promouvoir l’avortement et la contraception auprès des pays en développement.
Un exemple récent nous rappelle l’actualité de ces manœuvres politiques et de leurs « fruits », la Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) qui a été tenue en Thaïlande du 14 au 17 novembre, et dont l’un des commanditaires était l’OMS, suggérait des méthodes de propagandes auprès des populations africaines afin de leur faire accepter la contraception et l’avortement. Lors de cette conférence, le ministre de la Santé publique de Thaïlande, le Dr Sathit Pitutecha, s’est vanté des « réalisations » de son pays, où la réduction de l’indice de fertilité est tombée de 6,1 en 1970 à 1,5 en 2019…
Encore récemment, les Philippines refusaient de légaliser l’avortement, face aux pressions de l’ONU en sens.
Gilles Grondin, fondateur de Campagne Québec et ancien diplomate canadien, a écrit en 1999 un résumé du document NSSM 200, de sa philosophie, de ses implications et de ses quelques applications concrètes, notamment au sein de l’ONU et de ses diverses branches.
Notez que lorsque M. Grondin emploie des guillemets, ce n’est pas forcément pour faire une citation exacte, cela peut être pour paraphraser ou résumer la pensée d’un individu ou d’un organisme. — A.H.
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Montréal, le 4 mars 1999
LE « BIRTH-CONTROL » DANS LES PAYS DU TIERS MONDE — NSSM 200
En 1991, certains amis ont porté à mon attention un document très étonnant.
On appelle ce document NSSM 200 (c’est-à-dire « National Security Study Memorandum 200 » qui pourrait être traduit en français par « Mémoire du Ministère de la sécurité nationale 200 »). Il fut élaboré par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique il y a plus de vingt-cinq ans alors que monsieur Henry Kissinger était président de cet organisme, sous l’autorité du Président Nixon.
Lire la suiteLa réalité choquante de l'ICFP 2022 : du contrôle de la population au spectacle démoniaque.
Les jeunes Africains influents sur les réseaux sociaux seraient encouragés à réduire leur propre population lors de la Conférence internationale sur la planification familiale. — Photo : Pexels.com
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) est un événement de 4 jours qui s’est déroulé en Thaïlande cette année.
L’ICFP a eu lieu cette année du 14 au 17 novembre à Pattaya City, en Thaïlande, au Pathaway Exhibition & Convention Hall (PEACH). Il s’agit de la « plus grande conférence scientifique sur la planification familiale » au monde. Elle est organisée par « l’Université de Johns Hopkins (JHU) au nom de l’Institut Bill & Melinda Gates pour la Population et la Santé de la Reproduction (“Institut”) de l’École de Santé Publique Bloomberg. »
Bien que les mineurs ne puissent pas y assister en personne, tous ceux qui le souhaitent peuvent y participer virtuellement, car il n’y a pas de restriction d’âge pour la participation en ligne si un parent ou un tuteur signe une décharge. Sur leur site web, l’événement est présenté comme étant plus qu’une conférence, mais une « plateforme, un mouvement et une communauté ». Selon leur site, plus de 125 pays ont participé et leur communauté compte plus de 40 000 membres actifs.
Parmi les principaux commanditaires de l’ICFP, on peut trouver la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’IPPF, Pathfinder, Women Deliver, les Nations Unies et le gouvernement du Canada.
La cérémonie d’ouverture a débuté par un spectacle de danse mettant en scène des démons, au sens propre du terme. L’hôte de la session d’ouverture de l’ICFP 2022 était Dr Tlaleng Mofokeng, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé. Elle a expliqué que cette « performance incroyable » était « un épisode de la pièce de théâtre sur l’épopée de Ramekin. Il dépeint la bataille royale entre Rama et Laksman d’une part et la Tosca et le démon du roi Lanka d’autre part ». Elle a expliqué une courte histoire sur la bataille et a conclu « Tosca se retire à Lanka avec son armée de démons » et a proposé une salve d’applaudissements pour cette pièce.
Cette représentation a été suivie d’une vidéo promotionnelle qui vantait l’avènement d’un « autre monde » où « les femmes et les hommes peuvent choisir d’avoir ou non des enfants », « les adolescents et les jeunes ont accès aux contraceptifs », « l’accouchement est plus sûr pour les femmes et les bébés » et « tout le monde mérite d’avoir accès aux services et produits de planification familiale », autrement dit à l’avortement et à la contraception. L’idée sur laquelle ils ont insisté tout au long de leur vidéo promotionnelle de la cérémonie d’ouverture et de l’ensemble de la conférence soutenait que « sans planification familiale, il n’y a pas de soins de santé universels ». Car leur thème pour cette année est la réunion de la planification familiale et de la couverture sanitaire universelle en tant que « droits de l’homme ».
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteLe Vatican rejoint l’accord de Paris sur le climat bien que l’avortement et le contrôle de la population y soient inclus
Le pape François.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vatican News/YouTube
8 juillet 2022, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Le Vatican a annoncé le 8 juillet qu’il avait officiellement rejoint l’Accord de Paris sur le climat, connu pour son programme sous-jacent d’avortement et de contrôle de la population.
Une déclaration publiée par le Bureau de presse du Saint-Siège indique que l’archevêque Gabriele Giordano Caccia, observateur permanent auprès des Nations unies, a déposé le 6 juin devant le Secrétaire général des Nations unies l’Instrument d’adhésion du Saint-Siège, le document officiel par lequel le Vatican a rejoint l’Accord de Paris sur le climat.
« Le Saint-Siège, lit-on dans la déclaration, au nom et pour le compte de l’État de la Cité du Vatican, a l’intention de contribuer et d’apporter son soutien moral aux efforts de tous les États pour coopérer […] à une réponse efficace et appropriée aux défis que le changement climatique pose à l’humanité et à notre maison commune. »
Le Vatican affirme qu’en adhérant à l’Accord de Paris, il exprime sa solidarité avec les pauvres et les générations futures, qui sont les plus touchés par le « changement climatique ».
Cependant, comme LifeSiteNews l’avait déjà rapporté, les défenseurs de la vie ont remarqué depuis longtemps que l’Accord de 2015 comprend un programme sous-jacent de promotion de l’avortement, de la contraception et de la stérilisation comme moyens nécessaires pour contrôler la population et minimiser la consommation humaine et l’utilisation des ressources de la terre. La façon dont ces choses sont imposées aux pays les plus pauvres est de les lier aux fonds et aux ressources que ceux-ci sollicitent.
Dans le texte de l’accord, ces questions sont dissimulées sous des expressions telles qu’« égalité des sexes » et « autonomisation des femmes », et sont associées à la nécessité présumée de faire face au changement climatique dans le cadre d’une approche « tout compris ». L’Accord stipule :
Les parties devraient, lorsqu’elles prennent des mesures pour faire face au changement climatique, respecter, promouvoir et prendre en considération leurs obligations respectives en matière de droits de l’homme, de droit à la santé, de droits des peuples autochtones, des communautés locales, des migrants, des enfants, des personnes handicapées et des personnes en situation de vulnérabilité, et de droit au développement, ainsi que d’égalité des sexes, d’autonomisation des femmes et d’équité intergénérationnelle.
Le groupe de défense pro-vie Voice of the Family a souligné en 2015, lors de la première rédaction de l’Accord sur le climat, que les « Objectifs de développement durable de l’ONU utilisent “l’égalité des sexes” et “l’autonomisation des femmes” pour faire progresser l’avortement et la contraception. »
Lire la suiteUn nouveau film soutient que l’OMS s’est livrée à une « expérience de contrôle de la population » sous couvert d’un programme de vaccination
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 juin 2022, Austin, Texas (LifeSiteNews) — Children’s Health Defense (CHD) a collaboré avec le cinéaste et activiste britannique Dr Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr. pour produire un nouveau film qui vise à prouver que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée dans une « expérience de contrôle de la population » « menée sous le couvert d’un programme de vaccination » et qui a abouti « à la stérilisation de femmes africaines à leur insu et sans leur consentement ».
Selon un communiqué de presse publié par CHD, le film de 30 minutes intitulé « Infertility : A Diabolical Agenda » sera diffusé en avant-première le vendredi 10 juin à 14 heures sur CHD.TV, suivi d’une table ronde spéciale avec Dr Wakefield, Dr Christiane Northrup, Dr Jim Thorp, Dr Brian Hooker et Dr Liz Mumper.
Les invités sont censés « discuter de l’augmentation spectaculaire des problèmes d’infertilité dans le monde entier ».
« C’est avec une ironie opportune que l’Organisation mondiale de la santé révèle ses vraies couleurs alors qu’elle tente désespérément de prendre le contrôle de la santé mondiale », a déclaré Wakefield, le réalisateur du film, dans le communiqué de presse partagé avec LifeSiteNews.
« Cette histoire est un vrai “WHO” dunnit », a-t-il plaisanté [« Qui l’a fait » « L’OMS l’a fait », double jeu de mots avec WHO (qui) = OMS].
Selon CHD, le nouveau film « révélera la vérité derrière la collaboration infâme de l’OMS avec le gouvernement kényan, dans le cadre de laquelle un vaccin expérimental contre le tétanos, qui s’est avéré par la suite contenir l’hormone de grossesse βhCG, a été administré à des millions de femmes africaines en âge de procréer sans qu’elles le sachent ».
Les groupes pro-vie et les dirigeants catholiques s’inquiètent depuis longtemps du fait que les programmes de vaccination antitétanique parrainés par l’OMS, en particulier ceux qui ciblent spécifiquement les femmes en âge de procréer, pourraient être utilisés comme un moyen de stérilisation.
Au début des années 1990, les soupçons concernant les programmes mondiaux de vaccination contre le tétanos avaient conduit l’organisation pro-vie américaine Human Life International à demander une enquête du Congrès sur le programme de vaccination contre le tétanos en cours au Mexique, disant que ces médicaments pouvaient rendre les femmes vaccinées infertiles.
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