Déclaration de Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque et ancien Nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique, sur la crise russo-ukrainienne
Publié en français par Fabien Laurent sur Médias-Presse Info
Appel à la création d’une Alliance Anti-Mondialiste pour unir
les peuples en opposition à la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial
« Rien n’est perdu avec la paix. Tout peut l’être avec la guerre. Que les hommes recommencent à se comprendre. Qu’ils recommencent à négocier. En faisant ces pourparlers avec bonne volonté et dans le respect des droits réciproques, ils s’apercevront qu’un succès honorable n’est jamais exclu des négociations loyales et actives. Ils se sentiront grands — de la véritable grandeur — si, faisant taire les voix de la passion, aussi bien collective que privée, et faisant droit à la raison, ils épargnent le sang de leurs frères et soustraient leur Patrie a la ruine. »
Ainsi Pie XII s’adressa, le 24 août 1939, aux gouvernants et aux peuples dans l’imminence de la guerre. Ce n’étaient pas des paroles de pacifisme vide, ni de silence complice sur les nombreuses violations de la justice qui avaient lieu en de nombreux endroits. Dans ce message radio, qu’encore certains se souviennent d’avoir entendu, l’appel du Pontife romain invoquait le « respect des droits réciproques » comme prémisse à des négociations de paix fructueuses.
La narration médiatique
Si l’on observe ce qui se passe en Ukraine, sans se laisser abuser par les falsifications macroscopiques des grands médias, on se rend compte que le « respect des droits mutuels » a été complètement ignoré ; au contraire, on a l’impression que l’Administration Biden, l’OTAN et l’Union européenne veulent délibérément maintenir une situation de déséquilibre flagrant, précisément pour rendre impossible toute tentative de règlement pacifique de la crise ukrainienne, provoquant la Fédération de Russie pour déchaîner un conflit. Là réside la gravité du problème. C’est le piège tendu à la fois à la Russie et à l’Ukraine, les deux étant utilisées pour permettre à l’élite mondialiste de mener à bien son plan criminel.
Que l’on ne soit pas étonné si le pluralisme et la liberté d’expression, tant vantés dans les pays qui se prétendent démocratiques, soient quotidiennement désavoués par la censure et l’intolérance à l’égard des opinions qui ne sont pas conformes au récit officiel : les manipulations de ce type sont devenues la norme pendant la soi-disant pandémie, au détriment des médecins, des scientifiques et des journalistes dissidents, qui ont été discrédités et ostracisés simplement parce qu’ils ont osé remettre en question l’efficacité des sérums expérimentaux. Deux ans plus tard, la vérité sur les effets indésirables et la gestion peu judicieuse de l’urgence sanitaire leur donne raison, mais elle est obstinément ignorée parce qu’elle ne correspond pas à ce que le système voulait et veut encore aujourd’hui.
Si les médias du monde entier ont pu jusqu’à présent mentir sans aucune honte sur une question de stricte pertinence scientifique, en répandant des mensonges et en dissimulant la réalité, nous devrions nous demander pourquoi, dans la situation actuelle, ils devraient soudainement retrouver l’honnêteté intellectuelle et le respect du code de déontologie qu’ils ont largement répudiés avec la Covid.
Lire la suiteNombre de grandes entreprises soutiennent depuis longtemps l’avortement et le contrôle de la population
Par Sam Dorman — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 mars 2022 (LifeSiteNews) — Les récents projets de loi pro-vie se sont tacitement appuyés sur les tracas que rencontrent les femmes lorsqu’elles traversent les frontières d’un État pour obtenir un avortement. Les délais, les coûts et d’autres facteurs peuvent les empêcher d’obtenir la procédure, car elles ne peuvent plus avoir recours à l’avortement dans leur propre État.
C’est ce qui s’est produit au Texas, où la loi controversée sur le battement de cœur a apparemment provoqué un exode de femmes cherchant à se faire avorter dans l’Oklahoma, le Colorado et la Louisiane. Bien que le Texas ait publié des données sur la chute vertigineuse du nombre d’avortements depuis l’entrée en vigueur de la loi, on ne sait pas exactement combien de femmes ont accouché alors qu’autrement elles ne l’auraient pas fait. Heureusement pour la gauche, ses alliés du monde des affaires parviennent à garantir un accès [à l’avortement] là où le mouvement pro-choix ne parvient pas à le faire.
L’une des plus grandes banques d’investissement du monde, Citigroup, a annoncé cette semaine qu’elle financerait les déplacements (billets d’avion, etc.) des employées souhaitant avorter.
Dans un document public, la banque a déclaré que « les changements dans les lois sur les soins de santé génésique dans certains États » l’avaient incitée à « fournir des prestations de voyage pour faciliter l’accès à des ressources adéquates ». Citigroup compterait plus de 8 500 employés au Texas, où un tribunal a effectivement laissé en vigueur la loi [limitant] l’avortement.
On pourrait penser que le financement des voyages liés à l’avortement permet avant tout aux entreprises de diffuser une image de justice sociale dans la presse et d’éviter le boycottage de « wokistes ». Mais la fin de la vie d’un autre être humain offre bien plus de gains potentiels pour les entreprises. C’est du moins ce qu’indique le RHIA Group, une société d’investissement pro-choix qui a fait « l’analyse de rentabilité » de l’avortement et d’autres formes de « santé reproductive » en 2020.
Lire la suiteGoogle finance un consortium de « vérificateurs-de-faits » « catholiques », pro-injection covid
Bill Gates et George Soros.
Par Francesca de Villasmundo (Media Presse Info)
Note : J’apporte ici quelques précisions au sujet de cet article — qui tire son origine d’un article de Church Militant — dont certains aspects sont inexacts. Pour mieux refléter ces précisions, j’ai changé le titre du présent article qui était « Soros et Gates financent des médias “vérificateurs-de-faits”, dits “catholiques”, pro-injection covid » pour « Google finance un consortium de “vérificateurs-de-faits” “catholiques”, pro-injection covid ». En effet, entre autres choses, ce n’est pas Soros ou Gates qui finance le consortium de « vérification de faits », mais Google (ce qui à mon avis n’est pas mieux). D’autre part, par exemple, on ne peut pas vraiment affirmer qu’Aleteia (qui dirige le consortium) soit détenu par le groupe Média-Participations, mais on peut voir que celui-ci doit en posséder une part intéressante pour être devenu l’Opérateur industriel d’Aleteia en 2015. Du reste, si Aleteia ou le consortium n’est pas financé par Soros et son confrère Gates, ces derniers financent certains médias avec lesquels Aleteia s’est associé pour faire de la « vérification de faits ». Si l’association entre Aleteia et des médias douteux, ainsi que des financiers non moins douteux, ne semble pas être aussi étroite que le présent article pourrait le suggérer, on ne peut que désapprouver une telle coopération au sein d’un consortium composé en partie par des médias douteux et financé par Google, et avoir quelques réserves quant aux bienfaits qui sortiront d’une telle initiative. Voici le texte publié par Aleteia à sa défense et l’analyse de cette défense par Le Salon Beige où l’on peut voir que certaines rectifications d’Aleteia exagèrent dans le sens opposé aux accusations émises par Church Militant. — 21 janvier 2022, A.H.
Le site américain Church Militant publie dans un récent article des révélations concernant les campagnes de propagande vaccinale anti-covid en direction de la sphère catholique.
« Une opération catholique de “vérification des faits” lancée par un consortium de médias catholiques établis ayant des liens étroits avec le pape François est financée par […] Google, le colporteur de vaccins Bill Gates et l’agitateur de gauche Georges Soros. »
Ce consortium de médias catholiques, catholic-factchecking.com comme il s’autodésigne lui-même, est dirigé par le magazine et site Aleteia, appartenant à la quatrième plus grande maison d’édition de la France, le groupe Média-Participations, est édité en sept langues, et bénéficie d’une étroite collaboration avec le Dicastère du Vatican pour la Communication ainsi qu’avec le Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation.
Le projet vise à faire taire les journalistes catholiques non alignés, et est financé par de grands lobbies internationaux militants contre la vie et la famille, en collaboration avec de grandes entreprises pharmaceutiques qui produisent des vaccins.
Lire la suitePourquoi Bill Gates s’intéresse-t-il autant à l’avortement et à la contraception ? Cela a commencé avec son père
Bill Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Vital/Flickr
22 décembre 2021 (LifeSiteNews) — En 2003, le journaliste américain Bill Moyers a posé une question à Bill Gates. Pourquoi, voulait savoir Moyers, êtes-vous si passionné par les questions de reproduction ? Gates a réfléchi. « Mais êtes-vous venu aux questions de reproduction comme une recherche intellectuelle, philosophique ? », a insisté Moyers. « Ou est-ce que quelque chose s’est produit ? Y a-t-il eu une révélation ? »
« Quand je grandissais, mes parents étaient toujours impliqués dans diverses activités bénévoles », a répondu Gates. « Mon père était à la tête de Planned Parenthood. Et c’était très controversé d’être impliqué dans ce domaine. Et donc c’était fascinant ».
Fascinant, en effet. Au cas où vous auriez vécu dans une grotte au cours des dernières décennies, Planned Parenthood est le plus grand fournisseur d’avortements au monde. La Fondation Bill et Melinda Gates a perpétué l’héritage de Bill Gates père, en finançant des organisations qui distribuent la pilule abortive comme l’International Planned Parenthood. Comme l’a fait remarquer Obianuju Ekeocha, militante nigériane des droits de l’homme, la Fondation Gates répond aux demandes de soins de santé par la contraception ─ et pire encore.
Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas pourquoi les pro-vie ne font pas confiance aux « philanthropes » tels que Bill Gates, George Soros et autres. Comment peut-on s’opposer à des hommes qui utilisent leurs fortunes durement gagnées pour rendre le monde meilleur ? C’est là, bien sûr, que réside la réponse : nous ne pensons pas que l’avortement, les pilules contraceptives et l’éducation sexuelle de Planned Parenthood rendent le monde meilleur. Ces hommes sont plus riches que certains petits pays et ont des ambitions de colonisateurs idéologiques.
Lire la suiteUne survivante de la Shoah dénonce la dictature sanitaire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : archives fédérales allemandes/Wikimedia Commons
Dans une plainte déposée devant la Cour pénale internationale par un groupe de Britanniques — notamment contre Boris Johnson, Bill et Melinda Gates, Klaus Schwab, le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus et bien d’autres personnalités — pour crimes contre l’humanité et violations du Code de Nuremberg, une survivante de la Shoah, Vera Sharav, trace un parallèle saisissant entre les horreurs que perpétraient les nazis et les crimes de la dictature sanitaire actuelle :
« Sous le régime nazi, les normes morales ont été systématiquement oblitérées. La profession et les institutions médicales ont été radicalement transformées, la science universitaire, l’armée, l’industrie et la médecine clinique étaient étroitement imbriquées, comme elles le sont aujourd’hui. Le système nazi a détruit la conscience sociale au nom de la santé publique. Les violations contre des individus et des classes d’êtres humains ont été institutionnalisées. Les politiques de santé publique axées sur l’eugénisme ont remplacé l’accent mis par les médecins sur le bien de l’individu. La profession et les institutions médicales allemandes ont été perverties. Les politiques de santé publique coercitives violent les droits civils et humains individuels. Des méthodes criminelles sont utilisées pour faire appliquer ces politiques. La propagande nazie a utilisé la peur des épidémies infectieuses pour diaboliser les Juifs en tant que propagateurs de maladies, en tant que menace pour la santé publique... La peur et la propagande étaient les armes psychologiques utilisées par les nazis pour imposer un régime génocidaire et aujourd’hui, certains commencent à comprendre pourquoi le peuple allemand ne s’est pas soulevé, la peur l’a empêché de faire ce qu’il fallait. Les mandats médicaux sont un grand pas en arrière vers une dictature fasciste et un génocide. Les dictats gouvernementaux, l’intervention médicale, tout cela porte atteinte à notre dignité ainsi qu’à notre liberté... La leçon brutale de l’Holocauste est que lorsque les médecins s’allient au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être pervertie et passer d’une profession de guérison et d’humanité à un appareil meurtrier... Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Les médecins et les prestigieuses sociétés et institutions médicales ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse des civils. T4 a été le premier projet de meurtre médical industrialisé de l’histoire. Les premières victimes étaient des nourrissons et des enfants allemands handicapés de moins de 3 ans... Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Les opérations meurtrières étaient méthodiques, et suivaient le protocole très, très soigneusement. »
Big Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons
16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.
Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.
Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».
Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».
Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce le Great Reset : le covid est utilisé pour établir un « état de surveillance » mondial
Cardinal Gerhard Müller.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias Presse Info)
« Je ne veux pas être sauvé et créé à l’image et à la ressemblance de Klaus Schwab ou de Bill Gates, ou de Soros et d’autres personnes de ce genre », a déclaré le cardinal Gerhard Müller.
Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a averti que les partisans de la grande réinitialisation utilisent le COVID comme une opportunité pour « soumettre le peuple à un contrôle total et établir un état de surveillance. »
Mgr Müller a fait ce commentaire dans une interview accordée à l’Institut autrichien Saint-Boniface ce mois-ci.
L’interview, menée en allemand, a été intégralement publiée aujourd’hui, mais de courts extraits avaient été envoyés plus tôt.
Le cardinal Müller a parlé de la façon dont le COVID est utilisé par les élites mondialistes comme un moyen d’inaugurer leur programme de grande réinitialisation (le Great Reset promu par le Forum économique mondial).
Il a expliqué que les restrictions sont en partie « nées de la volonté de saisir cette opportunité pour soumettre le peuple à un contrôle total [et] pour établir un état de surveillance, tout comme les partisans de la Grande Réinitialisation l’ont dit eux-mêmes ».
Le cardinal allemand a cité le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, qui a décrit la pandémie de COVID-19 comme une « opportunité » de mettre en œuvre le Great Reset lorsqu’il a écrit dans un article de juin 2020 que « la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »
Lire la suiteBill Gates est « optimiste » pour 2022 : nous devrions l’être aussi, mais pour des raisons totalement différentes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : U.S. Department of Energy/Flickr/rawpixel
13 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Nous voici presque à la fin de 2021, et cela signifie qu’il est temps de regarder d’où nous venons et où nous allons.
C’est ce qu’a fait Bill Gates dans un long billet de blogue publié le 7 décembre. Il se lit comme l’une de ces lettres du Nouvel An qu’un parent éloigné écrit toujours, énumérant tout ce qu’il a accompli au cours de l’année écoulée.
Le billet commence par un bref récapitulatif de la vie de Gates en 2020 et 2021 ─ selon ses dires, il s’agit d’une existence bizarre, sans doute étrangère à ceux qui étaient sceptiques depuis le début quant au récit du COVID, mais certainement familière à beaucoup d’autres : une vie sans interaction sociale, vécue presque exclusivement à travers un écran, ne quittant la maison que pour se promener dans le jardin. La vaccination a ouvert la porte aux interactions sociales, mais seulement en petit nombre, et tout cela conformément aux directives des CDC, bien sûr.
« Ce fut une expérience étrange et déroutante », a déclaré Gates. « Mon univers personnel ne m’a jamais semblé aussi petit qu’au cours de ces 12 derniers mois. »
Personnellement, je doute que M. Gates ait vécu de cette façon. Avec le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le maire de Chicago Lori Lightfoot, le Dr Anthony Fauci et le président Joe Biden parmi les nombreux adeptes du COVID pris en flagrant délit de violation de leurs propres mandats draconiens tout au long de cette prétendue « crise », je suis dubitative chaque fois que les élites suggèrent qu’elles ont vécu comme « nous », soumis à tous les caprices des puissants de la santé publique.
Quoi qu’il en soit, M. Gates dénonce la solitude d’une telle vie, avant de promouvoir la « connectivité » offerte par nos écrans et notre cycle d’informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 (avec des réserves, que nous allons aborder).
Il poursuit en exposant quatre grandes questions qu’il a en tête au moment où le monde fait ses adieux à la vieille année : « les derniers progrès accomplis pour mettre fin à la pandémie de COVID-19, les raisons pour lesquelles la perte de confiance dans les institutions pourrait être le plus grand obstacle sur notre chemin, ce que la conversation sur le climat peut nous apprendre pour progresser, et comment la numérisation rapide provoquée par la pandémie façonnera notre avenir ».
Lire la suiteUn médecin qui a été le pionnier du protocole covid au HCQ exhorte à « la résistance contre la tyrannie gouvernementale »
Le Dr Zelenko.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias presse Info)
Le Dr Vladimir Ze’ev Zelenko a été l’un des pionniers du protocole de traitement précoce pour COVID-19 impliquant l’hydroxychloroquine (HCQ) et le sulfate de zinc. Il avait écrit une lettre ouverte au président Donald Trump annonçant son protocole de traitement du coronavirus.
Ce médecin juif orthodoxe partage également fréquemment des réflexions sur la bataille entre le Bien et le Mal. Dans une interview du mois de mars avec le Dr Peter Breggin, Zelenko a expliqué à son hôte que l’histoire elle-même est marquée par une lutte « entre des personnes essayant de vivre une vie consciente ou centrée sur Dieu » et d’autres qui « ont toujours essayé d’être Dieu » et voulu « avoir un contrôle global sur le reste de l’humanité ».
Ce que nous vivons est probablement la plus grande opération psychologique de l’histoire de l’humanité », a-t-il déclaré. Une opération « extrêmement bien orchestrée, brillamment exécutée, [et] exceptionnellement maléfique ».
Atteint d’une forme de cancer particulièrement sévère, le Dr Zelenko estime que son devoir est de parler tant qu’il le peut encore. Il commente la publication du 19 novembre de documents utilisés par la FDA (organe officiel des Etats-Unis) pour autoriser pleinement les injections anti-COVID de Pfizer, malgré leur connaissance de 150 000 effets indésirables graves recensés et de plus de 1 200 décès liés aux « vaccinations » au cours des trois premiers mois suivant son autorisation d’utilisation d’urgence.
« Le gouvernement des États-Unis a agressé la population américaine avec ses politiques meurtrières, la preuve étant que la FDA était au courant des effets secondaires bien avant de déployer ce vaccin auprès du public américain », a déclaré Zelenko. Des propos qui valent pour tous les gouvernements occidentaux.
Lire la suiteEntrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
Lire la suite