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Irlande : Financement prévu pour des maternités utilisé pour l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le gouvernement irlandais, puisqu’il prétend se préoccuper de la santé des femmes, pourrait au moins avoir la cohérence de financer de façon décente autre chose que le « soin » que représente pour lui l’avortement. La majeure partie d’un financement initialement prévu pour l’amélioration des maternités d’État sera détourné au profit de la pratique de l’avortement, selon Gènéthique

Après le décès d’une irlandaise dans un hôpital de Galway en 2012, l’Irlande a décidé d’améliorer la qualité des soins dispensés dans les 19 maternités d'État. Ainsi 77 préconisations ont été retenues pour mener un plan stratégique national en matière de sécurité des maternités. Un programme étalé sur dix ans.

Et le mois dernier :

Le Conseil d’administration du HSE a publié le plan de financement de la santé en Irlande qui ne prévoit qu’une allocation « symbolique » destinée au financement de l’amélioration des services des maternités. La majeure partie des fonds initialement prévus pour le financement de ce projet national a été détournée en 2019 pour financer les nouveaux services d'avortement.

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Le piège de l'euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock

Nathalie Elgrably-Lévy vient d’écrire une chronique dans laquelle elle dénonce la malhonnêteté intellectuelle qui sous-tend la légalisation et l’extension de l’euthanasie au Québec (et tant qu’à y être, je rajouterais : au Canada). Il semblerait bien qu’elle y condamne cette pratique mortifère, si ce n’est qu’elle ne le dit pas explicitement.

Le ministre de la Santé Danielle McCann avait annoncé que les patients atteints de problèmes psychiatriques pourraient demander l’euthanasie, mais la population ayant montré sa grogne devant l’idée qu’elle trouvait avec raison répugnante, le gouvernement québécois a décidé de consulter le peuple sur la question si délicate de l’euthanasie (surtout quand on veut la légaliser ou étendre son emprise…). Mme Elgrably-Lévy note, dans Le Journal de Montréal, que la légalisation de l’euthanasie s’était faite à l’unanimité de l’Assemblée nationale et, paraît-il, que la majorité des Québécois mentionnait positivement (lyriquement) la possibilité de recourir à cette panacée universelle (à coup sûr efficace) en cas de « souffrances psychiques ». Mme Elgrably-Lévy se demande notamment la raison d’un réveil aussi brutal.

Elle écrit donc :

Dans le cas de l’institutionnalisation de l’euthanasie, comme dans une multitude d’autres dossiers, la population est tombée dans un piège savamment tendu par l’élite politique.

D’une part, pour aveugler la raison, elle attise l’émotion, surtout lorsque l’agenda politique s’accompagne d’enjeux éthiques, sinon civilisationnels. L’intelligentsia politique use alors de subterfuges lexicaux, comme l’expression « soins de fin de vie », et joue sur l’humanité des individus pour faire oublier que la loi vise ultimement à permettre à l’État de tuer en toute légalité.

D’autre part, elle entretient volontairement une myopie intellectuelle en n’offrant qu’une interprétation individuelle, réductrice et ponctuelle des lois, sans en révéler tous les tenants et aboutissants.

Et cette technique est malhonnête, fait-elle remarquer, les politiques en entraînant forcément d’autres.

Mme Elgrably-Lévy note que la loi de 2014 a préparé la route de l’euthanasie des malades mentaux, et si cette idée est acceptée, cela entraînera, par « compassion » et d’« équité » l’euthanasie des personnes handicapées, atteintes de maladies chroniques ou de déformations génétiques comme les trisomiques, et les malades qui coûte cher… vers un « gentil » eugénisme quoi !

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Les démocrates de Virginie adoptent des lois permettant aux non-médecins de pratiquer des avortements

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Ces pro-avortement n’ont pas l’air de se soucier de ce que l’avortement soit moins « sécuritaire » et la femme moins informée à son sujet. Remarquez que cela va à l’encontre de la logique pro-avortement, selon laquelle « normalement » (sont-ils logiques ?) seul un médecin devrait pouvoir pratiquer un avortement afin que celui-ci soit le plus « sécuritaire » possible (ce qui n’est de toute façon pas le cas). Mais il y a une autre façon de penser pro-avortement (qui est au fond celle de base, l’autre n’étant qu’un prétexte) qui veut l’avortement à tout prix, même si cela devait être plus dangereux (mais où sont-elles donc leurs lamentations sur les avortements sanglants à coups de cintres et réalisés dans des arrière-boutiques ?). Selon LifeSiteNews :

Mardi et mercredi, la Chambre et le Sénat de Virginie ont respectivement voté pour autoriser les non-médecins à pratiquer des avortements et pour mettre fin à l'obligation faite aux femmes de passer par une échographie pré-avortement, de bénéficier de conseils et d'une période d'attente de 24 heures.

Le Sénat a voté par 20 contre 20 sur le projet de loi, le sénateur démocrate Joe Morrissey s'opposant à la ligne de son parti et le lieutenant-gouverneur Justin Fairfax faisant basculer l'égalité. Les projets de loi assouplissent également les exigences en matière de santé et de sécurité des centres d'avortement.

Toutes les divergences entre les versions de la Chambre et du Sénat devront être résolues avant que le projet de loi ne soit signé.

Les différences des projets de loi :

Le projet de loi de la Chambre des représentants étendrait la pratique de l'avortement, au cours du premier trimestre de la grossesse, aux sages-femmes, infirmières praticiennes et aux assistants-médecins. Le projet de loi du Sénat n'habilite que les infirmières praticiennes et les sages-femmes, et non les assistants-médecins, à pratiquer des avortements. Les projets de loi suppriment également les exigences relatives à une période d'attente de 24 heures avant qu'une femme enceinte ne subisse un avortement, aux conseils préalables à l'avortement, et à l'échographie. Les échographies sont de toute façon couramment pratiquées dans le cadre des avortements, pour déterminer l'âge du bébé à tuer.

Il a été démontré que le fait de montrer aux femmes leur bébé par échographie contribue à réduire le taux d'avortement.

Les projets de loi ne suppriment pas la nécessité d'obtenir le consentement écrit de la femme enceinte avant d'avorter.

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La moitié des Canadiens veut des limites à l'avortement tardif

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Devostock

Selon l’Angus Reid Institute, les Canadiens seraient, pour 49 % d’entre eux, pour une loi interdisant l’avortement dans le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la santé de la femme ne soit en danger, tandis que 51 % d’entre eux approuvent l’avortement tout au long de la grossesse. Déjà, ferais-je remarquer, donner une exception pour l’avortement si la « santé » de la femme est en danger, c’est montrer la faiblesse de cette restriction, pourquoi en effet ne pas mettre une exception que si la vie de la femme est en danger dans le troisième trimestre ? Ensuite, pourquoi ne pas bêtement mettre au monde l’enfant à naître qui est justement viable à ce stade-ci de son développement, une opération qui demande amplement moins de temps qu’un avortement à ce stade-là ? Mais l’avortement est immoral durant toute la grossesse, car l’enfant à naître est un être humain dès la conception. Du moins ne pourra-t-on pas dire que tous les Canadiens approuvent à 100 % ce crime abominable.

Toujours est-il que d’après L’Angus Reid Institute, dans la population canadienne :

Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.

Selon les tranches d’âges, on peut voir que parmi les jeunes l’avortement est plus accepté, et que le contraste le plus grand entre les tranches d’âges se constate chez les femmes ; 62 % des 18 à 34 ans sont pour l’avortement tandis que 59 % des 55+ sont pour une limite :


Bleu : Les femmes devraient avoir accès à l’avortement légal durant toute la grossesse.
Rouge : Il devrait exister une loi prohibant l’avortement durant le troisième trimestre de la grossesse, à moins que la vie de la mère soit en danger.

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La date du référendum néo-zélandais sur l’euthanasie est fixée

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik

L’euthanasie se pointe en Nouvelle-Zélande, le Premier ministre de ce pays a fixé la date du référendum par lequel la population ratifiera ou rejettera la loi légalisant l'euthanasie, qui a été adoptée par l'unique chambre législative. Selon LifeSiteNews :

Les électeurs décideront s’il faut autoriser les médecins à tuer les patients malades, faisant de la Nouvelle-Zélande le premier pays au monde à décider de l’euthanasie par référendum.

Mardi, le Premier ministre Jacinda Ardern a annoncé la tenue du référendum, qui aura lieu le 19 septembre. Le même jour, les électeurs décideront s’ils veulent remettre Mme Ardern au pouvoir.

Si le référendum sur l’euthanasie est adopté, avec plus de 50 % des voix, l’End of Life Choice Act de 2019 entrera en vigueur exactement un an après la finalisation des résultats du référendum. Actuellement, le concours et l’encouragement au suicide sont illégaux, selon le Code pénal néo-zélandais.

Si la nouvelle loi sur l’euthanasie était adoptée, elle permettrait aux médecins de prescrire une dose mortelle de substances aux patients qui demandent la mort et qu’on estime ne pouvoir vivre encore six mois.

Il y a bien sûr quelques barrières supplémentaires à l’euthanasie dans cette loi, comme le fait que la personne doit être apte à prendre la décision euthanasique, mais ça n’enlèvera rien à l’horreur de l’euthanasie ni au fait que ces barrières tomberont les unes après les autres, comme au Canada par exemple, si le peuple néo-zélandais est assez aveugle pour confirmer cette loi.

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Trump crée une coalition internationale contre l’avortement


Donald Trump, président des États-Unis.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrew Parish/LifeSiteNews

Le travail du gouvernement Trump aux Nations Unies a sans doute empêché le rajout de termes ambigus aux textes officiellement adoptés par cette boutique, termes qui auraient fait entrer le « droit à l’avortement » dans le droit international. Selon C-Fam :

L’administration Trump a organisé une réunion stratégique internationale pour les ambassadeurs, les ministres et autres responsables gouvernementaux afin de discuter de la manière de faire avancer la cause pro-vie au niveau international.

« J’ai déclaré ce fait aux Nations Unies en septembre dernier, et je vais le répéter ici : il n’existe pas de droit de l’homme international à l’avortement. En revanche, il existe un droit de l’homme international à la vie », a déclaré le secrétaire américain de la santé et des services sociaux, Alex Azar, lors d’une réunion à Blair House. La réunion a réuni les représentants de 34 pays totalisant 1,7 milliard de personnes.

« Le président Trump a été clair, aux Nations unies et sur la scène mondiale : les soins de santé existent pour améliorer la santé et préserver la vie humaine », souligna M. Azar.

[...]

M. Azar a exhorté les pays à ne pas se reposer sur leurs lauriers et à voir la campagne secrète de promotion de l’avortement au niveau international pour ce qu’elle est.

« Je suis sûr que vous connaissez tous le battement constant de tambours des couloirs des Nations Unies et de [l’Organisation mondiale de la santé] au son desquels on normalise les termes “santé sexuelle et reproductive” et “droits reproductifs” », déclara M. Azar.

« Dans ce contexte, il devient de plus en plus évident que certaines agences et certains pays des Nations unies veulent que cela signifie un accès sans entrave à l’avortement, et nous ne pouvons pas laisser cette menace sans réponse », conclut M. Azar.

[...]

Il a exhorté les pays à travailler avec la représentante spéciale pour la Santé des femmes dans le monde, Valerie Huber, dans les prochaines étapes de la coalition des mois à venir.

Cette dernière création d’une coalition cimente les mesures, sans précédent, prises par l’administration Trump au cours des six derniers mois pour mettre en place une coalition de pays afin de faire avancer la cause pro-vie au niveau international.

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La pilule provoque 2 500 accidents et 20 décès par an en France

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Encore un danger de la pilule contraceptive, comme s’il n’était pas évident qu’il était dangereux d’entraver un processus physiologique naturel aussi important que la procréation. Selon Le Monde :

Utilisées par 4,27 millions de femmes (chiffres de 2011), les pilules contraceptives, toutes générations confondues, provoquent chaque année « en moyenne » 2 529 accidents thromboemboliques veineux (formation de caillots dans les veines) et « vingt décès prématurés » de femmes, selon un rapport diffusé mardi par l’Agence du médicament (ANSM) et qui porte sur les années 2000 à 2011.

Ces décès sont liés à la survenue d’une embolie pulmonaire, forme la plus grave de l’accident thromboembolique, selon l’ANSM qui publie ce rapport dans le cadre du point régulier réalisé sur l’utilisation des pilules en France depuis l’alerte lancée en début d’année sur les pilules de 3e et 4e génération.

14 décès sont attribuables aux pilules de 3e et 4e générations, tandis que 6 le sont aux pilules de 1ère et 2e générations.

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« Nous voulons une aide à vivre, pas à mourir »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio

Dans une lettre adressée aux ministres de la Santé et des Services sociaux, et de la Justice, et publiée par le Soleil, quarante signataires, comprenant des personnes atteintes de maladies mentales et leurs proches, soulèvent des objections face aux projets du gouvernement d'étendre l’euthanasie aux personnes mentalement atteintes :

Nous sommes des personnes vivant avec des troubles de santé mentale ainsi que des proches. Nous voulons vous exprimer nos profondes inquiétudes quant à la possibilité de rendre l’aide médicale à mourir accessible dans le contexte de maladies mentales.

Ayant une connaissance expérientielle des maladies mentales, nous sommes les mieux placés pour savoir combien on peut souffrir pendant certaines périodes. Nous savons combien cette souffrance peut mener au désespoir, comment elle nous prive de notre liberté, lorsque la maladie prend toute la place et qu’elle nous prive de notre capacité de prendre des décisions éclairées. Dans de telles périodes, on en arrive à voir le suicide comme la seule façon de mettre fin à la souffrance. Mais justement, ce ne sont que des périodes.

En effet, les maladies mentales ne sont pas des maladies dégénératives : la détérioration n’est pas inéluctable. Il y a toujours de l’espoir : notre expérience, appuyée par la littérature scientifique, montre que des améliorations peuvent survenir, même tardivement, même dans des situations qu’on croyait désespérées. En fait, la plupart des personnes composant avec une maladie mentale, même sévère, se rétabliront éventuellement, et c’est l’espoir qui est le carburant de ce rétablissement.

Cette lettre qui commence pleine de bon sens continue de façon ambiguë sans condamner l’euthanasie, critiquant certes l’extension de l’euthanasie aux personnes démentes, mais sans rejeter non plus totalement cet aspect de la question, mettant surtout en garde, entre autres, contre le fait qu’une personne atteinte de maladie mentale voudra peut-être avoir recours à l’« aide médicale à mourir » (euthanasie) dans un moment de crise, alors qu’à un autre moment elle veut vivre. Sans compter qu’un cas de démence ne peut être déterminé comme étant incurable ou complètement incurable.

Les signataires de la lettre finissent par ces mots :

Ce que nous voulons, c’est qu’on nous aide à vivre, pas à mourir.

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28 janvier, jour anniversaire de la décision R. c. Morgentaler qui a décriminalisé l’avortement au Canada

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (côtés flous rajoutés) : Joconde Database/Wikimedia Commons

Aujourd’hui, 28 janvier 2020, c’est le 32e anniversaire de ce triste jour où la Cour suprême du Canada décriminalisa l’avortement.

Le 28 janvier 1988, le tribunal donna raison au Dr Henry Morgentaler, ainsi qu'à ses comparses les Drs Leslie Frank Smoling et Robert Scott (qui pratiquaient tous trois des avortements illégaux), qui « avait soutenu que, aux termes de la Charte canadienne des droits et libertés, le Code criminel limitait la liberté d’une femme. La cour a conclu que la loi n’était pas appliquée de façon égale dans l’ensemble du pays, ce qui allait à l’encontre de la garantie de sécurité de la personne prévue à l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés », d’après Wikipédia. Et depuis ce jugement, aucune loi n’a été votée par le gouvernement fédéral sur la question de l’avortement, laissant ainsi un vide juridique… abyssal.

L’avortement avait déjà été permis (mais non décriminalisé) sous certaines conditions (comme toujours) plutôt laxistes en 1969 par l’adoption du projet de loi omnibus libéral C-195, laissant se perpétrer quelque 11 152 avortements impunément pour la seule année 1970. C’est à Pierre-Elliot Trudeau, défunt ex-Premier ministre du Canada et père de l’actuel, que nous devons ce projet de loi néfaste, alors qu’il était ministre de la Santé ; tout comme nous lui devons cette douteuse Charte canadienne des droits et libertés.

Après le jugement R. c. Morgentaler de 1969, suivit celui de 1989, Tremblay c. Daigle, toujours pondu par la même catastrophique Cour suprême, ôtant tout droit à l'enfant à naître et au père de celui-ci.

Aujourd’hui, l’on compte environ 100 000 avortements par année au Canada, dont 30 000 au Québec, autant d’enfants à naître assassinés.

Ce jour devrait être un jour de deuil national

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Paris : Plus de 40 000 personnes ont participé à la manifestation contre la PMA sans père


Marche contre le projet de loi Bioéthique, 19 janvier 2020 à Paris.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : KTOTV/YouTube

La « procréation médicalement assistée » (je ne vois pas en quoi cette technique serait « médicale » puisque cette manipulation contourne les processus physiologiques normaux aux détriments de l'être conçu), ou PMA, plus précisément sans père dans le cas présent, c'est-à-dire que l'homme est absent est absent de la « famille » où l'enfant naîtra, est en train d'être légalisée en France sous la forme d’un projet de loi appelé Bioéthique, n’ayant plus besoin que de l’aval du Sénat pour devenir loi. Ce projet de loi contient d'autre éléments néfastes.

Des dizaines de milliers de Français sont descendus dans les rues de Paris afin de montrer leur opposition à l’adoption de ce projet de loi. Comme l’explique KTOTV sur sa chaîne de vidéos YouTube :

« Ils étaient plus de 40 000 manifestants en ce dimanche 19 janvier 2020 à manifester dans #Paris contre le projet de Loi #Bioéthique. Jeunes ou plus âgés, de partout en France et même d’ailleurs, ils nous expliquent pourquoi ils se sont mobilisés. »

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