Une étude rend justice au mariage chrétien
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels/Pixabay
Le mariage chrétien favorable au développement personnel des enfants ? C’est ce que tente de démontrer une étude publiée par Science Magazine, mettant en lumière le rôle de l’Église catholique qui l’a institué, permettant ainsi l’éclosion d’une élite européenne, rapporte la FSSPX.News :
Une équipe de chercheurs américains de l’université George Mason (GMU) a constaté que ce qu’on a coutume d’appeler les « élites occidentales », constitue un groupe à part qui se démarque de tous les autres types de population dans le monde : plus altruiste, plus développé, plus enclin à la réussite.
Trouvant une explication dans les « facteurs psychosociaux », que ces spécialistes en sciences humaines considèrent comme l’héritage d’un modèle familial particulier, ils expliquent que l’Église a progressivement fait émerger la famille du clan, auquel elle était subordonnée, lui donnant une place primordiale, au profit du bien-être de ses membres parents et enfants.
L’Église n’a pu que changer les relations sociales en protégeant la libre adhésion des époux au mariage, la désapprobation du mariage entre cousins, diversifiant ainsi le cercle familial et les rapports entre familles.
Rayonnement moral du mariage chrétien :
Le moyen privilégié de ce développement fut le mariage chrétien qui, en faisant disparaître l’endogamie*, a permis à la famille d’acquérir un rayonnement moral, intellectuel et social. Cela fut rendu possible par la chrétienté, dont l’homme occidental est issu.
Aux yeux de l’équipe de chercheurs du GMU, l’homme occidental doit sa réussite à « l’institution familiale durable » mise en place par l’Eglise, tout au long des siècles passés.
N'oublions pas que la grâce qui découle du mariage chrétien y est aussi pour beaucoup dans cette réussite.
*Fait, obligation pour les membres d’un groupe social (famille, clan, tribu, etc.) de choisir leur conjoint à l’intérieur de ce groupe. — CNRTL – A. H.
Laissez un commentaireLa suspicion des censeurs pro-avortement
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (montage) : Alliance Vita
L’organisme Alliance Vita avait fait poser quelque 300 affiches dans les réseaux de transports de Paris, comme il est légalement loisible à tout citoyen contre rémunération des services de la compagnie opérant les réseaux. Les affiches étaient banales et visaient plutôt la PMA, la GPA et défendaient la paternité et la maternité. Anne Hidalgo, maire de Paris, elle, y a entre autres vu une attaque contre l’avortement chose que les censeurs de la république répriment. Mme Hidalgo obtint donc de la compagnie de faire retirer les offensantes images. D’après Liberté politique :
Au commencement était une campagne d’affichage somme toute assez banale. Du noir et blanc, une photo et une mise en page sobre et dépouillée, une célébration du progrès et de la différence. Pas de quoi fouetter un chat. Une campagne qu’on pourrait presque trouver consensuelle… si elle n’avait pas utilisé les mots désormais idéologiquement piégés de « paternité » et de « maternité », et si le commanditaire de la campagne n’avait pas été Alliance Vita. Une association qui promeut la dignité de la personne humaine et la défense des personnes fragiles, ce qui est interprété par le système comme « pro-vie », donc dangereux. Qu’une telle association s’exprime, dans la France, dans le Paris de 2020, ce n’est tout simplement pas envisageable.
Nous vivons dans un monde parallèle, où les mots ne signifient plus ce qu’ils devraient signifier, ou signifient ce qu’ils ne signifient pas, où les présupposés attachés à tel ou tel vocable sont si lourds que des termes autrefois anodins sont désormais passibles de déportation symbolique ou médiatique.
Afficher sur le mur d’une station de métro parisien que « la société progressera à condition de respecter la maternité », c’est se rendre coupable de « délit d’entrave à l’IVG », comme autrefois, emballer le poisson du marché dans un journal à l’effigie de Staline vous faisait soupçonner de manquer de respect au marxisme-léninisme. L’écart qu’il y a entre les termes inoffensifs de « respecter la maternité » et le concept de « délit d’entrave à l’IVG » est plus que patent. La campagne ne parle pas de l’IVG. C’est un fait. Respecter la maternité, cela peut signifier 1001 choses…
Rajoutons enfin qu’Alliance Vita s’étant fait donner raison devant le tribunal des référés, Mme Hidalgo a dit vouloir faire appel de la décision de la Cour, dénotant par là son fanatisme, si ce n’est pro-avortement, sinon LGBT.
Laissez un commentaireAlberta : Victoire en justice d’un groupe d’étudiants pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
L’University of Alberta avait imposé 17 500 $ en frais de sécurité au préalable à un club pro-vie, pour la tenue d’un événement pacifique et stationnaire sur le campus de l’université, et ce, à la place de réprimander les étudiants d’ailleurs connus qui avaient perturbé un événement pro-vie semblable, ou d’envoyer la facture aux fauteurs de troubles, selon LifeSiteNews :
Laissez un commentaireVoici une autre victoire pour l’apologétique pro-vie sur les campus d’Alberta, la Cour d’appel d’Alberta a rejeté le six janvier l’imposition faite par l’University of Alberta de frais de sécurité de 17 500 $ à UAlberta Pro-Life. Exigés par l’université en 2016, ces frais de sécurité avaient empêché le petit club d’étudiant d’organiser des présentations didactiques sur le campus.
L’affaire s’est produite en mars 2015, lorsque L’University of Alberta a toléré le comportement d’un groupe qui a physiquement entravé sur le campus une manifestation pro-vie pacifique et stationnaire, qui avait été autorisée et approuvée par l’université. Le groupe avait employé des draps, des serviettes, des bannières et des mégaphones, rendant impossible aux passants de voir les affiches. La bande a efficacement fait taire les discussions intellectuelles et la recherche (de la vérité), violant ainsi le Code de conduite des étudiants. Avant la perturbation de cet événement approuvé par l’université, le président de l’université avait publiquement déclaré que le groupe pro-vie avait le droit d’exprimer ses opinions sur le campus. La présidente à l’époque, Indira Samarasekera, avait déclaré que l’université devait faciliter et protéger l’expression pacifique de toutes les opinions, quelle que soit leur popularité.
La déclaration du Dr Samarasekera n’a pas été traduite en actes concrets par la sécurité du campus ni prise au sérieux par les étudiants qui ont enfreint le Code de conduite des étudiants. La sécurité du campus a déclaré à plusieurs reprises aux membres de la foule obstructive qu’ils violaient le Code de conduite des étudiants, qui interdit expressément d’interrompre et d’entraver les activités et les événements reliés à l’université. Pourtant, la sécurité du campus n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’obstruction ou pour discipliner les étudiants qui s’étaient publiquement identifiés et qui se sont vantés dans les médias sociaux d’avoir réussi à empêcher un message avec lequel ils n’étaient pas d’accord.
En 2016, UAlberta Pro-Life a demandé à nouveau la permission d’organiser un événement de deux jours sur le campus avec affichage fixe. L’université a alors exigé des frais de sécurité de 17 500 $ au préalable pour la tenue cet événement sur le campus.
Dans un courriel, l’université a exigé que les étudiants pro-vie payassent les salaires des agents de sécurité et des policiers, ainsi que les coûts de clôturage du site, et qu’ils assumassent les coûts de la potentielle inconduite des personnes enfreignant le Code de conduite des étudiants de l’université, en faisant de l’obstruction et en perturbant le présentoir. Plutôt que de remettre une facture aux contrevenants qui se sont identifiés et qui ont avoué avoir enfreint les règles, l’université a plutôt indiqué au petit club pro-vie qu’il ne pouvait plus installer de présentoir sur le campus à moins de payer d’abord 17 500 $ en frais de sécurité. Incapable de payer les 17 500 $, UAlberta Pro-Life a été forcé d’annuler l’événement prévu pour février 2016.
Un pro-vie pourrait-il prendre la tête du Parti conservateur du Canada ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : freepik
Mise à jour (7 janvier 2019) : Je viens d'apprendre que Richard Décarie, pro-vie québécois et ancien conseillé de Stephen Harper, songe à participer à la course à la chefferie du Parti conservateur, selon Alec Castonguay, journaliste :
La démission d’Andrew Scheer ayant laissé la place de chef du Parti conservateur vacante, une question importante se pose, qui remplira cette fonction ? Serait-il possible qu’un pro-vie prenne la direction du parti quand le chef précédent, qui portait bon gré, mal gré l’étiquette redoutable d’« anti-choix » (c’est l’un des noms grotesques dont les pro-avortement nous affublent, nous autres pro-vie), a manqué de peu le titre de Premier ministre auquel les troupes conservatrices s’attendaient avec tant d’espoir de lui voir échoir.
Encore faudrait-il savoir si Andrew Scheer et son parti se sont retrouvés avec 121 sièges à la Chambre des communes (ce qui fait 22 de plus que ce qu’ils avaient précédemment), en tant qu’opposition face à un gouvernement libéral minoritaire, parce qu’il n’était pas assez pro-vie, parce qu’il était trop pro-vie ou parce qu’il voulait cacher le fait qu’il a des convictions pro-vie ? Peut-être que ce n’est en fait rien de tout cela ou un mélange.
Toujours est-il que divers aspirants à la direction du parti se sont annoncés, et que d’autres sont probables ou même inconnus comme le veut la rumeur, selon The Interim :
Laissez un commentaire Lire la suiteJusqu’à présent, deux personnes ont admis s’intéresser à la course : l’ancien ministre Peter MacKay et l’actuel député Erin O’Toole. L’ex-Premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, le ministre des Transports de l’Ontario, Caroline Mulroney, et l’ancien député Brad Trost nient tout intérêt à se présenter. L’ancien chef intérimaire Rona Ambrose a reçu l’appui public de personnes comme Wall et le Premier ministre d’Alberta Jason Kenney ; Mme Ambrose demeure muette sur ses intentions.
Les candidats potentiels ne manquent pas et les médias rapportent que le Premier ministre d'Ontario, Doug Ford, le ministre des Finances d’Ontario, Rod Phillips, et les députés Pierre Poilievre et Gérard Deltell envisagent tous de concourir.
Il y a de nombreuses conjectures sur la possibilité que Mark Mulroney, vice-président de la banque de financement et d’investissement de la Banque Scotia, le député Michelle Rempel Garner et l’ancien député Lisa Raitt se présentent.
Il y a eu un mouvement sur Twitter promouvant l’idée d’une femme-chef, à savoir Ambrose, Rempel Garner ou Raitt. Il y a également eu une campagne préconisant que seuls ceux qui ont défilé ou qui promettent de défiler dans un défilé de la fierté puissent être pris en considération.
Bonne et sainte année 2020
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
Nous vous souhaitons une bonne et sainte année, pendant laquelle nous espérons que la cause de l'enfant à naître, de la famille et du christianisme progressera.
Une nouvelle année pendant laquelle cheminer vers le Christ, comme les Rois mages.
Laissez un commentaireJoyeux Noël à tous
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Grégory Lejeune/Flickr
Nous vous souhaitons un très joyeux Noël en ce temps de la commémoration de la nativité de notre seigneur Jésus-Christ, qui a été comme nous un enfant à naître, porté pendant neuf mois dans le sein immaculé de la Vierge Marie, sous la protection du très chaste saint Joseph.
Laissez un commentaireLe Vatican publie un nouveau livre qui réduit le « péché de Sodome » au « manque d'hospitalité »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est plus précisément la Commission biblique pontificale qui a produit un livre étrange qui réduit le « péché de Sodome » à l’inhospitalité de ses habitants, alors qu’il est bien connu que ce péché est la… sodomie. Précisons que la Commission biblique pontificale n’est pas de rang magistériel, et ce, depuis Paul VI. Selon LifeSiteNews :
Laissez un commentaire« L'histoire de la ville de Sodome ... illustre un péché qui consiste en manque d'hospitalité, aggravée d'hostilité et de violence envers l'étranger, un comportement jugé très grave et donc méritant d'être sanctionné avec la plus grande sévérité », affirme le nouveau livre.
Les sources consultées par LifeSite ont qualifié le livre de « pure banalité » et de « manifestement ridicule ». Un théologien s'est même exclamé : « Dieu merci, ce truc n'est pas magistériel. »
Le nouveau volume, intitulé Qu'est-ce que l'homme ? Un itinéraire d'anthropologie biblique (Che cosa è l'uomo ? Un itinerario di antropologia biblica), a été publié le 16 décembre par la Commission biblique pontificale et tente d'examiner la compréhension scripturaire de la personne humaine. Le père jésuite Pietro Bovati, secrétaire de la Commission biblique pontificale, a déclaré que ce travail a été réalisé à la demande expresse du pape François.
Le gouvernement argentin étend l’accès à l’avortement aux filles de treize ans
Alberto Fernández, président d'Argentine.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Nicolás Aboaf/Wikimedia Commons
Le gouvernement nouvellement élu d’Argentine a récemment étendu l’accès à l’avortement aux filles de 13 ans, répondant ainsi au souhait du nouveau président Alberto Fernández de rendre l’avortement plus large d’accès. Selon CNA :
L'administration du président argentin Alberto Fernández, qui est entré en fonction la semaine dernière, a mis à jour le protocole d'avortement du pays afin de garantir l'accès à l'avortement aux femmes qui ont été violées.
Mais jusqu’aux filles de 13 ans, selon LifeSiteNews :
Laissez un commentaireLe nouveau gouvernement […] permet aux filles, même de 13 ans seulement, qui disent avoir été violées d'avoir accès à l'avortement.
Le ministre argentin de la Santé, Gines Gonzalez Garcia, a annoncé un nouveau protocole la semaine dernière. Il contourne le code pénal et permet l'avortement pour des filles, même de 13 ans, en cas de viol, sans qu'il soit nécessaire de contacter la police. Ceci est conforme au vœu du nouveau président Alberto Fernandez d'étendre l'avortement.
Lors d'une conférence de presse jeudi dernier, le médecin Gonzalez Garcia a déclaré : « Le protocole servira de guide, en particulier dans les cas où la loi permet clairement l'interruption de grossesse ».
Un théologien dominicain : « Je ne vous accompagnerai pas pendant que vous vous pendez »
Billet de blogue d'Augustin Hamilton Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
Mgr Vincenzo Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie, avait émis le 10 décembre l'idée selon laquelle les prêtres pouvaient être présent lors d'un suicide assisté, afin d'accompagner le candidat au suicide pendant son acte, propos auxquels se sont récriés le cardinal Willem Jacobus Eijik de Utrecht aux Pays-Bas et le Père dominicain Thomas Petri, vice-président et doyen académique de la faculté pontificale de l'Immaculée Conception à la Maison d'études dominicaines. Selon LifeSiteNews :
Laissez un commentaire Lire la suiteUn professeur américain en théologie morale a souligné que les chrétiens sont censés prévenir, et non faciliter, le suicide.
Écrivant la semaine dernière en réponse au dernier scandale de l'archevêque Vincenzo Paglia, le Père Thomas Petri, O.P. a tweeté :
« Je ne vous tiendrai pas la main ni ne vous accompagnerai pendant que vous vous pendez. Je ne resterai pas là pendant que vous vous tirez dans la tête. Au contraire, je jure devant Dieu Tout-Puissant que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous empêcher de vous suicider même si c'est légal. »
Petri a fait sa déclaration le jour suivant celui où l'archevêque Paglia a déclaré que les prêtres pouvaient être présents lors d'un suicide assisté.
« En ce sens, accompagner, tenir la main de quelqu'un qui est en train de mourir, est, je pense, un grand devoir que tout croyant devrait promouvoir », disait Mgr Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie, le 10 décembre.
« Je crois que de notre point de vue, personne ne peut être abandonné, même si nous sommes contre le suicide assisté parce que nous ne voulons pas faire le sale boulot de la mort » expliqua-t-il.
Plus de «roi» ni de «seigneur» pour Jésus dans les chants de Noël d'une école anglaise
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La directrice de l'école primaire laïque Whitehall de Chingford, dans la banlieue de Londres, a ôté les mots « roi » et « seigneur » qui étaient accolés au nom de Jésus dans les chants de Noël qui devaient être chantés lors d'une saynète de la Nativité. Décidément, elle ne voulait pas que le Christ fût roi devant tous, multiculturalisme oblige. Selon LifeSiteNews :
Laissez un commentaireUne directrice d'école anglaise a réécrit les paroles d'un chant de Noël traditionnel, chanté par les enfants lors d'une saynète de la Nativité, qui parle de Jésus comme « Seigneur », pour éviter d'offenser les personnes d'autres religions, comme les musulmans.
À l'école primaire laïque Whitehall à Chingford, dans la banlieue de Londres, le directeur Zakia Khatun a annoncé lors d'une réunion la semaine dernière que des changements avaient été apportés aux chants de Noël traditionnels afin que « tous les élèves puissent participer », comme les musulmans et ceux d'autres confessions, au programme annuel de Noël.
Les mots « nouveau roi né aujourd'hui » dans le chant « Come and Join the Celebration » ont été remplacés par « un bébé né aujourd'hui », tandis que les mots « Jésus le Sauveur » ont été remplacés par « Jésus le bébé » dans « Love Shone Down ». Tout comme pour « Seigneur » qui a été retiré du chant de Noël « Away in a Manger ».
Lorsque les parents exprimèrent leurs préoccupations au sujet de cette censure, Mme Khatun a défendu sa décision, disant à une mère chrétienne que l'école est ouverte à tous les élèves et affirmant que 60 enfants n'avaient pas assisté aux chants de Noël et au spectacle de la Nativité de l'an dernier dans une paroisse anglicane voisine, St. Peter ans St. Paul. Cette année, les chants de Noël ont eu lieu le 17 décembre.
Selon une mère chrétienne identifiée comme « Margarita », le résultat a été que l'école a discriminé la majorité que composent les élèves chrétiens afin de favoriser l'inclusion.