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Un violeur qui se dit transgenre peut être transféré dans une prison pour femmes

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : diegoattorney/Pixabay

Une des preuves démontrant à quel point l’idéologie du genre à une forte emprise sur les divers paliers gouvernementaux, c’est de voir avec quel aveuglement les principes de celle-ci sont appliqués sans souci de vérité ou de de sécurité. Un tueur-violeur se déclare « transgenre » ? Pas de problème ! On vous le transfèrera dans une prison pour femme…

Dans le cas particulier de Michael Williams, surnommé « Pyro », selon LifeSiteNews :

Pour situer le contexte, Williams est l'un des meurtriers qui violèrent Nina Courtepatte, alors âgée de 13 ans, sur un terrain de golf près d'Edmonton, quand celui-ci avait 17 ans. Après le viol, la jeune fille fut étranglée, poignardée, puis massacrer avec un marteau. C'est alors que Williams a gagné son surnom en essayant de la brûler.

Ses crimes étaient si odieux que même le système de justice pénale canadien, si molasson, prononça contre lui une peine de prison à vie pour majeur, et le juge Franklin fit remarquer : « Elle est morte dans les ténèbres de la nuit en un lieu froid et hostile, sans aucun réconfort, mais plutôt en compagnie de Michael Williams et d'autres individus qui l'ont tourmentée, battue et violée dans un acte de violence vicieuse et insensée... Michael Williams ne semblait rien ressentir. »

Et le juge, lors de son jugement en 2007, ne l’a pas trouvé très repenti :

Lors du procès pour meurtre de Williams en 2007, le juge Janet Franklin fit remarquer qu'il ne ressentirait peut-être pas de remords avant des décennies.

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Considérons maintenant que si le nommé Williams se dit « transgenre », celui-ci ne cherche aucunement à passer par le processus-bidon de « changement de sexe » (s’il n’en fait pas réellement changer, du moins castre-t-il temporairement ou définitivement), ne prenant pour la forme que des hormones plus particulières au femmes sur des périodes de deux semaines par mois, de sorte cependant à ne pas perdre ses fonctions sexuelles. Remarquons au passage que les critères que doivent remplir les détenus pour se faire reconnaître transgenres consistent simplement à répondre à cinq questions.

Le très féminin Williams est un prisonnier difficile :

Ce n'est pas non plus comme si Williams avait été un prisonnier modèle. Il a fait la navette dans le système carcéral à plusieurs reprises pour ce qui a été appelé « comportement inadapté », et le Sun a rapporté qu'il était « considéré comme étant hautement susceptible de commettre des délits violents... Je crains pour les femmes qui seront bientôt [exposées] à lui. Nous devons arrêter cela ». Williams, bien sûr, joue la carte de la « transphobie » et affirme qu'il est victimisé dans la prison pour hommes en raison de son identité transgenre [...]

Bis repetitas :

« Il est actuellement en isolement dans a prison Kent en attendant d'être transféré à la FVI (Fraser Valley Institute women's prison) », déclare une source [de la prison]. Il était au FVI avant mais a été retransféré à Kent parce qu'il avait été pris en flagrant délit de relations sexuelles avec des détenues ».

Il me semble très évident qu’on peut grandement douter des intentions de M. Williams. Franchement, qui ne pourrait comprendre que tout ceci est absurde.



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