« Je suis intersexué, et je rejette la folie des pronoms LGBT »
Par Jeremy Williamson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jamesteohart/Adobe Stock
9 avril 2022 (LifeSiteNews) — Avec toute l’hystérie dans la culture, la loi et la foi autour des identités sexuelles et de ce qui est ou n’est pas une femme ou un homme, j’ai pensé qu’il serait prudent de faire connaître une histoire qui est extrêmement rare et dont on ne parle pas vraiment, ni d’un côté ni de l’autre. Mais avant de vous raconter mon histoire et de vous expliquer comment j’ai vécu avec cette condition et comment je me suis battu dans la culture à ce sujet, je dois vous expliquer ce qu’est l’intersexualité.
S’il y a quelque chose que j’ai appris au cours des sept dernières années, c’est qu’il n’y a pas un seul expert qui en parle, où que ce soit en Occident. Les commentateurs, les politiciens et les soi-disant « experts » ont tous menti, se sont vendus, ont été réduits au silence ou ont parlé par ignorance. Je n’en veux pas à ceux qui ont été réduits au silence ou qui ont parlé par ignorance. On ne sait pas ce qu’on ne sait pas. Et pendant les deux premiers tiers de ma vie, je ne le savais pas non plus.
Vous voyez, l’intersexualité est une condition médicale qui affecte vos chromosomes sexuels pendant votre développement dans l’utérus de votre mère. La condition, ou le défaut comme on l’appelle à juste titre, peut commencer dès la conception avec un chromosome défectueux dans l’ovule ou le sperme, mais elle se développe parfois peu après la conception, lorsqu’un chromosome mute pour une myriade de raisons.
Chaque être humain qui naît possède une combinaison binaire de deux chromosomes sexuels. Ceux-ci sont appelés chromosomes X et Y en raison de leur apparence au microscope. En général, dans plus de 99 % des cas, ces deux chromosomes se combinent pour déterminer votre sexe ou votre genre, car avant 2015 environ, personne ne comprenait que sexe et genre [en biologie] ne signifiaient pas la même chose.
Les personnes intersexuées présentent une anomalie dans la combinaison des chromosomes sexuels qui peut entraîner des malformations congénitales ou des problèmes de santé, mineurs ou graves. Dans le développement humain normal, l’ovule de la mère fournit le premier chromosome X, et le sperme du père fournit soit un autre X, soit un Y. La combinaison XX signifie que vous êtes une femme, et XY que vous êtes un homme. C’est tout. C’est binaire. Homme ou femme, rien d’autre. S’il n’y a pas d’Y, alors il n’y a pas de petit garçon plein de vie.
Lire la suiteUn comité ministère de la Défense souhaite que l’armée canadienne exclue de l’aumônerie les religions opposées au programme LGBT
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cherkas/Adobe Stock
26 avril 2022 (LifeSiteNews) — Un rapport publié en janvier 2022 par le Comité consultatif du ministre de la Défense nationale du Canada recommande à ce dernier de « redéfinir » l’aumônerie afin d’exclure les religions qui ne soutiennent pas l’idéologie LGBTQ et « l’égalité des sexes ».
Le rapport, publié le 7 janvier et adressé à la ministre de la Défense nationale Anita Anand, indique qu’en raison de l’engagement de « l’Équipe de la Défense » et des Forces armées canadiennes (FAC) envers « l’égalité et l’inclusion », il est « incohérent » de continuer à embaucher « des candidats à l’aumônerie affiliés à des groupes religieux dont les valeurs ne sont pas alignées sur celles de l’Équipe de la Défense ».
Sans donner d’exemples précis des religions auxquelles le groupe d’experts fait référence, le rapport utilise l’exemple selon lequel « l’exclusion des femmes de la prêtrise par certaines églises viole les principes d’égalité et de justice sociale », tout en mentionnant que « la religion peut être une source de souffrance et de traumatisme générationnel », en particulier pour « de nombreux membres lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queers et bi-spirituels de la société canadienne ».
Un autre exemple que le rapport donne de pratiques religieuses inacceptables au sein de l’Équipe de la Défense est une religion qui a « des principes stricts exigeant la conversion de ceux qu’ils considèrent comme “païens”, ou qui appartiennent à des religions polythéistes. »
« Les dogmes et les pratiques de ces confessions entrent en conflit avec l’engagement de l’Équipe de la Défense à valoriser l’égalité et l’inclusivité à tous les niveaux du lieu de travail », peut-on lire dans le rapport officiel.
« Si l’Équipe de la Défense rejette la discrimination fondée sur le sexe, la discrimination anti-indigène et la discrimination raciale dans tous les autres domaines et qu’elle s’efforce d’éliminer les obstacles systémiques à l’emploi des personnes marginalisées, elle ne peut pas justifier l’embauche de représentants d’organisations qui marginalisent certaines personnes ou leur refusent catégoriquement un poste de direction », ajoute le comité.
Lire la suiteDisney finance les opérations de « transition » mutilantes et les bloqueurs d’hormones pour son personnel et leurs enfants
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik/Rawpixel.com
8 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que Disney fait face à une pression croissante de la part des conservateurs et des parents concernant sa promotion publique de l’agenda LGBTQ+ auprès des enfants, un nouvel article indique que la société aide ses employés et leurs enfants mineurs à obtenir des chirurgies mutilantes de « changement de sexe ».
Chris Rufo, membre senior de l’Institut Manhattan, qui a réalisé un travail important pour dénoncer la théorie de la race critique enseignée dans les salles de classe américaines, a souligné les efforts massifs de l’entreprise pour aider son personnel à accéder à des opérations de changement de sexe et à des médicaments dans un tweet du 7 avril contenant une vidéo qui proviendrait d’une réunion interne de l’entreprise.
Dans la vidéo, un homme qui apparaît sur une toile de fond portant les phrases « The Walt Disney Company » et « reimagine tomorrow », parle du « travail » que la société effectue pour promouvoir l’expression transgenre et les procédures de changement de sexe pour ses employés.
« L’autre grand domaine est l’identité et l’expression de genre, donc faire tout ce travail pour s’assurer que nos employés et nos acteurs peuvent exprimer leur genre ici de manière authentique et fière au sein de l’entreprise », a déclaré l’homme.
« Nous avons donc élaboré des guides sur la façon de changer sa photo, des informations sur les pronoms, et nous avons travaillé avec notre équipe chargée des avantages sociaux pour fournir des informations sur les procédures d’affirmation du genre à nos employés en transition et transgenres, mais aussi à nos employés dont les enfants sont en transition », a-t-il ajouté.
NEW: Disney has adopted a benefits program to assist employees and their minor children with "gender affirmation procedures." This type of treatment typically includes puberty blockers, breast removal, and genital surgeries for "kids who are transitioning." pic.twitter.com/a2zSSboe0S
— Christopher F. Rufo ⚔️ (@realchrisrufo) April 7, 2022
On ne sait pas qui est l’homme ni quand la vidéo originale a été enregistrée.
Lire la suiteLa Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suite659 « changements de sexe » au Québec en un an
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (montage) : klamite/Pixel-Shot/Adobe Stock
Les changements de sexe à l’état civil sont montés en flèche ces dernières années au Québec. « En 2021, 659 Québécois ont obtenu un changement de la mention de leur sexe à l’Etat civil », rapporte Généthique. Et malheureusement, « la tendance ne devrait pas s’inverser : 157 demandes ont déjà été approuvées sur les deux premiers mois de 2022. »
Un article de La Presse affirme que la clinique du Dr Karine Igartua, psychiatre et cofondatrice du Centre d’identité sexuelle de l’Université McGill, « reçoit 30 nouvelles demandes de consultation par mois, et la liste d’attente va jusqu’à six mois. »
La psychiatre « ne cache pas cependant une préoccupation certaine face à la tendance nettement à la hausse. » Selon elle, « Le danger... c’est que des gens voient dans un changement de sexe “une porte de sortie” à leur mal-être. »
Le problème de « mal-être » auquel les personnes font face et duquel elles tentent de s’échapper ne sera jamais résolu par leur opposition à la loi naturelle. Désorientées, cherchant à s’échapper de la réalité, cherchant à être libérées d’elles-mêmes, ces personnes ne seront jamais réellement libres s’ils n’affrontent pas la réalité, et n’acceptent pas la Vérité.
En 2022, le monde est soi-disant libéré : libéré du passé, libéré des règles « oppresseurs » de la religion, libéré du « conditionnement » social, libéré de la « rigidité » de la structure familiale traditionnelle, et pourtant, n’a-t-on jamais vu autant de mal-être chez les personnes, en particulier chez les enfants ?
« Le Dr Shuvo Ghosh, codirecteur du Centre Meraki — la seule clinique pédiatrique où sont dirigés les enfants présentant une variance de genre —, dit que l’explosion des demandes chez les plus petits a été particulièrement marquante entre 2006 et 2016 (La Presse). » Et les « demandes demeurent néanmoins très élevées. »
Un champion britannique de cyclisme voulait se lancer dans la compétition féminine après « transition »
Zack, dit « Emily », Bridges.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Zack, dit « Emily », Bridges n'aura finalement pas participé au championnat national de cyclisme féminin de Grande-Bretagne pour questions techniques, il n'a pas encore été enregistré comme « femme » pour les compétitions internationales et ne peut donc pas participer à celles nationales… — A.H.
28 mars 2022 (LifeSiteNews) — Un talentueux cycliste britannique masculin a annoncé son intention de concourir contre les femmes aux Jeux olympiques de 2024 après avoir subi une intervention médicale pour faire baisser son taux de testostérone, dans le cadre du processus en cours de sa « transition de genre ».
Le jeune homme de 21 ans désormais connu sous le nom d’« Emily » Bridges, anciennement Zach, a annoncé qu’il était « transgenre » dans un article d’octobre 2020 pour SkySports, publié le jour dit du « coming out » de cette année-là.
Depuis lors, Bridges a continué à concourir contre des hommes avec plus ou moins de succès, mais après avoir pris des médicaments pour supprimer ses niveaux de testostérone, il est désormais admissible pour concourir contre des femmes, selon les nouvelles normes établies par British Cycling, l’organe directeur du sport.
Le règlement stipule que, pour concourir contre les femmes, un homme doit fournir une « déclaration signée » attestant de sa féminité supposée, une décision qui ne peut plus être modifiée avant au moins quatre ans.
Le seul autre critère qu’ils doivent satisfaire est d’obtenir une « attestation d’un professionnel de la santé selon laquelle le taux de testostérone sérique totale du membre a été inférieur à 5 nmol/L pendant au moins 12 mois avant la première compétition du membre ». Le dossier médical devra être mis à jour chaque année.
Ces dispositions s’appliquent même aux garçons mineurs, pour lesquels l’autorisation de concourir en tant que fille nécessite la signature de la déclaration de genre par un parent ou tuteur légal, en plus des directives ci-dessus.
Les femmes qui souhaitent concourir contre des hommes doivent seulement fournir une déclaration signée attestant qu’elles se considèrent comme des hommes.
Grâce à son hormonothérapie, Bridges satisfait désormais aux deux critères définis par British Cycling et peut désormais participer aux épreuves féminines.
Lire la suiteLa Colombie-Britannique supprime le « langage genré obsolète » des règlements officiels du gouvernement
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
1er avril 2022, Victoria, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé qu’il allait supprimer toute référence au sexe des personnes dans ses règlements officiels.
Selon le Vancouver Sun, le gouvernement de la Colombie-Britannique a supprimé « près de 750 occurrences » de « langage sexué désuet » de ses règlements provinciaux jusqu’à présent en 2022. Les termes dits « désuets » comprennent « il », « elle », « lui-même », « elle-même » et même « père », « fils » et « tante », dans « certains cas ».
« L’utilisation d’un langage inclusif partout où nous le pouvons ne fait pas que supprimer les obstacles aux services, elle protège également les droits des personnes », a déclaré Grace Lore, la secrétaire parlementaire pour l’équité entre les sexes. « C’est une façon pour le gouvernement de rendre la vie un peu plus facile aux milliers de Britanno-Colombiens qui font face à des obstacles inutiles en raison d’un langage désuet et d’aider à lutter contre les préjugés sexistes ».
En plus de la suppression des références à la biologie humaine, le terme « abus de substances » a été modifié pour devenir « consommation de substances », car la province et sa ville la plus peuplée, Vancouver, connaissent un nombre record de décès par surdose de drogues.
La volonté d’effacer ce que l’on appelle le « langage genré » fait partie intégrante du programme LGBTQ, et plus particulièrement d’un signal de soutien à la communauté « transgenre ».
Lire la suiteNouvelle case X sur les passeports américains
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
La moralité, le respect de la loi naturelle, et la rectitude se dégradent-ils vraiment à une vitesse effrayante ?
Le 31 mars, lors de la journée internationale de la visibilité transgenre le département d’État a annoncé qu’à partir du 11 avril, toute personne demandant un passeport aux États-Unis pourra cocher la case « X », et non plus seulement choisir entre « homme » et « femme ».
Dès lors, « la définition du marqueur de genre X sur les formulaires publics du Département d’État sera “Non spécifié ou une autre identité de genre” ».
Mais cette case X ne représente-t-elle pas beaucoup plus qu’un genre flou et « non spécifié » ? Ne représente-t-elle pas le rejet inconditionnel de toute frontière morale ? Cette case X n’est-elle pas tout simplement le sceau de l’engagement de la société à propager le mensonge transgenre et à le proclamer haut et fort ?
Le secrétaire d’État a déclaré dans son communiqué de presse : « Nous réaffirmons notre engagement à promouvoir et à protéger la liberté, la dignité et l’égalité de toutes les personnes — y compris les personnes transgenres, non binaires et non conformes au genre dans le monde. »
L’engagement propose et promet plutôt de nier la réalité, de nier la réalité scientifique, de nier la loi morale, de nier le respect dû à la personne humaine.
Dans un communiqué, la Maison-Blanche affirme que « Les personnes transgenres sont parmi les plus courageuses de notre pays... » Les transgenres : voilà les personnes qu’on baptise les héros d’aujourd’hui. La faiblesse immorale : voilà la « vertu » qu’on nomme le courage d’aujourd’hui.
Une femme qui a vécu comme «homme» explique comment l’internet pousse les adolescents à suivre l’idéologie transgenre
Helena Kerschner.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michael Knowles/YouTube
28 mars 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur du Daily Wire, Michael Knowles, a mis en lumière dans son émission l’histoire d’une femme nommée Helena Kerschner qui a « détransitionné » après avoir pris des hormones et vécu comme si elle était un homme pendant plusieurs années.
Elle a raconté à Knowles que des problèmes d’estime de soi à l’adolescence l’ont conduite sur Internet, où elle a commencé à s’informer sur le transgenrisme. Kerschner a pris des hormones à 18 ans, mais à 22 ans, elle a cessé de le faire et ne prétend plus être un homme. Elle a déclaré que la pression exercée par des groupes en ligne l’a amenée à croire à tort qu’elle devait effectuer une transition.
« Vers l’âge de 15 ans, je traversais une période de ma vie où je n’avais pas beaucoup d’amis, où je me sentais mal dans ma peau et cela me tourmentait, et cela m’a amenée à aller souvent sur Internet », a raconté Mme Kerschner.
Cela l’a conduite sur le site de blogues Tumblr, où, selon elle, l’« idéologie du genre » est omniprésente.
« L’idéologie du genre y est très présente », a-t-elle indiqué. Selon elle, il existe de nombreuses « incitations sociales » à changer ses pronoms et à adopter l’idéologie du genre pour rester dans ces communautés en ligne.
Elle a ajouté que ces types de « communautés Internet » peuvent « donner l’impression d’être acceptée » et jouer un rôle malsain dans la vie d’une jeune fille. « C’est grâce à elles que vous vous sentez acceptée et que vous voulez vous intégrer, alors vous êtes prête à faire presque n’importe quoi pour vous conformer à ce groupe social », a déclaré Mme Kerschner.
Les communautés en ligne de ce type encouragent les adolescents à explorer le transsexualisme et leur disent que les problèmes normaux d’estime de soi chez les adolescents sont en fait des signes de dysphorie de genre. « Il y a des gens dans ces communautés qui diront, si tu n’aimes pas ton corps, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu ne t’intègres pas aux autres filles, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu n’aimes pas la façon dont ta voix sonne dans un enregistrement, c’est un signe de dysphorie de genre. »
« En tant qu’adolescente, vous ne réalisez pas vraiment à quel point c’est universel [de ne pas aimer son corps ou sa voix] », a expliqué Kerschner à Knowles.
Les pairs ont « validé » la décision de Kerschner de commencer à prendre des hormones et à vivre comme un homme.
Lire la suiteLe programme « wokiste » de Home Depot au Canada et ses fiches « vérifiez vos privilèges »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mike Mozart/Flickr
24 mars 2022 (LifeSiteNews) — Que se passe-t-il lorsque des sociétés sont colonisées par des révolutionnaires culturels ? Nous commençons à le savoir. Au cours des dernières années, les entreprises ont cessé de servir les clients pour agiter le drapeau arc-en-ciel, défendre des causes progressistes, intimider les gouvernements locaux qui adoptent des lois pro-vie et autres lois conservatrices, et mettre en place des formations sur la diversité et l’équité (basées sur la théorie critique) dans leurs salles de conseil et leurs salles du personnel. Steve Soukup explique comment cela s’est produit et comment les conservateurs peuvent riposter dans son récent livre The Dictatorship of Woke Capital : How Political Correctness Captured Big Business, et il m’a rejoint pour mon émission en ligne sur LifeSiteNews, afin de discuter de sa thèse.
Un exemple récent d’entreprises poussant à la rééducation de ses employés a été posté sur Twitter par Libs of Tik Tok. Il s’agit d’un dossier censé provenir d’un Home Depot de Calgary, en Alberta, intitulé « Pratiques innovantes : Découvrir le privilège ». Attendez-vous à être décoiffé.
Le terme « privilège » est défini comme « un avantage spécial qui peut être gagné ou non », ce qui est assez juste. Le « privilège blanc » est le suivant : « Les privilèges sociétaux dont bénéficient les Blancs au-delà de ce que connaissent généralement les personnes de couleur dans les mêmes circonstances sociales, politiques et économiques. » Les sonnettes d’alarme se déclenchent, mais les montagnes russes commencent vraiment lorsque le feuillet commence à énumérer des exemples de « privilège blanc ». Par exemple :
« Si vous êtes convaincu que la police existe pour vous protéger, vous avez un privilège blanc. »
« Si vous vous attendez à des congés pour célébrer vos fêtes chrétiennes, vous avez le privilège chrétien. »
« Si vous pouvez utiliser les toilettes publiques sans être dévisagé, sans avoir peur ou sans être angoissé, vous avez le privilège cisgenre. »
« Si vous n’avez pas à expliquer que votre conjoint est du même sexe, vous avez le privilège de l’hétérosexualité. »
Oh, et au cas où vous ne seriez pas blanc, chrétien, normal ou hétéro, les illuminés de Home Depot ont un fourre-tout pour s’assurer que vous vous sentez bien et coupable, aussi :
« Si vous n’avez pas à y penser, c’est un privilège. VÉRIFIEZ VOTRE PRIVILÈGE. »
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