Le documentaire What Is a Woman? de Matt Walsh atteint 177 millions de vues sur Twitter
Matt Walsh.
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : The Daily Wire/YouTube
3 juin 2023 (LifeSiteNew) — Après une journée et demie chaotique de suppression et de victoires de la liberté d’expression, le documentaire révolutionnaire What Is a Woman? (Qu’est-ce qu’une femme ?) a atteint plus de 177 millions de vues (mardi 14 h 30) sur Twitter. Le Daily Wire a laissé le film en libre accès sur la plateforme pendant la fin de semaine.
Matt Walsh, animateur du Daily Wire et vedette du film, a indiqué samedi matin qu’en plus des 110 millions de vues, le film avait reçu « 120 000 retweets », des chiffres qu’il a qualifiés d’« incroyables ».
Tôt ce matin, le Daily Wire, basé à Nashville, a annoncé que « le film qu’ils ne veulent vraiment pas que vous voyiez » avait « officiellement atteint les 100 millions de vues sur Twitter ».
Cette étape a été franchie quelques heures après la mise à jour vendredi soir du Daily Wire, qui indiquait que le film avait « accumulé plus de 78 millions de vues » en seulement 24 heures. Avec ce chiffre, le média « a décidé de le laisser en ligne le reste du week-end, alors le ciel est le plafond ».
La diffusion rapide de ce documentaire dénonciateur de l’idéologie du genre fait suite à son blocage par les dirigeants de Twitter, une décision qui, selon son propriétaire Elon Musk, était « une erreur ». La censure temporaire a eu lieu après que le Daily Wire eût conclu un accord avec la plateforme pour diffuser le film gratuitement en l’honneur de son premier anniversaire. Twitter se serait retiré de l’accord en raison de certaines scènes dans lesquelles des personnages « mégenraient » les autres.
Musk a ensuite résolu le problème et fait la promotion du film sur sa propre page Twitter, critiquant la mutilation des enfants et déclarant que « tous les parents devraient regarder » le documentaire. Ce message est désormais épinglé sur son compte.
Walsh a souligné aujourd’hui que si « le film a été vu par des millions de personnes [...] seuls six critiques de cinéma ont osé le commenter. Et aucun d’entre eux n’est issu d’une publication grand public ».
Les évaluations qu’il mentionne sont publiées sur Rotten Tomatoes, un site internet conçu pour informer le public de la qualité des films et des émissions de télévision sur la base de critiques écrites et d’évaluations du public. Elles datent toutes de l’été 2022, lorsque le documentaire a été diffusé pour la première fois, mais aucune nouvelle critique n’a été ajoutée depuis son visionnage massif au cours des deux derniers jours.
Selon le site internet, plus de 60 % des quelques critiques du film sont positives, ce qui lui confère un taux de qualité de 83 %. Sur la base de plus de 5 000 évaluations du public, la moyenne est de 4,8 sur 5, ce qui donne au documentaire une note de qualité de 96 % de la part des spectateurs.
Un enseignant chrétien se voit interdit parce qu’il n’a pas utilisé le bon pronom
Joshua Sutcliffe.
Par Clémentine Jallais (reinformation)
C’est le premier cas du genre — et il faudra s’en souvenir. Au Royaume-Uni, un enseignant, professeur de mathématiques chrétien, a été viré par la secrétaire d’Etat à l’Éducation pour avoir « discrédité la profession », en n’utilisant pas le « pronom préféré » d’une collégienne qui s’était identifiée comme un garçon. La Teaching Regulation Authority (TRA) interdit à Joshua Sutcliffe d’exercer à quelque titre que ce soit pendant au moins deux ans et potentiellement indéfiniment.
Alors qu’études et dossiers lourds commencent à sortir sur les dégâts considérables qu’induit la promotion du genre chez les enfants à l’école, les couperets tombent, dans la plus grande hypocrisie.
Un pronom trop féminin
Six ans que dure cette affaire. 6 ans que Joshua Sutcliffe se bat pour faire reconnaître son droit et surtout le droit des enfants, ses élèves, d’être protégés des ravages causés par la valorisation extrême de la théorie du genre au sein des établissements scolaires. En 2017, il avait fait la une des journaux après avoir fait l’objet d’une audience disciplinaire à The Cherwell School parce que le parent d’un élève qui se disait transgenre s’était plaint de maltraitance. Il avait été suspendu et finalement licencié pour avoir prétendument « mal genré » une collégienne qui s’était identifiée comme garçon. Au cours d’une leçon de mathématiques, Joshua avait salué le succès d’un groupe d’élèves dans lequel elle se trouvait, en disant, sans malice, « bravo les filles »… Les excuses du professeur ne servirent à rien.
Il faut préciser qu’à aucun moment, l’école n’avait donné d’instructions formelles quant à l’attitude à avoir avec cette élève. L’affaire en resta finalement là. Tout comme l’affaire suivante, en novembre 2019 : dans un autre établissement, l’enseignant s’est vu suspendre une semaine parce qu’un parent d’élève s’était plaint de sa chaîne Youtube personnelle ; Joshua, chrétien convaincu et convaincant, déclarait dans une de ses vidéos que « Mohammed est un faux prophète ». L’enseignant préféra alors démissionner.
Lire la suiteJosh Alexander affirme que ses parents ont été suspendus de leur poste au sein d’une commission scolaire d’Ontario
Josh Alexander.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
9 mai 2023, Renfrew County, Ontario (LifeSiteNews) — Josh Alexander, un étudiant catholique canadien du secondaire, a déclaré que ses parents ont été suspendus de leur emploi au sein d’une commission scolaire de l’Ontario et qu’ils font l’objet d’une enquête, ce qu’il soupçonne être des représailles à son franc-parler contre l’idéologie du genre.
Lundi, Alexander a publié un tweet révélant que ses parents étaient « attaqués », suite à sa propre suspension de l’école l’année dernière après avoir affirmé que Dieu n’avait créé que deux genres : masculin et féminin.
« J’ai été informé que ma mère et mon père ont été mis en congé et bannis de leur salle de classe », a-t-il écrit. « Mes parents sont attaqués simplement parce qu’ils m’ont élevé. Ils n’ont pas pu m’atteindre, alors ils se sont attaqués à ma famille ».
Lors d’une récente interview, Alexander a donné plus d’informations : « Ce matin, j’ai appris que ma mère fait l’objet d’une enquête et qu’elle a été exclue de sa salle de classe pour une durée indéterminée ».
Selon Alexander, son père a été renvoyé de son travail deux semaines plus tôt et fait également l’objet d’une enquête. On ne sait pas exactement quelles sont les raisons de ces enquêtes. Alexander pense que ses parents sont attaqués « simplement parce qu’ils sont mes parents ».
Lire la suiteLa plupart des États républicains s’attaquent à l’horrible crise de mutilation des jeunes « transgenres » aux États-Unis
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jacob Lund/Adobe Stock
5 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les États dirigés par des républicains s’opposent au mouvement LGBT radical avec une vague de nouvelles lois limitant les opérations et les produits transgenres, dévastateurs pour les enfants.
2023 a été une année décisive dans la lutte contre l’idéologie LGBT et le grave danger qu’elle représente pour les enfants. Depuis janvier, 14 États ont approuvé des lois interdisant ou limitant les « transitions de genre » pour les mineurs, dont la popularité a explosé ces dernières années avec la montée en puissance de la confusion quant au genre chez les jeunes.
Ces États sont l’Arkansas, la Géorgie, l’Idaho, l’Indiana, l’Iowa, le Kentucky, le Mississippi, le Montana, le Dakota du Nord, l’Oklahoma, le Dakota du Sud, le Tennessee, l’Utah et la Virginie-Occidentale.
Des restrictions sont également entrées en vigueur en Floride, où l’administration du gouverneur Ron DeSantis a interdit ces pratiques par l’intermédiaire des conseils médicaux de Floride. Dans le Missouri, le procureur général Andrew Bailey a publié en avril un règlement qui limiterait fortement les opérations chirurgicales et les produits destinés aux transgenres, tant pour les enfants que pour les adultes, mais un juge l’a temporairement bloqué.
En Floride, au Missouri et dans quatre autres États, des projets de loi interdisant les « transitions de genre » chez les mineurs ont été adoptés par au moins une chambre législative cette année. Des lois similaires sont en cours d’élaboration en Louisiane, au Nebraska, en Ohio et en Caroline du Sud.
L’Alabama, l’Arizona, l’Arkansas, le Tennessee et le Texas ont déjà adopté des lois ou des décrets limitant ces procédures.
Lire la suiteUn conseil scolaire « catholique » demande aux élèves s’ils s’identifient comme « trans » ou « bispirituels »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 mai 2023, Waterloo, Ontario (LifeSiteNews) — Une enquête menée par une commission scolaire catholique de l’Ontario demande aux élèves à quel genre ils s’identifient, tout en proposant comme options « femme trans », « homme trans » et « bispirituel ».
Un récent sondage de la commission scolaire Waterloo Catholic District School Board (WCDSB), envoyé à LifeSiteNews par des parents anonymes, impose l’agenda LGBT aux enfants, selon Jack Fonseca de Campaign Life Coalition.
« Cette enquête est totalement inappropriée et dangereuse, tant sur le plan spirituel que médical », a déclaré Fonseca à LifeSiteNews. « Surtout pour un conseil scolaire catholique qui est censé fonctionner comme une branche de l’Église catholique, avec comme objectif principal (en plus de l’enseignement de base) de former les enfants pour qu’ils deviennent des disciples dévoués de Jésus-Christ, qui croient en la Bible ».
Selon le WCDSB, l’enquête vise à recueillir des commentaires sur le nouveau plan stratégique pluriannuel du WCDSB (2022-2025). Le nouveau plan vise à instaurer des valeurs « d’équité, de diversité et d’inclusion », selon une courte vidéo du directeur du WCDSB, Tyrone Dowling.
L’un des objectifs du WCDSB pour les élèves, intitulé « Awaken to Belong », est que « chaque élève puisse se voir reflété dans son apprentissage ».
Lire la suiteUn coureur « transgenre » suscite l’indignation en remportant une importante compétition cycliste féminine
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
3 mai 2023 (LifeSiteNews) — Un homme qui prétend être une femme s’est classé premier dans la catégorie féminine de la course cycliste Tour of the Gila, après que son inclusion dans la catégorie ait incité une femme cycliste de haut niveau à se retirer.
Austin Killips s’est classé premier avec un temps de 3 heures, 7 minutes et 16 secondes, devançant ses concurrentes Marcela Prieto et Cassandra Nelson dans cette course de près de 66 miles, a rapporté Cycling News.
« Nous voulions vraiment nous placer dans une échappée », a déclaré Julie Kuliecza, directrice de l’équipe de Killips, la Fondation Amy D. « Nous pensions que quelque chose allait se passer juste après le deuxième point de sprint, et nous voulions un coureur dans cette échappée pour que, lorsqu’Austin et les autres coureurs du classement général l’atteindraient, Austin ait quelqu’un pour l’aider et le protéger, et cela a parfaitement fonctionné ».
Le directeur de la compétition du Tour of the Gila, Michael Engleman, a semblé marcher sur une corde raide diplomatique lors d’une entrevue après la course, suggérant qu’ils étaient « heureux » de respecter les règles dictées par les instances dirigeantes du sport (USA Cycling et l’Union cycliste internationale) tout en notant que, contrairement à lui, ces instances pouvaient rester derrière un « mur de briques » qui les protégeait des critiques pour ces décisions.
Lire la suiteUne mère intente une action en justice après que l’État lui ait refusé l’adoption en raison de ses convictions chrétiennes
Jessica Bates.
Par Amira Abuzeid (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
L’Oregon ne permet apparemment pas aux chrétiens d’adopter des enfants, mais Jessica Bates fait quelque chose pour y remédier.
Jessica Bates, échographiste chrétienne, veuve et mère de cinq enfants, a récemment intenté une action en justice contre le Département des services sociaux de l’Oregon afin de mettre un terme à cette pratique injuste et discriminatoire.
Mme Bates a déclaré avoir été inspirée par l’adoption après avoir entendu, lors d’une émission de radio chrétienne, l’histoire d’une autre mère célibataire qui avait adopté un enfant. Bates, dont le mari est décédé tragiquement dans un accident de voiture en 2017, a cinq enfants, âgés de 10 à 17 ans. Après avoir entendu cette émission de radio, Mme Bates a déclaré qu’elle avait senti que Dieu lui demandait de faire ce que sa foi chrétienne lui enseigne : aider « les orphelins et les veuves dans leur affliction ».
En mars 2022, Mme Bates a entamé une procédure d’adoption auprès du Département des services sociaux de l’Oregon (DHS), dans l’espoir d’adopter un groupe de frères et sœurs âgés de neuf ans ou moins (ils seraient donc plus jeunes que son plus jeune enfant). Lorsqu’elle a entamé la procédure, elle n’était pas au courant d’une règle du DHS qui l’obligerait à déclarer qu’elle « respecterait... et soutiendrait l’orientation sexuelle, l’identité de genre et l’expression de genre » d’un enfant hypothétique.
Au cours du processus de candidature et de formation, elle s’est rendu compte que sa foi ne lui permettrait pas de répondre à certaines des attentes de l’État, comme « célébrer la diversité sous toutes ses formes », fournir des médias et autoriser dans sa maison des affiches qui soutiennent les relations entre personnes de même sexe et affirment des modes de vie qu’elle considère comme des péchés.
Mme Bates a fait part de ses préoccupations au DHS. Ce dernier lui a demandé si elle accepterait d’emmener un enfant suivre une thérapie hormonale dans le cadre d’une « transition » de genre. Elle a répondu par la négative et a qualifié cela de maltraitance d’enfant.
Lire la suiteMgr Salvatore Cordileone dénonce le caractère satanique de l’avortement et de l’idéologie du genre
Mgr Salvatore Cordileone, archevêque de San Francisco.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Lors d’une journée de conférences sur le « Combat spirituel » qui s’est tenue le 25 mars dernier à Menlo Park, Californie, l’archevêque de San Francisco, Mgr Salvatore Cordileone, s’est rendu sur place pour faire une brève allocution et pour présider à la consécration des participants à Notre Dame de Fatima. Connu pour ses prises de positions nettes, le prélat s’est exprimé sur l’avortement et l’idéologie du genre, les qualifiant d’entreprises « démoniaques ». Mgr Cordileone a en particulier affirmé que l’avortement est un véritable « culte satanique », comparable aux sacrifices d’enfants au dieu Moloch.
L’idéologie du genre cherche à « effacer l’image de Dieu de la terre », a-t-il déclaré avec force.
L’archevêque a voulu donner aux catholiques accourus dans cette paroisse où se pratique l’adoration perpétuelle des conseils pour la bataille contre l’avortement et les atteintes au mariage, contre cette révolte démoniaque qui progresse dans la société : il faut recourir aux « armes spirituelles ». Celles que Notre Dame de Fatima a si fortement évoquées : prière — et en particulier prière du chapelet — et pénitence.
Voici une traduction intégrale d’après les propos retranscrits de Mgr Salvatore Cordileone.
J.S.
Mgr Salvatore Cordileone appelle au combat spirituel
Ces armes, les ressources que Dieu nous donne nous engagent sur le plan spirituel. Il y a une intensification du démoniaque dans notre société. Vous le remarquez tous, c’est pourquoi vous êtes ici. Pensez au mouvement plus agressif contre la vie dans le ventre de la mère, la vie à ses débuts.
Lorsque nous pensons aux temps bibliques, à l’Ancien Testament, les Israélites se rapprochaient de la culture qui les entourait. Je reviens d’une retraite que nous organisions pour les membres du Cercle de l’Archevêque et cela a été évoqué dans l’un des exposés : il n’y a vraiment rien de nouveau dans le fait que le peuple de Dieu s’adapte à la culture qui l’entoure.
C’est ce qu’ont fait les anciens Israélites qui sont passés au culte païen des Cananéens, lequel consistait à sacrifier des enfants au dieu Moloch. La Bible nous en parle. Le Psaume 106 raconte qu’ils offraient leurs fils et leurs filles, qu’ils les sacrifiaient et que la terre était souillée de leur sang.
Le Lévitique dit au moins trois fois au peuple de ne pas offrir ses enfants à Moloch. Nous voyons cela se produire à d’autres moments dans l’Ancien Testament. Le prophète Baruch, mentionné dans le prophète Isaïe, évoque la manière dont les chefs du peuple sont passés à ce culte païen. Nous voyons que dans un certain sens, d’une nouvelle manière, cela subsiste aujourd’hui.
Lire la suite« Le traité d’or » : la vraie diversité telle qu’elle a toujours été comprise
Par John Smeaton (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Johnstocker/Adobe Stock
La « diversité » et le « genre »* sont des mots en péril, menacés par la tentative du lobby LGBT de révolutionner leur usage traditionnel en lavant le cerveau des enfants pour leur faire croire que la « diversité des genres » fait naturellement partie du monde réel. En réalité, c’est tout le contraire, et les jeunes doivent être armés de la vérité.
Les notes historiques de l’Oxford English Dictionary (OED) sur la « diversité » illustrent la façon dont son usage a été élargi au cours des dernières décennies pour impliquer quelque chose de totalement différent du sens initial du mot. Les trois premières définitions du terme « diversité » fournissent des exemples de son utilisation qui remontent à plusieurs siècles. Elles font référence aux différences et aux dissemblances qui trouvent leur origine soit dans le cours normal de la nature (comme dans l’affirmation « les gens ont des goûts différents »), soit dans la variation de la vie végétale ou animale, soit dans le monde surnaturel.
En revanche, la première utilisation de l’expression « diversité des genres » est enregistrée par l’OED comme ayant eu lieu il y a tout juste trente ans dans l’extrait suivant du New York Times :
« Nous exhortons le président à regarder au-delà des cadres traditionnels de la profession d’avocat et à faire de la diversité raciale, ethnique et de genre l’un des principaux facteurs de sa sélection du prochain juge de la Cour suprême ». [1]
Cette utilisation du terme « diversité » introduit un contexte radicalement différent. La « diversité des genres » n’existe pas dans le monde naturel : il s’agit d’une création artificielle.
Lire la suiteDes transgenres agressent une championne de natation parce qu’elle demande que le sport féminin soit réservé aux femmes
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Riley Gaines, une nageuse de l’Université du Kentucky, 12 fois championne, a été agressée à l’Université d’État de San Francisco par un groupe de militants pro-transgenres et a été évacuée sous protection policière. Riley Gaines devait prononcer un discours défendant le sport féminin, qui est affecté par la participation d’athlètes transgenres biologiquement masculins.*
Riley Gaines avait déjà dénoncé la participation du nageur transgenre Lia Thomas aux championnats universitaires féminins.
Le grand avantage physique de Thomas sur ses rivales a suscité beaucoup de controverses et de nombreuses voix se sont élevées contre cette intrusion des hommes se déclarant femmes dans des compétitions féminines. Riley Gaines avait déjà prononcé un discours énergique contre cette dérive.
Elle avait dit alors :
« Je suis l’une des 200 nageuses papillon les plus rapides de tous les temps, mais le 17 mars de l’année dernière, mes coéquipières et moi, ainsi que d’autres nageuses d’autres universités, avons été contraintes de concourir contre un homme biologique nommé Lia Thomas. Thomas a été autorisé à concourir dans la division féminine après avoir fait partie de l’équipe masculine de natation de l’Université de Pennsylvanie pendant trois ans. Nous avons vu Thomas remporter le titre national au 500 m libre, battant les athlètes féminines les plus impressionnantes et les plus établies du pays, y compris les détentrices de records nationaux et olympiques. »
Riley Gaines a également dénoncé le fait d’avoir été forcée de partager un vestiaire avec quelqu’un qui avait encore des organes génitaux masculins.
Riley Gaines est devenue la cible des militants transgenres et LGBT.
La nageuse a assuré qu’elle refusait de se taire malgré cette agression.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » (ou de personnes biologiquement masculines) quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.