Trump signe un décret interdisant aux transgenres de participer aux compétitions féminines
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : Freepik
Le président américain Donald Trump a signé un décret interdisant aux transgenres de participer à des compétitions sportives féminines à tous les niveaux, de l’école primaire aux Jeux olympiques.
« Garder les hommes hors du sport féminin »
L’ordonnance, intitulée « Garder les hommes hors du sport féminin », est basée sur une interprétation du Titre IX, une loi fédérale qui interdit la discrimination fondée sur le sexe dans tout programme ou activité éducative recevant un financement fédéral. et menace de retirer les fonds fédéraux aux établissements d’enseignement qui ne s’y conformeraient pas.
Lors de la présentation du décret à la Maison-Blanche, devant un grand groupe d’enfants et de leurs mères, Trump a déclaré :
« Désormais, le sport féminin sera réservé aux femmes. Nous défendrons fièrement la tradition des athlètes féminines et ne permettrons pas aux hommes de battre, de blesser et de tromper nos femmes et nos filles. »
Impact international
Trump a également annoncé que les États-Unis refuseraient d’accorder des visas aux athlètes transgenres, ce qui pourrait affecter la participation de certaines équipes aux compétitions internationales.
Le décret vise également à influencer la scène sportive internationale. Trump a demandé au secrétaire d’État Marco Rubio de faire pression sur le Comité international olympique (CIO) pour qu’il modifie les règles régissant les événements sportifs olympiques afin que l’éligibilité à participer aux événements féminins soit déterminée par le sexe attribué à la naissance plutôt que par l’identité de genre ou un taux de testostérone réduit.
Cette mesure pourrait avoir des conséquences importantes pour les Jeux olympiques de Los Angeles de 2028, où des tentatives seront faites pour empêcher les transgenres d’y participer.
Pierre-Alain Depauw
Les employés de Meta protestent contre le retrait des tampons des toilettes pour hommes
Par Sarah Holliday (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
4 février 2025 (The Washington Stand) — Meta, la société mère de Facebook, est récemment devenue l’une des nombreuses organisations qui mettent au rebut leurs politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI).
Selon Breitbart, la décision du PDG Mark Zuckerberg de retirer les tampons des toilettes pour hommes dans les bureaux de Silicon Valley, du Texas et de New York fait partie de ce mouvement de « retour sur la voie de la raison ». Le média ajoute que ces tampons étaient « auparavant fournis [...] aux employés non binaires et transgenres qui (utilisaient) les toilettes pour hommes, mais (avaient) besoin de serviettes hygiéniques parce qu’ils étaient des femmes ».
Selon certaines informations, des employées trans ont décidé de protester en apportant leurs propres produits d’hygiène féminine dans les toilettes pour hommes. Le New York Times écrit : « Pour protester contre les actions de M. Zuckerberg, certaines employées de Meta ont bien vite apporté leurs propres tampons et serviettes hygiéniques dans les toilettes pour hommes, ont déclaré cinq personnes au fait de cette initiative. Un groupe d’employés a également fait circuler une pétition pour sauver les tampons ».
Apparemment, cela fait partie d’une série plus large de « rébellions discrètes que les travailleurs de la Silicon Valley ont mises en place alors qu’ils sont aux prises avec le virage à droite de leurs patrons ». Mais comme le souligne le Times, outre Zuckerberg, plusieurs autres figures de la Big Tech, comme le PDG de X « Elon Musk, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, le directeur général de Google Sundar Pichai, le directeur d’Apple Tim Cook et le cofondateur de Google Sergey Brin ont accueilli » le président Donald Trump et adopté son éloignement des agendas de gauche.
Lire la suiteUn chirurgien américain obtient gain de cause après avoir dénoncé des « changements de sexe » sur mineurs
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ipuwadol/Adobe Stock
L’arrivée de l’ère Trump aura fait son effet : toutes les charges retenues contre le chirurgien lanceur d’alerte, le Dr Eithan Haim, ont été abandonnées. Le ministère de la Justice du nouveau président a déposé, il y a une semaine, une requête pour rejeter l’affaire qui avait été portée par l’administration Biden. Un petit « miracle » selon le mot de Haim !
Le médecin avait en effet osé faire révéler, par un journaliste d’investigation, qu’un hôpital pour enfants effectuait des traitements de transition de genre sur des mineurs alors qu’il avait affirmé ne plus en faire pour se conformer aux lois de son Etat, le Texas. Le chirurgien avait été rapidement poursuivi par le Département de la justice sous divers chefs d’accusation, tous fallacieux, attaqué par une procureur démocrate dépourvue de tout souci de probité. Car on ne dénonce pas impunément une telle infraction et un tel mensonge quand ils servent l’idéologie du genre : il s’en est fallu de peu pour qu’Eithan Haim perde tout.
Le progressisme n’a que faire de la Justice — mais il sait gangrener les institutions pour promouvoir la sienne.
Lire la suiteUn gynécologue suspendu par l’Ordre des médecins de France pour avoir refusé d’examiner un transgenre
Par Rastignac (Médias-Presse-Info) — Photo : Freepik
Le gynécologue accusé de transphobie a été sanctionné par six mois d’interdiction d’exercer, dont un ferme !
Cela se passe à Pau, la ville de François Bayrou actuel premier ministre d’une France qui marche sur la tête.
Parce qu’en août 2023 le docteur Victor Acharian s’était déclaré incompétent sur le cas d’un homme devenu femme, il avait déclenché les foudres des associations LGBT et a été traîné devant les tribunaux chargés de protéger les « victimes de discrimination » (sic).
SOS homophobie et SOS transphobie avaient déposé chacune une plainte directement auprès du procureur de la République.
En attendant l’éventuel procès au correctionnel, le gynécologue palois vient d’être sanctionné par le conseil régional de l’Ordre des médecins parce qu’il avait refusé d’examiner « gynécologiquement » le cas d’un homme devenu femme, venu en consultation avec son compagnon.
Passé par Doctolib, le couple s’était présenté au secrétariat qui a relaté « l’incident » :
« La dame m’a expliqué qu’elle était en transition. J’ai aussitôt prévenu le docteur par messagerie interne. Il m’a répondu: “Je ne m’occupe pas de ça ; il y a des spécialistes à Bordeaux ou à Toulouse”, message que je leur ai transmis. Mais ils sont devenus très agressifs, et m’ont traitée de transphobe. »
En outre, le gynécologue avait osé déclarer :
« Je n’ai aucune compétence pour m’occuper des hommes, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes ».
Horresco referens ! Oser dire, oser même ne serait-ce que penser, qu’un homme n’est pas une femme : comment ce médecin a-t-il pu ?
Oui, vraiment, on marche sur la tête !
Rastignac
RFK Jr déclare qu’il mettra fin à l’obligation des médecins de proposer la transition de genre
Robert F. Kennedy Jr.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
30 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Robert F. Kennedy Jr, le candidat du président Donald Trump au poste de secrétaire à la santé et aux services sociaux, a déclaré que, s’il était confirmé, il abolirait le mandat du département de la santé et des services sociaux (HHS) de Joe Biden qui oblige les médecins à pratiquer des interventions « transgenres ».
Lors de l’audition de confirmation de M. Kennedy au Sénat, le sénateur républicain Josh Hawley (Missouri) a expliqué que le ministère de la Santé et des Services sociaux de Joe Biden avait « édicté une règle exigeant que tous les médecins des États-Unis, y compris les pédiatres, qui bénéficient d’un financement fédéral » — ce qui signifie, selon M. Hawley, « presque tous les prestataires de soins de santé des États-Unis » — pratiquent des interventions « transgenres ».
Cela comprendrait, selon Hawley, à la fois [l’administration] d’hormones, telles que les bloqueurs de puberté, et des chirurgies mutilantes.
Lire la suiteUne école secondaire canadienne abandonne son projet de toilettes neutres devant l’indignation des parents
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
30 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Après le tollé des parents et des étudiants, une école secondaire canadienne a fait marche arrière et a rétabli les toilettes pour garçons et pour filles après les avoir supprimées en faveur d’options uniquement « neutres ».
Au début du mois, l’école secondaire Pleasant Valley d’Armstrong, en Colombie-Britannique, avait fermé les toilettes pour garçons et pour filles, obligeant ainsi tous les élèves à utiliser des installations dites « neutres » (en fait mixtes). Peu après, des parents ont exprimé leur indignation sur les médias sociaux, relayant les inquiétudes de leurs enfants qui se sentaient mal à l’aise avec ce nouvel arrangement.
Suite à la réaction des parents, le directeur de l’école, Steve Drapala, a fait marche arrière et a rétabli les installations non mixtes.
Lire la suiteTrump signe un décret protégeant les enfants contre les transitions de genre
Par Doug Mainwaring (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : gpointstudio/Freepik
Le décret exécutif stipule que « la politique des États-Unis est de ne pas financer, parrainer, promouvoir, assister ou soutenir la soi-disant “transition” d’un enfant d’un sexe à un autre, et d’appliquer rigoureusement toutes les lois qui interdisent ou limitent ces procédures destructrices et qui changent la vie. »
Protéger les enfants de l’idéologie du genre
Le président Donald Trump a signé un décret interdisant la mutilation chimique et chirurgicale des enfants et protégeant les enfants des mesures les plus extrêmes de l’idéologie du genre, qui a longtemps fait miroiter à des jeunes vulnérables une promesse creuse de transition de genre grâce à ce que l’on appelle des « soins affirmant le genre ».
« Aujourd’hui, dans tout le pays, des professionnels de la santé mutilent et stérilisent un nombre croissant d’enfants influençables sous prétexte que les adultes peuvent changer le sexe d’un enfant par une série d’interventions médicales irréversibles. Cette tendance dangereuse va ternir l’histoire de notre nation et elle doit cesser », précise le décret.
Lire la suiteLes adolescents américains sont désormais plus enclins que les adultes à affirmer que le fait d’être un homme ou une femme « est déterminé par le sexe »
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
28 janvier 2025 (LifeSiteNews) — De nouvelles données montrent que les adolescents américains sont maintenant plus susceptibles que les adultes de dire que le « genre » d’une personne est déterminé par son sexe, marquant un renversement des tendances de 2022.
Pew Research a constaté en 2024 que 65 % des adultes américains pensent que le fait d’être un homme ou une femme est déterminé par le sexe, alors que 69 % des adolescents sont du même avis. Bien que les statistiques de Pew pour 2022 n’indiquent pas spécifiquement les opinions des adolescents, elles montrent que les jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans étaient beaucoup moins susceptibles que les cohortes plus âgées de croire que le genre est synonyme de sexe.
En 2022, seuls 50 % des adultes âgés de 18 à 29 ans pensaient que le fait d’être un homme ou une femme était déterminé par le sexe, tandis que 60 % des adultes âgés de 30 à 49 ans pensaient que c’était le cas, et 66 % des adultes âgés de 50 à 64 ans.
Lire la suiteAmazon supprime les références aux « droits LGBTQ+ » et aux lois pro-transgenre de son site internet
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen Zigic/Freepik
27 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le géant de la vente au détail Amazon a supprimé plusieurs déclarations de politique identitaire de son site internet, ce qui constitue peut-être le meilleur coup de la campagne contre l’idéologie woke dans le monde de l’entreprise.
De nombreuses déclarations d’activistes libéraux ont disparu d’Amazon depuis décembre, selon les archives des pages web, y compris l’approbation de « l’équité pour les Noirs » et des « droits LGBTQ+ », le mot « transgenre », l’approbation de « la législation pour combattre les fautes et les préjugés raciaux dans le maintien de l’ordre, les efforts pour protéger et étendre les droits de vote, et les initiatives qui fournissent de meilleurs résultats en matière de santé et d’éducation pour les Noirs » ; et le soutien aux lois pro-transgenre.
Le site d’Amazon se targuait auparavant d’être un partisan « précoce et convaincu » du « mariage » homosexuel et de défendre « l’égalité des droits » pour les personnes souffrant d’un trouble du genre et de « travailler au niveau fédéral et des États américains sur la législation, notamment en soutenant l’adoption de la loi sur l’égalité ».
Lire la suiteLa Chambre des représentants des États-Unis adopte un projet de loi imposant aux écoles d’interdire les garçons des équipes féminines
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
17 janvier 2025 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants des États-Unis, contrôlée par les républicains, a adopté un projet de loi visant à interdire aux hommes de participer à des compétitions sportives pour femmes et filles — y compris ceux qui se disent « transgenres » — en retenant les fonds fédéraux aux écoles qui refusent de s’y conformer.
Baptisé « Loi de 2025 sur la protection des femmes et des filles dans les sports », le projet de loi a été adopté principalement selon les lignes partisanes, tous les républicains, rejoints par deux démocrates, ayant voté en faveur de son adoption.
Comme le résume le 119e Congrès, la mesure, qui va maintenant au Sénat, « prévoit que c’est une violation du titre IX des amendements à l’éducation de 1972 pour les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral d’opérer, de parrainer ou de faciliter les programmes ou activités athlétiques qui permettent aux individus de sexe masculin de participer à des programmes ou activités destinés aux femmes ou aux filles ».
« Le titre IX interdit la discrimination fondée sur le sexe dans les programmes ou activités d’éducation financés par le gouvernement fédéral, y compris dans les écoles primaires et secondaires publiques et dans les collèges et universités. Selon le projet de loi, le sexe est basé sur la biologie reproductive et la génétique d’un individu à la naissance ».
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