Une école envoie un avis d’interdiction d’entrer à un élève qui s’oppose à la présence de garçons dans les toilettes des filles
Josh Alexander.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ottawa CityNews
12 janvier 2022, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — L’étudiant en secondaire canadien Josh Alexander, qui a été suspendu de son école catholique l’année dernière pour avoir protesté contre l’autorisation accordée aux garçons confus quant à leur sexe d’entrer dans les toilettes des filles, s’est maintenant vu signifier un avis d’interdiction d’entrer par son directeur, selon un avocat.
« Il n’est actuellement pas à l’école, car le principal l’a de nouveau suspendu et lui a même signifié un avis d’interdiction d’entrer en guise de représailles pour la présence de Josh aux deux cours qui lui étaient interdits », a écrit James Kitchen, avocat de la Coalition Liberté Canada (CLC), dans un courriel envoyé à LifeSiteNews mardi.
Comme le mentionne la déclaration de Kitchen, en plus d’être suspendu, Alexander a été interdit de deux des quatre classes auxquelles il est inscrit, car ces classes comptent parmi elles des étudiants qui s’identifient comme « transgenres ».
« Bien que la raison pour laquelle le principal a signifié un avis d’interdiction d’entrer à Josh Alexander ne soit pas tout à fait claire, on peut supposer que c’est parce qu’il voulait utiliser tout ce qu’il pouvait pour empêcher Josh de fréquenter l’école ou l’éloigner physiquement s’il se présentait en appliquant l’avis d’interdiction d’entrer, ce qui inclurait l’implication de la Police provinciale de l’Ontario (OPP) », explique l’avocat.
Comme le rapportait LifeSiteNews, Alexander, un élève de 16 ans de l’école secondaire catholique St. Joseph, à Renfrew, en Ontario, s’est vu infliger une longue suspension de 20 jours le 23 novembre 2022, après avoir organisé une grève à l’école le même mois pour défendre le droit des filles à accéder à leurs locaux sans avoir à endurer la présence d’élèves masculins.
LCC a noté dans un communiqué de presse qu’Alexander a été effectivement suspendu « parce qu’il a exprimé sa conviction, lors de débats en classe et sur les médias sociaux, qu’il n’y a que deux sexes, que les étudiants ne peuvent pas passer d’un genre à l’autre, et que les étudiants masculins ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des filles ».
Lire la suiteCitant Gorsuch, un juge se prononce contre un hôpital catholique qui ne veut pas amputer une femme « trans » de son utérus
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lenets tan/Adobe Stock
4 janvier 2023, Baltimore, Maryland (LifeSiteNews) — Un juge fédéral du Maryland a statué en faveur d’une femme transgenre qui poursuit un hôpital catholique pour avoir refusé de lui retirer son utérus sain.
La juge Deborah Chasanow, nommée par Bill Clinton, a décidé que « Jesse » Hammons pouvait poursuivre son procès contre le centre médical St. Joseph de l’Université du Maryland pour avoir refusé sa demande d’hystérectomie en 2019. Mme Hammons est « mariée » à Lura Groen, un pasteur de l’Église évangélique luthérienne d’Amérique, une organisation de gauche.
Le juge Chasanow s’est appuyé sur l’avis de la Cour suprême de 2020, Bostock v. Clayton County, dont l’auteur est le juge Neil Gorsuch, qui a interprété le titre VII de la loi sur les droits civils comme une protection de l’« identité de genre » et des personnes ayant une confusion de genre.
Le centre médical est géré par le système de santé de l’Université du Maryland, mais dans le cadre de l’achat de la clinique, un accord a été signé qui exigeait que l’établissement maintienne les principes catholiques dans ses pratiques. L’Église catholique s’oppose au prélèvement d’organes corporels sains et enseigne la vérité selon laquelle il y a des hommes et des femmes et qu’on ne peut pas changer de sexe.
Lire la suiteUn élève d’une école catholique canadienne suspendu pour avoir défendu les toilettes réservées aux filles
Josh Alexander.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ottawa CityNews
10 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Josh Alexander, un lycéen canadien suspendu de son école catholique l’année dernière pour avoir protesté contre l’autorisation donnée aux garçons d’utiliser les toilettes des filles, cherche à faire appel de sa suspension avec l’aide juridique de Liberty Coalition Canada (LCC).
Le 5 janvier, la LCC a envoyé, au nom d’Alexander, un « Avis d’intention de faire appel de la suspension » à Mary-Lise Rowat, surintendante des services éducatifs du Renfrew County Catholic District School Board (RCCDSB).
M. Alexander fréquente l’école secondaire catholique St. Joseph, à Renfrew, en Ontario, qui est desservie par le district catholique du comté de Renfrew.
« M. Alexander fait appel de la suspension conformément à l’article 1.1 (b) (ii) de la politique du RCCDSB intitulée Pupil Suspension Appeal (la “politique d’appel”). Aux fins de cet appel, M. Alexander s’est soustrait à l’autorité parentale, est un mineur mature et est apte à donner des instructions à un avocat pour la conduite de l’appel », peut-on lire dans la déclaration, signée par l’avocat du LCC, James Kitchen.
LCC a noté que, comme « la suspension a déjà été signifiée, il n’y a pas d’urgence concernant l’opportunité d’une audience d’appel ».
« M. Alexander consent à ce qu’une date d’audience soit fixée au plus tard 15 jours de classe après la date du présent avis et suggère de choisir une date qui convienne à toutes les personnes concernées, y compris son avocat », ajoute l’avis.
Alexander, qui a 16 ans, s’est vu infliger une longue suspension de 20 jours le 23 novembre 2022, après avoir organisé une grève de l’école le même mois pour défendre le droit des filles à accéder à leurs installations sans avoir à supporter la présence d’élèves masculins.
Il a déclaré à LifeSiteNews l’année dernière qu’il croyait, conformément à l’enseignement catholique et à la Bible, qu’il n’y a que deux sexes.
Lire la suitePatinage Canada supprime les mots « homme » et « femme » du vocabulaire officiel pour les couples de patineurs
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Luu/Wikimedia Commons
19 décembre 2022 (LifeSiteNews) — L’organisme directeur du patinage artistique au Canada a été critiqué pour son adhésion totale à la prétendue « idéologie » du genre après avoir annoncé qu’il avait banni l’utilisation des mots « homme » et « femme » de son vocabulaire officiel pour les équipes de patinage en couple et de danse sur glace.
Le Comité opérationnel sur l’équité, la diversité et l’accessibilité de Patinage Canada affirme maintenant que sa définition d’« équipe » n’est plus une femme et un homme, car ces termes sont discriminatoires. Le terme « équipe » signifie plutôt « deux patineurs » et c’est maintenant la définition qui doit être utilisée.
La présidente de Patinage Canada, Karen Butcher, a déclaré dans un communiqué de presse du 12 décembre que le changement vise à « éliminer les obstacles à la participation au patinage, et nous croyons qu’il aura un impact significatif en garantissant que toutes les identités sexuelles sont reconnues et acceptées de manière égale et sans préjudice ».
Patinage Canada affirme que le changement permettra désormais « à de nouveaux et passionnants partenariats dans les disciplines du patinage en duo et de la danse sur glace de concourir au niveau national ».
Essentiellement, les hommes ou les femmes biologiques qui se disent transgenres seront désormais ouvertement autorisés à concourir en tant que « paires ».
Les nouvelles règles de patinage de Patinage Canada ont immédiatement été remises en question par de nombreuses personnes, dont Jamie Salé, médaillée d’or canadienne en couple.
« Je vais juste laisser ça ici », écrit Salé sur Twitter.
D’autres, dont Jamie Salé, ont raillé Patinage Canada en évoquant le film de 2006 « Blades of Glory », qui se moquait de l’idée de faire concourir deux patineurs masculins en couple.
Lire la suiteLe Cambridge Dictionary redéfinit les termes « homme » et « femme » pour inclure les personnes « trans »
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : monticellllo/Adobe Stock
14 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Cédant à l’idéologie LGBT, le Cambridge Dictionary a mis à jour sa définition des termes « homme » et « femme » pour inclure les personnes « transgenres ».
Selon la version en ligne de ce dictionnaire, un homme n’est plus simplement « un être humain mâle adulte ». La nouvelle définition inclut « un adulte qui vit et s’identifie comme un homme bien que l’on ait pu dire qu’il avait un sexe différent à la naissance ».
Pour expliquer davantage la définition ajoutée, le Cambridge Dictionary poursuit : « Mark est un homme trans (= un homme dont on a dit qu’il était de sexe féminin à la naissance). » Voici un autre exemple : « Leur médecin les a encouragés à vivre comme un homme pendant un certain temps avant de subir une transition chirurgicale [sic]. »
De même, le dictionnaire affirme qu’une femme peut être plus qu’« un être humain féminin adulte ».
« Un adulte qui vit et s’identifie comme une femme bien que l’on ait pu dire qu’il avait un sexe différent à la naissance » est également une femme, selon le Cambridge Dictionary. Parmi les exemples figurant sous la définition actualisée, citons « elle a été la première femme transgenre élue à un poste national » et « mary [sic] est une femme à qui on a assigné un sexe masculin à la naissance ».
« Le problème avec cette tentative de refonte est qu’elle est totalement absurde », a déclaré Matt Walsh, animateur du Daily Wire. « Les nouvelles définitions contredisent le bon sens, la science, et même le propre récit de la gauche. Et elle accomplit ce dernier exploit en confondant le sexe et le genre, deux catégories au sujet desquelles la gauche insiste encore qu’elles sont distinctes. »
Lire la suiteBiden signe le projet de loi codifiant le « mariage » homosexuel en présence d’un drag queen activiste
Joe Biden.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
13 décembre 2022, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Joe Biden a signé le soi-disant Respect for Marriage Act ou RMA (loi sur le respect du mariage) mardi lors d’une cérémonie à la Maison-Blanche remplie d’invités dont un drag queen activiste de la « jeunesse queer ».
Le RMA abroge la Loi sur la défense du mariage (Defense of Marriage Act), en vigueur depuis longtemps (mais non appliquée), qui reconnaissait le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme dans la loi fédérale et protégeait les droits des États à faire de même. La nouvelle loi (RMA) reconnaît au niveau fédéral tout « mariage » légalement célébré par n’importe quel État et oblige chaque État à reconnaître tout « mariage » de n’importe quel autre État « entre deux individus », sans tenir compte « du sexe, de la race, de l’ethnicité ou de l’origine nationale de ces individus ».
Le projet de loi suscite des tensions depuis juillet, alors que 47 républicains se sont joints aux démocrates pour faire adopter la première version par la Chambre des représentants des États-Unis. Mais l’opposition des groupes conservateurs, des chefs religieux et des électeurs républicains a conduit les partisans à proposer des amendements visant principalement à satisfaire les préoccupations en matière de liberté religieuse (de manière inadéquate, selon les conservateurs). Le Sénat a ensuite voté pour adopter la version modifiée, 12 républicains se joignant aux démocrates. La semaine dernière, la Chambre a voté en faveur de la version finale, 39 républicains se joignant aux démocrates.
« Cette loi, et l’amour qu’elle défend, portent un coup à la haine sous toutes ses formes », a déclaré M. Biden mardi lors de la cérémonie de signature du projet de loi. « Merci à tous pour cette victoire obtenue de haute lutte et après de nombreuses années de travail ».
La Maison-Blanche avait précédemment annoncé que la cérémonie comprendrait « des invités et des spectacles musicaux », parmi lesquels le copropriétaire du Club Q, Matthew Haynes, les survivants de la fusillade du Club Q, James Slaugh et Michael Anderson, les plaignants de l’affaire Obergefell contre Hodges, le co-conseiller de l’affaire Loving contre Virginie, Phillip Hirschkop, le survivant de la fusillade de la boîte de nuit Pulse, Brandon Wolf, etc.
Lire la suiteLa Hongrie s’oppose à l’idéologie LGBT de l’Union européenne
Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : European People's Party/Flickr
9 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La présidence tchèque du Conseil de l’Union européenne blâme la Hongrie pour avoir une fois de plus résisté à la volonté de la majorité lors des pourparlers en cours à Montréal qui se tiennent du 7 au 19 décembre pour la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15). Dans une missive envoyée aux ambassadeurs des 27 États membres, le Conseil a prévenu que « la gouvernance mondiale du bloc sur les questions de genre risque d’être sapée par la position antitransgenre d’une délégation », comme le rapporte Politico.
Cette « gouvernance mondiale », dans ce contexte, consiste à accepter l’idéologie transgenre comme un fait et à la reconnaître comme telle dans les documents officiels. La présidence tchèque voulait un « langage inclusif » dans les discussions de la COP15, faisant référence à « tous les genres » et « aux femmes et aux filles dans toute leur diversité », langage qui a apparemment été soutenu par une « majorité claire » des États membres de l’UE lors d’une réunion le 7 décembre. En bref, ils voulaient déclarer que le débat sur l’idéologie du genre était terminé et rejeter d’emblée le binôme homme-femme.
Mais les diplomates hongrois ont répliqué, rejetant ce nouveau langage. La Hongrie, sous la direction du conservateur social Viktor Orbán, est déjà considérée comme un enfant terrible au sein de l’UE pour ses politiques pro-famille et sa résistance à la propagation de l’idéologie LGBT. Lorsque la Hongrie a interdit la propagande LGBT destinée aux enfants -- une politique très populaire --, l’UE a réagi par une rare condamnation commune, le premier ministre néerlandais Mark Rutte déclarant que « mon objectif est de mettre la Hongrie à genoux » et le président français Emmanuel Macron affirmant que l’UE ne devait montrer « aucune faiblesse » face à la Hongrie.
Lire la suiteLes catholiques ont l’obligation morale de protéger les enfants et la société de la folie LGBT
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jaysynism/Adobe Stock
2 décembre 2022 — Ceci est le deuxième article d’une série sur l’approche de l’idéologie LGBT en tant que catholiques. Lisez le premier article, qui explique le trouble de l’homosexualité et du transgenrisme, ici.
(LifeSiteNews) — Alors que les titres se succèdent, les véritables cibles de l’idéologie LGBT sont de plus en plus manifestes : les mariages chrétiens et les petits enfants.
Pourquoi ? Parce que le mariage est le fondement naturel de toute société, et que les enfants sont la future génération de cette société. Les deux fronts sur lesquels cette idéologie manœuvre sont 1) la tentative publique d’obtenir la reconnaissance des unions homosexuelles comme un autre type de mariage, à la fois par la législation politique et les « bénédictions » ecclésiastiques, et 2) l’imposition de ces styles de vie aux enfants en les enseignant sans honte dans les écoles, tant publiques que privées.
Dans cette situation, les catholiques sont obligés d’éveiller les consciences sur ces questions, de s’opposer aux politiques publiques et aux lois qui soutiennent ou promeuvent l’idéologie LGBT, et d’œuvrer positivement pour des lois qui protègent le mariage et l’innocence des petits enfants.
Face aux groupes de pression agressifs et proactifs en faveur des lois sur le mariage homosexuel, en politique, et de la « bénédiction » des couples homosexuels, dans l’Église, il est insuffisant pour les catholiques de rester indifférents alors que les activistes homosexuels tentent de prendre le contrôle de chaque organisme public, politique, école, entreprise et église. Ce qui est recherché ici, c’est l’égalité publique avec ce qui est le vrai mariage. Je ne dis pas le mariage « traditionnel », mais le mariage, purement et simplement, parce que le mariage, de par sa nature même, est l’union stable entre un homme et une femme. Dieu, qui a créé l’homme et la femme, a établi cette union au début de la création. L’homme ne peut ni la défaire ni la changer, pas plus qu’il ne peut changer sa propre nature.
Lire la suiteUne grande banque canadienne fait don de 500 000 $ au « Programme de diversité des sexes en pédiatrie » d’un hôpital
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
18 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Une grande banque canadienne a fait don de 500 000 $ à un programme qui effectue des procédures irréversibles dites de « changement de sexe » sur des mineurs.
Le bulletin d’information du mois de mai 2022 de la Banque Toronto Dominion passe en revue le financement accordé pour soutenir les « transitions de genre » par le biais du McMaster Pediatric Gender Diversity Program, qui est géré conjointement avec le McMaster Children’s Hospital situé à Hamilton, en Ontario.
Le soutien de la Banque TD au McMaster Pediatric Gender Diversity Program a été annoncé discrètement. L’argent a été versé par l’intermédiaire des Fondations des hôpitaux pour enfants du Canada.
La banque affirme que son financement permettra à 30 enfants supplémentaires par an (de moins de 18 ans) de bénéficier de services d’« affirmation de genre ». Dans l’ensemble, le programme s’occupe de 60 à 70 jeunes par année.
« Le programme pédiatrique de diversité des genres vise à fournir des services médicaux et de santé mentale aux jeunes trans et de genre divers dans le cadre d’un programme complet qui comprend la médecine des adolescents, la psychologie, la psychiatrie, l’endocrinologie, l’orthophonie et le travail social », indique TD Bank.
« Pour les jeunes trans et diversifiés sur le plan du genre, recevoir des soins de santé axés sur l’affirmation du genre peut être une bouée de sauvetage. »
Ces dernières années, une poussée notable a été observée dans de nombreuses nations occidentales, notamment aux États-Unis et au Canada, pour promouvoir activement le transgenrisme chez les jeunes, y compris les enfants.
Selon le Dr Rosheen Grady, pédiatre à l’hôpital pour enfants McMaster, leur programme fournit « des informations, des options et des soins aux jeunes qui souffrent de dysphorie de genre ».
Lire la suiteDirectives sur les « pronoms » préférés au ministère de la Justice du Canada
David Lametti, ministre de la Justice du Canada.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastiaan ter Burg/Flickr
21 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Selon des documents récemment publiés, le ministre de la Justice du gouvernement Trudeau, David Lametti, a demandé au personnel de son ministère en 2021 de rédiger une directive qui obligerait [en fait inciterait fortement — A.H.] les avocats fédéraux à indiquer leurs « pronoms » au début de toute procédure.
Selon une note de service intitulée « Identification proactive des pronoms de genre », le cabinet du ministre a été « mis au courant d’une pratique de communication des pronoms de genre dans les tribunaux de la Colombie-Britannique » lors d’une « formation sur l’espace positif organisée par le Comité consultatif sur l’orientation sexuelle, l’identité et l’expression de genre (ACSOGIE), anciennement connu sous le nom de “Comité consultatif LGBTQ2+” ».
Cette révélation a « inspiré » le cabinet du ministre, qui a demandé au Secteur national du contentieux « d’élaborer une directive exigeant que les avocats du ministère de la Justice indiquent leurs pronoms et leurs titres … dans toutes les procédures judiciaires et administratives ». Il s’agit apparemment d’une pratique courante en Colombie-Britannique, au Manitoba et en Nouvelle-Écosse.
La note de service concluait qu’étant donné que le ministère de la Justice « s’est également engagé à créer une société plus inclusive, y compris par le biais du système juridique », pour le moment, « une approche non obligatoire encourageant fortement ou invitant à l’identification des pronoms est préférable, en mettant l’accent sur l’éducation et en donnant l’exemple ».
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