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Plus de «roi» ni de «seigneur» pour Jésus dans les chants de Noël d'une école anglaise

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

La directrice de l'école primaire laïque Whitehall de Chingford, dans la banlieue de Londres, a ôté les mots « roi » et « seigneur » qui étaient accolés au nom de Jésus dans les chants de Noël qui devaient être chantés lors d'une saynète de la Nativité. Décidément, elle ne voulait pas que le Christ fût roi devant tous, multiculturalisme oblige. Selon LifeSiteNews :

Une directrice d'école anglaise a réécrit les paroles d'un chant de Noël traditionnel, chanté par les enfants lors d'une saynète de la Nativité, qui parle de Jésus comme « Seigneur », pour éviter d'offenser les personnes d'autres religions, comme les musulmans.

À l'école primaire laïque Whitehall à Chingford, dans la banlieue de Londres, le directeur Zakia Khatun a annoncé lors d'une réunion la semaine dernière que des changements avaient été apportés aux chants de Noël traditionnels afin que « tous les élèves puissent participer », comme les musulmans et ceux d'autres confessions, au programme annuel de Noël.

Les mots « nouveau roi né aujourd'hui » dans le chant « Come and Join the Celebration » ont été remplacés par « un bébé né aujourd'hui », tandis que les mots « Jésus le Sauveur » ont été remplacés par « Jésus le bébé » dans « Love Shone Down ». Tout comme pour « Seigneur » qui a été retiré du chant de Noël « Away in a Manger ».

Lorsque les parents exprimèrent leurs préoccupations au sujet de cette censure, Mme Khatun a défendu sa décision, disant à une mère chrétienne que l'école est ouverte à tous les élèves et affirmant que 60 enfants n'avaient pas assisté aux chants de Noël et au spectacle de la Nativité de l'an dernier dans une paroisse anglicane voisine, St. Peter ans St. Paul. Cette année, les chants de Noël ont eu lieu le 17 décembre.

Selon une mère chrétienne identifiée comme  « Margarita », le résultat a été que l'école a discriminé la majorité que composent les élèves chrétiens afin de favoriser l'inclusion.

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Un américain condamné à 16 ans de prison pour avoir volé et brulé un drapeau LGBT


Adolfo Martinez.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : KCCI Des Moines (capture d'écran)

Un homme a volé le drapeau d’un temple protestant et l’a brûlé devant un club de danseuses nues, résultat : il est condamné à 16 ans de prison… D’après LifeSiteNews :

Un homme qui a été arrêté cet été pour avoir volé puis mis le feu au drapeau arc-en-ciel de la " fierté " LGBT d'un temple a été condamné à 16 ans de prison.

Adolfo Martinez, âgé de 30 ans, d'Ames en Iowa, a été reconnu coupable le mois dernier d'avoir commis un « crime haineux » — incendie criminel — et d'usage imprudent d'explosifs ou de feu.

Selon le Des Moines Register, Martinez a volé le drapeau qui était arboré à l'Ames United Church of Christ. Puis, à l'aide d'essence à briquet, il l'a brûlé tôt dans la journée du 11 juin 2019 devant un club de strip-tease appelé Dangerous Curves Gentleman's Club.

Le procureur du comté de Story, Jessica Reynolds, a déclaré en juin que des inculpations de « crime haineux » ont été ajoutées parce que Martinez « est soupçonné de vandalisme contre la propriété d'un individu du fait de ce qu'elle représente en matière d'orientation sexuelle ».

Considérez combien est disproportionnée la peine par rapport à l’acte, quand il y aurait quelque chose à réprimer dans la destruction d’un drapeau LGBT pour ce qu’il représente et en plus associé au nom du Christ (il faut évidemment tenir compte des facteurs tels que la provocation, la possible haine à l’égard d’un individu et non d’un concept ou de gestes, l’imprudence, l'aspect illégal du vol, etc.), tandis que des individus brûlent le drapeau américain sur le sol des États-Unis sans qu’un magistrat ne pointe le nez.

LifeSiteNews rapporte les nombreuses réactions des utilisateurs de Twitter, condamnant cette lourde condamnation.

Au passage, il y aurait bien une raison pour laquelle je pourrais être opposé à la destruction d’un drapeau dit « LGBT », c’est qu’il porte en fait les couleurs volées à l’arc-en-ciel, signe que Dieu donna qu’Il ne ravagerait plus la terre par les eaux.

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Trudeau prend des mesures pour criminaliser la thérapie remédiant aux attirances envers le même sexe


Justin Turdeau, Premier ministre du Canada, paradant.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Flickr

Il ne suffit apparemment pas à Justin Trudeau et ses libéraux qu’un projet de loi pour rendre criminel la « thérapie de conversion » soit présentée au Sénat du Canada, ils prévoient présenter un projet de loi semblable à la Chambre des communes, dès la rentrée parlementaire en janvier, selon LifeSiteNews :

Présenté la semaine dernière par le sénateur indépendant Serge Joyal, le projet de loi S-202 rendra passible d’une peine d’emprisonnement maximale de cinq ans le fait de bénéficier matériellement ou financièrement, indirectement ou directement, de la prestation d’une « thérapie de conversion » à toute personne de moins de 18 ans.

Le projet de loi modifie en outre le Code criminel pour faire de la publicisation de la « thérapie de conversion » [si celle-ci comprend un revenu] un crime passible d’un emprisonnement maximal de cinq ans.

De plus, le gouvernement libéral du Premier ministre Justin Trudeau prévoit présenter un projet de loi semblable à la Chambre des communes lors de l’ouverture de la nouvelle session parlementaire en janvier.

Dans ses lettres de mandat aux ministres, énonçant les objectifs législatifs des libéraux, Trudeau a demandé au ministre de la Justice David Lametti de « modifier le Code criminel de façon à interdire les thérapies de conversion et travailler avec les provinces et les territoires pour mettre fin aux thérapies de conversion au Canada. »

Étant donné que c’est le cas, on s’attend à ce que le projet de loi S-202 du Sénat « progresse très rapidement », affirme David Cooke, directeur de campagne de Campaign Life Coalition.

Le projet de loi S-202 définit la « thérapie de conversion s’entend de pratiques, traitements ou services visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’un individu ou visant à éliminer ou réduire l’attirance sexuelle ou le comportement sexuel entre personnes de même sexe. Il est entendu que la présente définition ne vise pas le changement chirurgical de sexe ou tout service qui s’y rapporte. »

Cette définition globale inclut « la dispensation de conseils chrétiens, la prière et l’évangélisation dirigées vers la communauté LGBT » ainsi que « les pratiques médicales ou psychologiques », déclare Cooke.

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Netflix dépeint le Christ comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Stock Catalog/Flickr

Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »

Netflix était déjà un dépotoir à films obscènes, mais le trois décembre il a ajouté à son palmarès un film blasphématoire, au titre sulfureux La première tentation du Christ, montrant Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère. Selon LifeSiteNews :

Netflix a lancé un film blasphématoire « spécial Noël » qui dépeint Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère, ce qui a incité plus d’un million de personnes à signer une pétition pour que le film soit retiré de ce populaire service de diffusion.

A Primeira Tentação de Cristo, ou La première tentation du Christ, est une production de la troupe de comédiens brésilienne Porta dos Fundos [Porte de derrière]. Dans la scène imaginaire, Jésus est montré en train de ramener à la maison un amant homosexuel pour le présenter à Marie et Joseph.

Une troupe douteuse, d’après LifeSiteNews :

Plus d’un million de personnes ont signé une pétition sur Change.org demandant que la vidéo « gravement offensante » soit retirée du service de diffusion en ligne. Des politiciens et des personnalités publiques ont dénoncé la vidéo et Porta dos Fundos. Le célèbre acteur et réalisateur brésilien Carlos Vereza, par exemple, a écrit sur Facebook que la troupe de satiristes était « lamentable » pour ses créations de « films poubelle-pornos ».

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Surdiagnostics de dysphorie de genre chez des enfants : 35 psychologues démissionnent

Par Pour une école libre au Québec — Photo : AdobeStock

Après l’alerte lancée par certains d’entre eux quant aux surdiagnostics d’enfants pour dysphorie de genre, 35 psychologues ont démissionné en 3 ans du London’s Gender Identity Development Service (GIDS) au sein du Tavistock and Portman NHS Foundation Trust en Angleterre.

« Les lanceurs d’alerte ont affirmé que trop d’enfants étaient placés sous médicaments pour bloquer leur puberté » [un seul ce serait déjà trop*], alors qu’ils n’auraient pas dû être diagnostiqués [de dysphorie]. D’anciens employés ont également avoué avoir été incapables d’évaluer correctement leurs patients, « de peur d’être étiquetés transphobes ». L’un des psychologues ayant démissionné témoigne : il craint avoir été « aux premières loges d’un scandale médical ».

Les chiffres montrent que le nombre d’enfants traités au sein du GIDS est passé de 77 à 2590 en dix ans. Les enfants sont âgés de moins de 18 ans, et même pour quelques-uns d’entre eux de 3 ans. Près de la moitié des patients suivis au GIDS reçoivent un traitement afin de bloquer leur développement hormonal et stopper leur puberté. Ce traitement, interférant avec leur production hormonale naturelle, peut causer des sautes d’humeur. S’il est arrêté, la puberté peut reprendre. L’étape ultérieure est la prescription d’une thérapie hormonale, « normalement non donnée avant 16 ans, car elle est irréversible et peut rendre les patients infertiles ». La chirurgie n’intervient qu’à partir de 18 ans.

Thomasin, après avoir passé la majorité de son adolescence identifiée comme un garçon, a choisi de redevenir une fille à l’âge de 19 ans après avoir été diagnostiquée à 17 ans par le Tavistock. Elle témoigne : « J’étais nourrie de cette idée que tu pouvais changer de sexe », et se dit heureuse de n’avoir jamais franchi d’étape irréversible pour devenir un garçon.

Sources : The Daily Telegraph, Laura Donnelly (12/12/2019)


*Commentaire d’Augustin Hamilton.

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La thérapie de conversion est menacée

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik

Quand une personne ayant des attirances homosexuelles (je ne réduirai pas les personnes qui ont ce trait à celui-ci en les appelant homosexuels, ce serait mesquin) reçoit de l’aide pour quitter ladite homosexualité et revenir à la normalité (bêtement appelée par beaucoup hétérosexualité), l’ensemble des actes posés est souvent appelé « thérapie de conversion ». Or la thérapie de conversion en question, aussi appelée thérapie réparatrice, est menacée. Un nouveau projet de loi a été déposé le 10 décembre dernier par le sénateur Serge Royal au Sénat du Canada afin d’interdire tout « avantage matériel » pouvant découler de la procuration de la « thérapie de conversion » pour les moins de dix-huit ans, ainsi que la publicisation de la pratique si cette dernière est rémunérée, selon Campaign Life Coalition (CLC) :

Il sera illégal d’aider les homosexuels et les transgenres qui cherchent de l’aide, même s’ils en font la demande.

Malheureusement, les libéraux essaient d’introduire ce projet de loi en douce sans que vous et moi ne nous en rendions compte. Ils utilisent un langage délibérément trompeur pour le garder hors du radar de l’Église. Le terme utilisé dans le projet de loi S-202 pour désigner la « conversion » est « thérapie de conversion », qui est une expression lourdement chargée de sens.

L’idée d’une « thérapie de conversion » évoque des techniques psychologiques très discutables, utilisées il y a plus de 50 ans pour tenter de « convertir » de force les homosexuels en hétérosexuels. Au cours de la première moitié du siècle dernier, un petit nombre de médecins ont utilisé des électrochocs ou des produits chimiques provoquant des vomissements pour créer une aversion mentale envers les impulsions homosexuelles. Parfois, des « patients » aux attirances homosexuelles ont été gravement abusés [...]

Le problème réside en ce que le lobby LGBT et ses alliés politiques essaient d’utiliser la perception publique [influencée*] de la « thérapie de conversion » (comme certains l’ont pratiquée dans le passé) pour créer un interdit total de tout type d’efforts de conversion et de changement — même spirituels. Ils veulent criminaliser toutes les formes de conversion parmi le groupe LGBT, et le projet de loi S-202 est la clé de cet objectif.

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Québec : le ministère de l’Éducation étudie le moyen de réduire les exemptions au cours d’« éducation sexuelle »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : freepik

Ce ministère tient à ce que tous les enfants du Québec se fassent enseigner la « sexualité », les concepts de l’homosexualité, et du transgenrisme, etc… selon son point de vue.

Ayant appris plutôt dans l’année que la majorité des exemptions au cours d’« éducation sexuelle », imposé par le ministère de l’Éducation du Québec, venait de la Commission scolaire Portages-de-l’Outaouais (CSPO), Jean-François Roberge, en charge du ministère, a mis en marche la machinerie de cette institution d’État afin de trouver le moyen de réduire le nombre d’exemptions audit cours.

Les quelque 192 élèves exemptés (pour moins de 270 dans tout le Québec) l’ont été par la CSPO. Les parents ont été aidés par le groupe Parents engagés de l’Outaouais dans leur demande d’exemptions.

Une faille dans le système de bourrage de crâne collectif

Premièrement, la décision d’accorder l’exemption revient à la direction de l’école, selon Le Journal de Montréal :

Actuellement, les parents peuvent demander une dérogation pour des raisons religieuses à condition de prêter serment et de prouver le caractère « sérieux » de leur requête. La décision revient à la direction de l’école.

Deuxièmement, les balises du ministère ont été suivies :

Selon nos informations, M. Roberge a conclu que les balises ont été respectées par les écoles, mais qu’un groupe de parents a trouvé une « faille ».

Troisièmement, la direction doit s’assurer du caractère sérieux de la demande d’exemption :

Mais comment évaluer le « caractère sérieux » de ces demandes ? La CSPO se posait la question en février. Le directeur des ressources éducatives a contacté le ministère pour avoir des précisions, peut-on lire dans les échanges de courriels.

« La direction n’a pas à investiguer sur les motifs de la demande d’exemption, lui a alors répondu un responsable du ministère. [L’école] doit s’assurer (et non juger) du caractère sérieux [...] en fonction de l’atteinte alléguée.

Mais cette faille, si c’en est vraiment une, sera sans doute comblée par de nouvelles directives, rédigées spécialement à l’intention de parents récalcitrants.

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Nathalie Petrowski regrette son avortement


Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : SRC — Tout le monde en parle (capture d’écran)

Le sujet de l’émission Tout le monde en parle du 17 novembre 2019 était Nathalie Petrowski, journaliste pendant 43 ans au Journal de Montréal, Le Devoir et La Presse, et son autobiographie.

À partir de 13 min 36 s, Guy Lepage qui mène l’émission aborde l’un des faits relatés dans l’autobiographie : Mme Petrowski s’est fait avorter alors qu’elle était récemment entrée à La Presse… ce qu’elle regrette encore.

Mme Petrowski craignait à l’époque d’annoncer sa grossesse à son employeur, elle qui n’était engagée que depuis six à huit mois, recevant même une chronique, et dans un journal dans lequel elle avait voulu absolument entrer.

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Le choc pour une femme de voir son père être euthanasié

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : freepik

C’est le 24 février 2018 qu’eut lieu l’euthanasie de Gilles Faucher, en présence de sa fille Nathalie Faucher et du reste de sa famille, précédée d’une fête pré-euthanasie.

La fille de M. Faucher se senti mal au moment de l’euthanasie, hurlant et tombant au sol où elle tremblait. Depuis ce jour-là, elle ne cesse de penser à ce qui s’est passé, selon TVA Nouvelles :

« Cette journée-là, c’est la pire journée de ma vie. Elle roule en boucle dans ma tête depuis le 24 février 2018. Je me bats tous les jours contre cet état-là. C’est invivable », confie entre deux sanglots Nathalie Faucher.

À la veille du réveillon de 2017, son père, Gilles Faucher, recevait un diagnostic de cancer du péritoine. L’homme de 72 ans venait d’être rapatrié de la Floride par avion-ambulance, à la suite de douleurs persistantes au ventre. « Il n’y avait plus rien à faire. C’est incurable. Il n’y a pas de traitement, pas d’opération. C’est fini », résume sa fille.

Hospitalisé à l’Hôtel-Dieu de Québec, son état se dégrade rapidement. Sa situation est telle qu’en février, il informe ses proches qu’il réclamera l’aide médicale à mourir. « Il a dit qu’il menait une bonne vie, qu’il en avait profité énormément », relate-t-elle.

Ambiance de fête

Sa demande a été accueillie, la procédure a été fixée au 24 février 2018. Ce matin-là, une vingtaine de proches et d’amis se sont réunis au chevet de Gilles Faucher. De la musique jouait, une vidéo souvenir avait été présentée.

« On n’était pas dans une ambiance où la mort est à nos portes. Mon père avait toute sa tête, il était encore bon vivant, il parlait avec les gens, ils se rappelaient des souvenirs. On était dans une ambiance de fête », dit-elle.

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Un projet de loi visant à protéger les médecins pro-vie ne sera probablement pas voté


Parlement albertain à Edmonton.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WinterforceMedia/Wikimedia Commons

Le projet de loi albertain visant à protéger les médecins et autres soignants pro-vie ne sera très probablement pas voté, pour raisons de suicide, de vacances de Noël et de renouvellement annuel de l’ordre du jour, motifs disparates il est vrai mais aboutissant à ce résultat.

Le projet de loi 207, du député provincial Dan Williams du United Conservative Party, avait cela de bon qu’il protégeait les médecins et autres soignants pro-vie de devoir pratiquer l’avortement, la procuration de contraceptifs, l’euthanasie ou la « transition », ou de renvoyer le patient à un autre praticien pour ces diverses pratiques, malgré le fait qu’il invoquât les « droits de conscience ». Selon LifeSiteNews :

Toutefois, lorsque Willams proposa ses amendements au comité des projets de loi d'initiative parlementaire, dominé par l'UCP, il refusa de les étudier. Il vota par huit contre deux voici quinze jours pour déconseiller le passage du projet de loi 207 en deuxième lecture.

Puis, lundi, vint un étrange accident, Williams était en train de demander un débat sur la décision du comité lorsque le président ajourna brusquement l'assemblée vers 15 h, après avoir appris qu'un homme s'était suicidé avec une arme de poing sur les marches du parlement.

L’accident a laissé le projet de loi 207 dans les limbes procéduraux, car Williams n'aura probablement pas la chance de demander un débat sur le sort de celui-ci avant l'ajournement de l'assemblée législative jeudi pour cause de vacances de Noël.

De plus, si le gouvernement UCP, qui est au pouvoir depuis sept mois, suit la tradition albertaine et proroge la session législative jusqu'à l'an prochain, tous les projets de loi disparaîtront de l'ordre du jour.

Toutefois, cela n'empêchera pas Williams de présenter à nouveau un projet de loi semblable à l'avenir.

Franchement, je ne vois pas ce qui empêchait l’Assemblée albertaine de continuer sa journée de débats. Quant au suicidé, il aurait pu choisir un autre moment et un autre endroit… bien qu’il eût été largement préférable qu’il ne se suicidât point.

Je prends au passage l’exemple de ce suicide, pour montrer à ceux qui aimeraient pouvoir choisir le suicide assister, pensant être un possible fardeau pour sa famille, la société ou bêtement pour le « climat », que la mort d’une personne n’arrive jamais sans conséquences, surtout quand elle est provoquée, sur les marches d'un parlement en débat ou dans une chambre d'hôpital au son des violons...

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