Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AdobeStock
Les activistes transgenres qui réclament que les représentants de leur… nouvelle catégorie soient traités selon qu’ils se disent « hommes » ou « femmes », ou autres… semblent aveugles aux conséquences de leurs réclamations. Arrêter la puberté d’un enfant, lui administrer des hormones qui se rencontrent surtout chez l’autre sexe puis l’amputer de quelques organes sains afin qu’il « ressemble » à une personne de l’autre sexe est des plus aberrants. Autoriser des « femmes » qui ne le sont que de nom à entrer dans les espaces réservés aux vraies femmes est d’une absurdité sans nom, comme si le fait de se dire femme allait garantir une perception de femme, une sensibilité de femme et finalement, le plus important dans ce cas, des appétits de femme et non d’homme… Ce n’est pas comme si rien n’arrivait, et malgré tout leur propagande continue, aveugle et sourde.
Un politicien libéral (d’après ses positions et non selon le parti auquel il a pu appartenir) a bien compris cette leçon, du temps où il était ministre et supervisant le système carcéral, selon LifeSiteNews
Au Royaume-Uni, le plus libéral des candidats à la direction du parti conservateur de l’année dernière, et désormais candidat non affilié à un parti aux élections de Londres, Rory Stewart, a raconté que lorsqu’il était ministre responsable des prisons, il y avait eu des cas (comme il l’a dit) de « prisonniers masculins s’identifiant comme femmes » violant des membres du personnel. Pour cette raison, il n’est pas favorable à l’ouverture des « espaces féminins », tels que les toilettes publiques, à tous venants.
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