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L’un des meneurs de l’« assaut » du Capitole est un activiste de Black Lives Matter


John Sullivan, à droite.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Trump est innocent, s’il était besoin de le prouver, de toutes les calomnies que les médias libéraux, les démocrates et leurs alliés ont déversées sur lui au sujet de l’« émeute » du Capitole, survenue le 6 janvier ; un des émeutiers et incitateurs de l’assaut a été arrêté et s’avère être un activiste de Black Lives Matter. Selon LifeNews :

Le récit des médias libéraux sur l’émeute du Capitole du 6 janvier était que les partisans conservateurs pro-vie de Trump étaient derrière la prise d’assaut du Capitole. Mais un militant BLM a été arrêté pour son rôle d’infiltration des électeurs de Trump, devant le Capitole, et pour les avoir incités à la révolte et à la destruction.

Le militant radical BLM John Sullivan a été accusé d’avoir participé à l’émeute du Capitole et de l’avoir encouragée. C’est un gauchiste qui a fondé un groupe appelé Insurgence USA et qui a passé une entrevue sur CNN par Anderson Cooper afin d’exposer son plaidoyer libéral.

Epoch Times explique comment Sullivan a non seulement participé aux émeutes, mais les a dirigées en incitant les partisans de Trump à l’émeute et en les incitant à la violence :

« Selon un dossier judiciaire récemment publié, John Earle Sullivan, 26 ans, a déclaré la semaine dernière à des agents du FBI qu’il était au Capitole lorsque la brèche s’est produite. Il a dit qu’il était entré par une fenêtre qui avait été brisée. Il a également déclaré qu’il était présent lorsque Ashli Babbitt, vétéran de l’armée de l’air, a été abattue par un agent de la police du Capitole alors qu’elle tentait d’entrer dans le hall du président de la Chambre par une fenêtre.

Sullivan a montré aux agents une partie des vidéos qu’il a prises à l’intérieur du bâtiment, dans lequel lui et d’autres personnes sont entrés illégalement. »

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Le Prince Harry insinue que la « pandémie » de coronavirus serait une punition de « Mère Nature »

Par Emily Mangiaracina ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pxfuel

Évidemment, de tels propos n’ont rien de rationnel, du vrai panthéisme, ce qui les rend encore plus inquiétants dans la bouche d’une personne d’une certaine notoriété comme le prince Harry… ― A. H.

7 décembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans une entrevue visant à promouvoir le WaterBear Network, un nouveau service de diffusion vidéo dédié au soutien des objectifs de développement durable des Nations Unies, le prince Harry a parlé du covid-19 comme d’une punition de « Mère Nature ».

« Quelqu’un m’a dit au début de la pandémie, c’est presque comme si Mère Nature nous avait envoyés dans nos chambres à cause de notre mauvais comportement, afin que nous prenions vraiment un moment pour réfléchir à ce que nous avons fait », déclarait-il à Ellen Windemuth, PDG de WaterBear, et à Sam Sataria, responsable de la stratégie.

Le 24 mars, la duchesse Sarah Ferguson, ex-femme du prince Andrew, écrivait dans un tweet : « Mère Nature nous a envoyés dans nos chambres, comme les enfants gâtés que nous sommes. Elle nous a donné du temps et elle nous a donné des avertissements. Elle a été si patiente avec nous. Elle nous a donné du feu et des inondations, elle a essayé de nous avertir mais à la fin elle a repris le contrôle ».

10 jours seulement avant le tweet de la duchesse Ferguson, un prêtre défroqué, largement crédité comme « théologien de référence » pour le synode de l’Amazonie de 2019, a soutenu que le coronavirus était le résultat des mauvais traitements que la terre a subis de la part de l’humanité, dans son article « The Origins of the Coronavirus ».

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Le député pro-vie Derek Sloan en voie d’expulsion du Parti conservateur sous un prétexte futile


Le député pro-vie Derek Sloan.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : @DerekSloanCPC/Twitter

Le député ontarien du Parti conservateur du Canada (PCC), le pro-vie Derek Sloan, a été mis sur la voie de sortie par le nouveau chef, le pro-avortement Erin O’Toole, sous le prétexte futile que le député avait reçu lors de sa campagne pour la course à la chefferie de l’année dernière un don de 131 $ de la part d’un certain Paul Fromm, qui serait un néonazi notoire. Erin O’Toole prête certains gestes et sentiments à Derek Sloan, selon ce qu’on lit sur TVA Nouvelles :

« L’acceptation par Derek Sloan du don d’un suprémaciste blanc bien connu est bien pire qu’une grossière erreur de jugement ou qu’un manque de diligence raisonnable », a-t-il expliqué par communiqué en fin d’après-midi lundi.

Derek Sloan, et c’est compréhensible, n’avait pas eu vent de ce donateur. Il affirmait sur Twitter, selon TVA Nouvelles :

« Ma campagne a levé bien plus de 1,3 M$ et a reçu plus de 13 000 dons séparés. Chaque jour, nous avons reçu plus de centaines de dons différents, et mon équipe, qui était dirigée dans de nombreux cas par des bénévoles, traitait des chèques, entre autres choses. À aucun moment je n’ai eu connaissance de ce don » [...]

C’est un journal américain de gauche, le Press Progress, qui a déniché le fait que le certain Paul Fromm, néonazi « notoire » selon plusieurs organisations (gauchistes ?), avait donné 131 $ au Parti conservateur l’été dernier. Après enquête, le parti a déterminé que le don provenait de la campagne de financement de M. Sloan.

Cependant, comment voulez-vous que ce dernier ait forcément eu connaissance d’un don parmi 13 000 autres qu’il ne traitait pas lui-même, et des idées politiques du donateur ? Et combien même ce serait…

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La Marche pour la Vie 2021 à Washington est annulée !


Marche pour la Vie 2020 à Washington.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : National Review/YouTube

Les organisateurs de la Marche pour la Vie à Washington, qui réunissait des centaines de milliers de personnes chaque année dans la capitale des États-Unis pour soutenir la cause de l’enfant à naître, ont annoncé dans un communiqué son annulation cette année, pour cause de coronavirus et de « pressions » supplémentaires que représenterait cette marche pour les forces de l’ordre de Washington et du Capitole… rapporte The Stream :

Mais maintenant, la Marche pour la Vie, selon une récente déclaration, jette l’éponge. Pire encore, elle utilise le langage de l’ennemi :

« La protection de tous ceux qui participent à la Marche annuelle, ainsi que des nombreux membres des forces de l’ordre et autres personnes qui travaillent sans relâche chaque année pour garantir un événement sécuritaire et pacifique, est une priorité absolue de la Marche pour la vie. Étant donné que nous sommes au cœur d’une pandémie qui pourrait atteindre son paroxysme, et compte tenu des pressions accrues auxquelles sont actuellement confrontés les agents de la force publique et autres personnes au Capitole et dans ses environs, la Marche pour la vie de cette année aura un aspect différent.
Le rassemblement annuel se déroulera de manière virtuelle et nous demandons à tous les participants de rester chez eux et de rejoindre la Marche de manière virtuelle. Nous inviterons un petit groupe de chefs de file pro-vie de tout le pays à participer à la Marche à Washington, DC cette année. Ces chefs représenteront les Américains pro-vie de partout qui, chacun à leur manière, s’efforcent de rendre l’avortement impensable et de construire une culture où chaque vie humaine est valorisée et protégée. »

Cette déclaration est pour le moins étrange, les participants à la Marche pour la Vie de Washington ont toujours été paisibles et respectueux de la loi ; quant aux forces de l’ordre de la capitale, et plus particulièrement du Capitole, elles ne sont pas particulièrement débordées, à moins évidemment que l’on ne veuille faire allusion aux événements du 6 janvier où les gardes ont laissé entrer une centaine d’individus qui cherchait à pénétrer dans le bâtiment ― pendant que des dizaines de milliers de partisans de Trump manifestaient tranquillement…

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La Cour suprême des États-Unis rejette la demande de l’hôpital de débrancher la jeune Tinslee Lewis

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : AJEL/Pixabay

L’affaire de Tinslee Lewis, une jeune enfant de presque deux ans ayant une anomalie cardiaque rare, connaît un dénouement heureux ; la Cour suprême des États-Unis rejette la requête de l’hôpital texan qui voulait retirer traitements et soutiens vitaux à Tinslee, renvoyant donc l’affaire au tribunal inférieur qui avait désapprouvé l’hôpital, selon LifeSiteNews :

La Cour suprême des États-Unis a rejeté une requête préliminaire du Cook Children’s Medical Center visant à débrancher [la ventilation de] bébé Tinslee Lewis contre la volonté de sa mère. Le combat de bébé Tinslee pour sa vie a commencé en novembre 2019 lorsque l’hôpital de Fort Worth a décidé de mettre fin à la vie de l’enfant contre la volonté de sa mère en vertu de la mortelle 10-Day Rule du Texas. Son procès a porté un coup sérieux à cette loi contre la vie dans une cour d’appel du Texas, et le Cook Children’s a cherché à faire annuler la décision. Depuis, tous les tribunaux supérieurs, y compris la Cour suprême des États-Unis, ont empêché l’hôpital de supprimer le traitement de survie de Tinslee, malgré l’objection de sa mère.

La décision contre la 10-Day Rule est toujours valide, et l’affaire va maintenant être renvoyée devant la juridiction inférieure pour un jugement final sur le fond de l’affaire.

Le « Règlement des 10 jours » pourrait ainsi être déclaré inconstitutionnel, mettant fin à de semblables situations.

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Analyse de COVID-1984 de Michel Weber

Par Jan Stohl

Une analyse apparemment brillante de la crise actuelle de Michel Weber, enseignant, philosophe, qui se penche sur son livre COVID-1984 ou La vérité (politique) du mensonge sanitaire : un fascisme numérique.

Cependant, en l’écoutant, on s’aperçoit de ce qu’on peut appeler la nudité idéologique d’un penseur.

D’abord, il amalgame toutes les religions en les « identifiant » comme totalitaires par leur nature. Donc à proscrire définitivement.

Ensuite, il nous enferme dans ce jeu pervers du système bipolaire gauche/droite des frères jumeaux matérialistes qui se justifient mutuellement en se livrant une lutte aussi mortelle qu’insensée.

Malgré toutes les horreurs indescriptibles que la gauche infligeait à plus que la moitié de la population du monde tout au long du XXe siècle, M. Weber prétend que c’est Mitterrand qui l’a détruit, ou que c’est la droite (et non pas le matérialisme insensé des deux) qui détruit le tissu social !

En bon socialiste nostalgique, M. Weber occulte le fait que c’étaient précisément les communistes qui, en bons imitateurs des exactions de la révolution française, étaient passés experts en atomisation de la société par l’« atmosphère » (selon lui la « culture ») de la terreur et de la dénonciation, qui sont d’ailleurs les traits marquants de la crise mondiale actuelle, comme il l’observe justement.

Pour lui, l’histoire mondiale se résume aux années septante et au Pinochet : le coup vicieux de la droite. Il parle de création d’une certaine crise pour en masquer une autre, du cynisme absolu de nos dirigeants, de questions écolos démographiques, il propose d’avancer plus de démocratie, une démocratie de transition, une démocratie de décroissance, qu’il faut égorger cette bête-là : l’écran qui sert la propagande à nous manipuler, etc., etc.

Néanmoins, il y a une question fondamentale que M. Weber a éliminée a priori : si notre existence s’arrête définitivement avec notre mort, si notre vie se résume complètement en son aspect matériel, pourquoi s’efforce-t-il tellement de dénoncer l’égoïsme de certains ou de tous, ou spéculer sur les traits sociopathiques ou psychopathiques de nos dirigeants ?

Autrement dit, dans ce cas de figure, toute différence entre l’enfer et le paradis terrestre vécu s’efface définitivement avec notre mort et toute question de responsabilité devient purement rhétorique.

Toutefois, si notre existence ne s’arrête pas avec notre mort et nous sommes tenus responsables de nos actes ici-bas, là c’est une tout autre histoire…

Jan Stohl

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Le rôle d’un délégué pro-vie au Congrès du Parti conservateur du Canada


Congrès conservateur de 2018, à Halifax en Nouvelle-Écosse.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Pour promouvoir la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, je vous invite à devenir délégué à la Convention politique 2021 du Parti conservateur du Canada (PCC) qui se tiendra virtuellement le 18 mars 2021. Pourquoi devenir délégué à la Convention politique 2021 du PCC ? C’est l’un des plus grands partis du Canada où il est encore possible de se dire pro-Dieu, pro-famille et pro-vie, et aux députés de déposer des projets de loi qui correspondent à ces principes. Certes, le parti a inscrit dans sa politique officielle qu’il ne légiférerait pas sur la question de l’avortement. Il fut un temps où il n’en était pas ainsi. Mais précisément, à la Convention politique du PCC, c’est le moment où le parti décide et modifie ses politiques, moment auquel on peut faire basculer cette grosse machine en notre faveur ― pourvu qu’il y ait assez de délégués pour voter en ce sens.

En outre, le Parti conservateur du Canada est l’un des seuls partis où il est encore possible de tenir une opinion différente sur d’autres enjeux importants. Vous n’iriez pas bien loin en tentant de modifier le cours du Parti libéral…

Qu’est-ce qu’un délégué ?

Un délégué, à la Convention politique du PCC, est soit un membre du parti qui détient un poste dans celui-ci (députés, sénateurs, etc.), soit un représentant de circonscription électorale ― c’est ce dernier type de représentation qui nous concerne et dont je ferais désormais mention par le terme « délégué ».

Le délégué possède le droit de voter lors de la Convention politique sur divers aspects du parti, aussi bien sur les mécanismes du parti que sur les politiques de celui-ci. Il possède également le droit de présenter des projets de modification, lesquels passeront au vote des délégués lors de la Convention politique.

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Nouvelles pressions sur le Nouveau-Brunswick pour qu’il subventionne les avortoirs

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : ptra/Pixabay

La province canadienne du Nouveau-Brunswick fait l’objet d’une énième tentative de pression pour l’obliger à financer l’avortement en dehors du cadre hospitalier. Selon Gènéthique :

La province du Nouveau-Brunswick […] ne « couvre pas les frais liés à l’avortement qui seraient engagés en dehors du cadre hospitalier ». Ceux-ci sont estimés entre 700 et 850 dollars canadiens. Dans cette province de 780 000 habitants, trois hôpitaux publics pratiquent des avortements. L’Association canadienne des libertés civiles (ACLC) a porté plainte le 6 janvier, considérant que le « refus de financer les avortements dans les cliniques privées » est contraire à la Charte des droits et libertés de la personne […]

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Un hôpital britannique veut prélever les organes d’un Polonais comateux, retirant pour cela son hydratation

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel

Disons-le simplement, ce cas représente un double crime : le premier, retirer l’hydratation et l’alimentation, supports de base de la vie et non « traitements » ou « soins », dans le but de mettre la personne en état de « mort cérébrale » ; secondement, vouloir prélever les organes à une personne, la tuant par conséquent puisque le concept de « mort cérébrale » ne signifie aucunement que la personne est morte.

Il s’agit du cas d’un Polonais (britannique aussi sans doute) vivant en Grande-Bretagne, en état plus ou moins comateux depuis novembre 2020. Comme apparemment en Grande-Bretagne il serait permis de retirer ce qui y est appelé des « traitements » en vue faire mourir une personne en état comateux, et que tout Britannique est automatiquement inclus dans une liste de candidats au prélèvement d’organes depuis mai 2020 (à moins qu’il n’en fît l’objection expresse), l’hôpital proposa à l’épouse de l’homme, dont on fait mention par les lettres « RS », de procéder au retrait l’alimentation et de l’hydratation, et de prélever ses organes.

Celle-ci acquiesça à la proposition de l’hôpital, tandis qu’une bonne partie de sa famille s’y opposa. Un tribunal donna raison à l’épouse. Maintenant, après plusieurs recours, la famille a présenté une requête auprès des Nations-Unies tandis que l’hôpital a commencé le processus mortel, selon LifeSiteNews.

Recours et rejets :

RS a été au cœur d’une bataille judiciaire qui a commencé après que les médecins eussent informé sa femme qu’il avait peu de chances de reprendre conscience suite aux dommages cérébraux qu’il avait subis lors d’une crise cardiaque. RS est à l’hôpital depuis le 6 novembre 2020, et l’établissement du Service national de santé responsable de ses soins a demandé à la Cour de protection l’autorisation d’arrêter tout traitement de survie. L’épouse de RS a soutenu cette demande, mais sa famille, dont sa mère et sa sœur en Pologne, ainsi qu’une sœur et une nièce en Angleterre, n’ont pas approuvé cette demande. Le 15 décembre 2020, le juge Cohen a décidé qu’« il revient au Trust et à la femme de RS de décider entre eux si l’hydratation doit être retirée ».

Cette décision a déjà été suspendue deux fois, une fois lorsque la famille de RS a indiqué au tribunal qu’elle ferait appel de la décision, et une deuxième fois lorsque la famille de RS et le gouvernement polonais ont révélé qu’ils intentaient un troisième recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Le juge Cohen lui-même a décidé que l’ordonnance devait être suspendue jusqu’au 7 janvier, afin de laisser à la CEDH le temps d’examiner l’affaire. Cependant, la CEDH a rejeté la demande tard dans la soirée, et la nutrition et l’hydratation de la RS ont été prestement retirées.

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François Legault décide de fermer les églises aux Québec

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : UiHere

Comme ça tout de go, Legault, hélas premier ministre du Québec, a décidé d’alourdir les mesures de confinement, pondant des merveilles en leur genre, comme le couvre-feu dès 20 h jusqu’à 5 h, et ce, jusqu’aux 8 du mois de février, ce qui ne signifie pas qu’il ne reconduira pas ces mesures débiles.

Vendredi matin, j’ai été à la messe, m’attendant à ce que ce soit sans doute la dernière avant un temps indéterminé, crainte confirmée par le curé qui affirma en chaire que les églises seraient fermées depuis samedi demain jusqu’au mois de février… si notre apprenti dictateur ne prolonge pas lesdites mesures, dois-je rajouter.

Tout ça pour un virus qui est semblable à une forte grippe ― et qui circule dans les populations d’Amérique du Nord depuis le mois de décembre au moins, si ce n’est plus tôt !

Iudica me Deus, et discerne causam meam de gente non sancta, ab homine iniquo et doloso erue me.

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