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Le gouvernement néo-brunswickois tient bon et ne finance pas un avortoir privé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : katemangostar/Freepik

Le gouvernement de Justin Trudeau tient absolument à ce que l’avortement soit accessible à toute femme qui pourrait être susceptible d’y recourir au Canada ― et ailleurs dans le monde. (Combien de femmes n'auraient peut-être jamais songer à l’avortement du seul fait de son impossibilité et n’auraient pas conçu le désir d’y recourir ? Bien sûr, il y a sans doute des femmes qui voudraient se faire avorter même si cela ne semble pas possible, mais le seul fait de la disponibilité engendre des désirs qui n’existeraient autrement pas. Créer des situations crée des désirs…) C’est pourquoi il faisait pression jusqu’à récemment sur le gouvernement du Nouveau-Brunswick afin que celui-ci finançât la clinique privée d’avortement 554 de Fredericton pour qu’elle restât ouverte ; elle serait prétendument sur le point de fermer, bien que cela fasse quatre mois qu’elle le clame. Selon Campaign Life Coalition (CLC) :

Vous avez peut-être récemment entendu parler de la fermeture imminente de la Clinique 554 — un abattoir à enfant à naître de Fredericton au Nouveau-Brunswick. Cette usine d’avortement privée et à but lucratif a connu des difficultés financières tout au long de ses 25 ans d’existence. Elle a déjà fermé une fois (en 2014) pour instabilité financière, et elle a menacé de fermer à nouveau.

L’automne dernier, la clinique 554 avait annoncé qu’elle fermerait son horrible entreprise et mettrait son bâtiment en vente d’ici la fin de l’année 2019. Ses propriétaires exigèrent alors que le gouvernement provincial intervînt et les finançât, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Les partisans de l’avortement de tout le pays commencèrent alors à se plaindre, et même les libéraux de Trudeau menacèrent le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs.

Ce n’est d’ailleurs pas la seule province qui ait subi les pressions du gouvernement fédéral en ce sens. CLC poursuit plus loin :

Le 31 décembre arriva et repartit. Aucun renflouement n’avait été proposé. Le premier ministre tenait bon. Cependant, d’une manière ou d’une autre, la clinique 554 continuait de fonctionner — elle continua à tuer — et son bâtiment ne fut pas mis en vente.

La pression que les libéraux de Trudeau exerçaient ne fit qu’augmenter au cours de la nouvelle année, retenant quelque 140 216 dollars de financement fédéral destinés aux soins de santé des Néo-Brunswickois, à cause de l’affaire de la clinique 554. Le premier ministre Trudeau, abusant de toute évidence de son pouvoir, a cherché à forcer le premier ministre Higgs à renflouer cette entreprise d’avortement à but lucratif qui avait échoué, et il était prêt à faire souffrir tous les Néo-Brunswickois en conséquence.

Mais, peut-être à cause des pressions de groupes pro-vie, dont CLC, qui soutenaient la décision néo-brunswickoise ou encore plus certainement du bête fait de réactions gouvernementales au coronavirus, le fédéral a décidé de verser quand même à la province les 140 216 dollars qu’il retenait. CLC continue :

Aujourd’hui, une fois de plus, nous voyons de nouveaux articles dans les médias décrivant la « fermeture imminente » de la clinique 554 [...]

Cependant, ce dernier article sur la clinique 554 (qui, je vous le rappelle, était censée avoir fermé il y a quatre mois), n’est peut-être qu’une tentative éhontée de plus de faire de la propagande et maintenir la pression sur le gouvernement Higgs.

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