Mark Carney a été l’un des premiers à soutenir la répression du gouvernement contre le Convoi de la Liberté
Le Convoi de la Liberté en 2022.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Rebel News
19 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Convoi de la Liberté est arrivé à Ottawa le 29 janvier 2022. Deux semaines plus tard, le 14 février, Justin Trudeau a déclaré la Loi sur les mesures d’urgence (qui a remplacé la Loi sur les mesures de guerre en 1988) ; son ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a insisté sur le fait que les forces de l’ordre avaient demandé cette mesure. Des policiers de tout le pays ont commencé à arriver à Ottawa et, le 18 février, ils ont été envoyés dans les rues pour les « dégager » — y compris avec un contingent à cheval. J’étais à Ottawa pendant la répression, et certaines scènes étaient surréalistes.
Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a statué que la décision de M. Trudeau d’invoquer la loi sur les situations d’urgence était à la fois « déraisonnable » et constituait une violation des droits des Canadiens tels qu’ils sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Il a estimé que l’invocation de la loi manquait de « justification, de transparence et d’intelligibilité », qu’elle portait atteinte à la liberté d’expression et qu’en raison du gel des comptes bancaires et de la répression des manifestations, elle violait la protection contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le gouvernement Trudeau a fait appel de ce jugement, insistant — contre toute évidence — que la loi sur les mesures d’urgence était essentielle au rétablissement de la paix, bien qu’il n’y ait pas eu un seul incident de violence documenté pendant le Convoi de la Liberté. En outre, Brenda Lucki, commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, a directement contredit les affirmations de Mendicino, en déclarant que les forces de l’ordre n’avaient pas demandé l’application de la loi sur l’état d’urgence, un élément clé de la justification de l’invocation par le gouvernement. « Il n’a jamais été question de demander l’application de la loi sur les mesures d’urgence », a carrément déclaré Brenda Lucki à la Commission de l’ordre public et des situations d’urgence.
Il est intéressant de noter que l’un des premiers partisans d’une répression du Convoi pour la Liberté était... l’actuel premier ministre Mark Carney. Le 7 février, une semaine à peine après le début des manifestations, Carney a rédigé un éditorial furieux dans le Globe and Mail, intitulé « C’est de la sédition et il est temps d’y mettre un terme à Ottawa ». Il affirme que les gens sont « terrorisés », que les femmes « fuient les abus » ; il déclare carrément : « C’est de la sédition. C’est un mot que je n’aurais jamais pensé utiliser un jour au Canada. Il signifie “incitation à la résistance ou à l’insurrection contre l’autorité légitime” ».
Lire la suiteMark Carney remplace Justin Trudeau comme premier ministre du Canada
Mark Carney.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Flickr/Wikimedia Commons
Lundi 10 mars 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — Mark Carney, qui se décrit comme « mondialiste » et « élitiste », remplacera Justin Trudeau en tant que premier ministre du Canada.
Le Parti libéral a élu Carney à la tête du pays avec 85,9 % des voix, selon l’Associated Press. « L’autre principal candidat à la direction du parti libéral était l’ex-vice-premer ministre Chrystia Freeland, qui n’a obtenu que 8 % des voix », rapporte l’Associated Press.
Une élection générale doit avoir lieu d’ici le mois d’octobre de cette année au Canada. Il est probable qu’elles aient lieu avant cette date.
Carney a été gouverneur de la Banque d’Angleterre et a travaillé pour le géant financier Goldman Sachs. « En 2020, il a commencé à servir en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique et la finance », selon l’AP.
Lire la suiteTrudeau remplit les tribunaux canadiens de juges avant de démissionner de son poste de premier ministre (s’il démissionne jamais...)
Justin Trudeau.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shutterstock
Mercredi 5 mars 2025, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le premier ministre Justin Trudeau remplit les tribunaux canadiens de juges libéraux avant de quitter son poste de chef des libéraux.
Le 3 mars, le ministre de la Justice et procureur général Arif Virani, sous la direction de Trudeau, a annoncé 20 nominations de juges de tendance libérale à divers tribunaux canadiens, quelque temps avant que Trudeau ne quitte son poste.
Les annonces comprennent des nominations à la Cour canadienne de l’impôt, à la Cour fédérale et aux cours provinciales de l’Ontario, du Québec et de la Colombie-Britannique.
En effet, selon les informations gouvernementales du Blacklock’s Reporter, les derniers jours du mandat de M. Trudeau ont été bien remplis. Depuis l’annonce de sa démission le 6 janvier, M. Trudeau a procédé à 104 nominations fédérales, notamment de juges, de diplomates, de « conseillers spéciaux » et de membres de conseils fédéraux.
Lire la suiteTrudeau projette de remplir le Sénat avant de quitter le pouvoir
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : abdallahh/Flickr/Wikimedia Commons
30 janvier 2025, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Les députés du Parti conservateur du Canada (PCC) exigent que les candidats à la direction du Parti libéral dénoncent les plans du premier ministre Justin Trudeau visant à renforcer le Sénat en sa faveur avant qu’il ne démissionne officiellement.
Selon le PCC, ni M. Trudeau ni le nouveau chef du parti ne devraient procéder à d’autres nominations au Sénat avant la tenue d’une élection.
Comme l’indique Radio-Canada, M. Trudeau cherche à pourvoir pas moins de dix postes vacants au Sénat avec des partisans libéraux qui n’ont pas besoin de prendre leur retraite avant d’avoir atteint l’âge de 75 ans.
Dans un récent communiqué de presse, le PCC a déclaré que les plans de M. Trudeau visant à remplir le Sénat de personnes qui lui sont fidèles ne sont qu’« un autre exemple de l’arrogance classique du Parti libéral à laquelle les Canadiens se sont habitués après neuf ans de gouvernement ».
Lire la suiteLes six candidats à la succession de Trudeau sont d’accord avec lui sur presque tout
Justin Trudeau.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pete Baklinski/LifeSiteNews
29 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Avec l’élection à la direction du parti libéral dans un peu plus d’un mois, le 9 mars, les Canadiens examinent les six candidats et se demandent s’ils apporteront un changement au parti libéral ou s’ils perpétueront l’héritage radical du premier ministre Justin Trudeau.
Les six candidats au poste de chef du parti libéral et, par conséquent, au poste de premier ministre, sont les suivants : Mark Carney, Chrystia Freeland, Karina Gould, Jaime Battiste, Frank Baylis et Ruby Dhalla.
Bien que tous les candidats susmentionnés promettent de redresser le Parti libéral, leurs politiques, passées et proposées, ne diffèrent guère de l’agenda radical, anti-vie et mondialiste adopté par le gouvernement Trudeau.
Lire la suiteLe lourd bilan de Trudeau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Justin Trudeau a annoncé ce matin de l’Épiphanie lors d’une conférence de presse à Ottawa sa démission en tant que chef du Parti libéral et en tant que premier ministre du Canada... quand son parti aura élu un nouveau chef.
Pas trop tôt ! pourrait-on se dire. Nous aurons cependant à l’endurer jusqu’au mois de mars, hélas ! Car, bien que poussé à démissionner par les membres de son propre caucus, Trudeau ne s’en ira pas tout de suite — plus tard —, prorogeant (suspendre) au passage le Parlement jusqu’en mars.
Au moins en prorogeant le Parlement, il ne pourra pas adopter de nouvelles lois mortifères.
En tout cas, on ne le regrettera pas comme dirigeant, nous aurons, pour le rappeler à notre bon souvenir, le bilan atroce qu’il nous a laissé et dont nous aurons bien du mal à nous défaire.
Lire la suiteTrudeau promeut l’avortement dans un discours prononcé devant des collégiens du Nouveau-Brunswick
Justin Trudeau s'adressant à des élèves du Nouveau-Brunswick.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Justin Trudeau a utilisé son temps, aux frais des contribuables, pour promouvoir le meurtre des enfants à naître devant un auditorium rempli d’élèves du secondaire, en déclarant que les femmes devraient avoir un accès total et illimité à l’avortement.
« C’est très simple : c’est à une femme de choisir ce qu’elle veut faire avec son corps », a déclaré Trudeau devant l’auditorium rempli de collégiens du Nouveau-Brunswick mardi.
Trudeau a ajouté qu’un parti libéral « progressiste » qui reconnaît la « Charte des droits et libertés, la liberté de faire ses propres choix dans la vie », doit exiger que « toute personne qui voudrait se présenter pour le parti libéral du Canada devait être accord qu'ils allaient défendre le droit des femmes de choisir ».
Lire la suiteLa députée conservatrice Leslyn Lewis reproche aux libéraux de ne pas soutenir le projet de loi contre les incendies d’églises
Leslyn Lewis.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Dr. Leslyn Lewis/X
5 novembre 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — L’une des députées pro-vie les plus en vue du Canada a critiqué le gouvernement Trudeau pour son manque apparent de soutien à un projet de loi contre les incendies criminels visant à freiner la vague d’incendies d’églises qui touche les chrétiens du pays.
Dans un billet publié lundi sur X, la députée conservatrice Leslyn Lewis a souligné que, sous le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau, les incendies d’églises ont augmenté de « 100 % » et que le gouvernement ne semble pas avoir exprimé la moindre « préoccupation ».
« Au cours des dernières années, des centaines d’églises et d’autres lieux de culte ont été incendiés au Canada. Sous le gouvernement libéral, ces crimes ont augmenté de plus de 100 % », a écrit Lewis sur X.
« Où sont les préoccupations ou les actions des libéraux concernant ces attaques contre les églises chrétiennes ? »
Le message de Lewis comprenait un lien vers un autre message X du député conservateur Marc Dalton, qui a publié une vidéo le 31 octobre soulignant la récente vague d’incendies d’églises et la façon dont son projet de loi, C-411, vise à mettre fin à cette situation.
Lire la suiteLes libéraux déposent aujourd’hui une motion contre les centres de grossesse pro-vie
Parlement du Canada, 29 octobre 2024.
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Arpad Nagy
Hier, pour la première fois, j’ai assisté à la période de questions de la Chambre des communes à Ottawa.
Et quelle journée !
La ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, l’honorable Marci Ien, a déposé une motion à la Chambre qui contient le « plan visant à exiger plus de transparence de la part des organismes de bienfaisance qui utilisent des tactiques trompeuses pour inciter les femmes à ne pas prendre leurs propres décisions en matière de reproduction ». En bref, les libéraux, avec l’aide du NPD et du BLOC, commencent leur attaque en règle contre les centres de grossesse pro-vie.
De nombreux députés de ces partis se sont exprimés aujourd’hui contre les centres de grossesse. Tant de centres de grossesse fournissent des services cruciaux aux femmes enceintes et aux mères ! Les femmes reçoivent des conseils, une aide financière, des articles pour bébés tels que des couches, des vêtements, de la nourriture, des jouets, etc., et tout cela gratuitement ! Les pressions exercées pour fermer ces centres extraordinaires qui aident les femmes qui veulent avoir des enfants sont incompréhensibles !
Jeff Gunnerson, président de la Coalition nationale pour la vie, a réagi rapidement et a écrit une lettre à Pierre Poilievre, l’exhortant, ainsi que le caucus conservateur, à s’opposer à cette motion. Il écrit : « Cette législation n’est rien d’autre que la preuve d’une vendetta libérale contre les organisations pro-vie qui offrent aux femmes d’autres choix que l’avortement, tels que l’adoption et la parentalité ... Avec cette proposition de loi, le Parti libéral réaffirme une fois de plus qu’il n’est pas le parti du “choix”, mais le parti de l’avortement comme seul choix ».
Lire la suiteAnalyse : ce qui a vraiment causé le balayage des conservateurs par les libéraux au Nouveau-Brunswick
Susan Holt, le soir de sa victoire.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada
Le 21 octobre, les libéraux de Susan Holt ont choqué les observateurs politiques en balayant facilement le gouvernement conservateur (PC) du premier ministre Blaine Higgs, dans ce que tout le monde croyait être une course coude à coude.
Non seulement le Parti libéral du Nouveau-Brunswick remporte une forte majorité, obtenant 31 sièges contre 16 pour le Parti progressiste-conservateur, mais, fait étonnant, le chef du Parti progressiste-conservateur, Blaine Higgs, qui était sans doute le premier ministre conservateur le plus admiré au Canada en raison de ses prouesses en matière d’équilibre budgétaire et de son gouvernement audacieux dans le domaine des droits parentaux, perd son siège. À la dissolution de la législature, les PC détenaient 25 sièges, les libéraux 16, les Verts 3 et un indépendant.
Depuis l’élection, un article du Toronto Star, journal d’extrême gauche, a insinué que la position de Higgs sur les droits parentaux aurait pu contribuer à la défaite dévastatrice du Parti progressiste-conservateur. Le soir de l’élection, un journaliste de CBC a suggéré la même chose. Cela serait-il vrai ?
Examinons les faits.
Le premier ministre Higgs a déclenché une révolution populaire en matière de droits parentaux
En 2023, le premier ministre Higgs a fait du Nouveau-Brunswick la première juridiction au Canada à mettre en œuvre une règle sur l’identité de genre (politique 713) exigeant que les écoles obtiennent le consentement des parents avant de procéder à la transition d’enfants mineurs par l’utilisation de noms et de pronoms du sexe opposé.
Après l’introduction de la politique de notification et de consentement parental de Higgs pour les enfants de moins de 16 ans, une législation similaire sur les droits parentaux a été annoncée en Saskatchewan, puis en Alberta.
Pour contrer les insinuations du Toronto Star et de CBC, il est prouvé que la politique de M. Higgs en matière d’identité sexuelle a été extrêmement populaire auprès d’une majorité de Canadiens.
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