Les fanatiques LGBT qualifient la « masculinité authentique » de terme offensant et dépassé
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ivan/Adobe Stock
30 mai 2023 (LifeSiteNews) — En avril, j’ai eu une longue discussion avec Jojo Ruba sur la façon dont l’interdiction des thérapies de conversion au Canada était appliquée depuis l’adoption de la loi.
Ruba, qui a eu recours à la thérapie pour faire face à sa propre attirance pour le même sexe, s’est exprimé sur ce projet de loi depuis qu’il a été présenté par le gouvernement Trudeau et a témoigné contre l’interdiction devant un comité parlementaire (vous pouvez regarder son témoignage ici).
L’un des principaux objectifs de cette loi, m’a-t-il dit, n’est pas simplement de poursuivre les pasteurs, les parents ou les conseillers qui aident les jeunes souffrant de dysphorie de genre ou d’attirance non désirée pour le même sexe. Il s’agit de produire un effet dissuasif dans tout le pays qui amènera les gens à refuser volontairement de s’occuper de ces questions par crainte d’être inculpés.
Lire la suiteL’homme atteint de trisomie 21 le plus vieux du Canada fête son 77e anniversaire
Bruce Brown (à gauche).
Par Amanda Vicinanzo (LiveAvctionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Au Nouveau-Brunswick, au Canada, une communauté s’est récemment réunie pour célébrer le 77e anniversaire de l’un de ses résidents les plus aimés, Bruce Brown, qui serait la personne la plus âgée atteinte de trisomie 21 au pays. Un défilé de 70 voitures est passé devant la maison de Brown, montrant la capacité de chaque personne à apporter une contribution unique et inestimable à sa communauté et au monde.
Selon Laura LaChance, directrice générale de la Société canadienne du syndrome de Down, Bruce serait non seulement l’une des personnes atteintes de trisomie 21 les plus âgées du Canada, mais peut-être même du monde.
Elle souligne que l’espérance de vie des personnes atteintes de trisomie 21 a considérablement augmenté au cours des dernières décennies, grâce aux progrès de la médecine et des soins modernes. En fait, la National Association for Down Syndrome indique que l’espérance de vie moyenne des personnes atteintes de trisomie 21 est de 60 ans, et que beaucoup d’entre elles vivent maintenant jusqu’à 70 ans. Par conséquent, nous assistons aujourd’hui à la première génération de personnes atteintes de trisomie 21 qui survivent à leurs parents.
Paul Brown, le frère de Brown, attribue la longévité de son frère à l’amour et au soutien inébranlables qu’il a reçus de ses soignants et de la communauté au fil des ans, comme en témoignent l’incroyable défilé organisé en son honneur et les dizaines de cartes d’anniversaire qu’il a reçues. Bien que sa mère, Margaret — qui s’occupait de son fils avec amour — soit décédée en 2003, Brown a la chance de pouvoir compter sur un réseau de soutien inébranlable, notamment Brenda Doucette et son mari Jack, qui sont ses soignants depuis près de vingt ans.
« C’est une personne phénoménale », a déclaré Brenda, avant d’ajouter : « Il est [comme] mon fils. J’ai deux enfants et je ne le traite pas différemment de mes enfants. »
Au fil des ans, Brown est devenu une sorte de célébrité locale, admirée pour son attitude positive et sa joie de vivre. Ses activités favorites consistent à regarder le jeu télévisé populaire « The Price is Right » et les films de John Wayne. Il aime aussi chanter et dit : « Je chante très bien ».
Bien que Brown ait développé une démence, Doucette pense qu’il est en excellente santé physique.
« Il a encore beaucoup d’années devant lui, croyez-moi », a-t-elle déclaré.
Un père du Nouveau-Brunswick perd la garde de ses enfants pour avoir refusé le vaccin covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mladen/Adobe Stock
7 février 2022, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Un autre père canadien a été séparé de ses enfants après qu’un juge eût décidé qu’il représentait une menace pour la santé de l’un d’entre eux parce qu’il refuse de recevoir les vaccins contre le COVID-19.
Le juge Nathalie Godbout de la Cour du Banc de la Reine du Nouveau-Brunswick a rendu le 31 janvier une décision à l’égard du père de trois enfants, lui interdisant de voir ses enfants en personne en raison de son refus de recevoir l’un des vaccins COVID-19 contaminés par l’avortement.
Mme Godbout a restreint le droit de visite du père après avoir noté que son deuxième enfant ─ une fillette de 10 ans ─ présente un système immunitaire déficient que le juge a estimé menacé par tout contact physique entre la fillette et son père « non vacciné » ainsi que sa nouvelle compagne.
Les documents judiciaires n’identifient pas les parents par leur nom.
« En tant que parents qui s’occupent de [l’enfant] 50 % du temps, dans un environnement proche, non masqués et non vaccinés, ils sont bien placés pour transmettre le virus à [l’enfant] s’ils le contractent, et ce malgré tous leurs efforts », peut-on lire dans un article de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC) à propos de la décision de Mme Godbout.
Le juge a conclu que les enfants « doivent avoir la meilleure chance possible d’échapper à l’infection par le COVID-19 », estimant que le statut « vaccinal » du père n’est pas satisfaisant pour cette exigence et, « le cœur lourd », lui retire temporairement le droit de garde.
Lire la suiteLe Nouveau-Brunswick retire ses mesures vaccinales pour les épiceries devant le tollé public
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Farknot Architect/Adobe Stock
20 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Les Canadiens non vaccinés du Nouveau-Brunswick sont maintenant autorisés à accéder de nouveau à toutes les épiceries, après que la pression intense de la population ait conduit le gouvernement à se rétracter de sa politique qui laissait aux entreprises le soin de [décider comment] traiter les personnes qui refusent le vaccin COVID, contaminé par l’avortement.
Vendredi, la province du Nouveau-Brunswick a fait marche arrière sur un aspect de son « plan d’hiver » COVID-19 qui obligeait les épiceries soit à appliquer la distance sociale, soit à exiger que tous les clients soient « entièrement vaccinés ». Cette mesure avait été initialement mise en place le 4 décembre et avait immédiatement suscité une forte opposition de la part de la population, des médias indépendants et du Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF).
« Une option permettant aux magasins qui vendent des produits d’épicerie de demander aux clients de 12 ans et plus une preuve de vaccination, au lieu de mettre en œuvre des exigences de distanciation, est retirée du décret obligatoire de la province », a écrit la province vendredi. « L’intention initiale était de donner le choix aux magasins, et que ceux qui choisissent l’option de la preuve de vaccination offrent la livraison ou le ramassage en bordure de rue ; il n’a jamais été question que quiconque croie qu’il ne pouvait pas avoir accès aux produits d’épicerie. »
Trois jours seulement après l’annonce de la mesure coercitive, la JCCF a envoyé une « mise en demeure » à la province pour lui reprocher sa politique ─ désormais annulée ─ tout en l’informant que la mesure transgressait la loi.
Lire la suitePas de piqûre, pas de nourriture, au Nouveau-Brunswick
Par David Cooke (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
« Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. » (2 Thessaloniciens 3:10)
L’apôtre Paul a écrit cette maxime pour s’adresser à ceux qui refusaient de travailler et de gagner leur vie. Contrairement à ceux qui ne pouvaient pas travailler en raison de leur âge ou de leur maladie, ceux qui ne voulaient pas travailler par paresse ne devaient s’attendre à aucun avantage particulier. L’apôtre dit qu’il n’y a pas de gratuité pour les flâneurs intentionnels.
Avance rapide de 2 000 ans jusqu’au 22e mois de la crise du COVID au Nouveau-Brunswick. D’une manière ou d’une autre, le principe inspiré par saint Paul a été perverti et complètement inversé. Nous entendons maintenant une nouvelle maxime de la part de nos dirigeants politiques, qui ressemble à ceci :
« Celui qui ne veut pas être vacciné, qu’il ne mange pas non plus. »
C’est ce que dit l’« évangile » du premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs. Le premier ministre a donné le feu vert aux épiceries de la province pour refuser l’entrée aux personnes non vaccinées. Pouvez-vous le croire ?
Peut-être que ce concept paraît vertueux aux yeux de nos politiciens. Ils pensent peut-être que cela « motivera » davantage de personnes à se faire piquer. Mais le fait est que : c’est absolument cruel et inhumain. Et c’est la chose la plus éloignée de l’Évangile du Christ !
Si une personne refuse de travailler, ne gagne pas d’argent et ne peut pas acheter de nourriture, il est vrai qu’elle a créé son propre dilemme.
Pourtant, même les personnes qui refusent délibérément de travailler sont souvent les bénéficiaires de la bonté des dons alimentaires ou des programmes gouvernementaux financés par les contribuables. Et même les grands criminels qui ont tué et violé reçoivent une allocation quotidienne de nourriture lorsqu’ils sont incarcérés dans les prisons gérées par le gouvernement.
Mais si une personne est heureuse de travailler, mais n’est pas autorisée à acheter de la nourriture en raison d’une politique gouvernementale contre les personnes non vaccinées, c’est le gouvernement qui crée son dilemme !
Lire la suiteUne province canadienne autorise les épiceries à interdire les personnes non vaccinées
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock
6 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — La province canadienne du Nouveau-Brunswick permet maintenant aux épiceries d’interdire les personnes non vaccinées dans le cadre de son soi-disant « plan d’hiver » COVID.
Le samedi 4 décembre, la province canadienne du Nouveau-Brunswick a imposé les mesures les plus restrictives du pays envers les personnes non vaccinées contre le COVID-19. Le « plan hivernal » prévoit notamment que les épiceries, les centres commerciaux et les salons de beauté interdisent l’accès à leurs locaux aux personnes non vaccinées ou appliquent une « distanciation sociale ». Parallèlement, le gouvernement soumettra les citoyens non vaccinés à un isolement obligatoire de 10 jours lorsqu’ils entreront ou retourneront dans la province.
Citant des taux d’infection « très préoccupants », la ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard, a déclaré à ses concitoyens : « Avec l’hiver vient un temps plus froid, des journées plus courtes, plus de temps passé à l’intérieur et plus d’occasions pour le COVID-19 de se propager ».
« Il est important que nous ayons un plan en place qui garantisse que notre système de soins de santé ne soit pas débordé, mais qui tienne également compte de la santé mentale, physique et financière des Néo-Brunswickois. »
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
L’archevêque de Moncton fait marche arrière : le vaccin covid n’est plus nécessaire pour aller à la messe
Mgr Valéry Vienneau, archevêque de Moncton.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese Moncton/YouTube
Moncton, Nouveau-Brunswick, 27 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’archevêque de Moncton au Nouveau-Brunswick (Canada) a retiré un décret exigeant que les paroissiens se fassent doublement vacciner contre le COVID-19 pour assister à la messe dans son diocèse.
Le 24 septembre, l’archevêque de Moncton, Mgr Valéry Vienneau, a mis à jour les directives publiées quelques jours plus tôt, le 17 septembre, annulant la nécessité d’être « doublement vacciné » contre le nouveau coronavirus pour pouvoir assister « aux messes du dimanche ou de semaine, aux baptêmes et aux groupes de prière ».
Mis en œuvre le 22 septembre, le décret de vaccination, qui s’appliquait à toute personne âgée de plus de 12 ans, n’a duré que deux jours avant d’être annulé, apparemment en raison de « nouvelles directives de la ministre de la Santé » du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard.
Les nouvelles mesures, adoptées par les quatre évêques de la province, stipulent désormais qu’« aucune preuve de vaccination ne sera exigée » pour assister à la plupart des services religieux, y compris les messes et les baptêmes, mais que l’accès aux mariages et aux funérailles sera toujours limité aux personnes ayant reçu les injections expérimentales de vaccin COVID.
« Pour les funérailles et les mariages, il n’y a pas de distance à respecter, ce qui permet remplir l’église et il n’est pas nécessaire de tenir un registre des personnes présentes. Mais pour être admise, une personne doit avoir la preuve d’une vaccination complète », lit-on dans les nouvelles instructions de Mgr Vienneau.
Les personnes qui enseignent la catéchèse aux enfants doivent également avoir reçu la double piqûre, selon le communiqué, ainsi que les adultes qui souhaitent assister aux cours.
Les employés des paroisses ne sont pas tenus d’être « vaccinés », bien que l’archevêque ait déclaré qu’il soit « hautement souhaitable » qu’ils reçoivent les vaccins contaminés par l’avortement. Ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner seront toutefois soumis à des tests de dépistage du COVID « périodiquement, conformément à la politique gouvernementale », et devront porter un masque facial « en tout temps ».
Lire la suiteUn prêtre canadien refuse dans son église le « système de marquage » des passeports vaccinaux
Le Père Stefano Penna.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre catholique canadien a qualifié les passeports vaccinaux de « système de marquage » du gouvernement et a juré qu’un tel système ne sera « jamais » utilisé dans son église.
« Une chose que je sais, c’est que nous ne pouvons pas participer à la mise en œuvre par le gouvernement d’un système de marquage qui identifie les purs et les impurs, les lépreux et les non-lépreux, les vaccinés et les non-vaccinés, car cela reviendrait à céder aux pouvoirs de ce monde ce qui n’appartient qu’à Dieu », a déclaré le Père Stefano Penna, prêtre de la co-cathédrale catholique Saint-Paul à Saskatoon, en Saskatchewan, dans une homélie dimanche dernier.
« Ce passeport vaccinal permet de participer au culte de Dieu. Je ne demande pas aux gens quand ils viennent communier s’ils sont en état de grâce. Pourtant, frères et sœurs, en termes d’éternité, c’est beaucoup plus important que l’état de leur corps. Cela n’arrivera jamais dans cette église, jamais. »
L’homélie du Père Penna a été publiée sur le site internet The Countdown to the Kingdom, mais à ce jour, elle n’a pas encore été publiée sur sa chaîne YouTube ni sur le site de la co-cathédrale catholique Saint-Paul.
Dans son sermon, le Père Penna a laissé entendre que son message pourrait être « annulé » tout en remettant en question le récent mandat d’un archevêque canadien qui a interdit aux personnes n’ayant pas reçu le vaccin COVID d’assister à la messe.
« J’entends dire [par] certains, pour des raisons quelconques, [que] je ne peux pas juger les dirigeants de l’église [qui] ont acquiescé à ce passeport vaccinal et que cela ne sera jamais diffusé parce que ce sera annulé », a déclaré le Père Penna.
Il n’y a pas de « place au gouvernement pour l’amour »
Le Père Penna est bien connu dans l’Ouest canadien pour avoir prêché avec une ferme conviction pour défendre les enfants à naître. Dans le passé, il n’a pas hésité à dire les vérités morales traditionnelles enseignées par l’Église catholique ainsi que celles du Catéchisme de l’Église catholique.
Dans son sermon de dimanche, le Père Penna a déclaré qu’il n’y a pas de « place dans le gouvernement pour l’amour » et a dénoncé l’hypocrisie des mandats de vaccination du gouvernement alors que la société assassine les « non-nés ».
Lire la suiteLe diocèse de Saint John au Nouveau-Brunswick continuera à recevoir les fidèles non vaccinés au covid, contrairement aux autres diocèses
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’avais écrit au début de la semaine un article rapportant la décision des diocèses d’Edmundston et de Moncton au Nouveau-Brunswick de refuser l’accès à la messe à ceux n’ayant pas reçu deux doses de vaccin covid... Je rapportais également le communiqué du diocèse de Saint John, ne précisant pas si le diocèse se proposait à accueillir ou à rejeter les non-vaccinés à la messe, son communiqué n’étant pas clair sur ce point précis, mais rassurant les fidèles qu’ils auront toujours accès aux sacrements. Ce matin j’ai lu quelques précisions là dessus.
Le diocèse de Saint John, contrairement aux autres diocèses, continuera d’accueillir les fidèles non vaccinés au covid, déclarant que le gouvernement néo-brunswickois ne nommait pas spécifiquement les cérémonies religieuses (pourtant si, les mariages et funérailles, à moins qu’il ne s’agisse des banquets, repas ou autres sortes de réunions suivant la cérémonie proprement dite) dans son décret ordonnant la vaccination obligatoire pour certains rassemblements intérieurs, et que le diocèse ne peut priver les fidèles de la messe et des sacrements ! Selon CNA :
« Personne ne se verra refuser l’accès à la messe, ni à aucun autre sacrement », a déclaré à CNA Natasha Mazerolle, directrice des communications du diocèse de Saint John, le 22 septembre ... « [Le diocèse] reconnaît que les fidèles ne doivent pas être exclus des sacrements pour quelque raison que ce soit, et que l’Eucharistie est la source et le sommet de notre foi ... » Mme Mazerolle a déclaré que « les cérémonies (y compris la messe catholique) ne sont pas directement mentionnées dans le règlement gouvernemental. » Elle a ajouté que « le droit d’un individu à pratiquer sa religion est protégé par la Charte canadienne des droits et libertés. »
Mais alors, les autres diocèses pourraient aussi recevoir les fidèles non vaccinés... Ce qui me donne à penser qu’ils se font plus César que César.