Nouveau-Brunswick : les écoles pourront cacher aux parents les changements de pronoms et de « genre » de leurs enfants
Susan Holt.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
21 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le nouveau premier ministre pro-avortement du Nouveau-Brunswick déclare que l’une de ses premières mesures sera de changer la loi afin que les enfants, y compris les jeunes élèves du primaire, puissent utiliser les pronoms qu’ils veulent à l’école et que les éducateurs ne soient pas obligés d’informer les parents de tout changement.
Le premier ministre Susan Holt a déclaré qu’elle avait décidé d’adopter de nouvelles règles sur la base des recommandations de militants LGBT et d’autres éducateurs.
Sa mesure annulera les règles actuelles mises en place sous le gouvernement conservateur de l’ancien premier ministre Blaine Higgs, qui exigent le consentement des parents pour que les enseignants utilisent des noms ou des pronoms différents pour les élèves de moins de 16 ans. La politique de M. Higgs prévoyait également des vestiaires et des toilettes séparés pour les garçons et les filles en fonction de leur biologie.
Le programme de Mme Holt contraste fortement avec celui de M. Higgs, qui, en septembre, alors qu’il était encore au pouvoir, a interdit des écoles une présentation graphique sur l’éducation sexuelle, trois jours après les protestations des parents.
Lire la suiteTrudeau promeut l’avortement dans un discours prononcé devant des collégiens du Nouveau-Brunswick
Justin Trudeau s'adressant à des élèves du Nouveau-Brunswick.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Justin Trudeau a utilisé son temps, aux frais des contribuables, pour promouvoir le meurtre des enfants à naître devant un auditorium rempli d’élèves du secondaire, en déclarant que les femmes devraient avoir un accès total et illimité à l’avortement.
« C’est très simple : c’est à une femme de choisir ce qu’elle veut faire avec son corps », a déclaré Trudeau devant l’auditorium rempli de collégiens du Nouveau-Brunswick mardi.
Trudeau a ajouté qu’un parti libéral « progressiste » qui reconnaît la « Charte des droits et libertés, la liberté de faire ses propres choix dans la vie », doit exiger que « toute personne qui voudrait se présenter pour le parti libéral du Canada devait être accord qu'ils allaient défendre le droit des femmes de choisir ».
Lire la suiteLe nouveau premier ministre du Nouveau-Brunswick ouvre le financement aux avortements pratiquées par les avortoirs privés
Susan Holt.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo/X
Susan Holt, nouveau premier ministre libéral du Nouveau-Brunswick, a annoncé, moins d’une semaine après son assermentation, qu’elle allait étendre le financement aux avortements opérés en dehors des hôpitaux publics. Sous les gouvernements précédents, dont celui du conservateur Blaine Higgs, les avortements opérés dans des établissements privés n’étaient pas remboursés. Pendant longtemps, les libéraux, les grands médias et autres acteurs pro-avortement accusaient de façon récurrente le gouvernement du Nouveau-Brunswick de limiter l’accès à l’avortement. Face à ce refus de financer l’avortement dans les établissements privés, le gouvernement de Trudeau avait retenu des fonds destinés au Nouveau-Brunswick afin de faire pression sur la province.
Lors d’une émission radio de Martine Blanchard de Radio-Canada le 8 novembre, l’invitée Beth Lyons, directrice générale du Conseil des femmes du Nouveau-Brunswick, a dit : « Je pense que l’engagement est vraiment prometteur. Hier, on a entendu une annonce historique. » « Historique » ? Peut-être, mais certainement pas dans le sens où elle l’entendait, comme s’il pouvait être souhaitable que plus de femmes puissent tuer leur enfant à naître, et ceci, ce n’est pas une histoire que l’on devrait raconter avec fierté.
Analyse : ce qui a vraiment causé le balayage des conservateurs par les libéraux au Nouveau-Brunswick
Susan Holt, le soir de sa victoire.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada
Le 21 octobre, les libéraux de Susan Holt ont choqué les observateurs politiques en balayant facilement le gouvernement conservateur (PC) du premier ministre Blaine Higgs, dans ce que tout le monde croyait être une course coude à coude.
Non seulement le Parti libéral du Nouveau-Brunswick remporte une forte majorité, obtenant 31 sièges contre 16 pour le Parti progressiste-conservateur, mais, fait étonnant, le chef du Parti progressiste-conservateur, Blaine Higgs, qui était sans doute le premier ministre conservateur le plus admiré au Canada en raison de ses prouesses en matière d’équilibre budgétaire et de son gouvernement audacieux dans le domaine des droits parentaux, perd son siège. À la dissolution de la législature, les PC détenaient 25 sièges, les libéraux 16, les Verts 3 et un indépendant.
Depuis l’élection, un article du Toronto Star, journal d’extrême gauche, a insinué que la position de Higgs sur les droits parentaux aurait pu contribuer à la défaite dévastatrice du Parti progressiste-conservateur. Le soir de l’élection, un journaliste de CBC a suggéré la même chose. Cela serait-il vrai ?
Examinons les faits.
Le premier ministre Higgs a déclenché une révolution populaire en matière de droits parentaux
En 2023, le premier ministre Higgs a fait du Nouveau-Brunswick la première juridiction au Canada à mettre en œuvre une règle sur l’identité de genre (politique 713) exigeant que les écoles obtiennent le consentement des parents avant de procéder à la transition d’enfants mineurs par l’utilisation de noms et de pronoms du sexe opposé.
Après l’introduction de la politique de notification et de consentement parental de Higgs pour les enfants de moins de 16 ans, une législation similaire sur les droits parentaux a été annoncée en Saskatchewan, puis en Alberta.
Pour contrer les insinuations du Toronto Star et de CBC, il est prouvé que la politique de M. Higgs en matière d’identité sexuelle a été extrêmement populaire auprès d’une majorité de Canadiens.
Lire la suiteLe Nouveau-Brunswick élit un gouvernement libéral pro-LGBT
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
23 octobre 2024 (LifeSiteNews) — Au grand dam des citoyens pro-famille, le Nouveau-Brunswick a élu un gouvernement libéral résolument pro-LGBT pour diriger la province.
Après le dépouillement des résultats le jour de l’élection, samedi, il a été annoncé que le Parti libéral, sous la direction de son chef pro -LGBT Susan Holt, a remporté 31 sièges, dépassant ainsi les 25 sièges nécessaires pour former un gouvernement majoritaire. Les progressistes-conservateurs sortants, dirigés par l’ancien premier ministre Blaine Higgs, n’ont remporté que 16 sièges, M. Higgs lui-même perdant le sien. Le Parti vert a remporté deux sièges.
Mme Holt avait fait campagne contre M. Higgs et les directives pro-famille de son gouvernement, qui interdisaient notamment les présentations graphiques d’« éducation sexuelle » dans les écoles et exigeaient le consentement des parents pour que les enseignants utilisent des noms ou des pronoms différents pour les élèves de moins de 16 ans.
Avec la victoire de Holt, toutes les mesures pro-famille de Higgs sont susceptibles d’être supprimées ou abrogées.
Lire la suiteDes employés de Postes Canada suspendus pour avoir refusé de distribuer du courrier dénonçant les transitions de mineurs
Camion de Postes Canada à Victoria au Nouveau-Brunswick.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Guilhem Vellut/Flickr/Wikimedia Commons
24 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada est heureux que le service postal du pays ait finalement livré certaines de ses cartes postales à la suite de la récente suspension de deux employés de Postes Canada pour avoir refusé de livrer des documents qui dénonçaient les « changements de sexe » pour mineurs.
Les deux employés suspendus de Postes Canada venaient du Nouveau-Brunswick et avaient refusé de livrer les cartes postales pro-vie de la Coalition nationale pour la vie (CNV). L’une des cartes postales affirmait : « aucun enfant n’est né dans le mauvais corps » et une autre : « Dieu ne fait pas d’erreurs ».
Selon Shannon Aitchison — l’un des facteurs suspendus, mère d’un enfant transgenre —, elle a été mise en congé sans solde pendant cinq jours parce qu’elle ne voulait pas distribuer les cartes postales. Selon Mme Aitchison, cinq employés de la poste ont décidé de ne pas distribuer les cartes postales, et au moins un autre a été suspendu.
La Coalition nationale pour la vie a menacé le mois dernier d’intenter une action en justice contre Postes Canada parce que le syndicat des postiers avait affirmé que certains employés de la région du Nouveau-Brunswick avaient eu la « possibilité » de ne pas livrer leurs cartes postales.
Lire la suiteLes libéraux paniquent après la distribution au Nouveau-Brunswick de cartes postales exposant les dangers de l’agenda LGBT
Susan Holt.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Susan Holt/X
17 septembre 2024, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — À l’approche des élections, des cartes postales pro-famille distribuées au Nouveau-Brunswick semblent avoir semé la panique au sein du Parti libéral de la province.
Dans une vidéo du 14 septembre, le chef du Parti libéral du Nouveau-Brunswick, Susan Holt, a condamné les cartes postales, distribuées dans les boîtes aux lettres de la province, qui expliquaient les dangers de l’agenda LGBT. Holt a affirmé que le matériel contenait de la « désinformation », mais le groupe à l’origine des cartes, la Coalition nationale pour la vie (CNV), a produit ses références.
« J’appelle les dirigeants de tous les partis à dénoncer la désinformation qui se répand dans les boîtes aux lettres et les médias sociaux de notre province », a écrit Mme Holt.
« Les informations qu’ils diffusent ne sont pas vraies et sont extrêmement préoccupantes », a-t-elle affirmé.
En réponse, CNV a publié des photos de chaque carte postale ainsi que des liens vers les informations qu’elles contenaient.
Recto d'une des cartes envoyées par CNV.
Le premier ministre du Nouveau-Brunswick interdit à un groupe d’éducation sexuelle de venir dans les écoles
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
27 mai 2024 (LifeSiteNews) — Une fois de plus, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, montre aux politiciens canadiens comment défendre efficacement des politiques socialement conservatrices et sensées. Le 24 mai, il a publié sur X une photo d’une diapositive d’une présentation d’éducation sexuelle donnée dans une école du Nouveau-Brunswick. On y voit des lèvres rouges se refermant sur une sucette, le titre « Thirsty For The Talk » (Assoiffé de discussions) et les questions suivantes : « Est-ce normal de regarder de la porno comme on regarde des séries télévisées ? » « Les filles se masturbent-elles ? » et : « Est-ce que c’est bien ou mal de faire de l’anal ? »
Le premier ministre Higgs a publié sa réponse :
Lire la suiteUn certain nombre de parents inquiets m’ont fait part de photos et de captures d’écran de matériel clairement inapproprié qui a été présenté récemment dans au moins quatre écoles secondaires du Nouveau-Brunswick.
Dire que je suis furieux serait un euphémisme.
Cette présentation ne faisait pas partie du programme d’études du Nouveau-Brunswick et son contenu n’a pas été signalé aux parents à l’avance. Des fonctionnaires du ministère de l’Éducation ont dit à mon bureau que cela devait être une présentation sur le Virus du papillome humain (VPH).
Cependant, le groupe a partagé des documents qui dépassent largement le cadre d’une présentation sur le VPH. Le fait que ces documents aient été diffusés montre qu’un contrôle inadéquat a été effectué, que le groupe a présenté de manière erronée le contenu qu’il allait partager... ou les deux.
Ce groupe ne sera plus autorisé à faire des présentations dans les écoles du Nouveau-Brunswick, et ce dès maintenant.
Notre gouvernement poursuivra les discussions afin de déterminer si des règles supplémentaires concernant les présentations par des tiers doivent être mises à jour.
Les enfants doivent être protégés et les parents doivent être respectés.
Je veux que les parents sachent que nous sommes avec eux. Nous continuerons à prendre des décisions basées sur le principe que les parents doivent être informés de ce qui se passe dans les écoles, afin de pouvoir prendre des décisions parentales en connaissance de cause.
Pensez-vous que nous ayons besoin de règles plus strictes concernant les présentations par des tiers dans nos écoles ? Je souhaite vous entendre directement. Répondez à notre enquête en cliquant ici : https://newbrunswickpc.ca/school
Trudeau s’en prend à Blaine Higgs parce qu'il limite le financement de l’avortement au Nouveau-Brunswick
Justin Trudeau.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC/YouTube
22 mai 2024 (LifeSiteNews) — Après que le premier ministre libéral Justin Trudeau ait attaqué le premier ministre conservateur du Nouveau-Brunswick Blaine Higgs de bafouer les « droits des femmes » parce qu’il a réduit le financement de l’avortement, le principal groupe pro-vie du Canada a eu des mots durs pour le leader du Canada, disant que ses commentaires montrent qu’il soutient « le meurtre d’enfants in utero ».
« Trudeau a réussi à prouver qu’il est un dégénéré moral qui aspire au meurtre d’enfants à naître », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de la Coalition nationale pour la Vie (CNV), à LifeSiteNews.
« À chaque élection, Trudeau sort le même vieux truc : attaquer les conservateurs parce qu’ils ne soutiennent pas le meurtre d’enfants in utero. Il fait cela pour que les médias traditionnels aient une excuse pour éviter de parler de ses politiques horribles et du déclin du Canada qui s’ensuit, et à la place, écrivent des articles d’attaque contre les adversaires de Trudeau ».
Lire la suiteLes militants LGBT craignent que Blaine Higgs ne l’emporte grâce à son programme sur les droits parentaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
29 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Le jeudi 25 janvier, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, a prononcé un discours sur « l’état de la province » devant une foule à Fredericton, détaillant les réalisations de son gouvernement et exposant le plan de son administration. À plusieurs reprises, M. Higgs a mentionné le soutien indéfectible de son gouvernement aux droits parentaux, ce qui lui a valu d’être la cible des militants LGBT et des politiciens progressistes depuis qu’il a modifié la politique 713. En vertu de ces modifications, le personnel scolaire doit obtenir le consentement des parents avant de changer, à l’école, le nom ou les pronoms de leurs enfants pour le genre opposé, une pratique qui avait été introduite discrètement quelques années auparavant.
M. Higgs a indiqué qu’il était prêt à s’attaquer à des « questions difficiles » — en décembre, il a réaffirmé que les droits parentaux étaient « très importants » pour lui — et son bilan le prouve. Malgré une couverture médiatique presque universellement négative et la démission de deux de ses ministres, M. Higgs s’en est tenu à ses principes et a compté sur le soutien de l’opinion publique. En effet, les sondages ont indiqué qu’une super-majorité de Canadiens soutenait sa décision politique, et une série d’autres premiers ministres lui ont rapidement emboîté le pas en mettant en œuvre des politiques similaires. La décision de M. Higgs de prendre position a donné aux autres premiers ministres la colonne vertébrale qu’ils auraient dû avoir eux-mêmes. En effet, les conservateurs de son propre parti ont renoncé à contrecœur à tenter de l’évincer après de multiples tentatives risibles et infructueuses d’imposer un réexamen de la direction du parti.
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