Témoignage d’une femme qui décida de garder son bébé dans une situation difficile
Témoignage d’une lectrice de Campagne Québec-Vie
Voilà je suis issue d’une famille un peu dysfonctionnelle de 5 enfants. Mon père a laissé ma mère seule avec 5 enfants…
À 22 ans je suis tombée enceinte et mon copain m’a quittée… J’avoue que j’étais déboussolée car j’étais en pleine jeunesse, je vivais seule avec ma mère dans la pauvreté et je me disais, je vais faire comment sans père pour mon enfant ? Ma mère m’a mis la main sur l’épaule et m’a dit : Dieu va t’aider…
Beaucoup même dans ma famille sont venus me voir pour insister que je me fasse avorter en me disant plein de choses comme : j’allais rendre cet enfant malheureux et moi aussi ! Malgré tout dans le fond de mon cœur je savais que je voulais le garder… Et j’ai décidé de l’offrir à Dieu !
Voilà aujourd’hui j’ai un beau fils de 34 ans qui est éducateur spécialisé et policier et surtout un enfant de Dieu… Je prie beaucoup depuis longtemps contre l’avortement… Si jamais mon témoignage peut servir, j’en rends grâce…
Un avortement devant tuer un jumeau malade, tue le jumeau sain
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kmpzzz/AdobeStock
Le National Health Service du Royaume-Uni a révélé qu’un avortement destiné à tuer un jumeau malade a été bâclé et a tué accidentellement le jumeau sain que les parents avaient l’intention de garder.
L’avortement bâclé a été découvert dans le cadre d’une enquête menée au titre de la loi sur la liberté d’information, qui a mis en évidence 700 décès dus à des erreurs de base qui auraient pu être évitées. Selon The Sun, les bébés jumeaux avaient reçu un diagnostic de « croissance restrictive ». Il s’agit vraisemblablement d’un retard de croissance intra-utérin sélectif (RCIU), un problème qui survient dans environ 10 à 15 % des grossesses gémellaires. En cas de RCIU, le jumeau dont la croissance est limitée ne reçoit pas suffisamment de nourriture du placenta et la différence de poids entre les jumeaux est supérieure à 20 %.
Le Birmingham Women's and Children’s NHS Foundation Trust a pratiqué l’avortement dans le but d’aider le jumeau le plus sain à survivre à la grossesse. « La restriction sélective de la croissance du fœtus est une condition qui se produit dans environ 10 à 20 % des grossesses gémellaires, lorsque l’un des bébés ne reçoit pas assez de nourriture via le placenta pour se développer à un rythme normal », a déclaré un porte-parole du Royal College of Obstetricians and Gynaecologists dans un communiqué. « Dans les cas les plus graves, l’interruption sélective de grossesse peut améliorer les chances de survie du fœtus dont la croissance est normale, au détriment du co-jumeau dont la croissance est gravement limitée. »
Pourtant, selon des organisations de soins de santé respectées, comme Children’s Minnesota, Johns Hopkins et l’hôpital pour enfants de Philadelphie, il existe des options pour la gestion et le traitement du RCIU. Une étude a révélé un taux de survie allant jusqu’à 90 % chez les deux jumeaux.
La mère s’est-elle vu proposer des interventions ou des options de traitement qui auraient donné une chance de survie aux deux enfants ? Ce n’est pas clair, mais le Royaume-Uni est connu pour son attitude coercitive à l’égard de l’avortement, en particulier pour les enfants à naître atteints de handicaps. Dans ces circonstances, le programme « Antenatal Results and Choices » (ARC) ne fournit des ressources et un soutien aux parents que s’ils choisissent d’avorter après un diagnostic prénatal. Il n’est pas clair si cela a été le cas pour cette famille.
Dr Fiona Reynolds, médecin en chef du Birmingham Women's and Children’s NHS Trust, a qualifié d’« erreur fatale » la faute commise au cours d’une « procédure fœtale hautement spécialisée ».
Pourtant, il ne s’agissait pas d’une procédure de soins de santé hautement spécialisée ─ c’était un avortement, qui vise à tuer intentionnellement un être humain. Dans le cas présent, le problème est qu’un enfant a été délibérément tué en raison d’un état d’esprit eugéniste.
Les avorteurs profitent de l’irresponsabilité des hommes
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wayhomestudio/Freepik
25 août 2021 (LifeSiteNews) — La raison pour laquelle l’industrie de l’avortement utilise constamment des slogans tels que « pas d’utérus, pas d’opinion », c’est pour faire taire les hommes pro-vie. En effet, les avorteurs sont heureux de recevoir le soutien des hommes pro-choix et ne se privent pas de le demander quand ils le jugent opportun. Lorsqu’ils disent que les hommes doivent se taire sur cette question, ils parlent en réalité des hommes qui cherchent à défendre les enfants à naître. Ces hommes nuisent à leur chiffre d’affaires, et lorsque les femmes se font moins avorter, ils gagnent moins d’argent.
J’ai souvent affirmé que le débat sur l’avortement avait besoin de plus d’hommes, pas de moins. Si chaque homme qui rend une femme enceinte jurait de la défendre, elle et son enfant, et de les soutenir contre vents et marées, je pense que le taux d’avortement chuterait du jour au lendemain. De nombreuses femmes avortent sous la pression d’hommes mauvais — le genre d’hommes qui ont besoin de l’avortement pour échapper aux conséquences de leur style de vie. L’avortement n’a rien à voir avec le droit des femmes de choisir pour elles — il s’agit de leur droit de choisir, celui des hommes. Ils veulent que les femmes soient sexuellement disponibles pour eux sans avoir d’enfant.
Pour citer un exemple, l’attaquant de la Ligue nationale de hockey, Evander Kane, qui joue pour les Sharks de San Jose, est en procès après avoir été poursuivi par son ancienne partenaire Hope Parker. Kane aurait accepté de lui verser 2 millions de dollars pour qu’elle avorte un bébé qu’ils ont conçu ensemble, mais il a changé d’avis sur le montant juste avant qu’elle ne lui donne la preuve qu’elle l’avait fait. Les deux autres enfants de Kane avec Parker auraient également été avortés, le joueur de hockey lui ayant versé 125 000 dollars pour le deuxième avortement. Pour le troisième, Parker a exigé des millions. Ce serait très coûteux, mais le père de l’enfant avait promis de payer la mère pour faire tuer l’enfant.
Quel monde affreux pour les enfants dans l’utérus.
Ce ne sont pas les seules accusations d’avortement qui ont fait l’actualité cette semaine. Lors du procès pour trafic sexuel du chanteur R. Kelly, l’accusatrice Jane Doe N° 5 a déclaré que le chanteur a tenté de contrôler tous les aspects de sa vie à partir de l’âge de 17 ans et qu’il la punissait si elle ne lui obéissait pas. Cela consistait en violences physiques tous les deux ou trois jours ; le chanteur l’a infectée avec l’herpès ; et lorsqu’elle est devenue enceinte de leur enfant en 2017, Kelly l’a poussée à se faire avorter. « Il a dit : “Tu dois te pencher sur cette histoire d’avortement parce que tu dois garder ce corps” », a-t-elle déclaré au tribunal.
Les avortements dans le monde des célébrités ne sont pas rares ; certains hommes exigent même que les femmes signent des « contrats d’avortement » afin que tout enfant qui vient au monde en sorte rapidement par l’aspirateur d’un avorteur. Les hommes utilisent les femmes ; les femmes utilisent les hommes ; les enfants meurent, victimes des cruels jeux de guerre sexuelle auxquels se livrent leurs parents.
Au milieu de tout cela, l’industrie de l’avortement informe tout homme qui souhaite protéger son enfant à naître de fermer sa gueule et de soutenir l’avortement. Tant de femmes attendent désespérément que les hommes se lèvent et soient des hommes ; tant de femmes choisiraient la vie si elles avaient le soutien nécessaire pour le faire. Dans une culture où l’avortement est normal et le sexe occasionnel attendu, une génération d’hommes défendant leur propre progéniture constituerait un changement culturel énorme et bienvenu. L’industrie de l’avortement, bien sûr, ne veut pas de cela. Les avorteurs préfèrent un monde rempli d’Evander Kane et de R. Kellys.
Des hommes comme ceux-là leur rapportent de l’argent. De l’argent sanglant, oui. Mais de l’argent.
Idéologie LGBT : Bruxelles supprime les subventions à une région polonaise
Cracovie, capitale régionale de la voïvodie de la Petite-Pologne.
Par le Visegrád Post — Photo : DzidekLasek/Pixabay
Pologne — La Petite-Pologne (Małopolska) est une voïvodie du sud de la Pologne, dont la capitale régionale est Cracovie. C’est aussi l’une des régions polonaises dont les représentants — majoritairement membre du PiS — ont adopté en 2019 une résolution déclarant la région « libre d’idéologie LGBT ». En conséquence, la Commission européenne refuse désormais de discuter de l’attribution de subventions européennes avec cette collectivité.
Résolution « anti-LGBT » ou subventions européennes, il faut choisir…
Le message de Bruxelles est on ne peut plus clair : ou bien le sejmik (conseil régional) abroge sa résolution — que les instances européennes considèrent, à tort, comme discriminatoire vis-à-vis des homosexuels et autres individus LGBT — ou bien il fait une croix sur 2,5 milliards d’euros de subventions annuelles.
« L’Union européenne ne voit aucune justification pour de nouveaux investissements dans la promotion du patrimoine culturel et du tourisme… puisque les autorités locales contribuent elles-mêmes à créer une image négative de la Petite-Pologne », explique la Commission dans un courrier adressé aux autorités de cette région polonaise.
« La Commission européenne vient d’informer le Conseil de la Voïvodie de Petite-Pologne que les discussions sur REACT-UE (fonds pour les soins de santé et l’économie) sont suspendues », explique le vice-président de la région, Tomasz Urynowicz (Porozumienie), dans un tweet publié ce vendredi 13 août, dans lequel il exhorte ses collègues de la majorité régionale de se plier à l’oukase bruxellois, une démarche soutenue par les maires de trois grandes villes de la région — Cracovie, Tarnów et Oświęcim (Auschwitz).
Un chantage identique pour lesdites subventions norvégiennes
L’an passé, d’autres collectivités locales polonaises s’étaient vu supprimer les subventions de l’Espace économique européen (EEE), appelées aussi couramment subventions norvégiennes, pour des raisons similaires. Ce fut notamment le cas pour la ville de Tuchów, une petite ville de Petite-Pologne, à laquelle le ministère polonais de la Justice, dirigé par Zbigniew Ziobro (Solidarna Polska), avait alors accordé une subvention compensatoire trois fois plus élevée. D’autres villes, telles Kraśnik (voïvodie de Lublin) ou (Basses-Carpates), avaient cependant renoncé à leur résolution litigieuse.
Quatre autres voïvodies dans le collimateur bruxellois
Selon les dires du député Iza Leszczyna (PO), quatre autres voïvodies (Łódź, Sainte-Croix, Lublin et Basses-Carpates) pourraient également faire l’objet du même chantage aux subventions de la part de Bruxelles.
Un musicien de Mumford & Sons quitte le groupe pour parler librement et « ne pas vivre dans le mensonge »
Winston Marshall.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée avec IMGonline.com.ua) : Amy Nelson/Flickr
Londres, 25 juin 2021 (LifeSiteNews) — Winston Marshall, membre fondateur du groupe de folk rock Mumford & Sons, a annoncé jeudi qu’il quittait le groupe parce qu’il refuse de « s’autocensurer » face aux mensonges.
Après avoir raconté les souvenirs extraordinaires qu’il a partagés avec ses chers compagnons, le joueur de banjo et guitariste britannique a évoqué « le nid de frelons » qui s’est déchaîné en mars lorsqu’il a envoyé ce qu’il croyait être un message « anodin » au journaliste Andy Ngo.
Andy Ngo est l’auteur du livre à succès du New York Times Unmasked : Inside Antifa's Radical Plan to Destroy Democracy [Démasqué : le plan radical d’Antifa pour détruire la démocratie]. Selon une critique, le livre est un « exposé fascinant du contexte, de la structure et du fonctionnement de ce groupe militant collectiviste, déterminé à détruire le capitalisme et l’histoire, la culture et les institutions de l’Amérique. »
« Félicitations @MrAndyNgo », a écrit Marshall dans un message maintenant supprimé. « J’ai enfin eu le temps de lire votre important livre. Vous êtes un homme courageux. »
La foule Twitter de la « culture de l’annulation » s’est activée et, en une journée, le geste a suscité « des dizaines de milliers de commentaires furieux. »
« Je n’ai pas prévu que mon commentaire sur un livre critiquant l’extrême-gauche pourrait être interprété comme une approbation de l’extrême-droite, tout aussi odieuse », a-t-il écrit.
« J’ai subi de nombreux propos injurieux au fil des ans. Je suis un joueur de banjo après tout », a-t-il plaisanté. « Mais là, c’était d’un autre niveau. Et, en raison de notre association, mes amis, mes camarades de groupe, en recevaient aussi. Il m’a fallu un certain pour comprendre à quel point c’était pénible pour eux. »
Lire la suiteLe premier ministre canadien Justin Trudeau va dépenser 366 000 $ pour la propagande pro-avortement au Nouveau-Brunswick
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les responsables de la santé du Nouveau-Brunswick affirment que le nombre d’avortements a diminué de 20 % au cours des cinq dernières années. La « demande » pour l’avortement est inexistante, a déclaré un responsable de la santé de la province à CBC News.
Cela devrait être une raison de se réjouir. Mais le premier ministre canadien Justin Trudeau, un politicien radicalement pro-avortement, tente de contraindre la province à augmenter le nombre d’avortements.
Mardi, son administration a annoncé un nouveau projet à l’Université du Nouveau-Brunswick pour étudier l’accès à l’avortement dans la province, selon l’article. Le ministre de la Santé, Patty Hajdu, a déclaré qu’elle avait alloué 366 000 $ à cette recherche.
Il semble que l’objectif de l’étude sera de soutenir l’industrie privée de l’avortement au Nouveau-Brunswick ─ qui consiste actuellement en un seul établissement d’avortement, la Clinique 554 à Fredericton.
Hajdu a fait cette annonce devant la Clinic 554 mardi, selon CBC News.
Voici un extrait de l’article :
Lire la suiteLa recherche portera principalement sur le travail effectué à la Clinique 554 entre 2015 et 2020 et identifiera les lacunes et les obstacles, comme les coûts, le transport, la stigmatisation et la discrimination.
Le gouvernement fédéral sortirait de ses compétences s’il finançait directement le service de santé, a déclaré Mme Hajdu.
Mais Ottawa peut aider à fournir aux défenseurs [de l’avortement] des données pour démontrer le besoin de cliniques et « faire en sorte qu’il soit impossible pour les électeurs néo-brunswickois d’ignorer ces histoires », a-t-elle dit.
Justin Trudeau fait pression sur le Nouveau-Brunswick afin qu’il finance l’avortement en clinique privée
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau punit la province du Nouveau-Brunswick pour avoir limité le financement des avortements sur les deniers publics.
Mardi, le premier ministre pro-avortement a déclaré que son administration cesserait d’accorder des fonds fédéraux pour les soins de santé à la province parce qu’elle limite l’accès aux avortements, rapporte la presse canadienne. M. Trudeau a également affirmé que la province enfreignait la Loi canadienne sur la santé.
La loi du Nouveau-Brunswick est loin d’être extrême. La province couvre les avortements électifs avec l’argent des contribuables dans trois hôpitaux publics. Sa loi n’interdit que le financement provincial des avortements électifs dans les centres d’avortement privés.
Selon la presse canadienne, un porte-parole de l’administration Trudeau a déclaré que le Nouveau-Brunswick sera privé d’un financement d’environ 140 216 $. [Un geste symbolique, un grain d’encens lancé à son électorat pro-avortement !]¹
Cependant, Tabitha Ewert, conseillère juridique de We Need a Law, une organisation nationale qui milite en faveur de restrictions légales² sur l’avortement au Canada, a déclaré que l’administration Trudeau avait mal interprété la Loi canadienne sur la santé.
« La Loi canadienne sur la santé a été adoptée dans les années 1980 pour permettre au gouvernement fédéral d’aider les provinces à assumer les coûts des soins de santé », a déclaré Ewert. « Elle n’a jamais été conçue pour usurper la capacité des gouvernements provinciaux à administrer les soins de santé, car cela serait inconstitutionnel. Elle énonce plutôt les principes de base qui guident le financement tout en respectant le fait que les gouvernements provinciaux sont les mieux placés pour répondre aux besoins de leurs administrés en matière de soins de santé et qu’ils ont la capacité de personnaliser leurs plans de soins de santé en conséquence. »
Elle souligne que de nombreux services médicalement nécessaires ne sont pas couverts par le financement public, notamment les soins dentaires, la psychiatrie et l’optométrie.
« Il n’y a aucune raison pour que les avortements pratiqués dans une clinique privée bénéficient d’une considération particulière »³, a déclaré Ewert.
Au Nouveau-Brunswick, le seul centre d’avortement indépendant est la Clinique 554 [constamment sur le point de fermer, si l’on en croit les pro-avortement, mais qui s'arrange pour fonctionner]¹ à Fredericton, qui propose des avortements jusqu’à 16 semaines de grossesse. Elle facture 700 à 850 dollars par avortement, selon son site Internet.
Selon le rapport, l’Union canadienne des libertés civiles conteste également la loi du Nouveau-Brunswick devant les tribunaux.
¹Commentaire d’A. H.
²Le problème est que les restrictions à l’avortement proposées par ce groupe sont gestationnelles, c’est-à-dire portant sur l’âge de l’enfant à naître, ce qui n’a jamais été la bonne voie à suivre. — A. H.
³De plus, l’avortement, étant le meurtre d’un enfant à naître, ne saurait bénéficier d’aucune reconnaissance légale ou publique. — A. H.
Comme beaucoup d’autres artistes, Sinead O’Connor a subi des pressions pour avorter mais elle a mis au monde son enfant
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/AdobeStock
Dans ses nouveaux mémoires, « Rememberings », publiées le 1er juin 2021, l’auteur-compositeur-interprète irlandaise Sinead O’Connor raconte que lors de sa première grossesse, elle avait été incitée par un producteur de disques — et un médecin influencé par ce producteur — à avorter.
À l’époque, Sinead O’Connor avait signé avec la compagnie de disques Ensign Records, aujourd’hui disparue, et lorsqu’elle est devenue enceinte, Nigel Grainge, le directeur du studio lui a conseillé d’avorter. Selon The Independent, O’Connor s’était rendue chez un médecin qui lui aurait dit que Grainge l’avait contacté et lui avait demandé de « lui faire comprendre » qu’elle ne devait pas poursuivre sa grossesse.
« Votre maison de disques a dépensé 100 000 £ pour enregistrer votre album », lui a dit le médecin, se souvient-elle. « Vous leur devez de ne pas avoir ce bébé. »
« De plus », dit-elle, « il m’a informée que si je prenais l’avion pendant ma grossesse, mon bébé serait endommagé. Et de toute façon, si je comptais être musicienne, je ne devais pas avoir de bébé, car une femme ne devrait pas laisser son bébé pour partir en tournée et, en même temps, on ne peut pas emmener un enfant en tournée. »
Malgré la pression intense exercée sur elle pour qu’elle avorte, O’Connor a refusé et a donné naissance à son premier enfant, Jake. Malheureusement, la forte incitation à avorter qu’a vécue O’Connor n’est pas rare.
Lors d’une enquête menée auprès de femmes ayant consulté après un avortement, 73 % ont déclaré avoir subi des pressions pour avorter. Une autre étude a révélé que jusqu’à 64 % des avortements sont commis sous la contrainte. Le documentaire « La vie après l’avortement » présente les témoignages de femmes souffrant du regret de l’avortement. Comme l’a précédemment rapporté Live Action News, nombre de ces femmes ont déclaré avoir été poussées à avorter.
Lire la suiteL’UE s’enflamme contre Orbán et la loi hongroise protégeant les mineurs de la propagande LGBT
Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
« Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu hais. » Les paroles de Victor Hugo s’appliquent à merveille à l’Union européenne, à ses amours et à ses haines.
L’Union européenne aime le monde Lgbtqi+ et hait tout ce qui s’y oppose. Elle hait cette Hongrie attachée aux valeurs familiales traditionnelles et à l’innocence de l’enfance.
L’aversion des stipendiés bruxellois pour la Hongrie est patente ces derniers jours : Viktor Orbán et sa récente loi protégeant les enfants de la propagande homosexuelle et réprimant la pédophilie lui reste en travers de la gorge et l’a fait s’enflammer de rage. L’Union européenne veut faire plier la Hongrie afin qu’elle renonce à sa loi. De tout son poids technocratique le mastodonte européen, qui est incapable par ailleurs de mettre un terme à l’invasion clandestine, pèse sur le petit pays des Magyars.
La Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen menace Viktor Orbán de lancer une procédure d’infraction, par l’envoi d’une première lettre de mise en demeure, contre la Hongrie si la loi est maintenue. Pourtant le premier ministre Orbán avait souligné que les préceptes de la loi « ne concernent pas l’homosexualité », mais « la défense des droits des enfants et des parents. Les lois concernent la manière dont les parents veulent éduquer leurs enfants ». Explications jugées insatisfaisantes par ce bras armé des lobbies lgbt et de la révolution arc-en-ciel qu’est l’UE.
La procédure d’infraction peut conduire à divers types de sanctions ou à la demande explicite de retrait d’une règle, d’une disposition, d’un règlement édicté par l’État auquel la violation est imputée ou par des entités qui lui sont liées. Une fois la lettre envoyée, le pays visé par l’enquête dispose d’un délai de deux mois pour présenter ses observations mais, s’il ne répond pas à la lettre de mise en demeure dans le délai imparti ou fournit à la Commission des réponses jugées insatisfaisantes, ce dernier peut se réserver le droit d’autres actions. La Commission a la possibilité d’émettre l’avis motivé avec lequel il constate comme un fait et avec l’aval de la loi le manquement contesté de l’Etat mis en examen, appelé à remédier au problème.
Lire la suiteViolée à 14 ans, elle choisit de donner le jour à son bébé malgré les pressions dont elle était l’objet
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
La Canadienne Patti Harrison n’avait que 14 ans lorsqu’elle fut brutalement violée par plusieurs hommes, elle fut aussi sauvagement battue et gardée captive dans un sous-sol pour plusieurs jours. Harrison a récemment raconté son histoire lors d’un événement parrainé par les clubs Mac Lifeline et Queen’s Alive.
Harrison fut dépressive après son viol et tenta de mettre fin à sa vie, se retrouvant à l’urgence où elle découvrit qu’elle était enceinte de l’un de ces violeurs ; elle venait d’avoir 15 ans.
Du côté de son père, plusieurs membres de sa famille voulaient vraiment qu’elle mette fin à sa grossesse, parce que ses violeurs étaient noirs et que donc le bébé était métis ; Harrison raconte : « Mon grand-père paternel m’avertit qu’il me déshériterait si je gardais le bébé ». En fait, la chose qu’elle dit avoir été le plus difficile en choisissant la vie était que cela mettrait fin à sa relation avec son grand-père, de qui elle a été très proche depuis l’enfance. Son grand-père tint promesse et la déshérita. Maintenant, 25 ans plus tard, Harrison ne parle presque plus à sa famille du côté de son père, car la plupart d’entre eux l’ont jugé comme étant une très mauvaise influence pour avoir donné naissance à son enfant. Par contre ses parents eux l’ont encouragée et supportée après le choc initial et l’aidèrent du mieux qu’ils le purent.
Sa mère l’amena à Rose of Durham, une maison pour des adolescentes enceintes, ainsi elle pouvait vivre sa grossesse entourée de personnes qui voulaient son bien et celui de son bébé. Harrison raconte :
Lire la suiteIls m’ont donné le courage de vivre ma grossesse, c’était tellement différent de tous ces médecins lors de mes échographies qui eux m’encourageaient et cherchaient à me convaincre d’avorter. Ils me dirent toutes sortes d’horreur comme : mon fils serait difforme, il ne serait pas en bonne santé et ne se rendrait même pas à la naissance, j’étais si jeune après tout et j’avais toute ma vie devant moi. Ils m’ont donné toutes les raisons du monde pour que je ne le garde, mais aucune pour que je le garde.