Trudeau promet 200 millions de dollars pour promouvoir l’avortement et l’éducation sexuelle en Afrique
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau dépense 200 millions de dollars pour promouvoir l’« éducation » sexuelle et le meurtre d’enfants à naître en Afrique.
Selon un communiqué de presse du 24 septembre, le gouvernement Trudeau dépense 200 millions de dollars de fonds publics pour promouvoir la « santé sexuelle et reproductive globale » en Afrique, dont 48 millions de dollars iront directement au pro-avortement International Planned Parenthood Federation (IPPF).
« Le premier ministre Trudeau a annoncé l’octroi de plus de 200 millions de dollars à des projets qui feront progresser la santé et les droits sexuels et génésiques des femmes et des jeunes filles, renforceront l’action en faveur de l’égalité des sexes et de l’équité salariale, lutteront contre le changement climatique, soutiendront les efforts d’intervention humanitaire et rétabliront la sécurité et la stabilité en Haïti, apporteront un soutien institutionnel aux Nations unies et favoriseront la paix, la sécurité et les droits de l’homme à l’échelle mondiale », indique le communiqué de presse.
L’IPPF a promis d’utiliser les fonds pour fournir « une éducation sexuelle complète aux jeunes, [et] donner accès à des soins d’avortement sûrs et légaux centrés sur la personne, y compris des soins post-avortement » au cours des prochaines années.
Lire la suiteMelinda Gates dote les militants de l’avortement et les féministes d’un milliard de dollars
Melinda Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Medill DC/Wikimedia Commons
3 juin 2024 (LifeSiteNews) — Bill et Melinda Gates sont depuis longtemps des défenseurs passionnés de l’industrie de l’avortement, versant des dizaines de millions dans des initiatives conçues pour s’assurer que moins d’enfants viennent au monde. Bill a fait des dons considérables à l’International Planned Parenthood, a financé des journalistes pour qu’ils écrivent des articles en faveur de l’avortement, a condamné les politiques en faveur de la vie et a célébré une fois, lors d’une entrevue avec Bill Moyers, la façon dont les initiatives de « santé mondiale » amènent les gens à décider qu’ils « n’ont pas besoin d’avoir autant d’enfants ».
Pour Bill, le problème est intergénérationnel ; lorsque Moyers lui a demandé d’où venait sa passion, Gates a répondu : « Mon père était à la tête de Planned Parenthood ».
La Fondation Bill et Melinda Gates subit actuellement une série de secousses sismiques après que le célèbre couple s’est séparé en raison des adultères en série de Bill ; Melinda démissionne à présent de son poste de coprésidente de l’organisation, qui changera de nom pour devenir la Fondation Gates. Melinda, qui est une catholique nominale, va se lancer seule dans la vie active et investir son argent dans des causes qui lui tiennent à cœur.
Le 13 mai, elle a annoncé sur X que sa priorité serait de se concentrer sur « les femmes et les filles aux États-Unis et dans le monde » — Hillary Clinton a réagi : « Melinda, c’est très excitant ».
Quand Hillary Clinton trouve quelque chose d’excitant, on peut être sûr que c’est une mauvaise nouvelle pour les personnes vulnérables. Le PDG Mark Suzman a écrit une lettre aux employés de la Fondation Gates pour leur signaler que Melinda voulait se concentrer sur les questions relatives aux femmes : « Après avoir passé quelques années difficiles à voir les droits des femmes [à l’avortement] reculer aux États-Unis et dans le monde entier, elle souhaite mettre à profit ce nouveau chapitre pour s’efforcer de modifier cette trajectoire. » En bref, une fortune considérable est sur le point d’être jetée dans les guerres de l’avortement — la dotation de la Fondation Gates s’élevait à plus de 75 milliards de dollars l’année dernière.
Lire la suiteLe gouvernement du Québec dilapide 1,4 M$ pour financer 4 organismes pro-avortement
Billets de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : wirestock/Freepik
Le gouvernement du Québec a annoncé par le truchement de Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie, et responsable de la Condition féminine, le financement de 1,4 million de dollars accordé à quatre organismes pro-avortement.
Les organismes en question sont SOS Grossesse, le mal nommé, SOS Grossesse Estrie, Grossesse-Secours inc. et l’immanquable Fédération du Québec pour le planning des naissances — branche québécoise de l’International Planned Parenthood Federation.
Mais à quoi va servir argent ?
Selon Radio-Canada, qui rapporte les propos de Mme Biron :
L’aide financière doit permettre, entre autres, « de renforcer la sensibilisation et d’offrir de l’information neutre et véridique, fondée sur des données probantes, en matière de grossesse non planifiée ou de prévention des grossesses non désirées, ainsi que de soutenir les personnes faisant face à une grossesse non planifiée ».
Car, explique Mme Biron, soucieuse que l’infirmation du jugement Roe c. Wade survenu aux États-Unis ne se reproduise au Canada, et donc au Québec :
Lire la suite« Avec l’invalidation de l’arrêt Roe c. Wade aux États-Unis, je suis préoccupée par la protection du droit des femmes de choisir l’avortement. Au Québec, c’est un droit fondamental que notre gouvernement s’engage à préserver. C’est notre devoir de le garantir ».
Les législateurs brésiliens votent le retrait du financement de l’avortement — veto du président ?
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christin Noelle/Unsplash
Les législateurs brésiliens ont adopté un amendement à leur budget visant à interdire le financement de l’avortement avec l’impôt des contribuables, mais l’on s’attend à ce que le président oppose son veto à la législation.
ACI Digital a rapporté que le Congrès national du Brésil a ajouté un amendement à la loi sur les orientations budgétaires (LDO) pour 2024, stipulant que le gouvernement ne peut pas promouvoir, encourager ou financer les avortements avec l’argent des contribuables, sauf dans les cas déjà autorisés par la loi brésilienne. Actuellement, l’avortement n’est autorisé que pour sauver la vie de la mère ou en cas de viol ou d’inceste.
L’amendement a été présenté par le député fédéral Eduardo Bolsonaro, qui a déclaré vouloir empêcher les « attaques contre la famille ». Il a été facilement adopté par les deux chambres du Congrès, avec un vote de 305-141 à la Chambre et de 43-26 au Sénat. Eduardo Bolsonaro est le fils de l’ancien président pro-vie Jair Bolsonaro.
Lire la suiteLes libéraux de Trudeau annoncent une campagne de 4,3 millions de dollars pour l’avortement chez les autochtones
Par Maria Black (Coalition nationale pour la Vie)
Les libéraux de Trudeau ont annoncé qu’ils allaient dépenser 4,3 millions de dollars pour financer l’accès à la contraception et à l’avortement pour les peuples autochtones sous le prétexte de « soins de santé » et de « droits sexuels et reproductifs ».
Le 9 août, le ministre canadien de la Santé, Mark Holland, a annoncé que le projet de financement « contribuera à éliminer les obstacles et à améliorer l’accès à des services de santé culturellement sûrs, équitables et exempts de stigmatisation ». Dans son communiqué de presse, M. Holland affirme dogmatiquement que « les services de santé sexuelle et reproductive sont des soins de santé », mais ces expressions sont désormais universellement connues comme des euphémismes pour désigner l’avortement et la contraception. Le Canada est le seul pays démocratique à ne pas avoir de limites à l’avortement ni de lois protégeant la vie des enfants à naître. Une femme peut faire avorter son enfant pour n’importe quelle raison ou sans aucune raison, à n’importe quel moment de sa grossesse et jusqu’à la naissance.
« Qu’est-ce que les libéraux de Trudeau ont contre les peuples indigènes pour financer agressivement le meurtre de leur progéniture chérie en faisant la promotion de l’avortement dans leurs communautés ? », a déclaré Pete Baklinski, directeur de la communication de Campaign Life Coalition. « Je pensais que “chaque enfant compte” lorsqu’il s’agit de respecter la vie des peuples indigènes, en particulier celle de leurs enfants ? Je suppose que ce n’est pas le cas pour les libéraux de Trudeau ».
Lire la suiteLe budget libéral de 2023 attribue 36 millions de dollars à l’avortement des enfants à naître au Canada
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 6 avril 2023 (Coalition nationale pour la vie) — Les libéraux de Trudeau ont déposé leur budget le 28 mars, réservant 36 millions de dollars pour accroître le massacre des enfants dans le ventre de leur mère. Cette somme s’ajoute aux centaines de millions de dollars que ce gouvernement, le plus pro-avortement que notre pays ait jamais connu, a consacrés à l’avortement au cours des années précédentes, tant au Canada qu’à l’étranger.
Le budget de 388 pages, présenté par la ministre libérale des Finances, Chrystia Freeland, indique que « le renversement de l’arrêt Roe v. Wade aux États-Unis nous a rappelé que nous devons continuer à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger l’accès des Canadiens à l’ensemble des services de santé sexuelle et génésique, y compris les soins liés à l’avortement ».
« Alors que le droit des femmes à choisir est menacé dans le monde entier, le gouvernement fédéral veille à ce que les services d’avortement soient accessibles partout au Canada. »
D’emblée, il convient de souligner qu’il ne s’agit pas d’un langage budgétaire, mais d’une rhétorique politique dans un document budgétaire. Comme l’a souligné Paul Tuns, rédacteur en chef de The Interim : « Les budgets doivent présenter le plan fiscal d’un gouvernement et éviter la rhétorique politique ».
« Selon ce critère, le budget 2023 de Trudeau-Freeland échoue à plusieurs reprises, notamment dans la courte section sur l’avortement. Les commentaires sur l’annulation de Roe v. Wade et les affirmations selon lesquelles “le droit d’une femme à choisir est menacé” dans le monde entier ne sont pas des éléments du budget. Il en va de même de l’insistance sur le fait que “l’avortement est un soin de santé”. Il n’est pas fait mention de la manière dont le gouvernement dépensera 36 millions de dollars pour promouvoir l’avortement, mais seulement de la rhétorique qui “justifie” sa décision. Il n’y a pas de plan, de schéma ou d’indicateurs sur la façon dont cet argent sera utilisé », a-t-il déclaré.
Lire la suiteLe Pentagone va financer l’avortement pour les membres des forces armées américaines hors de l’État de leur affectation
Par Mary Margaret Olohan — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
21 octobre 2022 (The Daily Signal) — Le ministère de la Défense a annoncé jeudi que le Pentagone paiera pour que les membres des forces armées et les personnes à leur charge puissent se déplacer pour avorter leurs bébés à naître.
Un mémo du Pentagone obtenu par The Daily Signal indique qu’il établira « des indemnités de voyage et de transport pour les membres des forces armées et les personnes à leur charge, comme il convient et conformément à la loi fédérale applicable et aux exigences opérationnelles, et comme il convient de modifier toute réglementation applicable en matière de voyage, afin de faciliter les voyages officiels pour accéder à des soins de santé reproductive non couverts qui ne sont pas disponibles dans la zone locale du lieu d’affectation permanente d’un membre des forces armées ».
Le mémo du Pentagone, qui présente cette mesure comme une réponse à l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade, indique également qu’un programme sera mis en place pour rembourser les frais des prestataires de soins de santé du ministère de la Défense qui « souhaitent obtenir une autorisation dans un État différent de celui dans lequel ils sont actuellement autorisés » — ce qui laisse entendre que ceux qui souhaitent pratiquer des avortements dans des États autres que celui dans lequel ils sont actuellement autorisés peuvent le faire aux frais du Pentagone.
Le secrétaire à la défense Lloyd Austin a ordonné que les actions décrites dans son mémo soient exécutées « dès que possible », notant que toutes les actions doivent être achevées au plus tard à la fin de l’année civile.
Lire la suiteLe budget 2022 de Trudeau favorise des maux qui minent la famille
Justin Trudeau.
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lovers Lounge/Flickr
Le budget 2022 de Justin Trudeau consacre des millions de dollars à la promotion de nombreux maux qui sont anti-vie et anti-famille.
Voici quelques éléments que Campaign Life Coalition a trouvés particulièrement inquiétants.
« Aide pour les Canadiens qui veulent devenir parents »
Un élément troublant du budget est le projet des libéraux d’offrir un crédit d’impôt pour la maternité de substitution et la fécondation in vitro afin que les homosexuels et d’autres personnes puissent « bâtir la famille dont ils rêvent ».
« Partout au Canada, il y a ceux qui font face à des défis dans leur parcours pour devenir parents. Qu’ils soient confrontés à des problèmes de fertilité, qu’ils fassent partie d’un couple de même sexe ou qu’ils veuillent simplement pouvoir être une mère ou un père à leurs propres conditions, certains Canadiens ont recours à la maternité de substitution et à des procédures coûteuses afin de construire la famille dont ils rêvent. Mais actuellement, le crédit d’impôt pour frais médicaux n’est pas disponible pour ceux qui doivent payer les frais médicaux d’autres personnes afin de devenir un parent », indique le budget.
« Le budget 2022 propose de permettre de réclamer les frais médicaux liés à une mère porteuse ou à un donneur de sperme, d’ovules ou d’embryons qui sont engagés au Canada pour les années d’imposition 2022 et les suivantes. Cela comprendrait les coûts qui ont été remboursés à une mère porteuse pour les frais de fécondation in vitro. »
« Le budget 2022 propose également de permettre que les frais payés aux cliniques de fertilité et aux banques de donneurs au Canada afin d’obtenir du sperme et des ovules de donneurs soient admissibles au crédit d’impôt pour frais médicaux pour 2022 et les années d’imposition suivantes », ajoute le document.
Les traitements de fertilité qui impliquent de séparer l’étreinte conjugale de la procréation sont gravement immoraux. Les enfants ont le droit d’être conçus par l’union amoureuse d’un homme et d’une femme engagés l’un envers l’autre dans un mariage stable. Le bon sens, appuyé par les sciences sociales, montre clairement que les enfants s’épanouissent mieux dans le contexte d’une relation stable et aimante entre une mère et un père. Un tel traitement de la fertilité transforme la vie humaine en marchandise, la dégradant en un « objet » qui peut être acheté et vendu. Il s’agit d’une attaque contre la vie humaine, et en particulier contre les enfants qui sont mis au monde de cette manière.
Lire la suiteL’accès à l’avortement payé par les grandes entreprises
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
Saviez-vous que « de grandes entreprises telles que Citigroup, Apple, Bumble et Hewlett Packard proposent à leurs employées de couvrir leurs frais de déplacement si elles souhaitent se rendre dans un autre État pour avorter (Généthique) » ?
En réaction aux nouvelles lois pro-vie aux États-Unis, certains « géants » américains ont lancé des programmes pour financer leurs employés qui veulent avorter. La cofondatrice de la start-up new-yorkaise Alloy, Laura Spiekerman « s’est déclarée “surprise” que davantage d’entreprises ne fassent pas de même. »
Los Angeles Times détaille que, « L’entreprise — qui compte une poignée d’employés dans des États dotés de lois restrictives sur l’avortement comme la Floride, l’Arizona et le Mississippi — a déclaré en janvier qu’elle paierait jusqu’à 1 500 $ pour les frais de déplacement des employés ou de leurs partenaires devant voyager hors de l’État pour des avortements. »
Non seulement de telles puissantes compagnies supportent l’avortement, mais elles le financent et encouragent leurs employés à y accéder. Alloy l’affirme ouvertement : « Alors que les droits reproductifs sont critiqués par notre gouvernement, l’équipe de direction d’Alloy estime qu’il est essentiel que nous adoptions une position plus explicite en faveur des droits reproductifs et que nous offrions à nos employés des directives plus complètes pour soutenir leur santé reproductive à l’avenir. »
Pendant que le droit des enfants à naître aux États-Unis avance lentement au plan légal, les entreprises influentes redoublent leurs efforts pour garantir l’avenir pro-mort de la société : raison de plus pour continuer à lutter pour la vie !
Nombre de grandes entreprises soutiennent depuis longtemps l’avortement et le contrôle de la population
Par Sam Dorman — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 mars 2022 (LifeSiteNews) — Les récents projets de loi pro-vie se sont tacitement appuyés sur les tracas que rencontrent les femmes lorsqu’elles traversent les frontières d’un État pour obtenir un avortement. Les délais, les coûts et d’autres facteurs peuvent les empêcher d’obtenir la procédure, car elles ne peuvent plus avoir recours à l’avortement dans leur propre État.
C’est ce qui s’est produit au Texas, où la loi controversée sur le battement de cœur a apparemment provoqué un exode de femmes cherchant à se faire avorter dans l’Oklahoma, le Colorado et la Louisiane. Bien que le Texas ait publié des données sur la chute vertigineuse du nombre d’avortements depuis l’entrée en vigueur de la loi, on ne sait pas exactement combien de femmes ont accouché alors qu’autrement elles ne l’auraient pas fait. Heureusement pour la gauche, ses alliés du monde des affaires parviennent à garantir un accès [à l’avortement] là où le mouvement pro-choix ne parvient pas à le faire.
L’une des plus grandes banques d’investissement du monde, Citigroup, a annoncé cette semaine qu’elle financerait les déplacements (billets d’avion, etc.) des employées souhaitant avorter.
Dans un document public, la banque a déclaré que « les changements dans les lois sur les soins de santé génésique dans certains États » l’avaient incitée à « fournir des prestations de voyage pour faciliter l’accès à des ressources adéquates ». Citigroup compterait plus de 8 500 employés au Texas, où un tribunal a effectivement laissé en vigueur la loi [limitant] l’avortement.
On pourrait penser que le financement des voyages liés à l’avortement permet avant tout aux entreprises de diffuser une image de justice sociale dans la presse et d’éviter le boycottage de « wokistes ». Mais la fin de la vie d’un autre être humain offre bien plus de gains potentiels pour les entreprises. C’est du moins ce qu’indique le RHIA Group, une société d’investissement pro-choix qui a fait « l’analyse de rentabilité » de l’avortement et d’autres formes de « santé reproductive » en 2020.
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