Signez ici la pétition contre les prises de position antichrétiennes et proavortement du gouvernement libéral de Justin Trudeau>>
Par Campagne Québec-Vie et LifeSiteNews
Voici une liste rapide, en ordre chronologique, de certaines des actions les plus anti-vie, anti-famille et anti-liberté du gouvernement Trudeau pendant son mandat (années 2016-2017).
Mars 2016
- Le gouvernement Trudeau promet 81 millions de dollars au Fonds des Nations Unies pour la population, en partie pour aider à financer les avortements dans les pays en développement.
- Le gouvernement Trudeau ferme le Bureau de la liberté de religion, créé par le gouvernement précédent de Stephen Harper pour défendre les droits des minorités religieuses persécutées outre-mer.
- L’Île-du-Prince-Édouard annonce qu’elle commencera à offrir des avortements sur l’île après d’intenses pressions exercées par le gouvernement Trudeau, y compris la menace de suspendre les transferts de fonds pour la santé.
Juin 2016
- Le gouvernement Trudeau adopte un projet de loi légalisant l’euthanasie et le suicide assisté, après avoir mis fin au débat et refusé d’adopter un amendement portant sur les droits à l’objection de conscience.
- Trudeau est le premier, en tant que premier ministre du Canada, à faire dresser le “drapeau LGBT” arc-en-ciel sur la Colline du Parlement et à marcher dans un défilé de la Gay Pride. Tout en participant à ce défilé, il brandit un drapeau canadien altéré par les couleurs de l’arc-en-ciel.
Octobre 2016
- Le ministère de la Condition féminine de Trudeau dit qu’il donnera de l’argent à des organisations qui ont des opinions différentes de celles du gouvernement libéral, pourvu qu’elles soient toutes proavortements.
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Février 2017
- Les Canadiens apprennent que le gouvernement Trudeau oblige les fonctionnaires à passer un test “d’égalité des sexes” pro-LGBT, avec des conséquences non spécifiées s’ils refusent ou ne fournissent pas les réponses “féministes” appropriées.
Mars 2017
- Trudeau annonce l’utilisation de 650 millions de dollars pour promouvoir les “droits sexuels et reproductifs” dans les pays en développement, consacrant 241 millions de dollars spécifiquement à des groupes d’avortement comme Planned Parenthood et Marie Stopes International.
Avril 2017
LifeSite révèle que l’Agence du revenu du Canada intensifie sa promotion des questions LGBT dans le milieu du travail, par exemple en célébrant chaque année les nouveaux jours à thème LGBT : Journée internationale du rose, Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, et Le Mois de la fierté.
Juin 2017
Juillet 2017
- Le ministre du Développement de Trudeau dit que l’avortement est un “outil pour mettre fin à la pauvreté” dans la promotion de leur financement de l’avortement à l’étranger.
- L’armée canadienne sous Trudeau répond à l’exclusion que fait Trump des militaires transgenres, en trompetant le fait qu’ils recrutent activement des personnes LGBT.
Août 2017
- Trudeau use de son rôle international en tant que premier ministre du Canada pour promouvoir l’avortement en Irlande alors que le pays envisage de renverser son amendement pro-vie.
Septembre 2017
- Le Parti libéral de Trudeau quitte une réunion du Comité de la condition féminine parce qu’une femme pro-vie a été nommée pour présider au comité.
Octobre 2017
- Le gouvernement Trudeau omet de mentionner les Juifs sur une plaque dédiée au Mémorial national de l’Holocauste. Au lieu de cela, ils ont utilisé la plaque pour promouvoir leurs thèmes de discussion généraux contre “la haine, l’intolérance et la discrimination”.
Novembre 2017
- Trudeau défend son gouverneur général après que celui-ci ait raillé les gens ayant une foi, qui croient que Dieu a créé la vie.
- Le gouvernement est contraint de renoncer à un plan visant à supprimer la seule disposition du Code criminel protégeant la liberté de culte, invoquant le fait qu’il a reçu une “avalanche” d’oppositions.
- Trudeau promet d’éradiquer l’opposition à l’agenda LGBT dans des “excuses” très médiatisées au nom du gouvernement canadien. Dans le même temps, il a promis 16 millions de dollars pour lancer une campagne de propagande LGBT, apparemment pour réparer les torts historiques à l’encontre des personnes LGBT.
- Trudeau nomme la “féministe” Sheilah Martin comme nouveau juge à la Cour suprême. Martin a été le premier juge à approuver un suicide assisté au Canada.
Décembre 2017
- Le gouvernement Trudeau envisage annoncer que les employeurs qui postulent au Programme Emplois d’été Canada devront signer une “attestation” certifiant qu’ils soutiennent l’avortement et le transgenrisme. La décision n’exclut pas seulement les groupes pro-vie et profamille du programme, mais tous les employeurs qui ont de tels points de vue, y compris les institutions confessionnelles. »
Le gouvernement Trudeau a en effet mis en œuvre son projet de faire signer l’« attestation » en question aux employeurs qui désireraient bénéficier des subventions destinées aux emplois d’été pour étudiants, si bien qu’un grand nombre d’entre eux ne sont pas en mesure d’en profiter, ne pouvant pas, en conscience, signer ladite « attestation ». Un immense tollé, comme mentionné vers le début l’article, a donc suivi cette mesure proavortement.
La Conférence des évêques catholiques du Canada, entre autres, a protesté contre cette « attestation » :
« Les communautés religieuses considèrent l’avortement, l’orientation sexuelle et l’identité ou l’expression de genre comme des questions majeures ayant des incidences éthiques, morales, sociales et personnelles, lesquelles déterminent notre compréhension de la dignité humaine et donc notre appréciation du sens et de l’importance de chaque vie humaine... »
Le président de Ligue pour les droits civils des catholiques, Phil Horgan a aussi exprimé son désaccord, comme nous le rapporte LifeSiteNews :
« “Toute organisation catholique, qui professe sa fidélité aux enseignements de l’Église, ne peut faire cette affirmation [l’attestation incluse dans le programme d’Emploi d’été Canada] et est ainsi exclue […] Un rejet ferme et raisonné de l’avortement est inséparable d’une adhésion à la foi catholique. ”»
Dans un autre article de LifeSiteNews, l’on peut lire :
« L’Alliance évangélique du Canada exhorte ses membres à écrire aux députés pour protester contre l’attestation. Le Conseil canadien des organismes de bienfaisance chrétiens conseille à ceux de ses 3 400 membres qui ont présenté une demande de subvention d’emploi d’été par le passé, d’envoyer une demande sur papier contenant autre attestation. »
Mais le gouvernement de Justin Trudeau ne s’en tient pas là, il récidive dans un autre programme gouvernemental, comme l’on peut voir dans un article de LifeSiteNews :
« Le premier ministre Trudeau a mis en œuvre la première phase du Service jeunesse Canada comme l’on put le voir sur une vidéo Instagram en direct, mardi [16 janvier]. Il a décrit cela comme créant “une opportunité pour tout jeune qui veut servir son pays de manière significative”, rapporta la Presse canadienne.
À l’instar de la position adoptée par les libéraux avec le programme Emplois d’été Canada, il est clair que les groupes pro-vie qui ne soutiennent pas les “droits reproductifs” ne sont pas admissibles aux subventions.
À la rubrique “Activités non-admissibles” du site Web du gouvernement pour le Service jeunesse Canada, figurent les activités qui “ne respectent pas les droits individuels de la personne au Canada, y compris… les droits reproductifs”. »
En plus, en ce moment, le gouvernement Trudeau songerait à remettre en fonction un article de loi qui permettrait de classer certains discours comme étant « discriminatoires », rapporte le site Le Peuple :
« Selon le National Post, le gouvernement fédéral examinerait la possibilité de relancer l’article 13 de la Loi canadienne sur les droits de la personne (LCDP) abrogé en 2013. L’article 13 considère comme discriminatoire tout discours qui aborde par communication téléphonique ou Internet “des questions susceptibles d’exposer à la haine ou au mépris des personnes appartenant à un groupe identifiable”. »
Ce qui pourrait s’avérer être une nouvelle menace pour les pro-vie, car ceux-ci pourraient aussi se voir accuser, sans bonne raison, de tenir des discours « discriminatoires » envers les femmes qui se font avorter… ou les avorteurs.