Elle a vu l’échographie de son bébé à l’avortoir et a décidé de garder son bébé
Courtney Garaguso et ses enfants.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Garaguso est devenue enceinte de son premier enfant à 15 ans.
Honteuse et embarrassée, elle a trouvé le courage d’en parler à ses parents, qui ont réagi avec compassion et soutien. En tant que chrétiens pro-vie, l’avortement n’était pas une option, écrit Mme Garaguso dans une chronique publiée cette semaine par le New Jersey Star-Ledger.
Puis, à l’âge de 19 ans, elle est de nouveau devenue enceinte. Ce qui était autrefois impensable [l’avortement] lui a alors traversé l’esprit.
« Comment pouvais-je — toujours célibataire et vivant toujours à la maison, avec un enfant de 4 ans — refaire cela à mes parents, qui avaient tout sacrifié pour moi et avaient déjà connu tant de souffrances ? »
Mme Garaguso explique qu’elle se sentait paralysée par la peur à l’idée d’élever un autre enfant en tant que mère adolescente célibataire. Elle pensait aux choses qu’elle voulait offrir à sa fille, Eliana, mais qu’elle ne pouvait pas se permettre, comme de beaux vêtements et des fêtes d’anniversaire.
Sur le moment, ses craintes et ses inquiétudes l’ont emporté sur le soutien massif qu’elle avait reçu de ses parents, de son église et de son centre local de ressources pour la grossesse, Choices of the Heart à Turnersville, au cours de sa première grossesse.
Lire la suiteLe Parlement et la police de la prière silencieuse
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixnio
Le samedi 6 mai 2023, lors d’une cérémonie élaborée remontant au Moyen-Âge, Charles III sera couronné dans l’abbaye de Westminster en tant que roi de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord. Le lendemain, la Loi sur les services d’avortement (zones d’accès sécurisé) (Irlande du Nord) entrera en vigueur, ce qui n’est pas de bon augure pour cette nouvelle ère. Cette loi criminalise toute activité pro-vie, y compris la prière silencieuse, dans un rayon de 150 mètres autour des centres d’avortement de la province. Pour la première fois de son histoire, le crime de pensée sera un délit dans le code juridique du Royaume-Uni.
L’année dernière, la Cour suprême de Londres a examiné cette législation et a décidé qu’elle était compatible avec la législation nationale sur les droits de l’homme et la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Elle a conclu que les clients et le personnel des établissements pratiquant l’avortement ont le droit de ne pas « assister à une prière silencieuse non désirée, importune et intrusive ». [1] Il est difficile d’imaginer comment une prière silencieuse pourrait être intrusive, mais cette déclaration démontre que ce sont les convictions des militants pro-vie qui sont considérées comme offensantes, et non leur comportement.
Après l’approbation de la loi par la Cour, celle-ci est devenue le modèle des mesures relatives aux zones tampons dans le projet de loi sur l’ordre public (Public Order Bill), qui attend actuellement la sanction royale. Lorsqu’elle a demandé à la Cour suprême de confirmer la législation d’Irlande du Nord, Dorothy Bain, KC, Lord Advocate écossais, a insisté sur le fait que la prière silencieuse était plus préjudiciable aux femmes souhaitant avorter que les manifestations bruyantes. Le Lord Advocate est le principal conseiller juridique du gouvernement écossais et un projet de loi similaire devrait être présenté au Parlement de Holyrood dans le courant de l’année. Bien qu’il n’ait pas encore été publié, le projet de loi a déjà obtenu le soutien du nouveau premier ministre.
Lire la suiteDes pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Le Royaume-Uni interdit la prière silencieuse devant tous les établissements pratiquant l’avortement
Le Père Sean Gough et Isabel Vaughan-Spruce.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie
Les députés de la Chambre des communes du Royaume-Uni ont approuvé mardi une loi qui interdirait un large éventail d’activités pro-vie — y compris la prière silencieuse — devant les établissements pratiquant l’avortement dans le pays.
Selon la Catholic News Agency, le projet de loi créerait des « zones tampons » de 150 mètres autour des établissements pratiquant l’avortement en Angleterre et au Pays de Galles. À l’intérieur de ces zones tampons, « l’intimidation, le harcèlement ou l’interférence » à l’encontre de toute personne cherchant à avorter ou pratiquant un avortement sont interdits. Les activités interdites comprennent le fait d’« influencer sur la décision d’une personne d’accéder à des services d’avortement, de les fournir ou de les faciliter », même la prière silencieuse. La loi a été adoptée par 299 voix contre 116.
Bien que plusieurs députés aient introduit un amendement qui aurait exempté la prière et les conversations consensuelles des interdictions prévues par le projet de loi, cet amendement n’a pas été adopté.
« Il est très décevant que les députés aient rejeté même ce modeste amendement, qui visait à garantir que la criminalisation de la pensée ne soit pas inscrite dans la législation britannique. L’introduction de zones tampons signifie déjà que des citoyens ordinaires seront considérés comme des criminels et soumis à des sanctions financières écrasantes pour avoir témoigné pacifiquement et offert leur aide à des femmes dans le besoin », a déclaré Alithea Williams, responsable de la politique publique de la Society for the Protection of Unborn Children.
« Il ne s’agit pas seulement d’une atteinte scandaleuse aux libertés civiles, mais aussi du retrait de véritables bouées de sauvetage pour les femmes. De nombreux enfants sont en vie aujourd’hui parce que leurs mères ont reçu l’aide et le soutien d’une personne pro-vie compatissante à l’extérieur d’une clinique. De nombreuses femmes se sentent contraintes ou forcées d’avorter, et les vigiles pro-vie leur offrent d’autres options. Aujourd’hui, ces options leur ont été retirées. »
Lire la suiteUne militante pro-vie britannique arrêtée une seconde fois pour avoir prié silencieusement près d’un avortoir
Isabel Vaughan-Spruce, à nouveau arrêtée pour délit de prière silencieuse.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AFD UK/Twitter
6 mars 2023, Birmingham, Angleterre (LifeSiteNews) — Isabel Vaughan-Spruce — l’activiste britannique pro-vie qui a été acquittée le mois dernier de charges liées au fait qu’elle ait prié devant un centre d’avortement — a été arrêtée à nouveau ce lundi pour avoir prié silencieusement devant un centre d’avortement.
Dans une vidéo publiée lundi sur Twitter par Alliance Defending Freedom UK (ADF UK), on peut voir deux policiers demander à Vaughan-Spruce de « sortir de la zone d’exclusion » d’un centre d’avortement à Birmingham, en Angleterre.
Vaughan-Spruce répond calmement : « Mais je ne manifeste pas, je ne participe à aucune des activités interdites ».
À cela, l’un des officiers répond : « Mais vous avez dit que vous vous livriez à la prière, ce qui constitue l’infraction ».
« Prière silencieuse », a précisé M. Vaughan-Spruce.
« Non, mais vous êtes toujours en train de prier. C’est une infraction », a répété l’agent, qui a ensuite demandé à Mme Vaughan-Spruce si elle préférait être « arrêtée » plutôt que de « sortir de la zone d’exclusion ».
« Ce sont les deux seules alternatives ? » a demandé la militante pro-vie.
« Oui », a répondu le policier.
Lire la suiteL’avortoir à l’origine du renversement de Roe v. Wade devient un magasin de meubles
Le bâtiment de l'ancien Jackson Women's Health Organization, avortoir à l'époque.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
3 mars 2023, Jackson (LifeSiteNews) — Le centre d’avortement, à l’origine de la contestation de la loi pro-vie du Mississippi qui a finalement conduit à l’annulation de Roe v. Wade, a officiellement fermé ses portes.
L’établissement Jackson Women’s Health Organization avait contesté l’interdiction de l’État d’avorter à partir de 15 semaines, ce qui a finalement conduit à la décision de la Cour suprême des États-Unis de juin 2022, dans l’affaire Dobbs v. Jackson, d’annuler Roe et de renvoyer la question de l’avortement aux États.
L’établissement a été fermé pendant des mois, mais des nouvelles récentes ont confirmé que le bâtiment ne sera plus utilisé comme centre d’avortement.
« Il est incroyable de voir la Pink House [Maison rose] de Jackson peinte en blanc », a écrit la journaliste Shalina Chatlani sur Twitter. « Cette clinique était au cœur de l’affaire de la Cour suprême qui a renversé Roe v. Wade. Et maintenant, elle est transformée en un magasin de consignation de luxe dans un quartier très embourgeoisé ».
« Le magasin de consignation de luxe Hunt The Shop va quitter son emplacement sur Old Canton Road pour s’installer dans l’ancienne clinique », rapporte WLBT.com. « Le magasin est connu pour ses meubles et ses articles de maison uniques en leur genre. Les équipes de construction étaient sur place cette semaine pour réaménager l’ancienne clinique et repeindre l’extérieur rose… en blanc. »
La fermeture de l’établissement et son nouveau départ en tant que magasin est le dernier développement positif depuis l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade en juin 2022.
Lire la suiteUne femme arrêtée pour avoir prié silencieusement près d’un avortoir au Royaume-Uni est victorieuse devant le tribunal
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
Plus tôt ce mois-ci, les autorités auraient abandonné les poursuites contre Isabel Vaughan-Spruce, une femme qui a été arrêtée pour avoir prié en silence près d’un centre d’avortement. Alors qu’il semblait que sa bataille était enfin terminée, elle devait encore faire face à une bataille judiciaire qui pouvait lui laisser un casier judiciaire. Le tribunal a finalement statué en faveur de Vaughan-Spruce.
Christian Today a rapporté que, malgré le fait que les charges avaient été abandonnées, Vaughan-Spruce devait encore se présenter à une audience au Birmingham Magistrates' Court. Si le tribunal l’avait déclarée coupable, elle aurait eu un casier judiciaire. Les chefs d’inculpations auraient également pu être rétablis si le tribunal ne l’avait pas déclarée innocente.
Dans un communiqué de presse, Alliance Defending Freedom (ADF) UK a annoncé le verdict. « Je suis heureuse d’avoir été acquittée de tout acte répréhensible. Mais je n’aurais jamais dû être arrêtée pour mes pensées et traitée comme une criminelle simplement pour avoir prié en silence dans une rue publique », a déclaré Vaughan-Spruce devant le Palais de Justice.
Lire la suiteMark Houck prie devant l’avortoir de Philadelphie avec toute sa famille après son acquittement
Mark Houck et sa famille.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Thomas Gilmartin
9 février 2023, Philadelphie (LifeSiteNews) — Dix jours seulement après avoir été acquitté de deux accusations fédérales à la suite d’une altercation mineure avec un membre d’« escorte » de Planned Parenthood près d’un centre d’avortement de Philadelphie, le conseiller de trottoir, catholique et pro-vie, Mark Houck, ainsi que toute sa famille, est retourné au même centre d’avortement pour prier.
Les photos partagées avec LifeSiteNews montrent Houck à l’extérieur du Centre de santé Elizabeth Blackwell de Planned Parenthood sur Locust Street à Philadelphie avec sa famille et une foule d’autres défenseurs de la vie.
Houck a déclaré au Daily Signal que lui et sa famille se sont rendus à la clinique « parce que c’est ce que nous faisons ».
« C’est notre mission de défendre les femmes, les hommes et l’enfant à naître », a-t-il déclaré, ajoutant : « Je serai là chaque semaine, si Dieu le veut. »
Le Centre de santé Elizabeth Blackwell est le même centre d’avortement devant lequel Houck et le membre d’« escorte » Bruce Love s'affrontèrent en 2021 dans ce que l’avocat de la Société Thomas More, Peter Breen, qui a représenté Houck lors de son procès pénal, a appelé « une querelle de trottoir qui s’est transformée en une affaire fédérale ».
LifeSiteNews avait précédemment rapporté que Houck et sa famille avaient été soumis l’année dernière à un raid à l’aube par le FBI du président Joe Biden, après que le ministère de la Justice (DOJ) eût pris l’affaire en main, avec des dizaines d’agents lourdement armés qui avaient envahi la propriété des Houck en Pennsylvanie.
Lire la suiteLa police britannique abandonne les charges portées contre une femme qui priait en silence près d’un avortoir
Isabel Vaughan-Spruce.
LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alliance Defending Freedom
3 février 2023, Birmingham, Angleterre (Alliance Defending Freedom) — La bénévole d’un organisme caritatif qui avait été inculpée pour avoir prié près d’un centre d’avortement fermé attend justice, car elle déclare son intention de demander l’annulation complète des charges qui pèsent contre elle devant le tribunal.
Isabel Vaughan-Spruce, que l’on a vue dans une vidéo virale se faire arrêter et fouiller de manière humiliante par trois policiers après avoir dit qu’elle priait « peut-être » dans sa tête, a été inculpée au pénal pour avoir « protesté et commis un acte intimidant pour les utilisateurs du service » dans une zone de censure autour du centre d’avortement de Station Road à Birmingham. Pourtant, Isabel Vaughan-Spruce a clairement déclaré dans la vidéo qu’elle ne manifestait pas, et la clinique était fermée, ce qui signifie qu’aucun usager ne se trouvait dans les environs pendant qu’elle priait.
Isabel Vaughan-Spruce se tenait près d’une clinique d’avortement à Birmingham.
Policier : « Est-ce que vous priez ? »
IVS : « Je prie peut-être dans ma tête ».
Policier : « Vous êtes en état d’arrestation ».
C’est vraiment le crime de la pensée ultime.
— David Atherton (@DaveAtherton20) 23 décembre 2022
La zone de censure a été instaurée par les autorités locales au moyen d’un ordre de protection de l’espace public, qui interdit les activités qu’il définit comme des « manifestations », y compris la prière, dans les rues entourant le centre d’avortement.
Lire la suiteMark Houck acquitté des deux chefs d’accusation dans une grande victoire pro-vie
La famille Houck.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 janvier 2023, Philadelphie (LifeSiteNews) — Le jury du procès de Mark Houck, conseiller catholique de trottoir et père de sept enfants, qui avait fait l’objet d’une descente du FBI et était inculpé de deux délits pour avoir poussé un membre d’« escorte » d’avortoir qui, selon les avocats, harcelait le fils de Houck âgé de 12 ans, a rendu son verdict lundi, déclarant Houck non coupable des deux chefs d’accusation — une grande victoire pro-vie.
S’il avait été reconnu coupable, M. Houck aurait été passible de onze ans de prison et d’une amende de 350 000 dollars.
Dans un communiqué de presse publié lundi, Peter Breen, vice-président général et responsable des litiges de la Thomas More Society, a déclaré que l’équipe de défense était « bien sûr, ravie du résultat ».
« Mark et sa famille sont maintenant libérés du nuage que l’administration Biden a jeté sur eux. Nous avons affronté le Goliath — toute la puissance du gouvernement des États-Unis — et nous avons gagné. Le jury a vu clair et a rejeté le dossier discriminatoire de la poursuite, qui consistait en du harcèlement dès le premier jour. La tentative d’intimidation du ministère de la Justice de Biden contre les pro-vie et les personnes de foi a été rembarrée. »
Dans une déclaration à LifeSiteNews, Ashley Garecht, porte-parole de la Pro-Life Coalition of Pennsylvania et amie de la famille Houck, a déclaré : « Nous nous réjouissons de ce que Mark Houck ait été déclaré non coupable de tous les chefs d’accusation. »
« Cette affaire a toujours porté sur le droit d’un père à protéger son fils, et n’a jamais rien eu à voir avec la loi FACE », a-t-elle ajouté. « Nous sommes reconnaissants envers le juge pour son intégrité, et aux jurés pour leurs délibérations réfléchies. Nous sommes reconnaissants envers les avocats de Mark qui ont travaillé si assidûment à sa défense. Et nous sommes reconnaissants envers tous ceux qui ont entouré et soutenu Mark et sa famille dans la prière tout au long de cette épreuve difficile. »
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