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Folie covid : un médecin italien accusé d’avoir tué des patients pour libérer des lits

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik — Information trouvée en premier sur InfoWars — Mise à jour : 28 janvier 2021

Un médecin en Italie, le Dr Carlo Mosca, responsable du département des urgences de l’hôpital Montichiari dans la province de Brescia, a été arrêté et assigné à résidence, accusé d’avoir tué deux de ses patients et soupçonné d’en avoir tué trois autres dans le but de libérer des lits dans un département covid surchargé, rapporte The Sun :

Le procureur affirme que Mosca a donné aux deux hommes qui avaient été admis, souffrant du Covid 19, un anesthésique ainsi que des médicaments qui paralysent les nerfs et les muscles, provoquant leur mort afin de libérer des lits [...]

Les médicaments sont couramment utilisés lorsque les patients sont mis sous respirateur, mais les enquêteurs ont découvert, à partir des dossiers médicaux, qu’aucun des deux hommes n’avait été intubé pendant leur séjour à l’hôpital.

Les fonctionnaires ont lancé une enquête après avoir reçu une dénonciation anonyme sur le Dr Mosca. Aujourd’hui, il est assigné à résidence, soupçonné d’homicide volontaire et de falsification de dossiers.

La dénonciation indiquerait : « Vous devez vous renseigner sur le Dr Mosca. Il est fou. Il tue des patients pour libérer des lits ».

Le juge d’instruction Angela Corvi a écrit dans le mandat d’arrêt que le Dr Mosca « savait parfaitement » ce qu’il faisait et « avait la capacité de tuer ».

Elle a écrit que le motif présumé était de « libérer des lits et d’aider physiquement et émotionnellement les ressources humaines du personnel ».

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Pour l’ONU, le handicap n’est pas une raison valable pour autoriser l’euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : wirestock/Freepik

Plusieurs rapporteurs spéciaux de l’ONU ont produit un rapport dans lequel ils déclarent que le handicap ne saurait être un motif raisonnable pour autoriser l’euthanasie des personnes qui en sont atteintes. C’est cependant vers ce genre de loi que se dirige le Canada.

Auparavant, plusieurs rapporteurs de l’ONU ont exprimé à maintes reprises leurs inquiétudes face à la progression de l’euthanasie au Canada et dans le monde, selon la Coalition pour la prévention de l’euthanasie (CPE) :

En avril 2019, le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des personnes handicapées a exprimé son inquiétude concernant la loi canadienne sur l’euthanasie.

En mars 2020, le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des personnes handicapées s’est dit préoccupé par la croissance mondiale de l’euthanasie, du suicide assisté et de l’eugénisme.

Plus récemment donc, des experts de l’ONU ont produit un document sur la question de l’euthanasie des personnes handicapées, rapporte CPE :

Les experts des Nations Unies ont publié hier [25 janvier] un communiqué de presse exprimant leur inquiétude face à la tendance croissante des nations à adopter des législations permettant l’accès à l’aide médicale à mourir [AMM : euthanasie], en grande partie sur la base d’un handicap ou de conditions invalidantes, dont la vieillesse.

Le moment auquel cette déclaration est tombée devrait amener le gouvernement canadien à réécrire le projet de loi C-7, qui élargit la loi canadienne sur l’euthanasie en supprimant l’exigence relative aux maladies terminales et en autorisant l’euthanasie pour les personnes souffrant de maladies chroniques ou de conditions liées à un handicap.

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Hommage à Trump pour ses accomplissements


Donald Trump, lors de la Marche pour la Vie à Washington en 2020, premier président américain à participer en personne à la marche.

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jim Hale/LifeSiteNews

« Un bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Vous les reconnaîtrez donc à leurs fruits. » (Mt 7 : 18-20)

Oui, je rends hommage à ce personnage honni par les médias (qui nous honnissent aussi…) pour ses accomplissements dans le domaine de la protection de la vie à naître, de la famille, de la nation et du christianisme.

Sans doute que beaucoup trouvent à redire sur lui, à cause entre autres des bobards qu’ont répandus les gros médias et de leurs omissions, sur sa vie personnelle et ses opinions passées (il était pro-avortement autrefois), sur son parler et sa manière, et enfin, sur certaines de ses politiques.

Mais un nombre appréciable de personnes ont vu en lui, certes non un idéal, mais un refuge face à Hilary Clinton en 2016 et à Joe Biden en 2020. Si vous voulez critiquer Trump, il faut le comparer, dans la mesure du possible, à ses deux opposants des deux dernières élections américaines.

En outre, plus de 74 millions d’Américains ont voté pour cet homme : Donald J. Trump. C’est un record pour un deuxième mandat dans l’histoire des États-Unis.

Certes, on peut par exemple lui reprocher de s’être plié à l’exercice de mascarade du covid-19, comme la plupart des dirigeants dans le monde. Mais aurait-il pu affronter l’hystérie générée et propagée par les médias libéraux, lui qui était toujours à deux doigts de se faire destituer, sort près duquel il est passé pour deux motifs grotesques : le premier, qui rentre tout à fait dans la catégorie décrite par le néologisme si médiatique « théorie du complot », d’interférences russes dans les élections de 2016 en faveur de Donald Trump (comme quoi il n’y a que Trump pour tricher, selon les démocrates…) ; le second, avoir incité l’« attaque » du Capitole le 6 janvier 2021, alors qu’il y a des doutes très raisonnables quant à la cause de cet incident ― du reste, c’est aux détracteurs de fournir des preuves sérieuses et non des suppositions nébuleuses. Mais certains, souscrivant au mythe de la « pandémie » qui paralyse le monde, blâment précisément Trump pour n’avoir pas assez confiné…

Cependant, il a produit de bons fruits, et même d’excellents fruits, durant les quatre années de son mandat de président des États-Unis, et il serait injuste de les ignorer : Trump a été l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire, et ce, malgré la féroce opposition qu’il a rencontrée chez les démocrates et les médias libéraux, notamment, et la corruption de l’État américain ; s’il a produit des fruits pourris, on peut espérer qu’ils n’auront pas gâté ceux qui étaient sains. Une chose est certaine, il demeurera dans l’Histoire.

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Le gouvernement Trump retiendra 200 000 000 $ par trim. à la Californie qui oblige les assurances à payer l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist

Le ministère de la Santé des États-Unis a déclaré mercredi dernier qu’il retiendrait 200 millions de dollars à la Californie pour le prochain trimestre, mesure qui sera reconduite de trimestre en trimestre tant que la Californie ne se conformera pas à la loi fédérale, à cause du remboursement de l’avortement que cet État impose aux employeurs et aux assurances privées, ce qui va à l’encontre de la liberté de conscience, rapporte Gènéthique :

La Californie va être sanctionnée de 200 millions de dollars par trimestre jusqu’à ce qu’elle se mette en conformité avec la loi fédérale américaine. Depuis 2014, la Californie oblige les employeurs et les assurances privées « à inclure dans leur couverture santé le remboursement des IVG ». En début d’année, le gouvernement américain a fait savoir aux autorités californiennes « que cette disposition allait à l’encontre d’une loi fédérale sur la liberté de conscience », loi qui interdit « toute discrimination contre les assureurs qui refusent de couvrir les avortements ».

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Le Congrès du Parti conservateur est-il toujours d’intérêt pour les pro-vie ?


Convention politique 2018 du PCC.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Conservateur/YouTube

Cette question sous-entend une autre encore plus simple et vaste : le Parti conservateur du Canada (PCC) est-il toujours viable pour les pro-vie ?

Ces derniers jours, nous avons appris avec stupeur l’expulsion du député pro-vie Derek Sloan du caucus du PCC, dont les membres ont voté l’éjection de M. Sloan à l’instigation du chef pro-avortement, Erin O’Toole. Ce n’est pas tellement la volonté de mettre dehors M. Sloan que le prétexte employé pour ce faire qui est étonnant, les deux en tout cas sont révoltants !

La pensée de quitter le PCC a sans doute effleuré, si ce n’est plus, l’esprit de plusieurs ; je déconseillerais un tel geste, bien que les raisons le motivant soient assez sérieuses, car la Convention politique du PCC aura bientôt lieu, moment où certains mécanismes de la machine et certaines politiques pourraient être changés.

En fait, je m’adresse surtout à ceux qui se sont enregistrés comme délégués à la convention du parti : ne vous désinscrivez pas !

Comme le souligne Derek Sloan dans un courriel :

Il y a beaucoup de travail à faire au sein du CPC alors que nous nous dirigeons vers la Convention en mars. On a besoin de vous — plus que jamais — aux côtés d’autres bons membres du Parti conservateur.

Peu importe à quel point les événements de ces deux derniers jours ont été affreux — combien antidémocratiques — n’oubliez jamais que le Parti conservateur du Canada n’est pas la propriété personnelle d’Erin O’Toole ni celle de la cabale qui l’entoure.

Erin O’Toole veut que vous renonciez à votre place de délégué à la convention. Ne cédez pas !

Le PCC vous appartient — à la base du Parti conservateur. Je vous encourage à utiliser votre voix, à vous dresser, et à représenter les vraies valeurs conservatrices à ce congrès.

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Le Honduras ancre dans sa constitution la protection du mariage et de l’enfant à naître

Billet de blog d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist

Le Parlement du Honduras a voté une modification à sa Constitution qui fera que tout amendement aux articles concernant le mariage et l’avortement ne pourra plus être voté aux seuls deux tiers de l’Assemblée, mais aux trois quarts. Avant d’être promulgué, cet amendement devra faire l’objet d’un second vote en novembre 2021. Selon Gènéthique :

Le Parlement du Honduras a voté hier une modification de sa Constitution, pour y sceller l’interdiction de l’IVG et du mariage homosexuel. « La pratique de toute forme d’interruption de la vie de l’enfant à naître, dont il faut respecter la vie à tout moment, est considérée interdite et illégale, peut-on lire désormais à l’article 67. Les dispositions légales qui seraient créées après l’entrée en vigueur du présent article et qui établiraient le contraire seront nulles et non avenues ». Le premier article modifié donne au fœtus « le même statut juridique qu’une personne ». Le second stipule que le mariage civil « ne peut être qu’entre un homme et une femme ».

Ce geste vient en partie en réaction à l’élargissement de l’accès à l’avortement en Argentine. Notez que le Honduras est l’un des six pays d’Amérique latine à interdire l’avortement totalement.

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Biden relancera le financement de l’avortement à l’étranger ― les évêques africains inquiets


Joe Biden.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Phil Roeder/Flickr

Joe Biden, nouveau président élu frauduleusement, a nommé Samantha Power administratrice de l’USAID, agence gouvernementale gérant l’aide des États-Unis aux pays en développement. Mme Power s’était distinguée par le passé par son activisme pro-LGBT. Devant ce président pro-avortement et la nouvelle administratrice, les évêques africains expriment leurs inquiétudes, selon International Family News :

Nouvel administrateur à l’USAID.

Les préoccupations portent sur l’USAID, l’agence gouvernementale américaine qui gère l’aide aux pays en développement. Le 13 janvier, Biden a annoncé la nomination de Samantha Power au sein de l’administration de cette agence. Elle est une journaliste et diplomate lauréate du prix Pulitzer qui, pendant la présidence de Barack Obama, a joué un rôle au sein du Conseil National de Sécurité où elle s’est distinguée entre autres activités, par son soutien à la cause LGBT+.

Un président pro-avortement, pro-LGBT+

Selon certains dirigeants de l’Église catholique africaine, contactés par AciAfrica, la nomination de Power va déclencher « une attaque culturelle et idéologique » sur le continent noir « par la promotion de programmes contraires à la culture africaine, tels que l’avortement et l’homosexualité ». Mgr Emmanuel Badejo, du diocèse d’Oyo au Nigéria, estime que Power complique une situation déjà défavorable, considérant que Biden, bien qu’il se dise catholique, est sur le point de devenir « le président le plus radicalement pro-avortement et pro-LGBT+ de l’histoire des Etats-Unis ».

Le prélat est donc convaincu que les quatre prochaines années seront très difficiles pour l’Église. « Nous devons renforcer la foi afin de survivre au conflit » qui va inévitablement surgir avec la nouvelle politique américaine, témoigne Mgr Badejo. Un jugement quasiment identique à celui exprimé il y a quelque temps par le président des évêques catholiques américains, Mgr José Horacio Gómez.

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Le projet d’allongement du délai d’avortement rejeté par le Sénat français

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : IgorVetushko/Depositphotos

Le Sénat de France a voté hier une motion de rejet par 201 voix contre 142 sur le projet de loi visant, entre autres, à rallonger de 12 à 14 semaines de grossesse la période durant laquelle les femmes sont autorisées à avorter hors raisons « médicales ». Le projet de loi comportait les points suivants, selon Génèthique :

La proposition de loi comporte plusieurs articles. Elle vise à étendre le délai d’IVG de 12 à 14 semaines, à supprimer le délai de deux jours de réflexion en cas de détresse psychosociale, à supprimer la clause de conscience spécifique des médecins et personnels soignants, enfin, elle doit étendre aux sages-femmes la pratique des IVG instrumentales. Ce dernier article a cependant été adopté en catimini à l’occasion du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Son application demandera du temps. Elle impose de mettre en place une formation spécifique de ces dernières et que des questions de sécurité soient résolues : qui interviendra en cas de complications ?

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Mgr Gomez, président de l’USCCB critique Biden au sujet de l’avortement, Mgr Cupich le blâme en retour


Mgr José Horacio Gómez Velasquez, archevêque de Los Angeles et président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Mgr José H. Gómez, archevêque de Los Angeles et président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (dont l’acronyme en anglais est USCCB) a publié le 20 janvier, jour de l’investiture présidentielle du fraudeur électoral Joe Biden, une déclaration au nom de l’USCCB critiquant légèrement le nouveau président des États-Unis sur la question de l’avortement, notamment ― rien à voir avec un anathème en tout cas.

Cependant, c’était assez, d’égratigner ― que dis-je ! ― d’effleurer les positions pro-avortement du président Bidon (pardon, Biden) pour que le cardinal Blase Cupich, archevêque de Chicago étiquetât la déclaration d’« inconsidérée » sur Twitter. Catholic News Agency (CNA) rapporte :

Mercredi, le cardinal Cupich déclarait : « la Conférence des évêques catholiques des États-Unis a publié une déclaration inconsidérée le jour de l’investiture du président Biden. Outre le fait qu’il n’y a visiblement aucun précédent en la matière, cette déclaration, critique à l’égard du président Biden, a surpris de nombreux évêques, qui l’ont reçue quelques heures à peine avant sa publication ».

« La déclaration a été élaborée sans l’implication du Comité administratif, une consultation collégiale qui est une procédure normale pour les déclarations qui bénéficient de l’approbation réfléchie des évêques américains », continuait-il.

« Les défaillances institutionnelles internes que cela implique doivent être traitées, et je suis impatient de contribuer à tous les efforts allant en ce sens, afin que, inspirés par l’Évangile, nous puissions construire l’unité de l’Église et, ensemble, entreprendre le travail de guérison de notre nation en ce moment de crise », affirmait le cardinal.

C’est surtout avec une critique de forme que Mgr Cupich attaque la déclaration du président de l’USCCB, et non de fond. Qu’importe qu’il y ait un précédent ou non à ce genre de déclaration ? Si « de nombreux évêques » ont été « surpris » par ladite déclaration, cela n’empêche pas que beaucoup d’évêques américains ont soutenu la déclaration de l’USCCB, rapporte CNA. Par ailleurs, trois évêques ont affirmé à CNA que Mgr Cupich avait passé une grande partie de la journée de mercredi à rallier les évêques américains pour produire une déclaration différente, soutien qu’il n’a visiblement pas obtenu. Il a donc publié de son côté une déclaration ne critiquant pas Biden, sur son propre site, selon CNA.

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Discours du président de la Fondation Lejeune lors de la Marche pour la Vie à Paris


Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le problème de la procréation médicalement assistée (PMA) ne réside pas essentiellement dans la PMA sans père, elle réside en elle-même. L’horreur de l’avortement ne repose pas uniquement sur l’avortement tardif, elle tient à tout avortement. Ce qu’il faut, ce n’est pas tant empêcher l’élargissement de la PMA et l’avortement que de les interdire. C’est ainsi que se résume le discours de Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, lors de la Marche pour la Vie à Paris de dimanche, selon Le Salon Beige :

« S’agissant de l’allongement des délais de l’avortement, on entend de plus en plus, de la part de ceux qui s’en indignent, qu’il faudrait revenir à l’esprit de la loi Veil, comme s’il y avait eu un âge d’or de l’avortement. Pour un peu, Mme Veil aurait été opposée à l’avortement ! Non, la loi Veil n’est pas la solution, elle est le problème. Et valoriser la loi Veil, c’est rendre inéluctables les évolutions qu’elle engendre. »

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