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Le Texas peut enfin cesser de financer Planned Parenthood, grand exécuteur d’avortements

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel

Mise à jour : 11 mars 2021 — Le juge du Texas a déclaré que l'État pouvait cesser de financer Planned Parenthood.

Mise à jour : 26 février 2021 — Planned Parenthood s'est fait donner un autre deux semaines.

Mise à jour : 9 février 2021 — Un groupe pro-avortement s'est pourvu en justice, faisant en sorte que le Texas ne peut, momentanément, cesser de financer Planned Parenthood.

Grâce à une décision de la Cour du 5e circuit rendue en novembre 2020, l’État du Texas n’est plus obligé de financer Planned Parenthood, grand fraudeur et exécuteur d’avortements, depuis le 3 février 2021. Selon LiveActionNews :

Après que le géant de l’avortement eût demandé un délai de grâce de six mois pour permettre aux patientes de trouver de nouveaux prestataires tout en continuant à recevoir des soins, le tribunal a rejeté cette demande mais a accordé un délai de grâce de 30 jours se terminant le 3 février.

Le procureur général du 5e circuit et du Texas a basé cette décision en partie sur l’implication de Planned Parenthood dans le trafic de parties de corps de bébés avortés qui a été révélé en 2015. « Une vidéo d’infiltration a clairement montré que Planned Parenthood admettait avoir un comportement immoral et illégal, comportant des violations à la loi fédérale par la falsification du calendrier et des méthodes d’avortement afin d’obtenir des tissus fœtaux pour leur propre recherche », soulignait une déclaration du procureur général. « Planned Parenthood n’est pas un prestataire “qualifié” au sens du Medicaid Act, et ne devrait pas recevoir de subventions publiques dans le cadre du programme Medicaid ».

En 2013, Planned Parenthood avait été condamné à une amende de 1,4 million de dollars pour avoir demandé et reçu frauduleusement plus qu’il n’y avait droit sous le régime Medicaid de l’État du Texas, rapportait Live Action News.

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Peut-on se fier aux vaccins covid ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : presfoto/Freepik

C’est une question que nous devrions nous poser avec au moins le même sérieux (pour ne pas dire paranoïa) que celui qui est accordé à la suprême dangerosité du covid-19.

Ah ! le covid-19 ! On lui prête toutes les capacités de contagiosité, de morbidité, de persistance, d’indétectabilité au simple citoyen asymptomatique mais de visibilité ― tel un éléphant dans un couloir ― pour le test PCR. N’échappe-t-il pas à la règle générale de l’immunité collective ? Seul un vaccin peut nous sauver…

N’y a-t-il pas d’autres remèdes, peu coûteux, simples, relativement inoffensifs, enfin, efficaces ? Non, les vieux remèdes, qui, s’ils ne soignent ou ne préviennent pas forcément la maladie mais sont du moins assez peu dangereux et bien connus, doivent suivre le chemin de la prudence extrême, de la suspicion sans pareille et du dénigrement par défaut : hydroxichloroquine, azytromycine, plitidepsine, ivermectine, etc.

L’honnêteté intellectuelle exigerait que l’on appliquât les mêmes critères aux vaccins covid… du moins la logique demanderait que l’on applique la même malhonnêteté intellectuelle à ces derniers que pour les médicaments précités. Après tout, ces vaccins sont des nouveaux venus, peu testés, à l’efficacité non garantie et aux effets secondaires inconnus.

Le même mode de pensée devrait également s’appliquer à toutes mesures proposées ou en œuvre, que décrètent dictatorialement les gouvernements du haut de leur trône démocratique, quant à leurs effets secondaires et leur efficacité (contre quoi d’ailleurs ?).

Mais il serait plus simple de regarder objectivement les faits relatifs au covid-19, les remèdes évoqués, les vaccins et les mesures « sanitaires » en général.

C’est pourquoi je propose à votre attention un texte de Rod Taylor, chef du Parti de l’Héritage Chrétien du Canada, sur la fiabilité des vaccins covid-19 en cours d’application dans le monde entier.

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Un juge suspend la nouvelle loi d'Argentine sur l’avortement dans la province de Chaco

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée, côtés flous rajoutés) : Pixabay

Dans la province du Chaco en Argentine, le juge Marta Aucar a ordonné la suspension de l’application de la nouvelle loi étendant l’accès à l’avortement, votée par le parlement argentin en décembre dernier et entrée en vigueur le 14 janvier 2021. Examinant la plainte d’un groupe conservateur sur ladite loi, le magistrat juge nécessaire cette « mesure de précaution », estimant qu’elle la loi est contraire aux règlements de la province, car l’avortement « fragilise, violente, diminue et entrave l’existence, la jouissance et le respect du droit à la vie de l’enfant à naître, protégé par notre système juridique dès la conception », rapporte Gènéthique.

La loi donc, selon Gènéthique :

La loi est désormais suspendue sur tout le territoire de la province, jusqu’au verdict final du dossier

Par contre, une plainte semblable a été déboutée dans la province de Salta, d’autres recours étant également préparés dans d’autres provinces d’Argentine ― le juge Aucar risque la disqualification pour son geste, qui en devient d’autant plus audacieux et courageux. D’après Gènéthique :

Un recours similaire a été débouté la semaine dernière dans la province de Salta. D’autres provinces préparent également des plaintes contre cette loi […] Une ONG a dénoncé pénalement la juge Aucar. Elle risque, en plus d’une amende, la disqualification.

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La Conférence des évêques catholiques des États-Unis blâme Biden pour sa promotion de l’avortement


Mgr Joseph Fred Naumann, archevêque de Kansas City et président du Comité des activités pro-vie de l'USCCB.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Scott Maentz/Flickr

Mgr Joseph F. Naumann, président du Comité des activités pro-vie de l’USCCB, ainsi qu’un de ses confrères, au nom de l’USCCB blâme Joe Biden pour les premiers décrets qu’il a signés en tant que président des États-Unis nouvellement (et frauduleusement) élu, plus particulièrement celui abrogeant la « politique de Mexico » qui interdisait l’attribution de subsides fédéraux aux promoteurs et aux fournisseurs internationaux d’avortement, selon le site de l’USCCB :

« Il est déplorable que l’un des premiers actes officiels du président Biden encourage activement la destruction de vies humaines dans les pays en développement. Ce décret est contraire à la raison, viole la dignité humaine et est en contradiction avec l’enseignement catholique. Nous et nos frères évêques nous opposons fermement à cette action. Nous demandons instamment au président d’utiliser sa fonction pour le bien, accordant la priorité aux plus vulnérables, y compris les enfants à naître ».

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Le Portugal dépénalise l’euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : roungroat/Rawpixel

Le Parlement portugais vient tout récemment de voter la dépénalisation de l’euthanasie sous certaines conditions (qui finissent toujours par être levées…). Selon Gènéthique :

Vendredi 29 janvier, le Parlement portugais a adopté une loi autorisant « la mort médicalement assistée », à « 136 voix pour, 78 voix contre et 4 abstentions ».

Le texte prévoit d’autoriser l’euthanasie pour « les Portugais majeurs, résidant dans le pays et se trouvant “dans une situation de souffrance extrême, présentant des lésions irréversibles” ou atteints “d’une maladie incurable” ». « Plusieurs » médecins devront valider la demande du patient. Une demande qui devra être confirmée « le moment venu » en « présence de témoins ». Par ailleurs, un psychiatre devra également être consulté dans le cas où la « capacité de la personne à faire un choix “libre et éclairé” » n’est pas certaine.

Le président du Portugal, Marcelo Rebelo a le choix entre promulguer la loi ou la soumettre à l’analyse de la Cour constitutionnelle, ou y opposer son veto, pouvant être contourné par un second vote.

Le concept illogique (par rapport à la logique interne de l’euthanasie) de fin de vie n’est même pas présent dans cette loi. De plus, l’objection de conscience des institutions comme les hôpitaux n’y est pas reconnue, rapporte la FSSPX.News :

Mais ce n’est pas tout : l’existence d’une maladie en phase terminale n’est pas requise pour que la loi s’applique, l’euthanasie étant admise pour les personnes ayant des « lésions permanentes d’une gravité extrême ». Ainsi, une personne lourdement handicapée, de manière physique ou mentale, est éligible à l’euthanasie.

La loi prévoit encore de possibles sanctions pour les centres de soins qui n’appliqueraient pas les nouvelles dispositions en matière d’euthanasie, même si l’objection de conscience est encore reconnue pour les personnels de santé. Ce qui pourrait poser de redoutables problèmes aux cliniques et hôpitaux catholiques.

Les évêques catholiques du Portugal on fait savoir au gouvernement leur désapprobation par rapport à la nouvelle loi.

Au fait, cette nouvelle loi ne semble-t-elle pas une aubaine pour vider des lits d’hôpital ou les maisons de soins, en plein milieu d’une « pandémie » où on est censé tout mettre en œuvre pour « sauver vie » ?

Question à quatre sous : si une personne présentant des comorbidités, et étant considérée comme ayant le covid-19, se fait euthanasier, quelle cause de décès indiquera-t-on dans les registres ?

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Le gouverneur de New York a dissimulé la mort de milliers de résidents de maisons de soins

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Chanikarn Thongsupa/Rawpixel

Selon un tout récent rapport du procureur général de l’État de New York, le gouvernement de l’État, dont le gouverneur est Andrew Cuomo, a dissimulé probablement près de 50 % des décès de résidents de maisons de soins, ne prenant pas en compte dans les chiffres officiels les résidents emmenés et morts à l’hôpital. Suite aux révélations du procureur général, le ministère de la Santé de New York a rajouté plus 3800 décès aux quelques 8500 déjà déclarés, donnant le nouveau nombre de 12 743, sur environ 42 000 décès attribués au covid-19 dans l’État. Les décès de résidents hors maison de soins étaient confondus avec le reste. Selon The New York Times :

M. Cuomo a reçu un coup dur lorsque le procureur général de l’État de New York, Letitia James, a annoncé jeudi matin que l’administration de M. Cuomo avait sous-estimé de plusieurs milliers le nombre de décès liés au coronavirus parmi les résidents des maisons de retraite de l’État.

Quelques heures plus tard, les dires Mme James étaient corroborés, car les fonctionnaires du ministère de la Santé rendirent publiques de nouvelles données qui rajoutaient plus de 3 800 décès au total, représentant les résidents des maisons de soins qui sont morts à l’hôpital et qui n’avaient pas été comptés auparavant par l’État comme des décès en maisons de soins.

La reconnaissance de ce nombre par l’État a augmenté de plus de 40 % le nombre total de décès liés à ces établissements. Le rapport de Mme James avait suggéré que le décompte précédent de l’État pourrait présenter un écart allant jusqu’à 50 %.

Ces révélations ne changent pas le nombre total de décès liés au Covid-19 à New York — plus de 42 000, soit plus que tout autre État [...]

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Biden réautorise le financement des promoteurs internationaux d’avortements


Joe Biden.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons

Le douteux président des États-Unis a abrogé hier la « politique de Mexico » qui empêchait les organismes internationaux promouvant ou pratiquant l’avortement de bénéficier des subsides fédéraux. Cette politique, précédemment réinstaurée et élargie par Donal Trump, avait soustrait aux griffes des promoteurs de la culture de mort environ 7,3 milliards de dollars. Selon The Epoch Times :

Le président Joe Biden a signé le 28 janvier un mémorandum présidentiel annulant l’interdiction du financement américain des organisations internationales à but non lucratif qui fournissent des conseils ou des orientations en matière d’avortement.

Le président Donald Trump avait rétabli et étendu cette interdiction, connue sous le nom de « politique de Mexico », dès les premiers jours de son mandat en 2017. Elle avait été précédemment annulée par les présidents Barack Obama et Bill Clinton.

Cette politique a été annoncée pour la première fois en 1984 sous l’administration Reagan et a été annulée et rétablie selon la ligne des partis depuis. Cette politique exige des organisations non gouvernementales qu’elles certifient qu’elles ne « pratiqueront pas ou ne promouvront pas activement l’avortement comme méthode de planification familiale » si elles veulent bénéficier de l’argent du contribuable américain pour des initiatives de santé mondiale.

La politique de Mexico n’interdisait malheureusement pas la promotion de la contraception. Mais maintenant ce sera pire…

Plus de 73 millions avortements ― des enfants à naître tués ― auraient été pratiqués chaque année dans le monde entre 2015 et 2019, selon l’OMS, rapporte The Epoch Times

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Projets de loi pour protéger l’enfant à naître en Floride, Caroline du Sud et au Kentucky

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pickpik

En Caroline du Sud, le Sénat a approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque que l’on peut détecter le battement de cœur de l’enfant à naître, ce qui arrive généralement vers la sixième semaine de grossesse, selon LifeNews :

Le Sénat de l’État de Caroline du Sud approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait les avortements lorsque le cœur du bébé à naître commence à battre. Le vote final devrait avoir lieu jeudi.

Le South Carolina Fetal Heartbeat and Protection from Abortion Act (Senate Bill 1) a reçu un vote favorable par 29 voix contre 17 en deuxième lecture.

Le projet de loi interdirait les avortements après que les battements de cœur du bébé à naître sont détectables, généralement aux alentours six semaines de grossesse.

En Floride, un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque l’enfant à naître est supposé sentir la douleur, ce qui est généralement admis autours des 20 semaines de grossesse (bien qu’il puisse la sentir bien plus tôt) a été introduit au Parlement floridien, selon un autre article de LifeNews :

Deux législateurs de Floride, le sénateur Ana Maria Rodriguez [...] et le représentant Tommy Gregory […] ont déposé le SB 744 & HB 351, intitulé Florida Pain-Capable Unborn Child Protection Act, un projet de loi visant à interdire l’avortement dès le moment où l’enfant à naître ressent de la douleur.

S’il est adopté, ces projets de loi interdiraient l’avortement lorsqu’un enfant à naître a atteint le seuil de développement in utero auquel il est capable de ressentir la douleur. Les preuves scientifiques situent ce moment à environ cinq mois.

Malheureusement, en général, ce type de projets de loi son accompagnés d’exceptions.

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La Pologne met aujourd’hui en vigueur le jugement interdisant les avortements eugéniques !

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le gouvernement polonais s’est enfin décidé à mettre en vigueur la décision de la Cour constitutionnelle, rendue en octobre dernier, déclarant les avortements eugéniques inconstitutionnels, donc interdits — ces derniers représentent la plupart des avortements dans le pays.

Il faut dire, pour excuser quelque peu mais non totalement la lenteur du gouvernement, que de grosses manifestations féministes pro-avortement ont succédé à l’annonce du jugement interdisant l’avortement des bébés handicapés, avant de s’étioler comme peau de chagrin. Selon LifeNews :

Le gouvernement polonais prévoit commencer à appliquer un nouveau jugement anti-discrimination qui interdit les avortements des bébés à naître handicapés.

Le gouvernement a annoncé qu’il appliquerait à partir de mercredi la décision rendue en octobre par sa Cour constitutionnelle, rapporte Reuters.

La Pologne est l’un des rares pays européens protégeant les enfants à naître contre l’avortement quasiment en toutes circonstances. Le 22 octobre, sa Cour constitutionnelle a annulé l’une des rares exceptions autorisées dans sa loi de 1993 sur l’avortement : les avortements sur les bébés à naître handicapés. Les juges ont estimé que cette exception violait la constitution car elle était discriminatoire à l’égard des êtres humains handicapés.

Cette décision pourrait sauver la vie de milliers de bébés. Les autorités sanitaires polonaises ont signalé 1 100 avortements en 2019. Le pays autorise toujours les avortements en cas de viol, d’inceste ou de menaces à la vie de la mère.

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Folie covid : un médecin italien accusé d’avoir tué des patients pour libérer des lits

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik — Information trouvée en premier sur InfoWars — Mise à jour : 28 janvier 2021

Un médecin en Italie, le Dr Carlo Mosca, responsable du département des urgences de l’hôpital Montichiari dans la province de Brescia, a été arrêté et assigné à résidence, accusé d’avoir tué deux de ses patients et soupçonné d’en avoir tué trois autres dans le but de libérer des lits dans un département covid surchargé, rapporte The Sun :

Le procureur affirme que Mosca a donné aux deux hommes qui avaient été admis, souffrant du Covid 19, un anesthésique ainsi que des médicaments qui paralysent les nerfs et les muscles, provoquant leur mort afin de libérer des lits [...]

Les médicaments sont couramment utilisés lorsque les patients sont mis sous respirateur, mais les enquêteurs ont découvert, à partir des dossiers médicaux, qu’aucun des deux hommes n’avait été intubé pendant leur séjour à l’hôpital.

Les fonctionnaires ont lancé une enquête après avoir reçu une dénonciation anonyme sur le Dr Mosca. Aujourd’hui, il est assigné à résidence, soupçonné d’homicide volontaire et de falsification de dossiers.

La dénonciation indiquerait : « Vous devez vous renseigner sur le Dr Mosca. Il est fou. Il tue des patients pour libérer des lits ».

Le juge d’instruction Angela Corvi a écrit dans le mandat d’arrêt que le Dr Mosca « savait parfaitement » ce qu’il faisait et « avait la capacité de tuer ».

Elle a écrit que le motif présumé était de « libérer des lits et d’aider physiquement et émotionnellement les ressources humaines du personnel ».

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