L’archevêque d’Arequipa s’élève contre la fermeture des lieux de culte au Pérou
Mgr Javier Del Rio Alba, archevêque d'Arequipa au Pérou.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
L’archevêque d’Arequipa au Pérou, Mgr Javier Del Rio Alba, proteste contre la fermeture totale des lieux de culte dans le cadre d’un renforcement des mesures de confinement dans le pays, devant durer tout le mois de février, rapporte la FSSPX.News :
« Ainsi, on ordonne la fermeture totale des lieux de culte dans presque tout le Pérou, tandis que dans les mêmes endroits, les banques, les centres commerciaux et même les restaurants sont autorisés à fonctionner, avec une jauge de 50 % de leur capacité normale d’accueil », ironise le prélat, qui va jusqu’à dénoncer une violation de la Constitution péruvienne, censée prendre « la défense de la personne humaine ».
Un gouvernement matérialiste :
1 réactionL’attitude des pouvoirs publics n’étonne pas outre mesure l’archevêque d’Arequipa, puisque ceux-ci sont les premiers à prôner cet « individualisme matérialiste de la “culture du déchet” qui embrasse l’avortement et l’euthanasie promus par le parti au pouvoir ».
Censure : YouTube ferme la chaîne LifeSiteNews, toutes les vidéos ont disparu
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La chaîne de vidéos que LifeSiteNews tenait sur YouTube a tout simplement été supprimée par le géant de l’internet, rapporte l’intéressé :
YouTube vient de supprimer complètement la chaîne LifeSiteNews YouTube. Ce n’est pas une simple suspension, chacune de nos vidéos a complètement disparu.
Heureusement, nous avions sauvegardé toutes nos vidéos, mais cela signifie que des centaines de milliers de personnes ont perdu l’accès à notre contenu véridique.
LifeSiteNews couvre de nombreux sujets tels que l’avortement, la contraception, l’euthanasie, l’idéologie LGBT, notamment le transgenrisme, le « mariage gay », la dictature sanitaire, la fraude électorale américaine, la censure des conservateurs, les affaires ecclésiastiques, etc. Dix fois de quoi se faire détester par le géant des réseaux (anti)sociaux, surtout devant l’ampleur de l’audience que LifeSiteNews s’attirait à travers ses services.
LifeSiteNews s’était préparé à une telle exécution et a mis à disposition ses vidéos sur d’autres plateformes comme Rumble.
De notre côté, à Campagne Québec-Vie, devant la censure plus ou moins subtile et algorithmique de Facebook, nous nous sommes lancés sur d’autres plateformes plus ouvertes comme Gab et Telegram. Nous avons également un agrégateur de nouvelles intitulé Culture de Vie.
1 réactionProjet de loi au Connecticut pour censurer la publicité des centres de grossesse pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AdobeStock
Au Connecticut, les pro-avortement cherchent, par le biais d’un projet de loi, à censurer les centres d’aide aux femmes enceintes pro-vie, selon LifeNews :
Mercredi, le Comité de santé publique de l’État doit tenir une audience sur un projet de loi qui punirait les centres de grossesse pour publicité « trompeuse », telle que décriée par le procureur général du Connecticut, rapporte Breitbart.
« C’est un projet de loi qui apporte une solution à un problème que nous n’avons tout simplement pas », déclare le sénateur Heather Somers, selon le Hartford Courant. « Personne ne veut voir les femmes être trompées, mais cela ne se produit tout simplement pas dans l’État du Connecticut. Ces centres ont aidé plus de 35 000 femmes dans le Connecticut, et ils ne reçoivent pas un centime de l’État. »
La vérité de Lapalisse du procureur général du Connecticut :
En 2019, il arguait que cette loi est importante car les centres de grossesse peuvent retarder ou empêcher les femmes d’obtenir des avortements « sûrs », rapporte l’article.
Certes, si une femme enceinte écoute les informations véridiques que lui procurera un centre de grossesse sur le développement de son enfant à naître, il est probable qu’elle ira plus tard se faire avorter (du fait de son hésitation) ou qu’elle ne se fera pas avorter. En ce sens, on peut dire que ce que le centre aura dit à cette femme aura retardé son avortement ou l’aura empêché. Mais où est donc le problème ?
Remettre la supervision de la publicité entre les mains des pro-avortement :
1 réactionMais les chefs pro-vie déclarent que le projet de loi fait partie d’une vaste campagne pro-avortement visant à dissuader les femmes de choisir la vie de leurs bébés et à discréditer le soutien vital que les centres de ressources pour femmes enceintes fournissent.
Le projet de loi n’offre aucune précision sur le langage considéré comme trompeur, mais il obligerait les centres de grossesse à payer pour une « publicité corrective » si leurs annonces sont jugées « trompeuses », selon le Family Institute of Connecticut. « En substance, il confierait aux pro-avortement la responsabilité de décider ce qui est acceptable pour les pro-vie en matière de publicité ».
Logique du «mon corps, mon choix»: l’euthanasie devrait servir à décharger les femmes du fardeau des personnes souffrantes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Selon certaines féministes, l’euthanasie devrait être libéralisée afin de décharger les femmes s’occupant de personnes souffrantes, car plus de la moitié des soignants en Écosse sont des femmes et font donc plus souvent face à la souffrance d’autrui, selon LiveActionNews :
Les groupes de pression pour le suicide assisté soutiennent depuis longtemps que les médecins devraient pouvoir tuer leurs patients afin que les gens puissent éviter ce qu’ils présument être une mort longue et douloureuse. Selon les partisans de l’euthanasie, c’est une façon plus « digne » de mourir. Mais pour Dignity in Dying Scotland, il existe une autre raison de se débarrasser rapidement des personnes âgées, malades ou handicapées : pour qu’elles ne soient pas un fardeau pour les femmes.
Un nouveau rapport de ce groupe de défense du suicide assisté affirme qu’il s’agit là d’une question dite « féministe ». Ally Thomson, directrice de Dignity in Dying Scotland, s’est entretenue avec Tracey Bryce du Sunday Post à ce sujet, déclarant : « Les femmes ont fait clairement valoir leur point de vue — la loi en Écosse les oublie. Elles sont témoins de souffrances inutiles en fin de vie et sont anxieuses quant à leur propre mort étant donné le manque de choix qui leur est offert en Écosse ». Elle ajouta : « Elles sont également très majoritairement favorables à une modification de la loi sur l’aide à mourir pour les adultes en phase terminale. Nous devons écouter les femmes lorsqu’elles nous disent que les choix actuels, offerts aux personnes confrontées à une mort difficile, ne sont en aucun cas des substituts appropriés aux lois sûres et compatissantes qui permettent aux gens de mourir dans la dignité ».
Bryce elle-même fait écho aux affirmations de l’article du Dignity in Dying Scotland, qui affirme qu’il est antiféministe de permettre aux gens de mourir naturellement, plutôt que de les tuer activement. « Des chiffres récents montrent que plus de la moitié des 759 000 soignants adultes en Écosse sont des femmes », écrit Bryce. « Beaucoup ont dû soigner des proches atteints de maladies en phase terminale et ont parlé de la douleur et des souffrances dont elles ont été témoins, et de leur souhait qu’il y ait quelque chose qu’elles pussent faire pour mettre fin à la souffrance, ou assurer une mort paisible et digne. L’article souligne également que 82 % des infirmières du NHS sont des femmes, ce qui signifie que davantage de femmes sont exposées aux effets de l’absence de choix en fin de vie ».
Je ne vois pas trop en quoi le fait que les femmes fissent plus souvent face à la souffrance d’autrui devrait en faire une « question féministe », parce qu’après tout des hommes aussi doivent supporter le fait d’assister à de telles souffrances. De plus, l’euthanasie concerne principalement la personne qui pourrait la subir.
Cette tentative maladroite est en fait une suite logique au slogan « mon corps, mon choix » : si une femme peut tuer son enfant à naître ― un être humain ― pour dégager son corps, pourquoi ne pourrait-elle pas tuer un autre être humain qui demande d’elle un effort particulier, qui lui inflige le désagrément de ressentir sa détresse ? La femme se débarrasse-t-elle de l’enfant à naître pour avoir une carrière ? Pourquoi donc ne pourrait-elle pas améliorer sa carrière de soignante en éliminant de vieux malades encombrants pour s’occuper de cas moins lourds ?
La même logique du « mon corps, mon choix », où la raison du plus fort prime sur celle du plus faible, où celui qui a une charge a droit de vie ou de mort sur la personne à charge, suit son cours tranquille et turpide.
En fait, cela me rappelle avoir déjà entendu un conservateur, lors du congrès du Parti conservateur à Halifax en 2018, me dire froidement que l'euthanasie devrait être légale pour les handicapés parce que ceux-ci représentent un poids pour ceux qui s'en occupent…
1 réactionManifestation pour la Messe devant l’Assemblée nationale du Québec le 20 février
Participants de l’une des deux manifestations pour la messe à Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Mise à jour : 9 février 2021
La manifestation devant avoir lieu le samedi 13 février a été reportée au samedi 20 février à la même heure, de 13 h 30 à 14 h 30.
Le samedi 20 février 2021, de 13 h 30 à 14 h 30, aura lieu un chapelet tenu devant l’Assemblée nationale du Québec, en signe de protestation contre la forte limitation à laquelle la messe est soumise dans la province. La manifestation est organisée par la Milice de Marie.
Un événement semblable avait eu lieu le 9 et le 31 janvier au même endroit, plus précisément devant la Fontaine de Tourny.
C’est par la prière que nous retrouverons la sainte messe.
1 réactionLa Cour supérieure du Québec permet les réunions de 10 personnes par salle de lieux de culte
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Ou plus précisément, dix personnes par salle ayant « un accès indépendant à la rue sans partager d’espace commun avec les autres salles ». Les juifs hassidiques ont eu gain de cause face au gouvernement qui voulait limiter le nombre à dix personnes par lieux de culte, rapporte Le Journal de Montréal :
La communauté juive hassidique a eu gain de cause contre l’État : ils pourront se réunir à 10 par salle de lieu de culte plutôt que 10 par édifice, vient de trancher la Cour supérieure du Québec en précisant la portée d’un décret gouvernemental qui s’appliquera à toutes les religions.
Donc les catholiques aussi pourraient se réunir dans les mêmes conditions pour la messe.
Poursuite :
À la suite de heurts entre fidèles et policiers dans les dernières semaines, le Conseil des juifs hassidiques du Québec et trois congrégations demandaient au tribunal de suspendre un décret limitant les rassemblements religieux à 10 personnes par lieu de culte.
Malgré le gouvernement :
Or, malgré l’opposition du gouvernement, la juge a tranché en leur faveur, si bien que dès maintenant, ils pourront se réunir à 10 par salle à condition que chaque salle ait « un accès indépendant à la rue sans partager d’espace commun avec les autres salles ».
La Cour supérieure a toutefois rejeté l’argument de liberté religieuse invoqué par les hassidim, déclarant que la santé publique était une question plus importante : un jugement athée.
1 réactionLa Cour supérieure du Québec attaque la notion légale de sexe
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Comstock/Picspree
Le 28 janvier dernier, la Cour supérieure du Québec a rendu un jugement invalidant plusieurs articles du Code civil en raison de la présence des mots « femme », « homme », « mère », « père », « sexe », jugés discriminatoires envers les personnes se disant « non-binaires ».
Dans un texte d’opinion publié sur Le Journal de Montréal, signé par Nadia El-Mabrouk, enseignante à l’Université de Montréal, et 21 autres personnes, dénonce la décision de la cour et les problèmes qui s’en suivront :
Un jugement fort troublant a été rendu le 28 janvier à la Cour supérieure du Québec, qui porte un coup dur à la notion légale de sexe. Des mots comme femme et homme, mère et père, sont jugés discriminatoires envers les personnes non-binaires.
Plusieurs articles du Code civil sont invalidés en raison de la présence des mots « sexe », « mère », « père ». Même si les articles du Code civil permettent déjà d’interpréter ces mots en fonction de l’identité de genre plutôt que du sexe biologique, même si le procureur général propose de remplacer, sur demande, les mots mère et père par « filiation » (alinéa [177]), même s’il s’est engagé à délivrer des certificats de naissance ne comportant pas de désignation de sexe, les articles du Code civil seraient néanmoins inconstitutionnels, car ils rendraient invisibles les personnes non-binaires qui ne s’identifient ni comme femme ni comme homme, ou les deux.
Ainsi, ce jugement tend à faire disparaître la binarité des sexes du registre de l’état civil.
Ainsi, même si l’État civil fait déjà des concessions à l’idéologie LGBT, et que les personnes se réclamant de l’arc-en-ciel sont tout autant protégées par la loi actuelle, la progressiste Cour supérieure du Québec a porté un coup redoutable aux notions d’homme et de femme et celles en découlant. Ceci compromet des combats légitimes (et moins légitimes, promus par les féministes) qui requièrent comme base la notion de sexe, selon le texte d’opinion :
Or, si les catégories hommes/femmes n’existent plus, le principe même d’égalité des sexes devient caduc. Comment continuer, dans ces conditions, à défendre les droits des femmes basés sur le sexe ? Qu’advient-il des sports féminins, des toilettes, vestiaires ou refuges non-mixtes ? Que deviennent les prisons pour femmes ? Comment continuer à promouvoir l’équité en matière d’emploi ou à combattre les violences faites aux femmes ?
Autres caractéristiques de ce jugement farfelu, « plusieurs articles du jugement (c. f. [37]) laissent entendre que le genre, et non pas le sexe, serait la véritable identité de la personne », soulignent les signataires du texte. « Le juge demande au gouvernement de songer à abolir la nécessité pour un jeune de 14 à 17 ans de consulter un professionnel de la santé avant de demander un changement de mention de sexe », notent également les signataires. Les auteurs du texte d’opinion dénoncent le manque de sérieux qui sous-tend la décision de la Cour supérieure du Québec : « Il est par ailleurs peu sérieux qu’aucun spécialiste de la dysphorie du genre, ni qu’aucun psychothérapeute favorisant une approche de psychologie exploratoire, n’ait été auditionné ».
1 réactionFrance : le projet de loi dit « bioéthique » profondément remanié par le Sénat
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : La Manif pour Tous
Lors de la 2e lecture du projet de loi « bioéthique » au Sénat de France dans la nuit du 3 au 4 novembre, les aberrations proposées par le gouvernement ont été rejetées : « la PMA sans père, la PMA sans motif médical, l’autoconservation des gamètes sans motif médical, la filiation fictive, la reconnaissance de la filiation d’intention résultant de GPA, les embryons transgéniques, les chimères, l’IMG* pour détresse “psychosociale” », rapporte La Manif Pour Tous.
Plusieurs manifestations menées par La Manif pour Tous ont été tenues devant le Sénat, montrant le désaccord des Français avec ce projet de loi insensé.
Évidemment ça n’arrange pas le problème de la PMA, qui est en soit immorale, mais du moins empêche la progression de cette intrusion de la technique dans la vie humaine.
*Avortement sous prétexte de santé. ― A. H.
1 réactionLe ministre de l’Intérieur de France : « la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu »…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (côtés flous rajoutés) : AdobeStock
Le ministre de l’Intérieur de France, Gérald Darmanin, a déclaré sur France Inter, au sujet d’imams qui refusent de signer la « charte de l’islam » de France proposée par le gouvernement français, « nous ne pouvons plus discuter avec des gens qui refusent d’écrire sur un papier qu’ils sont parfaitement compatibles évidemment avec les lois de la République, que la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu ».
Il a même réitéré sa profession de laïcisme. D’après RT France :
Gérald Darmanin a de nouveau évoqué cette question ce 2 février sur CNews, cette fois en déclarant face au journaliste Pascal Praud : « Il y a un moment où l’Etat doit s’imposer et dire que la loi est au-dessus de la foi. »
La réponse à l’énoncé « la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu » est évidemment : non. Les lois de Dieu, du vrai Dieu et non celui professé par l’islam, sont supérieures aux lois humaines. Dans le même ordre d’idées, dire qu’« il y a un moment où l’Etat doit s’imposer et dire que la loi est au-dessus de la foi » est tout aussi faux, du moins par rapport à la foi catholique.
Mais voyons quelles sont les circonstances d’un tel propos.
« La charte de l’islam » est un texte qu’Emmanuel Macron voulait pour sa lutte contre ce qu’il appelle le « séparatisme », suite à des meurtres de nature terroriste et d’origine islamique. Ledit texte contient une déclaration selon laquelle la foi musulmane est compatible avec la laïcité. Selon France 24 :
1 réaction Lire la suiteAprès plusieurs semaines de négociations, le Conseil français du culte musulman (CFCM), organisme chargé de représenter l’islam auprès des pouvoirs publics, a formellement approuvé, dimanche 17 janvier, une « charte des principes » de l’islam de France.
Le texte, réclamé par Emmanuel Macron en novembre dans le cadre de son offensive contre les séparatismes, affirme la « compatibilité » de la foi musulmane avec la laïcité, « l’égalité homme-femme » et rejette « l’instrumentalisation de l’islam à des fins politiques ».
Le Texas peut enfin cesser de financer Planned Parenthood, grand exécuteur d’avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
Mise à jour : 11 mars 2021 — Le juge du Texas a déclaré que l'État pouvait cesser de financer Planned Parenthood.
Mise à jour : 26 février 2021 — Planned Parenthood s'est fait donner un autre deux semaines.
Mise à jour : 9 février 2021 — Un groupe pro-avortement s'est pourvu en justice, faisant en sorte que le Texas ne peut, momentanément, cesser de financer Planned Parenthood.
Grâce à une décision de la Cour du 5e circuit rendue en novembre 2020, l’État du Texas n’est plus obligé de financer Planned Parenthood, grand fraudeur et exécuteur d’avortements, depuis le 3 février 2021. Selon LiveActionNews :
1 réactionAprès que le géant de l’avortement eût demandé un délai de grâce de six mois pour permettre aux patientes de trouver de nouveaux prestataires tout en continuant à recevoir des soins, le tribunal a rejeté cette demande mais a accordé un délai de grâce de 30 jours se terminant le 3 février.
Le procureur général du 5e circuit et du Texas a basé cette décision en partie sur l’implication de Planned Parenthood dans le trafic de parties de corps de bébés avortés qui a été révélé en 2015. « Une vidéo d’infiltration a clairement montré que Planned Parenthood admettait avoir un comportement immoral et illégal, comportant des violations à la loi fédérale par la falsification du calendrier et des méthodes d’avortement afin d’obtenir des tissus fœtaux pour leur propre recherche », soulignait une déclaration du procureur général. « Planned Parenthood n’est pas un prestataire “qualifié” au sens du Medicaid Act, et ne devrait pas recevoir de subventions publiques dans le cadre du programme Medicaid ».
En 2013, Planned Parenthood avait été condamné à une amende de 1,4 million de dollars pour avoir demandé et reçu frauduleusement plus qu’il n’y avait droit sous le régime Medicaid de l’État du Texas, rapportait Live Action News.