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Peut-on se fier aux vaccins covid ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : presfoto/Freepik

C’est une question que nous devrions nous poser avec au moins le même sérieux (pour ne pas dire paranoïa) que celui qui est accordé à la suprême dangerosité du covid-19.

Ah ! le covid-19 ! On lui prête toutes les capacités de contagiosité, de morbidité, de persistance, d’indétectabilité au simple citoyen asymptomatique mais de visibilité ― tel un éléphant dans un couloir ― pour le test PCR. N’échappe-t-il pas à la règle générale de l’immunité collective ? Seul un vaccin peut nous sauver…

N’y a-t-il pas d’autres remèdes, peu coûteux, simples, relativement inoffensifs, enfin, efficaces ? Non, les vieux remèdes, qui, s’ils ne soignent ou ne préviennent pas forcément la maladie mais sont du moins assez peu dangereux et bien connus, doivent suivre le chemin de la prudence extrême, de la suspicion sans pareille et du dénigrement par défaut : hydroxichloroquine, azytromycine, plitidepsine, ivermectine, etc.

L’honnêteté intellectuelle exigerait que l’on appliquât les mêmes critères aux vaccins covid… du moins la logique demanderait que l’on applique la même malhonnêteté intellectuelle à ces derniers que pour les médicaments précités. Après tout, ces vaccins sont des nouveaux venus, peu testés, à l’efficacité non garantie et aux effets secondaires inconnus.

Le même mode de pensée devrait également s’appliquer à toutes mesures proposées ou en œuvre, que décrètent dictatorialement les gouvernements du haut de leur trône démocratique, quant à leurs effets secondaires et leur efficacité (contre quoi d’ailleurs ?).

Mais il serait plus simple de regarder objectivement les faits relatifs au covid-19, les remèdes évoqués, les vaccins et les mesures « sanitaires » en général.

C’est pourquoi je propose à votre attention un texte de Rod Taylor, chef du Parti de l’Héritage Chrétien du Canada, sur la fiabilité des vaccins covid-19 en cours d’application dans le monde entier.

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L’un des principaux problèmes du débat sur le covid et les vaccins tient aux sources auxquelles les gens se réfèrent et à la censure que subit l’un des deux camps, et à ce que finalement (c’est paradoxal) beaucoup de gens manquent d’informations, souligne Rod Taylor dans la première moitié de son analyse, sur le site du PHC :

Des milliers d’articles, de blogues et de livres entiers sont en cours d’écriture sur ces questions ; des heures et des heures de présentations vidéo sont disponibles sur les sites Web et les médias sociaux, bien que certaines voix soient censurées pour permettre au récit de nos gouvernements provincial et fédéral de prédominer. De nombreux citoyens — s’ils n’écoutent que CBC et ne lisent que le « Globe and Mail » — peuvent croire qu’ils reçoivent des informations complètes et impartiales. Ce n’est tout simplement pas vrai.

En tant que chef national du PHC du Canada, je sais que notre société est divisée sur ces questions. Nos églises, nos communautés et même nos familles sont divisées alors que les gens décident qui croire. Nous conviendrons tous qu’il existe de nombreuses opinions différentes sur ces questions, sincèrement partagées par des personnes de bonne volonté. Leurs opinions sont largement déterminées par les sources d’information auxquelles elles font confiance. De toute évidence, lorsque plusieurs opinions sont en conflit, elles ne peuvent pas toutes être correctes. Notre objectif est de fournir des informations qui ne sont pas facilement disponibles sur les médias grand public.

Cette information cruciale, que vous ne recevrez pas chez les médias marxistes, M. Taylor nous en donne un segment, sous forme d’analyse, des divers traits cachés par les médias des vaccins Pfizer et Moderna :

  1. Bien que les produits injectables à ARN de Moderna et Pfizer soient appelés « vaccins », certains médecins affirment que ce n’est pas un terme précis. Ils devraient en fait être appelés « agents biologiques expérimentaux ». Un vrai vaccin est censé conférer une immunité et prévenir l’infection. Les fabricants ne prétendent pas que leurs produits produiront une « immunité contre l’infection ou empêcheront la transmission » du COVID-19. L’OMS ne prétend pas que ces vaccins expérimentaux empêcheront l’infection ou la transmission. « Je ne pense pas que nous ayons des preuves sur l’un des vaccins pour être convaincus qu’il empêchera les gens de contracter réellement l’infection et donc de pouvoir la transmettre », a déclaré Soumya Swaminathan, MD, scientifique en chef de l’OMS.
  2. La vaccination ne mettra pas fin à la pression pour porter des masques, s’éloigner socialement et éviter les foules. Bien que la plupart des gens pensent que la vaccination permettra un « retour à la normale », les responsables de la santé admettent que la vaccination ne garantira pas l’immunité. Toutes les précautions obligatoires, telles que les masques et la quarantaine, continueront de s’appliquer aux voyageurs aériens vaccinés revenant d’un pays étranger.
  3. Un nombre restreint mais significatif de réactions indésirables — y compris des décès — a été signalé parmi les personnes vaccinées. Comme le souligne Robert F. Kennedy Jr., l’industrie pharmaceutique aime appeler ces décès et blessures « coïncidents », tout en comptant chaque décès d’une personne avec un test PCR positif dans les 60 jours comme un décès COVID, indépendamment de l’âge ou des comorbidités.
  4. Malgré les preuves de plus en plus nombreuses que ces vaccins expérimentaux comportent un risque important et ne garantissent aucune protection contre l’infection, les sociétés pharmaceutiques qui les fabriquent sont exonérées de toute responsabilité. Ils n’acceptent aucune responsabilité pour les dommages causés, même si cela peut être prouvé (ce qui est très difficile à faire). Le gouvernement fédéral dispose déjà d’un système de notification des effets indésirables suite à toute vaccination, y compris ceux utilisant les vaccins expérimentaux COVID-19. Le processus de déclaration est compliqué et commence par le rapport du patient ou de la famille au médecin qui a administré l’injection. Le praticien peut signaler au SCSESSI (Système canadien de surveillance des effets secondaires suivant l’immunisation). La plupart des effets indésirables ne sont jamais signalés. Si, par miracle, un tribunal accorde une indemnisation pour blessure ou décès, elle sera payée non pas par les sociétés pharmaceutiques, mais par les contribuables fédéraux dans le cadre d’un programme d’indemnisation des blessures liées aux vaccins proposés par le gouvernement.
  5. Autre préoccupation pour certains chrétiens concernant les vaccins Pfizer et Moderna est le fait que des lignées cellulaires de tissu fœtal avorté ont été utilisées dans le développement ou les tests de ces produits expérimentaux. Bien que les produits eux-mêmes ne contiennent pas réellement de tissu fœtal, pour certains d’entre nous, le fait que les vaccins aient été testés à l’aide des sous-produits d’un avortement — même si cet avortement a eu lieu il y a longtemps — soulève encore des questions éthiques.

Et ceci n’est que quelques-uns des aspects problématiques soulevés par lesdits vaccins.

Rod Taylor affirme pour sa part que le gouvernement devrait laisser aux gens la liberté de choisir les soins dont ils souhaiteraient bénéficier, et de conclure en annonçant la seconde partie de son analyse portant sur les effets néfastes du confinement sur les familles et les entreprises, sur l’économie, la liberté religieuse et la liberté en générale, et sur la protection de nos aînés. Il écrira également sur la question des médicaments bon marché que proposent plusieurs médecins. À suivre.



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